Image d'une femme alternant entre nervosité et excitation avant de vivre sa première fois avec deux autres femmes, au cours d'une expérience érotique à trois, illustrant les fantasmes érotiques et les relations entre femmes.

Entre Elles : Ma Première Expérience Érotique avec Deux Femmes

Ma première expérience avec deux femmes : le bureau des plaisirs défendus

Le bureau sentait encore l’encre tiède et le café noir. Il était vingt heures passées, et les néons du couloir s’éteignaient un à un. L’open space avait retrouvé son silence, vidé de ses employés trop sages pour rester tard un vendredi soir. Seules trois femmes occupaient encore les lieux. Et moi, au bord d’un vertige que je n’osais nommer.

Assise dans mon fauteuil, je faisais semblant de relire un dossier. Mais toute mon attention était centrée sur ce qui se jouait quelques mètres plus loin. Claire, la cheffe de projet, grande, sculpturale, toujours impeccablement maquillée même après une longue journée, se penchait vers Élise, notre nouvelle recrue. Une jeune femme fraîche, rieuse, les lèvres pleines de questions et les yeux qui s’attardaient… un peu trop longtemps sur moi, parfois.

Depuis quelques jours déjà, je sentais quelque chose glisser sous la surface. Des regards échangés. Des frôlements délibérés. Des sourires qui avaient le goût du défi. Une tension érotique douce, mais entêtante. Je me croyais prudente, raisonnable — et puis il y a eu ce message, glissé discrètement dans mon tiroir à midi :

“On reste toutes les trois ce soir. J’ai envie de te faire découvrir quelque chose.”

Claire signait en lettres rondes, avec un petit cœur stylisé. Elle ne disait jamais les choses frontalement, elle les soufflait… comme une promesse enveloppée de mystère. J’avais dégluti fort. Et j’étais restée.

Le claquement d’un tiroir me tira de mes pensées.

– Tu viens ? demanda Élise en se tournant vers moi. Sa voix était douce, mais ses mots vibraient d’une attente presque insolente.

Claire, debout derrière elle, croisait les bras. Sa chemise beige satinée s’ouvrait juste assez pour laisser deviner le haut d’un soutien-gorge en dentelle noire. Elle n’était plus la boss. Elle devenait… autre chose. Une femme qui savait exactement ce qu’elle faisait.

– Je… oui, soufflai-je, surprise par ma propre voix.

– Pose ton dossier. Et suis-nous.

La commande claqua comme un ordre. Mon cœur battait fort. Des questions se bousculaient dans ma tête. Comment se préparer à une première fois avec deux femmes ? C’était l’un de mes fantasmes érotiques depuis toujours — mais je n’avais jamais franchi le pas. Et maintenant, j’étais là, tremblante, curieuse, troublée, à quelques secondes de vivre quelque chose que je ne saurais plus contrôler.

Je les suivis jusqu’à la petite salle de réunion au fond du couloir. Claire la ferma à clé derrière nous. L’endroit était baigné d’une lumière chaude, tamisée. Les stores étaient tirés. Sur la table, un sac en cuir attendait, entrouvert. J’aperçus un bandeau en satin, un plug anal aux reflets métalliques, un vibromasseur discret… et des menottes, d’un rouge velours.

Élise sourit, un éclat sauvage au coin des lèvres.

– Tu as déjà expérimenté quelque chose entre femmes ?

Je secouai la tête.

– Non. C’est… ma première fois.

Claire s’approcha. Lentement. Elle effleura ma joue du bout des doigts, descendit le long de mon cou, traça une ligne jusqu’à la base de ma gorge.

– Alors on va y aller doucement, murmura-t-elle. Mais tu vas devoir nous faire confiance.

Elle se pencha, et ses lèvres frôlèrent à peine les miennes. Un souffle. Un contact suspendu. Mes jambes liquéfiées. Mon ventre en feu. Jamais je n’avais été aussi consciente de mon propre corps. Des émotions affluaient, mêle de peur légère, de désir immense, et d’une curiosité presque fébrile.

– Et si je… panique ?

Élise s’approcha à son tour, tout près, si près que je pouvais sentir la chaleur de sa peau. Elle glissa sa main dans la mienne.

– Tu ne seras pas seule. On est là pour toi. Pour t’apprendre. Te faire du bien. Et seulement si tu veux.

Je la regardai. Elle était belle. Claire aussi. Elles étaient différentes… complémentaires. Et j’étais là, au croisement de quelque chose que je n’aurais même pas osé écrire dans mon journal intime.

Je hochai la tête, le souffle court.

– Alors on commence, dit Claire en attrapant le bandeau de soie.

Et dans ce bureau devenu cocon de luxure, j’allais découvrir ce que signifiait vraiment “se laisser faire”… entre femmes.


Claire s’approcha, le bandeau entre les doigts. Le satin coulait entre ses paumes comme de l’eau noire.

– Ferme les yeux, dit-elle doucement.

Je m’exécutai, le cœur battant trop fort dans ma poitrine. Le tissu glissa sur mon front, puis sur mes paupières. Tout devint obscur. Plus de salle de réunion. Plus de bureau. Juste mon souffle, et le contact de ses doigts qui nouaient le bandeau derrière ma tête.

– Tu entres dans notre terrain de jeu, murmura-t-elle. Tu n’as plus rien à faire… sauf ressentir.

Un frisson me parcourut. J'entendis le froissement d’un tissu, un pas qui se déplaçait. Élise, sans doute. Mon ventre se contracta. Je ne voyais plus rien, mais chaque bruit devenait plus intense. Chaque respiration, chaque soupir.

– Elle est si belle quand elle tremble, déclara Élise d’une voix grave, plus sensuelle que je ne l’aurais imaginé.

Un doigt – ou peut-être deux – effleura l’intérieur de mon poignet. Lentement. Puis glissa jusqu’à ma paume. Une bouche y déposa un baiser. Je gémis, surprise.

– Sens-tu comme ton corps répond déjà ? demanda Claire, tout près de mon oreille.

Je hochai la tête, incapable de parler.

Quelqu’un dégrafa les boutons de ma blouse, un à un. Je sentais mes seins monter et descendre sous la dentelle fine de mon soutien-gorge. L’air était tiède, mais mes tétons se durcirent aussitôt, comme appelés par une promesse invisible.

– Tu es magnifique, dit Élise. Laisse-nous jouer… un peu.

Des doigts s’insinuèrent sous la bretelle de mon soutien-gorge, la firent glisser doucement. Puis une bouche s’y posa, chaude, humide, ouverte. J’écartai les lèvres, sans un mot, juste un souffle tremblant.

Claire me tenait par les hanches, fermes, possessives. Je sentis son corps contre mon dos, la soie de sa chemise glissant contre ma peau nue.

– Tu sens ça ?

Elle me pressa contre elle, et je perçus le galbe ferme de sa poitrine, le creux de son ventre contre mes reins.

– Chacune de tes réactions… on les boit. Continue, ma douce.

Ses mains descendirent sur mes cuisses, remontèrent sous ma jupe. Mes jambes se relâchèrent, à demi-ouvertes. Ma respiration devint irrégulière, et je sentis Élise s’agenouiller devant moi.

– Laisse-moi goûter…

Sa langue trouva l’intérieur de ma cuisse, chaude, précise. Elle traça un sillon jusqu’à ma culotte, qu’elle tira délicatement sur le côté.

Je sursautai quand elle effleura mon sexe. C’était à peine un souffle, un frôlement. Mais mon clitoris palpitait déjà, gonflé, avide.

– Tu es trempée, murmura-t-elle. J’adore ça.

Sa bouche se posa sur moi, douce au début, exploratrice. Puis plus appuyée. Sa langue m’enveloppa, me caressa avec une lenteur calculée. Je me cambrai contre Claire, qui me maintenait fermement, ses mains sur mes hanches.

– Tu ne bouges pas, ordonna-t-elle. Tu prends. Tu accueilles. Tu découvres.

Un doigt glissa entre mes fesses. Je sursautai, mais ne reculai pas. Il était enduit de quelque chose – une huile peut-être. Claire massa, doucement, le pourtour de mon anus. Des picotements m’envahirent, étranges, délicieux.

– On va t’ouvrir petit à petit, souffla-t-elle. Tu vas adorer.

Je haletai, bouche entrouverte. La langue d’Élise accélérait, tourbillonnait contre mon clitoris. Mon bassin se mit à bouger malgré moi, réclamant plus, encore, toujours.

Claire attrapa quelque chose. J’entendis un petit déclic métallique. Les menottes. Je frémis.

– Donne-moi tes poignets.

Je les lui tendis, sans réfléchir. Le claquement soyeux du velours autour de mes poignets me fit perdre une seconde de souffle. J’étais attachée. Offerte.

– T’as déjà porté un plug anal, ma belle ? demanda Élise, sa bouche toujours contre moi.

Je secouai la tête, incapable de mentir.

– On va y aller doucement. Mais tu vas le vouloir, crois-moi.

Claire déposa quelque chose de froid contre ma peau. L’objet glissa entre mes fesses. Elle appuyait à peine, mais je sentais mon corps se tendre, hésiter… puis céder, lentement. Le plug glissa en moi, rempli d’huile chaude. Je haletai, surprise de ne pas ressentir de douleur, seulement une pression étrange… mais délicieusement pleine.

– Voilà… Tu es parfaite ainsi, gémit Claire. Entièrement remplie…

Élise se redressa, me regarda en silence. Puis elle dégrafa sa robe, la laissa tomber à ses pieds. Elle ne portait rien dessous. Sa peau était satinée, ses seins lourds, ses hanches pleines. Une déesse.

– Maintenant, c’est à toi de goûter, dit-elle avec un sourire complice.

Elle s’assit sur la table, jambes écartées, m’attira vers elle. Mes poignets toujours attachés, Claire me guida, me pencha doucement vers Élise.

– Utilise ta bouche, murmura-t-elle à mon oreille. Laisse-toi guider par son odeur, sa chaleur. Respire-la. Prends ton temps.

Je m’approchai. L’odeur d’Élise était enivrante, intime, florale et musquée. J’y déposai un baiser timide, puis ma langue traça une ligne tremblante le long de ses lèvres humides. Elle gémit, et je sentis une fierté étrange monter en moi. Je continuai, plus assurée. Chaque mouvement de ma langue lui arrachait un soupir plus profond.

Claire me tenait toujours, m’encourageant à bouger, à plonger plus profondément. Je la sentais respirer dans mon cou, son souffle court, rauque. Elle était excitée. Par moi. Par nous.

– Tu apprends vite… si vite, dit Élise, haletante. Ne t’arrête pas…

Je sentis son corps se tendre, puis se relâcher dans un long gémissement. Elle jouit contre ma bouche, ses doigts dans mes cheveux, son bassin ondulant avec lenteur.

Claire me retourna doucement. Ses doigts glissèrent entre mes jambes, retrouvèrent mon clitoris, toujours en feu. Je n’avais jamais été aussi prête.

– Tu veux jouir ?

Je hochai la tête, des larmes de plaisir aux coins des yeux.

– Alors demande-le.

– Laisse-moi jouir… s’il te plaît, Claire…

Elle sourit, et alluma le vibromasseur. Une vibration délicate envahit mon entrejambe, puis s’intensifia. Claire l’enfonça doucement en moi, le plug toujours logé plus bas. Je criai, surprise par la vague de plaisir qui me submergea. Mes jambes tremblaient. Ma bouche ouverte ne trouvait plus l’air.

– Tiens bon, ma belle, souffla Élise, qui s'était relevée. On est là… on t’emmène au bout.

Je hurlai, littéralement, quand l’orgasme me traversa. Profond, total, éblouissant. Mon ventre se contracta, mon sexe pulsa autour du sextoy. Je perdis toute notion du temps. Puis je m’effondrai contre Claire, haletante, vidée, comblée.

Elle me détacha doucement, embrassa mes poignets. Élise me prit dans ses bras, me berça tendrement.

– Tu as été parfaite, murmura-t-elle contre mes cheveux.

Je n’ai pas répondu. Je me suis contentée de sourire, les yeux toujours bandés. Parce que je n’avais jamais été aussi bien… aussi vivante.

Claire intensifia la pression du vibromasseur, le faisant onduler lentement en moi. Mes poignets encore liés frémissaient sous la tension de mes muscles. J’étais suspendue à leurs souffles, à leurs gestes, à cette chaleur qui montait en moi comme une vague prête à tout emporter.

– Ouvre-toi, ma belle, souffla-t-elle à mon oreille. Laisse-toi envahir…

Je haletai, incapable de répondre. Ma tête tomba en arrière, appuyée contre son épaule. Elle me maintenait fermement, une main sur mon ventre, l’autre entre mes cuisses, orchestrant chaque vibration comme une chef d’orchestre sensuelle.

Élise s’approcha, nue, féline. Elle se plaça devant moi, son regard brûlant planté dans le mien.

– Regarde-moi quand tu jouis, murmura-t-elle. Je veux voir ton visage se tordre de plaisir.

Je sentis le plug anal glisser un peu plus profondément, comme si mon corps le réclamait désormais. La sensation était pleine, délicieuse, presque trop. Mon clitoris palpitait sous la caresse rythmée du sextoy.

– Claire… je…

– Tu es à nous maintenant, dit-elle. Laisse-toi aller. Crie si tu veux. Tu es en sécurité ici.

Les contractions commencèrent, spasmes profonds, incontrôlables. Mes jambes se crispèrent, mon bassin se cambra, tiraillé entre les deux sources de plaisir. Une langue chaude vint effleurer mon téton, puis le mordilla doucement. Élise.

– Viens… Explose pour nous, ma douce.

Et je jouis. Fort. Longtemps. Mon corps entier secoué de frissons, de vagues pulsantes qui montaient de mon ventre jusque dans ma gorge. Je criai, le dos arqué, les cuisses tremblantes, offerte, vulnérable, mais jamais aussi puissante.

Le vibromasseur glissait encore lentement en moi, prolongeant l’extase. Claire le retira avec précaution. Le plug resta en place, me laissant délicieusement pleine. Je tombai contre elle, vidée, tremblante, mais le cœur gonflé d’une chaleur neuve.

– C’était… incroyable, soufflai-je.

Claire m’embrassa sur la tempe, tandis qu’Élise défaisait doucement mes menottes.

– Tu as été magnifique, dit-elle. Et si présente dans ton plaisir…

Je souris, rougie, encore un peu confuse. Mes jambes ne me portaient plus, mais leurs bras formaient un cocon parfait.


Nous restâmes là un moment, toutes les trois, dans un silence doux, ponctué seulement par nos souffles qui retrouvaient leur rythme. Claire me tendit une couverture légère, qu’elle posa sur mes épaules nues. Élise s’allongea à côté de moi sur le canapé de la salle de réunion, la tête posée sur ma cuisse.

– Comment tu te sens ? demanda-t-elle en jouant doucement avec mes doigts.

– Flottante… heureuse. Un peu chamboulée, avouai-je.

Claire rit doucement. Son rire était bas, rassurant.

– C’est normal. La première fois entre femmes, surtout à trois… c’est un choc. Un très beau choc.

Je hochai la tête. Je n’aurais pas pu mieux dire. C’était comme si quelque chose s’était ouvert en moi. Une porte que je n’avais jamais osé pousser seule. Et là, elles étaient entrées. Doucement. Sensuellement. Avec autorité et tendresse mêlées.

– Je crois que je ne verrai plus jamais cette salle de réunion de la même façon, murmurai-je avec un sourire timide.

– Parfait, répondit Élise. On veut que tu fantasmes chaque fois que tu passes cette porte.

Claire s’étira lentement, ramassant les accessoires avec soin. Les menottes, le vibromasseur, le plug anal encore en moi… Elle me lança un regard en coin.

– Tu sais… ce n’était qu’un début. Il y a tant à explorer. Si tu veux revenir un soir…

Mon cœur bondit. Mon ventre aussi. Mon corps tout entier vibrait encore de leur trace.

– J’en aurai envie, murmurai-je. Très vite.

Élise me glissa un baiser au creux du poignet, là où les marques du velours rouge s’effaçaient lentement.

– Alors on te préparera… quelque chose de spécial.

Je fermai les yeux un instant. Et pour la première fois depuis longtemps, je me sentis pleinement femme. Désirée. Vivante. Et prête à recommencer.


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