Image d'une secrétaire dans un bureau, réfléchissant à sa carrière et à son souhait d'obtenir une augmentation, symbolisant les défis rencontrés par ces professionnelles dans leur quête de reconnaissance.

Promotion sous tension au bureau

Elle est secrétaire et veut une augmentation : fantasme de bureau torride

Il était un peu plus de 18h, la lumière du soleil s'effilochait derrière les stores à lamelles grises du dernier étage. La plupart des collègues étaient déjà partis. L'espace ouvert baignait dans un silence ouaté, à peine troublé par le bourdonnement discret de la climatisation.

Léa tapait encore sur son clavier, concentrée… ou du moins elle essayait. En réalité, son esprit s'échappait bien loin du rapport sur les objectifs trimestriels. Il était là. Dans son bureau. À quelques pas. Depuis qu’elle était arrivée dans cette boîte, un an plus tôt, elle n’avait jamais cessé de fantasmer sur lui. Son patron. Sébastien Renaud. Quarante-quatre ans, regard acier, voix calme et tranchante. Marié, évidemment. Intouchable. Irrésistible.

Elle jeta un coup d’œil à travers la vitre qui séparait son petit espace de celui, plus vaste, de son supérieur. Le store était entrouvert. Assez pour le voir assis, en chemise blanche, manches retroussées, cravate lâchée. Concentré sur un dossier. Il avait la mâchoire serrée et les doigts battant un rythme nerveux sur son stylo Montblanc.

Elle avait entendu que demain, les entretiens annuels auraient lieu. Et elle voulait en être. Pas pour discuter croissance ou objectifs. Non. Elle voulait une augmentation. Et elle avait déjà décidé comment elle comptait la demander.

Elle croisa ses jambes lentement, laissant glisser la soie fine de ses bas contre sa peau. Elle portait une jupe crayon noire – volontairement un peu trop moulante –, une chemise blanche – boutonnée jusqu’au troisième bouton seulement –, et sa paire d'escarpins vernis préférée. Sous sa jupe, un string assorti à son porte-jarretelles. Elle savait parfaitement ce qu’elle faisait. Elle jouait le jeu depuis des semaines. Les sourires en coin. Les "Par quoi puis-je vous aider ce soir, Monsieur Renaud ?" lancés d’une voix feutrée. Les déplacements inutiles jusqu’à son bureau. Elle l’avait vu répondre. Parfois juste dans le clignement de ses yeux, dans la tension de sa mâchoire lorsqu’elle se penchait trop bas devant lui. Il avait résisté. Mais pour combien de temps encore ?

Elle prit une grande inspiration, se leva et fit claquer ses talons sur le sol moquetté. Arrivée devant la porte vitrée, elle frappa deux coups légers. Une seconde. Puis deux. Silence.

— Entrez.

Sa voix, grave, résonna derrière la porte. Elle ouvrit lentement, un sourire réservé aux lèvres.

— Je peux vous déranger une minute ?

Il leva les yeux, croisa son regard. Quelque chose passa dans l’air, comme le frisson d’un courant électrique trop longtemps contenu.

— Bien sûr, Léa. Asseyez-vous.

Elle s’approcha, s’assit sans décroiser les jambes, jambes qu'elle balançait doucement, l'une sur l'autre. Sa jupe remonta à peine. Juste assez.

— Je voulais… vous parler de mon poste.

Il acquiesça lentement, referma son dossier, déposa son stylo.

— Vous voulez parler d’une éventuelle augmentation ?

Elle hocha la tête, un sourire en coin, presque joueur, glissant une mèche de cheveux derrière son oreille. Elle s'humidifia les lèvres, volontairement.

— Disons que je pense… mériter mieux. Je me donne beaucoup. Et je peux donner encore plus.

Il ne répondit pas tout de suite. Son regard s'était légèrement assombri. Il observait. Chaque geste. Chaque mot. Elle sentait son regard s’attarder sur son décolleté, ses cuisses, son rouge à lèvres bordeaux. Il comprenait. Lentement. Il soupira.

— Vous savez ce que vous suggérez là, Léa ?

Elle se pencha légèrement, posant ses coudes sur son bureau. Son chemisier s’ouvrit un peu plus. Elle planta ses yeux dans les siens.

— Je crois que vous le savez aussi bien que moi, Monsieur Renaud.

Elle vit sa main se crisper sur l’accoudoir. Elle savait qu’elle venait de franchir une ligne. Et qu’il n’y aurait pas de retour. Cette idée l’excitait au plus haut point.

— Ce que vous me proposez pourrait vous coûter cher…

Elle se leva doucement, contourna le bureau comme une panthère, jusqu’à venir se placer derrière lui.

— Ou me rapporter beaucoup.

Elle murmura presque à son oreille. Son parfum capiteux – une note boisée et sucrée – l’enveloppa aussitôt. Elle posa ses doigts sur son épaule, avec lenteur. Il ne bougea pas. Mais elle sentit son souffle se faire plus lourd.

— Et si je vous montrais… ce que je suis prête à faire pour obtenir ce que je veux ?

Elle glissa ses doigts le long de sa chemise, effleurant sa nuque. Il se leva brutalement, les yeux brillants d’un feu contenu.

— Ferme la porte à clé.

Elle obéit sans dire un mot, le cœur battant. Lorsqu’elle se retourna, il s’était approché d’elle. Proche. Très proche.

— Tu joues avec le feu, Léa.

— Je sais… C’est ce que j’aime.

Elle lui tendit la main. Et lentement, le regard brûlant de désir, elle laissait tomber une à une ses barrières intérieures.

Elle n'était plus juste la secrétaire docile. Elle était une femme prête à prendre ce qu'elle voulait.

Et elle comptait bien le prouver… ici, sur ce bureau.


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Elle est secrétaire et veut une augmentation : fantasme de bureau torride

Léa sentit l’air vibrer quand il s’approcha d’elle. Le parfum de son patron, boisé et puissant, l’enveloppa. Elle ne recula pas. Leurs regards se croisèrent, chargés d’une tension brûlante, presque insoutenable.

— Tu veux vraiment me montrer ce que tu vaux, Léa ?

Sa voix était rauque, plus grave qu’à l’accoutumée. Elle hocha la tête, sans détourner les yeux.

— Je suis prête à tout… Monsieur Renaud.

Elle accentua volontairement le ton, glissant une légère provocation dans l’appellation. Il comprit. Et sans prévenir, il saisit sa taille et la plaqua doucement contre la porte qu’elle venait de verrouiller. Son corps tout contre le sien, elle sentit son excitation, dure, massive, à travers le tissu de son pantalon.

— Tu me chauffes depuis des semaines. Tu crois que je n’ai rien vu ?

Il glissa une main sur sa cuisse, remontant lentement sous sa jupe crayon, jusqu’à sentir la dentelle de son porte-jarretelles. Il sourit, satisfait.

— Et tu es venue habillée pour me rendre fou, n’est-ce pas ? Petite secrétaire vicieuse...

Elle frissonna. Chaque mot prononcé par sa voix grave résonnait entre ses cuisses, déclenchant des vagues de chaleur délicieuse.

— Je n’ai pas envie que d’une augmentation, Sébastien…

Elle murmura son prénom pour la première fois. Il la dévora du regard. Puis, sans prévenir, il l’attrapa par la taille et la posa sur le bord de son bureau. Les papiers volèrent. Le stylo Montblanc roula au sol.

— Écarte les jambes.

Elle obéit sans un mot. Sa jupe remonta sur ses cuisses jusqu’à révéler son string noir et les jarretelles parfaitement tendues sur ses hanches. Il grogna, défit sa cravate d’un geste sec, puis la passa autour de ses poignets.

— Tu vas rester bien sage maintenant.

Il attacha ses poignets ensemble, pas trop fort, mais avec assez d’assurance pour qu’elle sente qu’il prenait le contrôle. Elle le regarda, haletante, le cœur battant à tout rompre.

— Et si on parlait de ton… mérite ?

Il s’agenouilla devant elle, glissa ses mains sous ses cuisses pour les ouvrir davantage. Léa bascula légèrement le bassin, offerte, humide d’envie. Ses doigts tremblaient d’impatience sous la cravate.

Il écarta le string sur le côté et souffla contre sa vulve nue.

— Tu es déjà trempée…

— J’y pense depuis des jours, souffla-t-elle.

Il la lécha doucement, avec lenteur, explorant chaque pli, chaque frémissement. Sa langue était chaude, précise. Elle gémit, la tête renversée, les poignets liés, les cuisses tremblantes. Il savait exactement comment la faire fondre, et il prenait son temps.

— Tu veux jouir, Léa ?

— Oui… je t’en supplie…

Il intensifia le rythme, ajoutant deux doigts en elle, les faisant glisser avec expertise. Elle contracta les cuisses autour de lui, sentant la montée venir, rapide, violente.

Elle explosa dans un gémissement étouffé, se cambrant sur le bureau, les doigts crispés sur la cravate de soie.

Il se redressa, la bouche humide, le regard sombre de désir.

— Ce n’est que le début, Léa. Tu veux cette augmentation ? Tu vas vraiment devoir la mériter.

Elle sourit, encore haletante, les joues roses, les cheveux en bataille.

— Je suis prête… à négocier longtemps.

Il la fit glisser sur le bureau, la retourna d’un geste ferme, ses fesses vers lui, la jupe retroussée au bas du dos.

Il sortit quelque chose de son tiroir. Un petit coffret noir. Elle reconnut aussitôt le bruit du lubrifiant lorsqu’il en versa sur ses doigts.

— Je veux voir jusqu’où tu peux aller pour ton poste.

Il écarta doucement ses fesses, et glissa un doigt lubrifié contre son anus. Léa haleta, surprise, mais ne recula pas. Elle s’ouvrait à lui, au plaisir, à l’interdit. Il inséra lentement un petit plug anal en silicone noir, qu’il avait chauffé au creux de sa paume. Elle gémit, sentant l’invasion, la pression délicieuse.

— Voilà… Maintenant tu es parfaite.

Il déboutonna son pantalon, sortit son sexe, déjà dur et veiné de désir. Il le frotta lentement entre ses lèvres mouillées, la faisant frissonner, puis la prit d’un coup sec, profond.

— Oh… putain… oui…

Elle cria presque, surprise par l’intensité, le plaisir brut, la sensation du plug qui amplifiait chaque va-et-vient. Il la tenait par les hanches, la pénétrant avec force, puissance, rythme. Ses seins balançaient sous sa chemise ouverte, ses bas glissaient légèrement sur ses jambes tendues.

— Tu es à moi maintenant, Léa… Ma petite secrétaire soumise.

— Je suis à toi… J’ai envie de toi depuis si longtemps…

Leurs corps claquaient l’un contre l’autre. Il la dominait, la poussait au bord encore une fois. Elle le sentait, la pression revenir, plus intense, plus profonde encore que la première fois.

Il la saisit par les cheveux, tira doucement sa tête en arrière, murmurant à son oreille :

— Tu veux jouir encore ?

— Oui… fais-moi jouir, Sébastien…

Il accéléra, cognant plus fort, plus profond. Elle cria son orgasme, libérant tout le désir, la frustration, les semaines d’attente brûlante. Ses jambes cédèrent sous elle, mais il la soutint, la gardant contre lui alors qu’il jouissait à son tour, profondément en elle, haletant, grognant son plaisir.

Un silence lourd, chaud, tomba dans le bureau. Il laissa tomber sa tête contre son épaule, son souffle encore court.

— Je crois qu’on peut envisager une promotion…

Elle rit doucement, encore tremblante.

— Tu n’as encore rien vu, Monsieur Renaud.

Il lui mordilla doucement l’épaule, et la détacha lentement.

— Alors montre-moi. Demain. Même heure.

Elle remit sa jupe, jeta un coup d’œil dans le miroir discret sur le mur. Sa bouche était gonflée de plaisir, ses cuisses encore frémissantes. Elle croisa son regard dans la glace.

Elle n’était plus simplement la secrétaire.

Elle était devenue sa tentation. Son obsession.


À suivre…

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Ses doigts tremblaient encore légèrement lorsqu’elle s’agrippa au rebord du bureau, le corps cambré, offerte à la brutalité savoureuse de ses assauts. Le plug anal en elle la rendait hypersensible, chaque va-et-vient de Sébastien provoquait une onde de plaisir qui remontait le long de sa colonne, jusqu’à lui faire perdre haleine.

Il grognait derrière elle, agrippant ses hanches avec une poigne ferme, presque possessive. Son sexe entrait en elle avec une régularité féroce, profonde, implacable. Léa sentait sa chair s’ouvrir, vibrer, se tendre sous la pression.

— Tu sens ça, Léa ? Tu sens comme ton corps me réclame…

Elle hocha la tête, incapable de répondre autrement qu’avec un gémissement rauque, étranglé dans sa gorge.

— Plus fort… je veux que tu me marques…

Il répondit à sa supplique d’un coup sec, puissant, qui la fit crier. Elle planta ses ongles dans la surface du bureau, la tête renversée, les lèvres entrouvertes. Le plaisir montait comme une vague, chaude, brûlante, incontrôlable.

Il glissa un doigt entre ses cuisses, effleura son clitoris gonflé, et la fit exploser à nouveau. Elle convulsa, prise de spasmes délicieux, les muscles de son ventre se contractant, ses cuisses tremblant autour de lui.

— Oui… oh putain… encore…

Il accéléra encore, la prenant comme il aurait pris une maîtresse interdite, son jouet secret. Elle sentait tout : la chaleur de son torse contre son dos, ses mains sur sa taille, la sueur de leurs peaux mêlées, le claquement rythmé de leurs corps.

Le plug tapait juste là où il fallait, amplifiant chaque sensation, chaque friction. Elle n’en pouvait plus. Et pourtant elle en voulait encore.

— Dis-moi à qui tu appartiens, Léa…

— À toi… à toi…

Il poussa un râle guttural et se libéra en elle dans une dernière poussée violente, profonde, la maintenant contre lui, haletant. Son souffle chaud caressa sa nuque alors qu’il se laissait aller, les doigts crispés sur sa taille.

Ils restèrent ainsi quelques longues secondes, suspendus, liés par ce plaisir brut, animal, exquis.


Il la relâcha doucement, glissant ses mains sur ses hanches avec tendresse. Léa bascula sur le côté, s’adossant au bureau, les jambes encore tremblantes.

— Je crois que j’ai mérité bien plus qu’une augmentation, souffla-t-elle, un sourire effronté aux lèvres.

Sébastien remonta lentement la fermeture de son pantalon, son regard toujours sombre de désir, mais plus calme maintenant, presque admiratif.

— Tu m’as complètement retourné…

Il s’approcha, attrapa son menton entre ses doigts.

— Je vais devoir revoir toute la grille des salaires… juste pour toi.

Elle rit doucement, se redressant, s’ajustant. Le plug était toujours là, discret, mais elle aimait cette sensation de rester marquée par lui. Comme un rappel intime de ce qu’ils venaient de vivre.

— Tu sais que je ne m’arrête pas à la première négociation, murmura-t-elle en l’embrassant au coin des lèvres.

Il la fixa un instant, un sourire en coin, puis lui tendit sa cravate.

— Alors demain. Même heure. Mais cette fois, c’est moi qui pose les conditions.

Elle attrapa la cravate, la fit glisser lentement entre ses doigts, comme une promesse silencieuse.

— J’espère bien… Monsieur Renaud.

Quand elle quitta le bureau, les cuisses encore moites, le cœur battant, elle savait que plus rien ne serait comme avant.

Elle n’était plus simplement la secrétaire.

Elle était devenue son jeu, sa faiblesse, son addiction.

À suivre…


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