Sophie, inattendue et envoûtante

Sophie, inattendue et envoûtante

Sophie, jeune fille modèle… et délicieusement perverse

Quand on croisait Sophie dans les couloirs du conservatoire, difficile d'imaginer à quel point cette jeune fille modèle cachait un feu sous la glace. Vingt-et-un ans, silhouette gracile de sportive, un port de tête altier, toujours tirée à quatre épingles dans ses tenues sobres de pianiste classique. Mais derrière ses lunettes fines et ses jupes sages, il y avait une perversion savamment dissimulée… que peu d'hommes avaient su déceler.

Ce soir-là, la pluie ruisselait sur les vitres de la salle d'entraînement. Sophie venait de finir sa répétition, seule, comme souvent. Le silence retombait dans la pièce, à peine troublé par le cliquetis des touches du piano à queue qu'elle referma doucement. Elle ôta ses talons élégants, frotta ses pieds nus sur le parquet lisse, et soupira.

Un murmure étouffé d'envie. Comme souvent depuis qu'il l'avait approchée, elle ne pensait plus qu'à lui.

Julien. Son coach sportif personnel. Douze ans de plus qu'elle, une voix grave, autoritaire. Un regard qui ne parlait pas, mais ordonnait. Il n'avait fait aucun geste déplacé… Et pourtant. Tout dans sa manière d'être laissait présager qu'il pourrait la faire plier. La dompter. L'explorer dans ses recoins les plus secrets avec une maîtrise qui la faisait frissonner d'anticipation.

Elle porta deux doigts à sa bouche et les mordilla. Elle ferma les yeux. Revit le moment où, plus tôt dans l’après-midi, il avait refermé sa main sur sa nuque après une série d'étirements.

– Tiens-toi droite, Sophie.

Sa voix rauque s'était faite presque douce ce jour-là. Mais la pression sur sa peau avait été ferme. Virile. Dominatrice.

Elle en frissonnait encore.

Depuis quelques jours, une telle tension s'était installée entre eux qu’elle se sentait en permanence sur le fil. Et elle s’y perdait avec un plaisir trouble. La jeune fille sage avait envie qu’on la salisse. À genoux. Menottée. Plug anal en place. Corps vibrant sous un vibromasseur télécommandé. Et tout ça… sous son regard à lui.

Mais Julien attendait. Il testait sa patience, comme pour voir jusqu’où la jeune musicienne irait pour se soumettre enfin.

Ce soir-là, pourtant, quelque chose avait changé.

Alors qu’elle refermait le couvercle du piano, elle sentit une présence derrière elle. Pas bruyante. Solide. Évidente.

– Tu joues comme tu respires, Sophie. Avec intensité. Avec une tension presque… sexuelle.

Sa voix la fit tressaillir. Il était là. Tout près, juste derrière elle. Elle n'avait pas besoin de se retourner pour le reconnaître.

– Peut-être bien que je respire le sexe, répondit-elle d’une voix plus tremblante qu’elle ne l’aurait voulu.

Julien ne répondit pas tout de suite. Il faisait glisser un doigt le long du bois noir du piano fermé. Lentement. Délibérément.

– Tu t'entraînes toujours seule ?

– La plupart du temps. J’aime être libre. De jouer… comme j’en ai envie.

Elle osait. Elle testait les limites. Comme il le faisait avec elle.

– Et est-ce que tu joues aussi… seule ? le soir ? demanda-t-il.

Elle le sentit se rapprocher. Son souffle effleura sa nuque et déclencha un frisson incontrôlable. Si près. Si brûlant.

– Peut-être… murmura-t-elle.

Elle n’avait pas bougé. Mais sous sa jupe courte, elle sentait déjà sa culotte se mouiller lentement. L’image d’un paddle claquant contre ses fesses la traversa. Vision fugace mais grisante qui pulsa entre ses cuisses.

Elle avait placé, cette nuit-là, un petit plug anal dans son sac. Juste au cas où. Un geste innocent en apparence. Mais elle le voulait. Elle voulait qu’il le découvre et comprenne tout ce qu’elle était prête à offrir.

– Tu es là pour me guider, non ? souffla-t-elle enfin en se retournant vers lui.

Elle leva les yeux vers lui. Il la dominait d’une bonne tête. Sa chemise noire légèrement entrouverte laissait deviner un torse ferme. Il la regardait, sans un mot. Mais quelque chose en lui avait changé. Il ne se retenait plus. Il la scannait. Déshabillait son âme, autant que son corps.

– Tu veux que je te guide, vraiment ? demanda-t-il d’un ton bas.

Elle hocha la tête. Lentement. Le frisson qui la parcourut n’était plus de l’anticipation, c’était déjà du désir.

– Très bien. On va commencer par poser quelques règles. Si tu veux aller jusqu’au bout avec moi… tu obéis. Sans poser de questions. Tu acceptes d’être vue. Pliée. Attachée. Et peut-être même punie.

Elle mordilla ses lèvres, à la limite du gémissement. Ses mains tremblaient légèrement. Mais elle éclata d’un petit rire plein de feu :

– C’est précisément ce que j’attendais de toi.

Il s’approcha encore. Silencieux. Et soudain, ses doigts effleurèrent son menton pour lui faire relever le visage vers lui.

– Alors laisse tomber ton masque de jeune fille modèle, Sophie. Ce soir, je vais découvrir le vrai toi. Et je vais t’accorder… exactement ce dont tu as besoin.

Quand il sortit les menottes en cuir noir de sa poche et les laissa tomber sur le piano dans un cliquetis sec, elle sut que la soirée allait basculer. Et qu’elle ne serait plus jamais la même après ça.

Leçon n°1 : Obéir

– Enlève ta culotte, Sophie.

La voix de Julien claqua comme un ordre. Pas agressive, non. Mais ferme. Irréfutable. Elle le regarda un instant, le cœur battant dans sa poitrine, avant de glisser lentement ses mains sous sa jupe droite.

Elle portait une lingerie fine, sobre et noire, juste ce qu’il fallait pour trahir ses intentions cachées. Le tissu glissa le long de ses cuisses musclées, jusqu’à ses chevilles. Elle l’attrapa du bout des doigts, puis le posa sur le piano, sans le quitter des yeux.

– Bien.

Julien fit un pas vers elle, saisit la culotte, la frotta entre ses doigts, puis la porta à son nez. Il inspira, lentement, profondément. Sophie sentit son sexe pulser à cette simple vision.

– Tu es déjà mouillée comme une chienne docile…

Elle baissa les yeux. Rouge. Honteuse. Et délicieusement excitée.

– Assieds-toi sur le banc. Les mains à plat. Le dos bien droit. Ne bouge pas.

Elle obéit. Corps tendu. Respiration courte. Elle sentait l’air frais caresser ses lèvres intimes, désormais offertes sous sa jupe relevée. Son sexe palpitait, et chaque seconde d’attente accentuait sa tension.

Julien sortit un petit sac de sport posé contre le mur. Il en sortit un objet noir, effilé… un plug anal. Silicone doux, base large, taille moyenne. Puis un flacon de lubrifiant intime. Il les posa sur le piano, bien en vue.

– Tu sais ce que c’est ? demanda-t-il calmement.

– Oui…

– Tu en as déjà porté ?

– Une fois. Pour m’entraîner. J’aimais l’idée d’être… prise entièrement.

Julien sourit. Un sourire sombre, satisfait.

– Parfait. Tu vas le remettre. Maintenant.

Sophie se leva lentement. Elle souleva sa jupe, dévoilant ses fesses fermes et nues. Elle prit le plug, le lubrifiant. Julien l’observait, assis sur le siège, jambes écartées, bras croisés. Il ne disait rien. Il la testait.

Elle ouvrit le flacon, fit couler une goutte sur l’objet, puis, après un frisson, introduisit lentement l’intrus dans son intimité. Elle gémit, bas. Le plug glissa avec une légère résistance, puis se logea en elle. Présence chaude, étirante, délicieusement soumise.

– Garde-le. Jusque je te dise de l’enlever. C’est clair ?

– Oui, monsieur.

Le mot lui échappa. Elle ne l’avait jamais prononcé. Mais il s’imposait. Il était celui qui décidait. Et elle… n’était que désir.

Julien se leva. Il s’approcha dans son dos. Elle sentit sa main se poser sur sa nuque, la pressant légèrement vers le bas. Elle se pencha. Offerte. À sa merci.

– Tu veux être ma petite soumise, Sophie ?

– Oui…

– Alors tu vas apprendre à obéir. À rester en place. À recevoir.

Il sortit les menottes. Les attacha autour de ses poignets, dans son dos. Le cuir mordait légèrement sa peau, mais elle adorait cette sensation. L’impuissance choisie. L’abandon contrôlé.

Julien écarta doucement ses cuisses du genou. Puis fit courir un doigt le long de sa fente humide.

– Tu es trempée. Ton clito palpite. Tu veux que je te touche ?

– Oui… s’il vous plaît…

Il ne répondit pas. Il attrapa un petit vibromasseur dans son sac. Un œuf connecté, noir et discret. Il le fit glisser dans sa main, puis l’enfonça lentement entre ses lèvres intimes, jusqu’à ce qu’il soit calé contre son point le plus sensible.

– Tu vas rester là, assise, et tu vas jouer une pièce. Les yeux fermés. Si tu joues bien, je t’autoriserai à jouir.

– Et si je me trompe ?

– Tu seras punie.

Elle s’assit, tremblante, le plug en elle, le vibromasseur en place. Les menottes tirant légèrement ses bras vers l’arrière. Elle posa ses doigts sur les touches, ferma les yeux.

Et la musique commença.

Les premières notes furent hésitantes, mais très vite, son corps se laissa porter par le rythme. Elle jouait une pièce de Debussy, lente et sensuelle. À chaque changement d’accord, Julien augmentait légèrement la vibration. Elle peinait à se concentrer. Chaque note semblait faire vibrer son sexe, chaque arpège déclenchait une onde de plaisir vers son ventre.

Les gémissements lui échappaient malgré elle. Mais elle continuait. Fière. Dévouée. Soumise.

Julien, debout derrière elle, la regardait. Fasciné par cette dualité : la jeune fille modèle, et la salope offerte, tremblante d’excitation, fesses écartées, jouant du piano avec un vibromasseur dans le sexe et un plug dans le cul.

– Tu es magnifique, Sophie… Une vraie petite perverse bien élevée.

Elle ne répondit pas. Mais ses cuisses se contractaient, son souffle devenait erratique. Elle était au bord. Il le savait.

– Stop.

Il coupa net la vibration. Elle sursauta, haletante.

– Non… s’il vous plaît…

– Tu n’as pas fini la pièce. Tu n’as pas encore mérité ton orgasme.

Il la fit se lever. L’adossa contre le mur, les mains toujours attachées. Il écarta sa jupe, dévoilant son sexe trempé, le plug bien visible entre ses fesses.

Il la regarda, la toisa, la caressa à peine.

– Tu veux que je te prenne maintenant, n’est-ce pas ?

– Oui… oui, je vous en supplie…

Il sourit. Puis recula.

– Alors tu vas devoir obéir. Demain, à l’entraînement, tu viendras sans culotte. Tu porteras le plug. Et tu t’agenouilleras devant moi avant qu’on commence.

Elle hocha la tête. Sans discuter. Elle n’avait jamais été aussi excitée de sa vie.

– Et ce soir ?

– Ce soir tu dors avec le plug. Et tu ne te touches pas. Pas un doigt. Sinon… je te punis sévèrement.

Elle gémit. De frustration. De désir. De soumission pure.

– Compris, Sophie ?

– Oui, monsieur…

Alors seulement, il déverrouilla les menottes. Elle tomba à genoux, sans réfléchir, les cuisses tremblantes.

– Merci…

Il sourit. Tendu. Prêt à la briser. Lentement. Délicieusement. Et elle… n’attendait plus que ça.

Julien ne disait plus un mot.

Il la fit pivoter, la plaqua contre le mur, les mains toujours liées derrière le dos. Sa bouche se posa sur son cou, là où la peau palpite juste au-dessus de la clavicule. Sophie gémit, incapable de garder le contrôle. Elle sentait son sexe battre, humide, affamé. Le plug en elle amplifiait chaque sensation, chaque mouvement, chaque frôlement de tissu.

Il releva sa jupe d’un geste sec, dévoilant ses fesses fermes, soumises, sa fente ruisselante. Il la caressa du bout des doigts, lentement, puis plus fermement. Le vibromasseur encore logé en elle vibra doucement sous sa paume.

– Tu es prête à être prise, petite perverse ?

– Oui… je vous en supplie…

Il ne répondit pas. Il sortit un préservatif, l’enfila sans hâte. Puis, il écarta ses cuisses, la força à plier légèrement les genoux. Elle haletait déjà, tendue, offerte, vulnérable.

Quand il la pénétra d’un seul coup de rein, elle cria. Pas de douleur. Juste ce choc délicieux d’être remplie. Possédée. Enfin. Il la tenait fermement par les hanches, l’empalait lentement, puissamment. Chaque va-et-vient faisait glisser le vibro contre son clitoris de l’intérieur. Son ventre se contractait de plaisir pur.

– Tu es si serrée…

– C’est à cause du plug… je suis… pleine…

– Exactement comme je veux que tu sois.

Il accéléra. Le claquement de leurs corps résonnait entre les murs de la salle. Sophie ne contrôlait plus rien. Ses jambes tremblaient, ses gémissements devenaient incontrôlables. Il la pilonnait avec une précision de maître, alternant rythme lent et coups profonds, presque cruels.

Le plug bougeait légèrement à chaque poussée, créant une double pression en elle. Elle n’avait jamais ressenti ça. Ce vertige. Cette brûlure. Ce plaisir si intense qu’il en devenait douloureux.

– J’ai… j’ai envie de jouir…

– Pas encore.

Il l’attrapa par les cheveux, tira doucement sa tête en arrière pour murmurer à son oreille :

– Tu jouis quand je te le dis. Pas avant.

Elle hocha la tête. Elle était suspendue à ses ordres. À sa verge. À sa voix.

Il activa le vibromasseur d’un clic. Une onde l’électrisa de l’intérieur. Elle cria, les yeux clos, le dos cambré. Il la tenait fermement, la possédait sans relâche.

– Maintenant. Laisse-toi aller.

Son corps explosa. Un orgasme violent, incontrôlable, la traversa de la tête aux pieds. Elle hurla, les muscles crispés, les cuisses contractées autour de lui. Les larmes coulèrent sur ses joues, sans qu’elle sache si c’était de plaisir ou de soulagement.

Julien grogna, accéléra encore, puis se tendit brusquement en elle. Son râle grave vibra contre sa nuque. Il jouit profondément, puissamment, ancré en elle comme s’il voulait la marquer de son empreinte.

Ils restèrent collés l’un à l’autre. Haletants. Tremblants.

Il se retira lentement, laissa le vibro glisser hors d’elle, puis la soutint alors qu’elle vacillait sur ses jambes.

– Tu as été parfaite, ma petite soumise.

Elle sourit, les yeux mi-clos, encore perdue dans la brume de l’extase.

Il défit les menottes, les posa délicatement sur le piano. Puis il la prit dans ses bras, l’assit sur ses genoux, caressant doucement ses cheveux humides de sueur.

– Comment tu te sens ?

– Brûlante… vidée… comblée.

Elle leva les yeux vers lui, plus nue que jamais. Pas seulement dans son corps, mais dans son âme. Il la regardait autrement. Avec une fierté silencieuse. Et une faim qui n’était pas encore rassasiée.

– Ce n’est que le début, Sophie. Je n’ai fait qu’effleurer ton potentiel.

Elle frissonna. Et sourit.

– Demain, je viendrai sans culotte. Et le plug… sera déjà en place.

Il hocha lentement la tête. Satisfait.

– Tu apprends vite.

Elle se leva, ramassa sa lingerie, mais ne la remit pas. Elle voulait sentir le vide entre ses cuisses. Le souvenir de lui. De ce qu’il avait éveillé.

– Tu veux que je joue encore ? demanda-t-elle d’une voix douce.

– Non. Ce soir, tu as assez joué.

Il s’approcha, l’embrassa, enfin. Un baiser profond, maîtrisé, mais chargé d’une promesse silencieuse.

– Rentre chez toi. Ne te touche pas. Et dors avec le plug. Demain, nouvelle leçon.

Elle obéit. Avec un sourire. Et l’envie déjà terrible… de recommencer.


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