Double Plaisir Nocturne Dévoilé
Ma première fois à deux — double pénétration récit
Je n’avais jamais vraiment fantasmé sur une double pénétration. Enfin… pas jusqu’à ce soir-là.
Cela a commencé comme une soirée presque banale. Une invitation pour « boire un verre » chez Bastien, mon collègue de travail et accessoirement flirt régulier, dans son appartement chaleureux du 11e arrondissement. Il avait aussi invité son meilleur ami, Mathis, que je connaissais à peine. Juste assez pour me souvenir d’un regard, un sourire… un peu plus long que la moyenne. Surtout quand j’arrivais en jupe. Ce genre de détail reste dans le corps, même si on prétend ne pas y penser.
La musique était douce, jazzy, et l’éclairage tamisé. J’étais venue sans grande attente, mais avec cette robe légère qui m’effleurait les cuisses à chaque mouvement. Elle glissait sur ma peau nue, sans soutien-gorge, juste moi, mes seins libres et cette légère tension dans mon ventre. J’aimais sentir que j’étais désirée. Et ce soir-là… je l’étais. Intensément.
Bastien s’était rapproché de moi dès mon arrivée, me servant un verre, me frôlant le bras comme par inadvertance. Mathis, plus discret, me regardait par en dessous, un peu en retrait, mais avec cette intensité silencieuse qui fait perdre pied. Sa voix grave vibrait doucement dans l’appartement, et ses mains, grandes, semblaient capables d’envelopper mon corps tout entier. Je ne pensais pas encore à l’idée d’être prise par deux hommes à la fois, mais il y avait une tension dans l’air, une électricité qui passait entre nous trois, comme si quelque chose — quelque chose d’interdit — allait se produire.
La conversation a lentement glissé vers des sujets plus intimes. L’effet du vin, peut-être. Ou de leurs regards de plus en plus directs. Le mot « fantasme » est apparu. Puis « scène de sexe à trois ». Des rires, des silences… Et ce frisson qui remonte le long de mes cuisses lorsque leurs yeux se sont posés sur moi, en même temps.
– Tu en as déjà eu envie ? demanda Mathis, un rien provocateur.
Je bus une gorgée avant de répondre. Ma gorge était sèche. Mes cuisses, humides.
– Je ne sais pas. J’y ai pensé, peut-être. Fantasmé, oui. Mais pas vécu.
Bastien s’était rapproché encore. Ses doigts avaient effleuré ma nuque, lentement. Il connaissait mes réactions. Il savait où appuyer.
– Tu veux essayer, ce soir ?
Je l’ai regardé sans répondre. J’ai senti mes joues rougir, mais mon corps semblait déjà dire oui. Même mes jambes s’étaient entrouvertes sous la robe fine, comme si elles devinaient déjà ce qui allait suivre.
Mathis s’était levé, contournant le canapé pour se positionner à côté de moi. Son parfum boisé m’enveloppait, et ses doigts ont glissé jusqu’à mon poignet, le retenant doucement, presque tendrement.
– Rien ne se fera sans ton accord. On peut juste jouer un peu. Explorer. T'effleurer à deux, pas à pas.
Sa voix était douce, mais ferme. Son regard ne tremblait pas. Mon ventre s’est noué. Je sentais déjà la chaleur entre mes cuisses pulser contre le tissu.
– J’ai envie d’être touchée. Par vous deux, ai-je murmuré.
Ici, tout a changé.
Leur attitude s’est transformée. Plus assurée. Ils savaient ce qui allait arriver — ou plutôt, ce qu’ils allaient provoquer. Bastien m’a embrassée. Longuement. Avec cette langue possessive, son goût mêlé au vin. Pendant qu’il m’embrassait, Mathis s’est placé derrière moi, ses grandes mains posées sur mes hanches, puis glissant lentement le long de mes cuisses, remontant la robe, dévoilant peu à peu ma peau offerte.
J’étais piégée entre eux deux. Excitée. Prise dans une danse lente où chacun savait exactement ce qu’il faisait.
– Tu veux qu’on t’attache un peu ? me souffla Bastien à l’oreille.
J’ai senti quelque chose se tendre dans mon bas-ventre. J’adorais cette sensation de perte de contrôle maîtrisée — d’abandon électrisant. J’ai hoché la tête. Oui. Mille fois oui.
Ils m’ont guidée vers la chambre. Une pièce aux murs sombres, avec un grand lit au centre, des draps noirs, et sur la commode… des accessoires. Menottes en cuir, paddle, plug anal au verre irisé, vibromasseur discret. Je suis restée figée une seconde, mon souffle court, mon regard absorbant les promesses silencieuses de cette chambre. C’était comme si leur désir m’avait modelée en héroïne silencieuse d’un double pénétration récit dont je devenais soudain l’auteur et l’objet.
Bastien a sorti les menottes, les faisant tinter entre ses doigts. Il m’a fait tourner le dos, doucement, caressant la ligne de mes épaules.
– Donne-moi tes mains, chérie.
Je les lui ai tendues sans parler. La sensation du cuir froid contre ma peau nue m’a arraché un soupir impatient. Mathis enroulait doucement mes cheveux, ses lèvres effleurant ma nuque, tandis que Bastien m’attachait au montant du lit, bras tendus au-dessus de moi.
Je ne pouvais plus bouger. Juste sentir, vibrer, attendre.
– On va prendre notre temps, reprit Bastien. Jusqu’à ce que tu nous supplies de te remplir.
Mon ventre s’est contracté violemment à ses mots. Mon corps réclamait déjà. Le feu s’était propagé partout. Mes tétons durcis pointaient sous la robe, et je sentais l’envie trembler dans mes cuisses, me couler entre les jambes. Mon excitation battait en rythme, plus forte encore lorsque Mathis passa devant moi, me fixant sans détour, puis levant lentement ma robe jusqu’à dévoiler ma culotte noire en dentelle, déjà trempée.
– Tu veux être touchée ensemble… ou un à la fois ? demanda-t-il d’un ton bas, rauque.
Je n’ai pas répondu tout de suite. Mon cœur battait trop fort. Alors j’ai juste entrouvert les cuisses, volontairement. Offerte. Soumise. Prête.
Et ils ont compris.
Mathis s’agenouilla lentement devant moi, ses mains effleurant mes cuisses, remontant juste sous la dentelle humide de ma culotte. Il s’arrêta un instant, les yeux plantés dans les miens, cherchant une forme de permission silencieuse. Mon souffle tremblait. Mon regard disait tout.
Il glissa son doigt sous le tissu détrempé, effleurant mes lèvres intimes avec une lenteur exquise. Ma tête bascula en arrière, un soupir rauque m’échappa.
– Elle est déjà trempée, murmura-t-il à Bastien.
– Elle nous attendait, répondit-il en tirant doucement sur la chaîne de mes menottes. Regarde comme elle est belle, offerte, vibrante.
Mathis écarta doucement ma culotte, l’abaissant juste assez pour dévoiler ma fente luisante. Son souffle chaud caressa ma peau. Puis sa langue. Une première pression douce, un frisson immédiat. Il lécha lentement, méthodiquement. Je me cambrai, retenue par les liens, incapable de reculer ou de me perdre ailleurs. Tout mon corps se résumait à cette langue, à cette bouche, à ce plaisir humide et précis.
Derrière moi, Bastien m’effleurait la nuque, ses doigts glissant le long de ma colonne, puis s’arrêtant sur la courbe de mes fesses qu’il caressa d’un geste possessif. Il se pencha pour murmurer :
– Tu veux qu’il te goûte longtemps ? Ou qu’on te remplisse ?
Je haletais, incapable de répondre. Mes hanches bougeaient d’elles-mêmes, cherchant plus, cherchant à être prise. Mathis accéléra un peu, sa langue dessinant des cercles précis, puis s’enfonçant doucement en moi. J’en gémis, surprise de cette intrusion si intime et douce.
Bastien, lui, s’agenouilla derrière moi. Il écarta mes jambes avec fermeté, puis passa un doigt entre mes fesses, effleurant mon anus avec lenteur. Juste un effleurement. Mais suffisant pour faire bondir mon cœur.
– Tu veux qu’on t’utilise, ma belle ? demanda-t-il. L’un devant, l’autre derrière. Que tu nous sentes tous les deux en même temps ?
Je gémis, secouée d’un frisson incontrôlable.
– Dis-le, ajouta Mathis en s’essuyant la bouche. Dis-nous ce que tu veux.
Je pris une inspiration tremblante.
– Je veux vous sentir… en moi. Les deux. Ensemble.
Leurs regards s’échangèrent, sombres, gourmands. Bastien se leva, attrapa une petite boîte sur la table de chevet, en tira un lubrifiant à la texture satinée et un plug anal au verre irisé. Il le fit glisser dans sa paume, le réchauffant légèrement.
– Tu l’as déjà fait ? demanda-t-il, sa voix douce, mais ferme.
Je secouai la tête.
– Jamais à deux… jamais comme ça.
– Alors on va préparer ton corps. Doucement. Tu vas adorer.
Il appliqua le lubrifiant avec soin entre mes fesses, massant lentement, circulairement, insistant avec une attention presque tendre. Je sentais mon corps s’ouvrir, se relâcher. Sa main s’immisça plus franchement, un doigt d’abord, puis deux, travaillant doucement la zone, me faisant haleter, trembler, m’ouvrir à l’idée. À la sensation.
– Respire, chérie. Laisse-toi faire. Tu es si belle comme ça, attachée, offerte à nous deux.
Mathis m’embrassait maintenant, ses lèvres sur les miennes, humides de mon propre goût. Sa main caressait mes seins sous la robe remontée, pinçant doucement mes tétons dressés. Mon corps tout entier vibrait de désir, de tension, d’impatience.
Quand Bastien introduisit lentement le plug en moi, je haletai de surprise. C’était froid, d’abord, puis chaud. Remplissant. Irrésistible. Il ne força pas. Il me laissa le temps. Et je l’acceptai. Tout mon corps se tendit, puis se relâcha autour de lui. J’étais prête.
– Voilà, souffla Bastien. Maintenant, tu es à nous. Toute à nous.
Ils me détachèrent doucement, mes bras engourdis retombant contre moi. Mais je restais debout, soumise, entre eux deux. Bastien m’embrassa à nouveau, profondément, sa langue fouillant ma bouche avec la même promesse que ses gestes. Il me retourna pour me faire face à Mathis, qui avait retiré sa chemise. Son torse large, chaud, m’attira comme un aimant. Je posai mes mains sur lui, l’explorant, sentant sa chaleur, sa fermeté, la tension sous sa peau.
– Mets-toi à genoux, souffla-t-il.
Je m’exécutai, lentement, glissant les mains sur ses hanches, puis ouvrant sa braguette. Son sexe jaillit, épais, tendu, palpitant. Je l’enveloppai de mes lèvres avec une lenteur volontaire, goûtant chaque centimètre comme une offrande. Il gémit, sa main dans mes cheveux, me guidant sans brutalité.
Derrière moi, Bastien caressait mes fesses, son sexe dur frottant contre le plug, accentuant chaque mouvement de ma bouche par une pression entre mes jambes. Je sentais tout. Leur présence. Leur désir. Mon plaisir montait, incontrôlable.
– Tu veux continuer comme ça ? demanda Bastien. Ou tu veux passer à l’étape suivante ?
Je relevai la tête, les lèvres humides.
– Prenez-moi. Ensemble. Pas encore jusqu’au bout. Mais… je veux sentir vos corps contre moi. Maintenant.
Ils me soulevèrent comme une poupée, me guidant sur le lit, à quatre pattes, les jambes tremblantes. Mathis se plaça devant, son sexe contre ma bouche. Bastien derrière, retirant lentement le plug en un bruit humide qui me fit gémir. Il me caressa encore, lubrifiant ses doigts, préparant mon corps avec patience, détermination.
Leurs mains me tenaient ouverte, offerte. Je n’étais plus que sensation. Chaleur. Humidité. Besoin.
– Tu vas t’en souvenir toute ta vie, murmura Mathis.
– Pas encore, dit Bastien. Pas tout de suite. On veut te faire languir. Sentir. Trembler.
Ils me caressaient, me léchaient, jouaient avec moi comme avec un trésor rare. À chaque mouvement, je me rapprochais du bord. Mais ils me retenaient. Me guidaient. M’enseignaient le désir à deux.
Et je n’avais encore rien vu.
Mathis se plaça derrière moi, me tenant par les hanches, pendant que Bastien s’allongeait sous moi. Son sexe dressé caressait déjà l’intérieur de ma cuisse.
– Viens, murmura-t-il. Assieds-toi sur moi. Laisse-le te prendre à l’arrière.
Je tremblais, mais d’un désir brûlant. Mes mains posées sur son torse, je guidai lentement mon bassin vers lui, sentant son sexe glisser en moi, m’emplir centimètre par centimètre. Mon souffle se coupa net. C’était si bon, si plein.
Derrière, Mathis m’ouvrait doucement, ses doigts glissés entre mes fesses, lubrifiant encore, massant, préparant. Mon corps vibrait d’attente. Il retira ses doigts… puis je sentis sa pointe contre moi. Un frisson me traversa tout entière.
– Respire, souffla Bastien, les mains sur mes seins. Tu es parfaite.
Mathis poussa lentement. La pression était intense, chaude, profonde. Mon corps se tendit — puis céda. Il entra. D’abord un peu. Puis plus. Mon ventre se contracta, mes ongles s’enfoncèrent dans la peau de Bastien.
– Oh mon Dieu…
Un cri m’échappa. De plaisir. De trop-plein. D’abandon absolu. J’étais prise. Remplie. Par eux deux. Ensemble.
Ils restèrent immobiles un instant, me laissant m’habituer. Puis, lentement, ils commencèrent à bouger. L’un poussait quand l’autre se retirait. Une danse synchronisée. Ma tête bascula en arrière, mes cheveux collés à ma nuque moite.
– Putain… tu es incroyable, haleta Mathis.
Bastien pinçait mes tétons, les tordant doucement. Je n’étais plus qu’un cri suspendu, une onde de plaisir prête à exploser. À chaque va-et-vient, je sentais ma jouissance monter, me déborder, me déchirer presque.
– Je… je vais…
Ils accélérèrent. Plus fort. Plus profond. Et je craquai. Mon corps tout entier se contracta dans un orgasme violent, électrique, incontrôlable. Je hurlai, le dos cambré, emportée dans une vague de plaisir pur. Ils me suivirent. Je sentis leurs râles, leur chaleur, leur abandon.
Et puis… le silence.
Mon corps s’effondra doucement entre eux deux, encore tremblant, encore vibrant. Leurs mains me caressaient, m’enroulaient, me berçaient.
– Tu vas bien ? souffla Bastien contre ma tempe.
Je souris faiblement, les yeux à demi clos.
– Je crois… que je viens de vivre quelque chose d’irréel.
Mathis me couvrit d’un drap, doux contre ma peau moite. Il m’embrassa l’épaule, puis la nuque.
– Tu étais magnifique. Et si ouverte à nous.
Je me lovai entre eux deux, mon corps encore parcouru de soubresauts discrets. Le plug anal avait été retiré, mais je sentais encore la trace de leur passage. Le souvenir charnel de cette double pénétration récit gravé dans ma chair.
– Et maintenant ? soufflai-je.
Bastien sourit, paresseusement.
– Maintenant, on t’apprend à jouer. Encore. Différemment. Si tu veux.
– Avec quoi ?
Mathis désigna du menton la commode où trônaient un paddle et un vibromasseur bullet.
– Avec ça. Ou autre chose. On a tout le temps. Et surtout… toute ton envie.
Je refermai les yeux, un sourire au coin des lèvres. Mon corps était encore trempé de sueur, de plaisir, de leurs semences mêlées. Mais mon esprit… lui, s’ouvrait déjà à d’autres jeux, d’autres scénarios, d’autres désirs.
Peut-être même… avec une autre femme, la prochaine fois.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr