Tentations Entrevoisines

Tentations Entrevoisines

Plongez dans un monde de sensualité et de mystère, où chaque regard enflamme les passions.

Tentations Entrevoisines

Plan à trois érotique avec ma voisine

Lorsque Léa a emménagé dans l’appartement d'à côté, je n'aurais jamais imaginé qu’un simple sourire sur un palier finirait par faire naître une tension aussi brûlante sous ma peau.

Elle était arrivée par une fin d'après-midi pluvieuse, vêtue d’un jean moulant trempé et d’un petit pull noir qui collait délicieusement à ses formes. Son regard, clair et franc, s’était accroché au mien avec une intensité que je n'avais pas su décrypter immédiatement... mais qui n’a cessé, depuis, de me hanter.

Ma compagne, Clara, ne l’avait pas manquée non plus. Je l'avais vue dissimuler un sourire en observant Léa par la fenêtre de la cuisine, les premiers jours. Et puis un soir, sur le canapé, alors que nous feuilletions distraitement un de ces guides érotiques qui dormaient dans notre table de nuit, elle avait murmuré :

– Tu crois qu'elle aime les femmes, ta petite voisine ?

J’avais ri. Elle ne cachait jamais ses envies longtemps. Clara est belle, audacieuse, et a ce goût des jeux sensuels qui me font fondre. Petite préférence pour les menottes, une passion assumée pour les talons hauts et, parfois, un plug anal qu'elle porte en secret sous ses jupes — juste pour m’exciter.

Ce soir-là, accoudés à la rambarde de notre balcon, un verre de vin blanc à la main, Clara fixait la terrasse voisine d’un air rêveur.

– Imagine, commença-t-elle, sa voix basse et traînante, elle débarque chez nous, un vendredi soir, elle sonne à la porte sans prévenir…

Je m’étais imaginé la scène immédiatement. Léa, dans cette robe rouge qu’elle portait souvent. Les bretelles si fines qu’elles semblaient prêtes à glisser à tout moment. Ses lèvres pulpeuses, légèrement brillantes, et ce regard troublant, presque défiant.

Mais ce n’était encore qu’un fantasme. Un murmure entre nous. Un de ces jeux d’oreiller qui prolongent les nuits à l’infini.


Et puis, un samedi, en fin d'après-midi, tout a changé.

Nous venions de rentrer d’un déjeuner gourmand en centre-ville. Clara portait une jupe plissée courte, sans rien dessous. Elle aimait sentir l’air glisser contre sa peau nue. Moi, je n'avais cessé de ralentir derrière elle dans les escaliers, regardant les mouvements interdits sous la dentelle de sa jupe.

On riait encore sur le palier lorsque la porte d’en face s’est ouverte.

– Salut, vous avez passé une bonne journée ? demanda Léa.

Elle tenait deux sacs de provisions, visiblement surprise mais souriante.

– Plutôt bien... Et toi ? proposa Clara, polie mais intriguée.

Léa haussa une épaule, puis fixa Clara avec un soupçon de malice.

– J’ai cuisiné trop. Si ça vous dit…

Une invitation floue, posée dans l'air. Clara m’a regardée, les yeux pétillants.

– Chez toi ou chez nous ? répliqua-t-elle avec un sourire à double-sens.

Le silence qui suivit valait toutes les réponses. L’électricité entre nous trois était palpable. Mon ventre se crispa imperceptiblement.

– Chez vous. Ça me changera, répondit Léa du bout des lèvres.


Une heure plus tard, Léa s’installait dans notre salon. Décontractée, jambes croisées sur le fauteuil. Elle avait troqué son pantalon pour un short souple, ample, qui dévoilait la douceur dorée de ses cuisses. Son débardeur blanc laissait deviner, sans aucun doute, qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Chaque mouvement, chaque respiration, éveillait en moi un frisson électrique.

Clara s'était changée, elle aussi. Un chemisier semi-transparent, sans soutif. Sa jupe était toujours là. Plus courte que jamais. Je voyais son petit plug noir dépasser parfois, lorsque ses mouvements l'exposaient malgré elle — ou peut-être volontairement.

– Vous êtes très à l’aise ici, lança Léa en sirotant son verre.

– On aime le confort… et l’honnêteté.

Mon cœur battait trop vite. Les regards s’échangeaient. Les jambes se décroisaient, se recroisaient. Clara s’était assise tout près de moi, ses doigts jouaient avec les miens, lentement. Mon excitation montait sous ma robe fluide, réveillée par l’atmosphère chargée, les rires feutrés, les silences suggestifs.

– Vous êtes ensemble depuis combien de temps ? demanda Léa.

– Trois ans. Et toujours affamées d’aventures.

Sa langue passa sur sa lèvre inférieure. Elle jouait, consciemment ou non, avec nos nerfs. Dans ses yeux dansaient des promesses, des pulsions à peine contenus.

– Des aventures... Comme quoi ?

Clara se redressa légèrement. Elle tourna la tête vers moi avant de répondre, le regard planté dans celui de la voisine.

– Celles qui commencent par un regard et finissent sans vêtements.

Le sang battait violemment à mes tempes. J’imaginais déjà Léa entre nous. Ses doigts, sa bouche, sa peau contre la mienne. Je sentais une chaleur sourde s’installer dans mon bas-ventre. Ma main glissa sur la cuisse de Clara, doucement, sous sa jupe. Elle écarta légèrement les jambes. Sous mes doigts, elle était déjà moite, chaude, offerte.

– Tu veux savoir, Léa ? Tu veux vraiment ? souffla Clara en se levant.

Elle s’approcha de notre invitée, lentement, chaque pas accentuant la tension. Elle se pencha vers elle et murmura quelque chose à son oreille. Léa rougit, mais ne détourna pas le regard.

Je ne savais pas ce que Clara lui avait dit, mais je savais déjà ce qui allait suivre. Chaque seconde semblait suspendue entre nous. Le désir flottait, brûlant, au-dessus du canapé. Léa inspira profondément et croisa mes yeux, longuement.

– Je crois que j’ai très envie d’en apprendre plus sur vos… aventures.

Clara rit doucement. Un rire presque cruel, langoureux.

– Alors ferme la porte à clé, Léa. Et viens t’asseoir entre nous.


Léa referma la porte à clé, son regard toujours accroché au mien. Un silence lourd, chargé de tension et d'excitation, enveloppait la pièce. Clara s'était assise au centre du canapé, jambes croisées, son chemisier entrouvert laissant deviner la naissance de sa poitrine nue. Je l’observais du coin de l’œil, déjà hypnotisée par ce qui se tissait entre nous trois.

Léa hésita une fraction de seconde, puis s’approcha, lentement. Son short souple ondulait à chacun de ses pas, caressant la courbe de ses hanches. Elle s’installa entre Clara et moi, ses cuisses effleurant les nôtres. Sa peau était chaude, douce. Mon souffle se fit plus court.

– Vous êtes toujours comme ça avec vos invitées ? demanda-t-elle, un sourire en coin.

– Seulement quand elles ferment la porte à clé, souffla Clara en glissant une main sur sa cuisse.

Je suivis le mouvement du bout des doigts, remontant lentement le long de l’autre jambe de Léa. Sa peau réagissait au moindre contact. Elle frissonna, mais ne bougea pas. Son regard naviguait entre nous deux, à la fois curieuse et troublée.

– Tu es nerveuse ? murmurai-je.

– Non… Excitée.

Clara se pencha vers elle, effleurant sa joue de ses lèvres.

– Tu peux partir quand tu veux, tu sais. On ne force rien ici. On joue. On goûte. On explore. Et si l’envie est là… on va très, très loin.

Un soupir discret échappa à Léa. Mes doigts remontèrent sous la couture de son short, frôlant l’intérieur de sa cuisse. Elle écarta légèrement les jambes, comme une invitation silencieuse. Clara, elle, avait déjà ouvert un bouton de son chemisier, dévoilant un téton dressé, durci par l’air tiède de la pièce… ou par le regard fixe de Léa, qui n’en détachait plus les yeux.

– Tu peux toucher, si tu veux, dit Clara d’une voix douce.

Léa tendit la main, hésitante. Ses doigts glissèrent sur la peau de Clara, puis se refermèrent lentement sur son sein. Elle le caressa, maladroitement d’abord, puis avec plus d’assurance.

Je ne pouvais détacher les yeux de leurs gestes. Le contraste entre la peau claire de Léa et la poitrine dorée de Clara m’embrasait. Ma main glissa sur le ventre de Léa, à travers le tissu fin de son débardeur. Sa respiration s’accéléra.

– Tu ne portes rien dessous…

– J’aime sentir le tissu sur mes tétons.

Je laissai mes doigts remonter, lentement, jusqu’à trouver sa poitrine. Je caressai le contour de son sein, le creux sous la courbe, sans la toucher franchement. Clara s’était rapprochée, ses lèvres effleurant l’épaule de Léa, puis sa nuque. Elle l’embrassait doucement, lentement, pendant que mes doigts jouaient avec les bretelles de son haut.

– Enlève-le, murmura Clara contre sa peau.

Léa obéit sans un mot. Elle se redressa et tira son débardeur par-dessus sa tête, révélant deux seins fermes, fièrement dressés, leurs pointes tendues vers nous. Je ne pus m’empêcher de les effleurer du bout des lèvres.

– Tu es magnifique, soufflai-je.

Clara se pencha à son tour et lécha doucement un des tétons, avant de le mordiller. Léa gémit, sa main saisissant la nuque de Clara. Mes doigts s’étaient déjà aventurés plus bas, sous le short, caressant la naissance de ses lèvres intimes à travers un fin tissu humide.

– Tu es déjà trempée…

– Je vous veux. Toutes les deux.

– Pas si vite, chuchota Clara en se redressant. On aime faire durer les choses. Tu vas devoir mériter chaque caresse.

Elle se leva et disparut dans la chambre. Je restai seule avec Léa, ma main toujours coincée entre ses cuisses. Elle me regardait, haletante.

– Tu veux qu’on continue ?

– Je veux tout vivre. Ici. Maintenant.

Je souris. Clara revint avec une petite boîte en cuir noir. Elle l’ouvrit sur la table basse, révélant un assortiment de jouets : menottes, lubrifiant, vibromasseur, petit plug anal… et un bandeau en satin noir.

– Tu aimes les surprises, Léa ?

– J’adore quand je ne contrôle rien.

– Parfait.

Clara s’approcha, bandeau en main. Elle plaça le tissu délicatement sur les yeux de Léa, l’aveuglant. Je sentis la tension monter d’un cran. Privée de la vue, Léa semblait soudain plus vulnérable, plus réceptive.

– Tu vas devoir deviner qui te touche, murmurai-je à son oreille.

Je posai mes lèvres sur sa clavicule. Clara, elle, avait glissé ses mains sous le short pour le lui ôter. Léa se laissa faire, offerte. Elle était nue, belle, à moitié couchée sur le canapé, les jambes entrouvertes. Clara s’assit derrière elle, l’attira contre sa poitrine et écarta doucement ses cuisses. Je me mis entre elles, à genoux, et embrassai l’intérieur de la cuisse de Léa. Elle tressaillit.

– Qui c’est ?

– Toi…

– Mauvais. Tu devras faire mieux pour mériter plus.

Ma langue remonta à peine jusqu’à ses lèvres, sans y entrer. Juste assez pour éveiller ses nerfs. Elle gémit, tendit le bassin. Clara la maintenait doucement contre elle, une main sur sa poitrine, l’autre sur sa gorge.

– Tu veux qu’on te prenne ?

– Oui… S’il vous plaît…

– Alors tu vas nous obéir. Tu ne bouges pas. Tu ne parles pas. Tu ressens tout.

Clara attrapa le petit plug anal, une noisette de lubrifiant à la main. Elle en enduisit lentement la surface, le réchauffant entre ses paumes. Léa, les yeux couverts, sentait mais ne voyait rien.

– Tu en as déjà porté ?

– Une fois… mais jamais si excitée.

– Tu vas adorer ça.

Clara écarta lentement ses fesses, glissa un doigt lubrifié entre, puis un deuxième. Léa se cambra, surprise, mais ne protesta pas. Je continuai à embrasser son ventre, ses hanches, ses seins.

– Je vais l’insérer, très lentement.

– Mmmh…

Le plug entra doucement, petit à petit. Léa gémit plus fort, se tendant contre Clara. Ses doigts agrippaient mes cheveux, perdue entre plaisir et surprise. Une fois en place, Clara l’embrassa dans le cou et murmura :

– Tu es prête pour la suite.

Je pris le vibromasseur, l’allumai sur une intensité légère, et le posai délicatement contre son clitoris. Léa se cambra violemment, prise entre les sensations internes et externes. Elle haletait, les lèvres entrouvertes, offerte, vulnérable, délicieuse.

– On ne va pas te faire jouir. Pas encore. Mais on va te rendre folle d’envie.

– Vous y arrivez déjà…

Clara et moi échangions des regards complices. Voir Léa ainsi, perdue dans le plaisir, les yeux bandés, plugée, vibrante, n’était que le début. Le plan à trois érotique que nous avions fantasmé prenait vie avec une intensité troublante.

Et nous n’avions encore rien commencé.

Le vibromasseur tremblait doucement contre son clitoris, et je pouvais sentir chaque pulsation résonner jusque dans ses cuisses tendues. Elle ne parlait plus. Elle ne pouvait plus. Seuls des soupirs rauques, entrecoupés de gémissements étouffés, s’échappaient de ses lèvres entrouvertes.

Clara la tenait toujours contre elle, ses mains expertes jouant avec sa poitrine, pinçant doucement ses tétons durcis. Je me décalai lentement pour m’agenouiller entre les jambes de Léa, mes lèvres effleurant à peine ses lèvres intimes. Elle se cambra aussitôt, comme si son corps savait avant elle ce qu’il réclamait.

– Tu veux plus, Léa ? chuchotai-je, ma langue traçant un cercle autour de son clitoris vibrant.

– Oui... Je vous veux... en moi… maintenant…

Clara rit doucement derrière elle, un rire grave, presque cruel.

– Alors tu vas supplier. Avec chaque mot. Chaque frisson.

Je retirai le vibromasseur un instant, juste assez pour la faire haleter de frustration, puis je le remplaçai par ma langue, lente, humide, précise. Léa se mit à trembler, ses hanches bougeant d’elles-mêmes contre ma bouche. Clara glissa une main entre ses fesses, appuyant doucement sur le plug anal pour accentuer la pression interne.

– Oh mon dieu… je… je vais…

– Non, souffla Clara à son oreille. Pas encore. Tu attends. Tu retiens. Tu obéis.

Ses doigts vinrent rejoindre les miens. Ensemble, nous la guidions, la poussions au bord. Léa sanglotait presque de plaisir, son corps entier pris dans une tension délicieuse. Elle était offerte, vulnérable, conquise.

Je sentis ses muscles se contracter autour de ma langue. Clara pressa le vibromasseur contre son clitoris, cette fois à pleine puissance.

– Maintenant, jouis pour nous.

Et Léa explosa.

Son cri fut étouffé par le baiser de Clara. Je la sentis se tendre, se crisper, puis se relâcher violemment, son orgasme éclatant en vagues successives. Tout son corps vibrait, secoué de spasmes incontrôlables. Elle s’effondra contre Clara, haletante, tremblante, ruisselante de plaisir.

Je remontai doucement le long de son ventre, embrassant sa peau encore chaude. Clara la caressait doucement, murmurant des mots tendres à son oreille.

Nous étions trois, emmêlées, nues, repues. Mais le silence qui suivit n’avait rien d’un vide.


Un peu plus tard, Léa était allongée entre nous, le bandeau glissé autour de son poignet, ses cheveux collés à sa nuque par la sueur. Elle souriait, les yeux mi-clos, encore perdue dans la brume de l’extase.

– J’ai jamais ressenti ça…

– Tu t’es abandonnée, répondit Clara en traçant un cercle lent sur son ventre du bout du doigt. Et ton corps a adoré ça.

Je caressai doucement la hanche de Léa, admirant encore les traces de nos baisers sur sa peau.

– Tu pensais que ce serait juste un dîner entre voisins ?

Elle rit, doucement, fatiguée mais comblée.

– Je crois que je vais cuisiner plus souvent, si c’est ça le dessert…

Clara et moi échangeâmes un regard complice. Tout dans cette nuit avait été parfait : le trouble, la surprise, la lenteur, l’intensité. Un fantasme devenu réalité, un plan à trois érotique comme on en rêve, mais qu’on n’ose jamais vraiment vivre.

– Tu restes dormir ? murmurai-je.

Léa tourna la tête vers moi, ses yeux brillants.

– Si vous promettez de me réveiller comme ça demain matin…

Clara glissa sa main entre ses cuisses, déjà curieuse, déjà joueuse.

– On ne promet rien. Mais on a tout un week-end devant nous.


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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr

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