
Les Confessions d'une Classe Interdite
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Confessions interdites : j’ai couché avec mon élève
Le cliquetis rythmé de mes talons résonnait dans le couloir désert du lycée. Il était vingt-deux heures passées. Trop tard pour une prof, trop tôt pour une femme qui se sentait encore brûlante d’un feu contenu depuis des mois. Les copies corrigées étaient une excuse ; la vraie raison de ma présence à cette heure-là ? Lui.
Gabriel. Dix-neuf ans, redoublant, concentré, un brin insolent. Il me regardait comme on regarde un fantasme. Et moi… moi, j’avais arrêté de mentir à mon corps depuis longtemps. Il m’arrivait de rentrer chez moi avec ses yeux imprimés sur mes seins sous ma chemise boutonnée trop haut. Parfois même, je me caressais lentement en pensant à ses bras tatoués, trop mûrs pour son âge. Et surtout à ce regard, mélange de défi et de soumission.
La salle 208 était encore allumée. Mon cœur battait plus vite. Je n'avais pas rêvé son message : « J’ai besoin d’aide pour le devoir. Ce soir ? »
Je poussai la porte. Il était là, assis sur une table, penché vers son cahier. En sweat noir moulant, jean serré, et cette odeur de cuir et de tabac froid autour de lui…
– J’espérais que tu viendrais, murmura-t-il, sans lever les yeux.
– C’est pour ça que tu m’as écrit au lieu de bosser ?
Il releva enfin la tête, un sourire en coin. Trop sûr de lui pour son jeune âge. Tellement conscient de l’effet qu’il me faisait.
– J’avais un doute sur la conjugaison. Mais maintenant que t’es là, j’ai envie de t’interroger, moi aussi…
Une montée de chaleur me traversa l’échine. Il jouait. Il provoquait. Il testait les limites. Il n’y avait pas de prof, pas d’élève. Juste deux corps et beaucoup trop de tension dans cet espace clos et silencieux.
J'approchai lentement, jusqu'à sentir la chaleur de ses cuisses contre mes hanches. Mes talons entre ses jambes. Il ne bougeait pas. Ses doigts tremblaient légèrement sur son stylo. Moi ? Je n’étais que tension contenue.
– Tu veux que je te corrige ? susurrai-je en effleurant sa joue de mes ongles. Ou peut-être… que je te punisse ?
Son souffle se coupa. Il posa sa main sur ma taille, lentement, comme s'il avait peur que je disparaisse.
– Tout ce que tu voudras, madame.
Ce madame me fit frémir si fort que j'en eus des vertiges. C’était insensé. Illégal. Immoral. Mais putain… j’étais trempée. Mon string en dentelle, que j’avais choisi ce matin sans raison valable – ou plutôt, parce que j’espérais inconsciemment cette situation – me collait littéralement à la peau.
Mes doigts s’agrippèrent à la base de ses cheveux, tirant légèrement sa tête vers l’arrière. Il ferma les yeux. Il attendait. Ma respiration se précipita, le sang me montait aux joues.
– Je devrais te dénoncer, tu le sais ?
– Mais tu ne le feras pas.
– Pourquoi ?
– Parce que t’as envie de moi autant que j’ai envie de toi.
Une main audacieuse se glissa doucement sous ma jupe crayon. Juste la pulpe de ses doigts sur ma cuisse nue. Un frisson m’électrifia. C’était lui… ou le vide. Le feu ou l’oubli. Je choisis le feu.
J’abaissai lentement ses mains, puis sortis de mon sac une paire de menottes satinées. Il haussa un sourcil.
– T’es sérieuse ?
– Tu veux jouer, Gabriel ? Alors tu joues selon mes règles.
Je pris son poignet, puis l'autre, avec une lenteur calculée. Cliquetis métallique. Il était à moi. Pas tout à fait un jeu BDSM, mais une initiation douce à la soumission. J’approchai ma bouche de la sienne, frôlant ses lèvres… sans les embrasser.
– Bouge pas.
Je retirai ma veste en tweed, puis déboutonnai ma chemise blanche, sans rompre le contact visuel. Mon soutien-gorge noir en dentelle s’ouvrait très facilement à l’avant. Un cadeau pour les impatients. Son regard se fit plus sombre. J’étais encore habillée, mais déjà offerte. La salle de classe devenait le théâtre d’une histoire érotique interdite, un fantasme de bureau revisité dans son essence la plus brûlante.
Ma main descendit lentement entre mes cuisses, sous ma jupe. Mon vibromasseur bullet était là, dans ma culotte. Allumé. Faible vibration. Je l’avais glissé là ce matin… au cas où. Prévoyante. Ou perverse. Peut-être les deux.
– Regarde-moi, soufflai-je. T’as désobéi. Je vais devoir te montrer comment on apprend vraiment avec moi.
Je posai l’objet contre ses lèvres. Chaud. Humide. Salé. Il lécha sans broncher. Un bon élève. Mon bon élève. Il allait apprendre d’autres conjugaisons, d’autres langues. Je sentais déjà son sexe dur contre sa fermeture éclair.
Et la nuit ne faisait que commencer…
Je refermai doucement la porte du bureau derrière lui, le cœur battant, l'esprit encore trouble. Il était là, devant moi, dans ce décor neutre, banal en apparence : un bureau d’université, des piles de dossiers, une horloge murale qui semblait s’être arrêtée. Mais ce soir, tout était différent. Il n’était plus simplement mon élève. Et moi, je n’étais plus une simple professeure.
– Tu voulais me parler de mon exposé ? demanda-t-il, hésitant, ses yeux cherchant les miens.
Je hochai lentement la tête, mais mon regard descendit le long de son torse sous la chemise légèrement entrouverte. Il ne portait pas de cravate ce soir, et ses manches retroussées laissaient voir ses avant-bras nerveux, tendus. Mon ventre se contracta.
– Ferme les stores, murmurai-je.
Il s’exécuta sans poser de question, tirant les lamelles une à une, jusqu’à ce que la lumière extérieure ne soit plus qu’un souvenir lointain. L’ambiance devint feutrée, presque confidentielle. Une tension palpable s’installa immédiatement. Une de ces tensions si délicieuses, si interdites…
– Tu sais que ce qu’on fait est…
– Défendu ? Je sais, répondis-je en m’approchant.
Je m’arrêtai à quelques centimètres de lui. L’odeur de sa peau, ce mélange de jeunesse et d’excitation, me fit frissonner. Je tendis la main et effleurai son col, lentement, avant de déboutonner un bouton, puis un autre.
– Tu sais pourquoi tu es là ?
Il hocha la tête, muet, les pupilles dilatées. Il me voulait. À ce moment-là, il n’y avait plus de barrière, plus de principe. Juste une romance secrète entre professeur et étudiant, chargée de désir brut. Une narration érotique sur les relations interdites qui prenait chair, ici, dans mon bureau.
Je pris son menton entre mes doigts et l’obligeai à me regarder droit dans les yeux.
– Tu m’as provoquée pendant des semaines. Ton regard… tes questions suggestives… Tu pensais que je ne voyais rien ?
– Je… je n’étais pas sûr, avoua-t-il, la voix rauque.
Je souris. Lentement, je lui pris les poignets et le fis reculer jusqu’au grand fauteuil en cuir derrière mon bureau. Je le poussai doucement jusqu’à ce qu’il s’assoie, son souffle déjà haletant, son excitation évidente sous son pantalon.
– Tu vas rester là et m’écouter, dis-je en déboutonnant ma chemise. Tu vas apprendre comment une femme enseigne les vraies leçons… celles qu’on ne trouve dans aucun manuel scolaire.
Je fis lentement glisser ma chemise de mes épaules, dévoilant un soutien-gorge en dentelle noire, provocant. Ses yeux s’agrandirent. Il avala sa salive, incapable de détourner le regard.
– Tu as déjà eu une professeure qui portait ça ?
– Jamais… souffla-t-il.
Je fis un pas de plus, montée sur mes talons, dominant la scène comme dans un de ces scénarios de séduction dans un cadre scolaire que j’avais souvent fantasmés. Je sentais le pouvoir entre mes mains, la tension sexuelle à son comble.
Je posai un genou sur l’accoudoir du fauteuil, puis l’autre. Je m’assis à califourchon sur lui, mon bassin effleurant le sien. Je pouvais sentir la dureté de son sexe contre mon intimité. Je frottai lentement mon bassin contre lui, juste assez pour nous faire gémir tous les deux.
– Tu veux me toucher ?
Il hocha la tête, haletant.
– Pas encore. Tu vas apprendre à attendre. C’est moi qui décide ici.
Je glissai une main dans ma jupe, remontant lentement le tissu au-dessus de mes cuisses jusqu’à dévoiler ma culotte assortie, fine, presque transparente. Je pris sa main, la posai contre la dentelle humide.
– Tu sens ça ? C’est l’effet que tu me fais. Mais tu n’as pas encore mérité d’y goûter.
Il grogna de frustration, et je souris, sentant son envie monter à la limite du supportable. Je me redressai, me penchai vers l’arrière du bureau et sortis un petit sac en velours noir. Il me regarda, intrigué.
– Tu ne pensais pas que j’étais si prévisible, si ?
Je sortis lentement une paire de menottes en cuir, les lui montrant sans un mot. Il me regarda, les pupilles dilatées.
– Tu veux jouer ?
– Oui…
Je pris ses poignets et l’attachai fermement aux accoudoirs. Il ne résista pas. Il était à moi. Mon élève, mon jouet. Un pur fantasme de domination en classe.
Je me levai, fis lentement glisser ma jupe le long de mes jambes, puis retirai ma culotte avec une lenteur calculée. Je me tenais devant lui, nue, offerte, dans mes talons. Une vision qu’il n’oublierait jamais.
Je sortis un petit flacon de lubrifiant et un plug anal en silicone, discret mais efficace. Je le fis tourner entre mes doigts, le fixant droit dans les yeux.
– Tu ne t’attendais pas à ça non plus, n’est-ce pas ?
Il secoua la tête, bouche ouverte, fasciné.
Je m’assis de nouveau sur lui, mais cette fois, je me penchai en avant, le baisa lentement, profondément, ma langue explorant la sienne avec une douceur contrastant avec la tension de la scène. Puis je me redressai, lubrifiai lentement le plug, et l’insérai en moi, lentement, en gémissant contre son oreille.
– Tu vois ce que je suis prête à faire pour toi, mon élève ?
– J’en peux plus… Je veux te prendre… te sentir…
– Pas encore. Tu vas rester là et regarder. Apprends à dominer ton impatience.
Je me mis à bouger lentement contre lui, me frottant à son sexe dur sous le tissu, mes seins se pressant contre sa chemise. Je gémissais doucement, mon plaisir grandissant à chaque mouvement, chaque vibration du plug amplifiant mon désir.
Je retirai son pantalon, libérant enfin son sexe tendu, gonflé, impatient. Je le saisis dans ma main, le caressant lentement, puis je me redressai et m’empalai sur lui en un seul mouvement fluide.
– Putain… gémit-il, la tête en arrière.
– Tu es à moi maintenant. Mon élève. Mon amant interdit.
Je commençai à onduler lentement, le regardant dans les yeux, savourant chaque seconde. Mon corps tout entier vibrait. C’était une romance érotique, une danse charnelle entre pouvoir et plaisir.
Je le chevauchai plus vite, plus fort. Le bruit de nos corps résonnait dans la pièce, fusion de désir et de déraison. Je jouissais lentement, intensément, gémissant son prénom à l’oreille, agrippée à ses épaules.
Il explosa en moi juste après, ses poignets toujours liés, impuissant contre la marée de plaisir que je lui imposais. Nous restâmes là, haletants, collés, nos souffles entrelacés.
Je me redressai lentement, déposai un baiser sur son front, puis me rhabillai, une lueur de satisfaction au coin des lèvres.
– Tu as bien travaillé, dis-je en lui détachant les poignets. Tu mérites peut-être une mention très bien…
Il rit doucement, encore tremblant, les yeux brillants.
– C’est… la meilleure leçon que j’ai jamais reçue.
Mais je savais que ce n’était que le début. Ce fantasme enseignant-élève allait prendre de l’ampleur. Et moi, j’avais encore beaucoup à lui apprendre…
Je le chevauchai avec une lenteur calculée, savourant chaque frémissement, chaque contraction de son corps sous le mien. Mon bassin ondulait contre le sien, en rythme avec les battements de mon cœur affolé. Le plug en moi vibrait à chaque mouvement, amplifiant mon plaisir jusqu’à l’insoutenable.
– Tu sens comme je suis serrée autour de toi ?
Il hocha la tête, incapable d’articuler un mot. Ses poignets toujours attachés aux accoudoirs, il était prisonnier de mes gestes, de mes envies, de ma cadence. Mon élève… Mon jouet.
Je me penchai vers lui, ma poitrine effleurant son torse nu, et murmurai à son oreille :
– Tu es à moi, ce soir. Rien qu’à moi.
Il gémit, son souffle court. Je sentis son sexe vibrer en moi, prêt à exploser. Mais je ralentis, le frustrant volontairement, jouant sur cette tension délicieuse si propre aux fantasmes de domination en classe.
Mon dos s’arqua, mes reins se creusèrent. Chaque va-et-vient devenait plus profond, plus intense. Ma main se glissa entre mes cuisses, caressant mon clitoris avec des cercles précis, lents, tandis que je le montais avec de plus en plus d’abandon.
– Regarde-moi, ordonnai-je.
Il releva les yeux, noyé de désir. Mon regard planté dans le sien, je jouis. Fort. Un cri rauque m’échappa, incontrôlable. Mon corps entier se tendit, se contracta, se libéra dans une vague brûlante qui me laissa tremblante, haletante, ruisselante.
Ce fut trop pour lui. Il se cambra, poussa un râle rauque et jouit à son tour, profondément en moi, ses poignets crispés contre le cuir du fauteuil. Sa semence chaude inonda mon sexe encore contracté par l’orgasme. Une romance érotique devenue pure déflagration de plaisir interdit.
Je restai quelques secondes sur lui, immobile, savourant la chaleur de son corps contre le mien, l’odeur de notre plaisir mêlé, le silence chargé de ce que nous venions de vivre.
Je me redressai lentement, mes muscles encore tremblants. Je retirai le plug avec précaution, les yeux fermés, frissonnant une dernière fois. Puis je décrochai les menottes de ses poignets, sans un mot.
Il me regardait, encore essoufflé, les joues rougies par l'effort et l’émotion.
– Tu... tu fais ça souvent ? demanda-t-il, un sourire timide au coin des lèvres.
Je souris à mon tour, enfilant ma chemise avec une lenteur étudiée.
– Non. Seulement quand un élève dépasse mes attentes…
Il rit doucement, puis reprit :
– Et... tu donnes des cours particuliers ?
Je m’approchai, posai mes doigts sur ses lèvres.
– Peut-être. Mais il faudra être très assidu. Et très obéissant.
Je déposai un baiser sur son front, puis repris ma jupe, mes talons claquant doucement sur le sol. Il me suivit du regard, encore nu, encore mien.
Avant de quitter le bureau, je me retournai une dernière fois :
– N’oublie pas… Ce qu’on a partagé reste entre nous. C’est une relation interdite. Une romance secrète entre professeur et étudiant… Pour l’instant.
Je refermai la porte derrière moi, un sourire satisfait au coin des lèvres. Oui, ce n’était que le début. Et j’avais encore tant de leçons à lui enseigner…
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