
Initiation Sensuelle chez le Voisin
Share
Initiation BDSM doux : entre les murs du voisin
Je ne sais pas vraiment quand ça a commencé. Peut-être ce soir d'octobre, alors que j’étais sortie en robe fine pour récupérer mon colis laissé par erreur chez mon voisin d’en face. Le vent s'était faufilé sous mes cuisses nues, mon décolleté était un peu trop bas, et je n’avais pas pris le temps d’attraper un gilet. Mais chez lui, au chaud, il y avait... autre chose. Une tension. Une chaleur différente.
Il m’avait ouvert presque immédiatement. Grand, brun, un peu de poivre et sel sur les tempes. Le genre d’homme solide, à la voix grave, au regard direct. Il avait juste levé un sourcil en voyant ma tenue.
— Ce n’est pas encore l’été, vous savez, avait-il lâché, un coin de sa bouche relevé avec amusement.
— Je n’ai pas pensé au froid, bredouillai-je en croisant les bras contre moi.
Il m’avait fait entrer. Le colis trônait sur son comptoir, mais ses gestes étaient lents, presque calculés. Comme s’il pesait chaque mouvement, chaque mot. Et moi... j'étais hypnotisée.
Je ne savais rien ou presque de Julien, sinon qu’il vivait seul, un étage au-dessus, et qu’il m’avait aidée à monter un meuble un mois plus tôt. Ce qui m’avait frappée, c’était ses mains. Grandes. Précises. Capables. Depuis, j’évitais presque de le croiser dans l’ascenseur, car mon esprit s’obstinait à imaginer ce qu’elles pourraient faire. Sur moi.
Ce soir-là, elles avaient effleuré les miennes alors qu’il me tendait le paquet. Rien d’exceptionnel, et pourtant… mon bas-ventre s’était contracté sans prévenir.
— Vous voulez boire quelque chose ? demanda-t-il ensuite sans détour, comme s’il savait déjà que je ne dirais pas non.
Je ne sais pas ce qui, dans son ton, m’a faite rester. Peut-être cette nuance de commande dans sa voix, à peine perceptible, mais suffisante pour frissonner. Ou ce besoin curieux, nerveux, d'en savoir plus.
— Avec plaisir, répondis-je.
Le vin était rouge, épicé. Son appartement sentait le bois ciré, le cuir, et quelque chose d'autre… une odeur plus animale, plus intime. Je repérais des détails étranges : un miroir aux contours métalliques, une large chaise basse avec une attache au sol, des rangements clos, verrouillés. Mon esprit vagabonda.
— Tu regardes partout, dit-il simplement.
Il avait soudain tutoyé. J'aurais dû tiquer. Mais non. Mes cuisses serrées, ma respiration un peu plus courte, cette sensation chaude au creux… tout en moi répondait : continue.
— C’est... intriguant chez toi, avouai-je.
Il s’approcha, lentement, jusqu’à cueillir mon menton entre ses doigts. Ce contact, simple, pourtant sûr, me déstabilisa.
— Tu as déjà entendu parler de BDSM ? murmura-t-il, son regard ancré dans le mien.
J’ai rougi. Une montée de chaleur instantanée me traversa le ventre. C’était inattendu. Brut. Et terriblement excitant.
— Oui… vaguement.
— Vaguement n’est pas suffisant, répondit-il. Tu es curieuse ?
Je me mordis la lèvre, incapable de soutenir son regard plus de quelques secondes. Il m’appelait. Il faisait remonter toutes les pensées que je croyais honteuses, les envies floues qu’on n’avoue pas à voix haute. Être attachée, guidée, prise… sentir ma volonté se fondre dans celle d’un autre…
— Peut-être, soufflai-je, presque dans un soupir.
Il sourit, en coin, une lueur dans les yeux. Il savait.
— Alors commence par une règle. Ici, tu me dis la vérité. Même si elle te trouble. Même si elle t’excite.
Je sentais ma culotte coller à moi, déjà. Bordel. Était-ce ça, l’initiation BDSM doux ? Ce trouble qui envahit tout, une pulsion qui dépasse les mots ?
— J’ai envie d’en savoir plus, dis-je enfin. J’ai… parfois fantasmé sur l’idée d’être guidée. De ne pas décider. Mais ça me fait peur, un peu.
Il hocha la tête, doucement.
— La peur n’est pas incompatible avec le désir. Elle peut même l’amplifier. Mais ici, rien ne se fera sans ton consentement. Je ne prendrai rien que tu ne m’offres volontairement. C’est clair ?
Je respirais plus fort. Je sentais déjà le renversement. Il n’avait pas besoin de me toucher davantage. Sa parole, son timbre, son calme autoritaire... tout en lui m’enveloppait d’une soumission douce, soyeuse, presque irrésistible.
— C’est clair, soufflai-je.
Il eut un silence, puis ajouta.
— Je te propose une chose. Un moment ensemble. Ce soir, ou un autre. Une initiation douce. Pas de douleurs, pas de marques, aucun jeu que tu ne veux pas expérimenter. Juste... un début. Une porte ouverte.
Il me laissait la liberté. Et en même temps, je sentais déjà mon choix glisser vers lui. Irrémédiablement.
— Ce soir. Je ne veux pas attendre.
Je fus presque surprise de prononcer ces mots aussi vite. Mais je les pensais. Entièrement. Il m’avait donné la permission de désirer ce que je n’avais jamais osé réclamer. D’explorer les sensations, l’abandon, le frisson, sous le regard d’un homme qui semble tout connaître des jeux de la soumission consciente.
Il s’approcha à nouveau, m'effleurant à peine. Sa main glissa sur mon bras nu, paume chaude et ferme.
— Très bien. Alors on commence doucement. Tu vas aller dans la pièce du fond. Tu te déshabilles. Tu gardes juste ta culotte. Lingerie noire, si tu en as. Et tu reviens t’agenouiller ici, devant le miroir.
Un frisson me parcourut l’échine. Ce n’était pas une question. Ce n’était pas une supplication. C’était une ordre. Et je l’aimais déjà.
Je me levai, presque en transe, mon cœur cognant plus fort à mesure que je m’éloignais. Derrière moi, il attendait. Calme. Ferme. Prêt à m’initier, sans violence, sans brutalité. Juste avec la puissance tranquille de ceux qui savent exactement ce qu’ils font.
Ce soir, j’allais découvrir mon corps autrement. Dans la douceur. La retenue. Et l’abandon consenti.
```html
Initiation BDSM doux : entre les murs du voisin – Partie 2
Je refermai la porte derrière moi, le cœur battant à tout rompre. La pièce était sobre, presque vide. Un fauteuil bas, un miroir encadré de métal, et une lumière tamisée qui caressait les murs. Je retirai lentement ma robe, la laissant glisser le long de mes hanches. Le tissu tomba dans un froissement discret, révélant ma culotte noire, fine et satinée. Par chance, c'était bien celle-là que je portais ce soir.
Je me regardai dans le miroir un instant. Mes seins se soulevaient à chaque inspiration plus rapide. Mes jambes tremblaient légèrement. Je n’avais jamais fait ça. Me dénuder… pour quelqu’un. Pour un homme qui ne m’avait même pas touchée encore, mais que je sentais déjà dans chaque fibre de mon corps.
Je revins dans le salon, nue sous les lumières douces, et m’agenouillai devant le grand miroir, comme il me l’avait demandé. Mes cuisses légèrement écartées, le dos droit, les bras posés sur mes cuisses, paumes ouvertes. Je n’osais pas lever les yeux.
Il arriva sans bruit derrière moi. Je sentis sa chaleur avant même qu’il ne me touche.
— Parfait, murmura-t-il.
Un frisson me traversa. Il s’agenouilla derrière moi, son torse frôlant mon dos nu, mais sans me coller. Ses mains ne me touchèrent pas encore. Il observait.
— Tu n’as pas idée de ce que tu es en train de m’offrir, souffla-t-il contre ma nuque. Cette confiance, cette ouverture. C’est... précieux.
Des larmes me montèrent presque aux yeux. Ce n’était pas ce que j’avais imaginé. Ce n’était pas brutal, sale, ou humiliant. Non. C’était sacré. Lent. Chargé de sens.
Ses doigts effleurèrent enfin ma peau, frôlant mon épaule, puis descendant lentement le long de mon bras.
— Je vais t’attacher les poignets. Doucement. Juste pour que tu ressentes cette sensation. Si à un seul moment tu veux que j’arrête, tu dis “rouge”. C’est notre mot de sécurité. Tu comprends ?
— Oui…
— Dis-le. Je veux t’entendre.
— Oui, Julien. Je comprends. Rouge si je veux que tu arrêtes.
Il sourit, je le sentis plus que je ne le vis. Il se leva, alla chercher quelque chose dans un tiroir discret. Des rubans de satin noir. Pas des menottes froides. Pas de métal. Juste du tissu doux, qui glissa sur ma peau avec une sensualité troublante.
Il attacha mes poignets ensemble, devant moi, avec une maîtrise déconcertante. Le nœud était ferme, mais confortable. Je pouvais bouger, mais pas fuir. Et je n’en avais aucune envie.
— Regarde-toi dans le miroir, souffla-t-il.
Je levai les yeux. La vision me coupa le souffle. Mes bras liés, mes seins fermes d’excitation, mes joues rougies… et lui, debout derrière moi, vêtu d’un pantalon noir, une chemise entrouverte, le regard sombre, concentré sur moi.
Il s’agenouilla à nouveau, ses mains glissant lentement sur mes hanches.
— Tu es magnifique dans cet abandon.
Ses lèvres effleurèrent mon cou, descendant lentement vers mon épaule. Je basculai légèrement la tête pour lui offrir plus de peau. Ses mains s’attardèrent sur mes cuisses, les caressant, les écartant plus encore.
— Tu es déjà trempée, murmura-t-il. Et je ne t’ai même pas encore touchée là.
Un gémissement m’échappa. Je ne pouvais plus cacher mon désir. Il glissa un doigt contre la dentelle de ma culotte, la pressant juste au bon endroit. Ma tête bascula en arrière.
— Est-ce que je peux enlever ça ?
— Oui…
Il tira lentement la culotte le long de mes cuisses, jusqu’à mes genoux. Je me sentais offerte. Exposée. Et pourtant, jamais je ne m’étais sentie autant en sécurité.
Sa main se glissa entre mes jambes, ses doigts effleurant mes lèvres intimes avec une tendresse insoutenable. Je haletai, mes hanches cherchant son contact.
— Patience, chuchota-t-il. Je veux que tu ressentes tout.
Il effleura mon clitoris avec une lenteur exquise, puis s’en éloigna. Recommença. Chaque contact était un feu. Une attente. Une torture délicieuse.
— Tu aimes ça, n’est-ce pas ? Être guidée. Te laisser faire.
— Oui…
— Dis-le-moi clairement.
— J’aime ça. J’aime que tu décides. Que tu me touches comme tu veux.
Son souffle s’accéléra légèrement. Il était excité. Lui aussi. Et pourtant, il restait dans cette maîtrise parfaite. Il retira sa main, me laissant haletante, frustrée.
— Tu vas rester là, à genoux. Je reviens dans une minute.
Je hochai la tête, incapable de parler. Mes poignets liés, mes cuisses humides, le cœur battant. J’entendis des tiroirs s’ouvrir, des objets qu’on déplace. Puis il revint, un petit objet en main. Un plug anal, en silicone noir, décoré d’un cristal à la base.
— On ne l’utilisera pas tout de suite. Mais je veux que tu le regardes. T’habitues à l’idée. Tu as déjà essayé ?
— Non…
— Est-ce que tu veux que je t’apprenne ?
— Oui…
Il sourit, content. Il posa le plug sur le sol, devant moi.
— Ce soir, on ne va pas encore l’introduire. Mais la prochaine fois, si tu es prête… il t’appartiendra.
Il reprit sa place derrière moi, ses mains reprenant leur danse sur mon corps. Il me fit pencher légèrement vers l’avant, m’ouvrant plus, son souffle chaud caressant ma nuque.
Ses doigts revinrent entre mes lèvres, cette fois plus profonds, plus affirmés. Il glissa un doigt en moi, doucement, puis deux. Mon corps s’arqua, ma bouche s’ouvrit en un gémissement plus fort.
— Tu es parfaite comme ça. Offerte. Humide. Vibrante.
Je sentis ma jouissance monter. Inévitable. Irrésistible.
— Est-ce que je peux te faire jouir, petite ?
Ce mot, “petite”… glissa directement dans mon ventre. Il m’électrisa.
— Oui… oui, s’il te plaît…
Il accéléra légèrement le mouvement de ses doigts, son pouce trouvant mon clitoris, le pressant avec justesse. Je n’étais plus qu’un corps brûlant, suspendu à ses gestes, à sa voix grave qui me guidait avec douceur vers l’abandon.
— Laisse-toi aller. Tu as le droit. Tu es en sécurité ici.
Et je jouis. Fort. Profondément. En tremblant contre ses mains, en criant son prénom, le front appuyé contre le sol, les poignets liés, offerte et comblée.
Il me prit dans ses bras sans un mot, me redressa, me porta jusqu’au fauteuil, détacha lentement mes poignets, embrassa mes poignets marqués d’un léger rose.
— Voilà ce qu’est une initiation BDSM douce. Rien que le début, ma belle.
Je m’endormis contre lui, le corps détendu, l’esprit en feu, avide de la suite.
``` ```htmlSes doigts en moi bougeaient avec une lenteur calculée, presque cruelle. Il connaissait chaque repli, chaque frémissement de mon corps comme s’il l’explorait depuis toujours. Mon souffle était court, erratique, mes hanches cherchaient à suivre son rythme, à le devancer, mais il me tenait. Juste ce qu’il fallait.
— Tu n’as pas besoin d’aller plus vite, murmura-t-il. Tu as juste besoin de sentir. Chaque vibration. Chaque millimètre.
Je fermai les yeux, mais sa voix m’y ramena aussitôt.
— Regarde-toi dans le miroir. Regarde ce que tu es devenue entre mes mains.
Je levai le regard. Mes cuisses écartées, mon sexe luisant, mes poignets encore liés d’un ruban noir, et lui, agenouillé derrière moi, concentré, impérieux. Sa main libre me tenait fermement par la taille, m’empêchant de fuir cette vérité : j’étais offerte. Et je l’adorais.
Il retira lentement ses doigts de moi. J’émis un gémissement plaintif, presque une supplique.
— Chut. Je ne t’abandonne pas. Je change de tempo.
Je vis alors le petit vibromasseur noir qu’il avait sorti. Simple, élégant, discret… mais je savais déjà qu’il allait devenir une extension de lui. De nous.
— Tu connais ce jouet ?
Je secouai la tête, incapable de parler.
— C’est un vibromasseur clitoridien. Silencieux. Précis. Et terriblement efficace. Tu veux ?
— Oui…
Il l’alluma. Une vibration douce emplit la pièce, presque imperceptible. Il le glissa entre mes lèvres, juste contre mon clitoris tendu. Je sursautai, un gémissement aigu franchissant mes lèvres.
— Voilà… reste là. Ne bouge pas. Laisse-le faire.
Je tremblais. Chaque battement de mon cœur semblait résonner entre mes jambes. Il augmenta légèrement l’intensité. Mes cuisses se crispèrent, mes bras tirèrent sur le lien de satin.
— Dis-moi ce que tu ressens.
— C’est… trop bon. Trop…
— Respire. Relâche-toi. Tu peux jouir. Encore. Et encore.
Il me tenait, me guidait, m’amenait au bord du gouffre sans jamais me lâcher. Mon ventre se contracta violemment. Je sentis la vague monter, me submerger, briser toutes mes résistances.
— Julien… je…
— Laisse-toi aller. Tu es à moi ce soir.
Et j’explosai. Mon corps entier fut pris de spasmes, mes cris étouffés par l’intensité du plaisir. Il ne me lâcha pas. Il me soutint. Il me laissa m’effondrer contre lui, les muscles tremblants, la gorge sèche, le cœur au bord des lèvres.
Il éteignit le vibro, le posa doucement, puis me prit dans ses bras, m’asseyant sur ses cuisses, contre son torse chaud.
Je restai là, blottie, nue, les jambes encore engourdies de plaisir, la tête posée contre son cou.
— Tu as été parfaite, souffla-t-il en caressant lentement mon dos. Tu as tout compris.
Je souris, encore haletante.
— J’ai envie de recommencer…
— Et tu recommenceras. Si tu le veux. À ton rythme. Mais sache une chose…
Il releva mon menton pour plonger ses yeux dans les miens.
— Ce soir, tu as franchi une porte. Et de l’autre côté, il y a encore tant à découvrir.
Je hochai doucement la tête. Oui. J’avais franchi un seuil. Celui de mon désir le plus enfoui. Celui d’une initiation BDSM doux qui m’avait fait vibrer jusqu’à l’âme.
Il détacha mes poignets, embrassa la peau légèrement marquée, puis les prit dans ses mains pour les poser sur son torse.
— Tu veux dormir ici ?
— Je veux plus que dormir, murmurai-je. Je veux apprendre. Avec toi.
Il sourit, satisfait. Et dans ce sourire, je lus la promesse de nuits futures. De caresses lentes. De liens soyeux. De mots murmurés dans l’ombre.
Et peut-être… de moi, entièrement offerte, face contre le miroir, à genoux, le plug entre mes fesses, le cœur grand ouvert.
👉 Collection Initiation BDSM – Oh My Gode