Les Secrets Érotiques d'une Nuit dans un Hôtel Luxueux

Première fois avec un plug anal : quand le désir dépasse la peur

La pluie battait contre les vitres, rythmant les battements de son cœur. Élise referma la porte de l’appartement derrière elle, trempée, haletante. À l’intérieur, une chaleur douce l’enveloppa immédiatement, mêlée à une odeur subtile de bois brûlé et de cuir. Elle posa son sac, retira ses escarpins d’un geste lent. Il était là, debout, adossé au mur du salon, les bras croisés.

– Tu es en retard, souffla-t-il.

Sa voix grave résonna en elle comme un ordre silencieux. Élise baissa les yeux, un frisson courant le long de sa nuque. Elle le sentait déjà : ce soir, elle n’aurait pas le contrôle. Et ce n’était pas pour lui déplaire.

– J’ai pris la pluie… répondit-elle dans un souffle.

Il s’approcha lentement, sans un mot, et attrapa la boucle de sa ceinture. Un geste simple, mais infiniment chargé de promesses. Elle le laissa faire. Il la déshabilla en silence, dévoilant peu à peu son corps frissonnant, sa peau nue marquée par le froid et l’anticipation.

Lorsqu’il passa derrière elle, elle ferma les yeux. Il écarta doucement ses cheveux de son cou et y déposa un baiser. Puis un autre, plus bas. Ses mains, fermes, s’étaient posées sur ses hanches.

– Tu m’as dit que tu voulais essayer quelque chose de nouveau.

Elle hocha la tête, incapable de parler. Son souffle se coupait sous l’effet de cette tension délicieuse qui montait en elle. Il revint devant elle, ouvrit un petit tiroir du meuble de salon, et en sortit un objet qu’elle n’avait encore jamais vu en vrai : un plug anal, noir, en silicone, finement courbé. Il le tenait dans la paume de sa main, comme une offrande.

– Tu as confiance ? demanda-t-il, les yeux rivés aux siens.

– Oui, murmura-t-elle.

Elle n’avait jamais exploré cette zone de son corps. Mais avec lui, tout semblait possible. L’interdit devenait jeu. L’appréhension se mêlait à l’excitation la plus pure. Une chaleur profonde naissait entre ses cuisses, brûlante, impatiente.

Il la guida jusqu’à la chambre, l’y fit asseoir sur le bord du lit. Le velours rouge de la couette contrastait avec la pâleur de sa peau. Elle était nue, vulnérable, offerte. Il s’agenouilla devant elle, déposa un baiser lent sur sa cuisse, puis un autre plus haut. Son souffle caressait déjà son sexe, mais il ne la toucha pas encore. Pas tout de suite.

– Ce soir, c’est moi qui décide. Et toi, tu t’abandonnes.

Elle acquiesça, le regard brillant, le ventre noué d’envie. Il saisit un petit flacon de lubrifiant sur la table de chevet, le fit glisser entre ses doigts avant d’en enduire lentement le plug. Chaque geste était une chorégraphie sensuelle, parfaitement maîtrisée.

– Allonge-toi sur le ventre.

Elle obéit, le cœur battant à tout rompre. Ses fesses légèrement relevées, elle sentit le matelas s’affaisser sous son poids. Il s’installa derrière elle, caressa doucement la courbe de ses reins, puis plus bas, effleurant l’intimité de son anus avec une tendresse presque irréelle.

– Respire. Laisse-toi aller.

Ses doigts, d’abord, la préparèrent. Doucement, sans jamais forcer. Elle gémit, surprise par le plaisir inattendu de cette caresse interdite. Puis, très lentement, le plug entra en elle, centimètre par centimètre, avec une précision délicieuse. Une chaleur étrangère l’envahit, intense, troublante, presque trop… mais terriblement bonne.

– Tu es magnifique, souffla-t-il, penché sur elle.

Elle répondit par un soupir tremblant. Elle n’avait jamais rien ressenti d’aussi intense. Le moindre mouvement la faisait frémir. Elle se sentait pleine, prise, vulnérable… et délicieusement excitée.

Ce n’était que le début.

Le plug était toujours en elle. Elle le sentait, lourd, présent, comme une promesse entre ses fesses. Chaque battement de son cœur semblait faire pulser sa chair autour de ce petit intrus, et pourtant… elle ne voulait pas qu’il parte.

Il l’observait, silencieux, tandis qu’elle restait allongée, nue, offerte. Ses doigts glissèrent lentement sur la courbe de ses fesses, la caressant avec une lenteur calculée.

– Tu le sens ?

– Oui…

Sa voix était rauque, tremblante. Il sourit, satisfait. Elle l’entendit se lever, le léger crissement du cuir de sa ceinture entre ses doigts. Puis un claquement sec dans l’air. Juste pour la faire frémir.

– Tu veux que je continue ?

Elle hocha la tête. Mais il attendait autre chose.

– Dis-le.

– Oui… Continue. S’il te plaît.

Il se pencha, mordilla doucement le creux de sa hanche.

– Je veux t’entendre me supplier. Comme une bonne fille qui veut qu’on la remplisse.

Elle rougit, mais son bassin ondula malgré elle. Ce qu’elle ressentait était plus fort que la pudeur. Plus fort que la peur.

– S’il te plaît… Je veux que tu me prennes… Je veux tout sentir…

Un gémissement lui échappa quand il appuya doucement sur la base du plug, l’enfonçant un peu plus. Sa main libre caressait ses cuisses, puis descendait lentement vers son sexe, encore intact, encore affamé.

– Tu es trempée…

Il la retourna avec douceur, la fit s’agenouiller au bord du lit, les bras tendus vers la tête de lit. Là, il sortit une paire de menottes en cuir, d’un rouge profond. Il les attacha à ses poignets, les fixant aux barreaux dans un claquement sourd.

Le froid du métal contre sa peau la fit frissonner. Elle était à sa merci. Et elle adorait ça.

– Bouge les hanches.

Elle obéit. Le plug remua légèrement en elle, provoquant une onde de plaisir si vive qu’elle haleta.

– Très bien… Tu es prête pour la suite.

Il attrapa un petit vibromasseur, sobre, élégant, qu’il alluma dans un vrombissement feutré. Il le fit glisser lentement le long de son dos, puis entre ses cuisses, sans jamais toucher son clitoris. Il le posait contre ses lèvres, contre cette humidité brûlante qu’elle ne contrôlait plus.

– Tu veux jouir, Élise ?

– Oui…

– Alors tu n’as pas le droit de bouger. Pas tant que je ne le décide.

Il l’effleura, la taquina, la fit gémir sans jamais lui offrir la libération. Sa bouche vint se poser sur sa nuque, puis sur sa colonne, traçant un chemin de feu jusqu’à ses reins. Le plug vibrait légèrement avec chacun de ses mouvements, et cette sensation nouvelle décuplait tout.

– C’est trop…

– Non, ma belle. C’est juste ce que tu voulais. Tu ne le savais pas encore, mais ton corps, lui, le savait déjà.

Il laissa le vibromasseur reposer juste contre son clitoris, et elle se cambra malgré elle. Une secousse la traversa. Il l’enleva aussitôt.

– Non. Pas encore.

Elle gémit, frustrée, les poignets tendus, le corps en feu.

– Tu vas me supplier comme il faut. Je veux entendre ce que tu veux. Ce que tu ressens avec ce plug en toi. Ce que tu veux que je te fasse.

Elle ferma les yeux, la voix tremblante.

– Je sens tout. C’est chaud, c’est… plein. Chaque mouvement me fait vibrer. Je veux que tu me prennes, que tu me fasses jouir avec ce plug… Je veux que tu me fasses crier.

Il grogna doucement, satisfait. Il retira le vibromasseur, le remplaça par ses doigts, précis, exigeants. Deux doigts glissèrent en elle, humides, avides. Le contraste entre la pénétration vaginale et la présence du plug anal la rendit folle.

– Tu es si serrée…

Il la caressa ainsi, lentement, puis plus vite. Il savait lire son corps comme un livre ouvert. Il connaissait ses soupirs, ses tremblements, ses contractions.

– Tu vas venir quand je te l’ordonne. Pas avant.

Il retira ses doigts, laissa un instant de vide, puis la pénétra d’un seul coup, lentement, profondément. Elle cria, surprise, mais déjà envahie par une vague de plaisir brut. Le plug amplifiait tout. Chaque coup de reins faisait vibrer son corps tout entier.

– Oh mon dieu…

Il accéléra, ses mains agrippant ses hanches, la maintenant contre lui. Le son de leur peau qui se heurtait emplissait la chambre, mêlé à ses gémissements, ses suppliques, sa respiration saccadée.

– Tu veux jouir ?

– Oui ! Oui, je t’en supplie !

– Alors viens. Lâche tout.

Elle éclata sous lui, le corps pris de spasmes, le cri arraché de sa gorge. L’orgasme la traversa comme une vague brûlante, longue, intense, incontrôlable. Le plug amplifiait chaque secousse, chaque contraction, comme si son corps entier s’embrasait.

Il jouit juste après, dans un grognement rauque, ses doigts ancrés dans sa chair, son sexe profondément enfoui en elle. Ils restèrent ainsi quelques instants, liés, haletants, tremblants.

Puis il se retira lentement, embrassa le creux de son dos, retira délicatement le plug, lentement, comme une caresse finale. Elle frissonna, vidée, comblée, bouleversée.

Il détacha ses poignets, la prit dans ses bras, la couvrit de baisers tendres et silencieux.

– Tu étais parfaite.

Elle n’avait plus de mots. Mais son regard disait tout : oui. Elle avait dépassé sa peur. Et trouvé, dans cette exploration interdite, une intensité qu’elle n’aurait jamais imaginée.

Elle savait déjà qu’elle recommencerait.

Il la tenait fermement, ses mains ancrées dans sa chair, alors que son bassin ondulait contre le sien dans une cadence maîtrisée, dévastatrice. Chaque coup de reins faisait vibrer le plug anal toujours niché en elle, envoyant des vagues de plaisir jusqu’à ses orteils.

– Regarde-moi, Élise.

Elle tourna la tête, les joues rouges, les yeux embués de désir. Il la fixait, intense, possessif, et cette tension entre eux atteignait son point de rupture. Elle était suspendue au bord du gouffre, chaque mouvement la rapprochant un peu plus de l’explosion.

Il glissa une main entre ses cuisses, trouva son clitoris gonflé, brûlant, et le caressa en cercle, lentement. Elle gémit, courbée sous lui, tendue comme une corde prête à céder.

– Tu vas venir. Mais je veux que tu cries mon nom quand tu le feras.

– Je… je peux pas… c’est trop…

– Si. Tu peux. Tu veux. Et tu vas.

Il accéléra, ses doigts précis, impitoyables, le vibromasseur toujours abandonné sur le lit, inutile face à la rudesse délicieuse de sa main. Le plug bougeait à chaque va-et-vient, amplifiant chaque sensation, la rendant folle.

Son corps tout entier se contracta brusquement, une vague de chaleur partant de son bas-ventre pour irradier jusqu’à son cou. Elle cria, haleta, se cambra sous lui, secouée par un orgasme si fort qu’elle en eut les larmes aux yeux.

– Oh… mon Dieu… oui… ah…

– Dis-le. Dis que tu es à moi.

– Je suis à toi… À toi… prends-moi encore…

Il jouit dans un râle rauque, enfoncé profondément en elle, son plaisir se mêlant au sien dans une symphonie de peau, de sueur, et de gémissements étouffés.

Ils restèrent ainsi, liés, leurs souffles saccadés se mêlant dans la chambre tiède. Le silence, enfin, s’installa. Chargé. Électrique.

Il se retira lentement, en prenant soin de ne pas briser le moment. Le plug suivit, glissant hors d’elle avec une lenteur infinie, laissant derrière lui un vide presque douloureux… et une délicieuse sensation d’abandon.

Il détacha doucement ses poignets, embrassa ses poignets marqués, puis l’enveloppa dans la couverture de velours rouge. Elle frissonna, mais ce n’était plus de froid. C’était de plénitude.

Ils s’allongèrent côte à côte, nus, encore haletants. Sa main caressait ses cheveux humides, glissant lentement le long de sa nuque.

– Alors, ta première fois avec un plug anal…?

Elle rit doucement, la voix encore rauque.

– Mieux que tout ce que j’aurais pu imaginer.

– Tu as été parfaite.

Elle tourna la tête vers lui, les yeux brillants de gratitude et d’un feu nouveau.

– Et si… demain, on essayait avec un double plug ?

Il sourit, carnassier.

– Demain, ma jolie… tu ne tiendras plus debout.

Elle rit encore, puis ferma les yeux. Entre ses jambes, la chaleur restait vive. Et dans sa poitrine, un cœur battait trop vite pour une simple nuit. Ce n’était que le début. Elle le savait.

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