Fantasmes de Bureau Dévoilés

Fantasmes de Bureau Dévoilés

Le fantasme du patron : convoquée dans son bureau

Depuis trois semaines, je rêvais de ce moment sans même me l’avouer. Chaque matin, je m’habillais un peu plus court, un peu plus cintré. Chaque rencontre dans le couloir, chaque échange de regard, nourrissaient mon imaginaire… et mes fantasmes de bureau les plus inavouables.

Mais ce lundi-là, tout a pris une autre tournure.

Lorsque j’ai reçu le mail, mon cœur s’est emballé. Objet : “Entretien privé avec M. Delcourt – 16h30”. Trois phrases impersonnelles, froides, presque austères. Pourtant, j’ai relu le message une bonne dizaine de fois, comme si je pouvais y déceler une arrière-pensée, une faille dans la posture figée du patron.

Je tapais nerveusement sur mon clavier, incapable de me concentrer. M. Delcourt, c’est ce genre d’homme qui n’a pas besoin de hausser le ton. Sa simple présence suffit à imposer le respect. Il est charismatique, trop. Grand, épaules larges, regard noir derrière ses lunettes fines. Sa voix grave, lente, commandait l’attention. Et chez moi… quelque chose d’autre. Une chaleur diffuse, carnivore, irrésistible.

Je ne devais pas fantasmer sur mon patron. Mais voilà, je fantasmais. Follement. Comme beaucoup de secrétaires avant moi, sans doute. Sauf que chez moi, ça prenait des proportions presque honteuses. Je m’étais surprise plus d’une fois à serrer les cuisses après l’avoir croisé dans l’ascenseur. Une fois, même… à glisser mes doigts entre mes jambes en pensant à lui, seule dans les toilettes de l’étage. Entendre sa voix entre deux soupirs devenait une habitude. Le fantasme du patron autoritaire, dominant, sûr de lui, avait germé, puis poussé comme une mauvaise herbe impossible à déraciner.

Alors, quand 16h30 a approché, j’ai lissé ma jupe, ajusté ma blouse blanche – un peu transparente, j’avoue – et vérifié que mes bas noirs parfaitement tenus par leur porte-jarretelles étaient en place. Il ne les verrait probablement jamais. Mais j’aimais porter ce genre de lingerie sous mes tenues strictes. Comme un secret sensuel réservé à mes désirs silencieux.

J’ai frappé doucement à la porte de son bureau.

– Entrez, a-t-il dit.

Sa voix. Toujours aussi calme. Toujours aussi ferme.

Il se tenait debout, face à la baie vitrée, une main dans sa poche, l'autre tenant un dossier. Son costume gris foncé soulignait ses hanches droites, son allure impeccable. Il ne s’est pas retourné tout de suite. J’ai refermé la porte derrière moi, sans faire de bruit.

– Asseyez-vous, mademoiselle Lambert, a-t-il ajouté en pivotant lentement.

Je me suis exécutée, croisant les jambes. Mes talons claquaient doucement sur le parquet ciré. Il m’a observée longuement, sans rien dire. Puis il s’est approché, jusqu’à se poser appuyé contre le bord du bureau. Trop près. Mon regard est tombé sur sa cravate. Noir satiné. Parfaite.

– J’ai reçu plusieurs signalements, a-t-il commencé. Comportements… distraits, retards… manque de concentration évident sur vos dernières rédactions. C’est inhabituel, non ?

J’ai dégluti. L’air me semblait trop épais. Il se penchait légèrement vers moi, et je pouvais sentir son parfum. Boisé, profond, infiniment viril.

– Je… je suis désolée. J’ai eu quelques soucis personnels. Rien de grave, mais je vais me reprendre.

Il m’a fixé droit dans les yeux. Le silence s’est prolongé. Un silence chargé, dense. Mon ventre se contractait doucement. J’avais envie de fuir… ou de me rapprocher encore.

– Je n’aime pas les excuses, Mademoiselle Lambert, a-t-il murmuré. Ce que j’attends de mes collaborateurs, c’est de la rigueur, de l’engagement. Et de la loyauté.

Le mot a claqué. “Loyauté”. Il le prononçait comme on pose une main invisible sur la nuque. Avec autorité. J’ai senti, malgré moi, ma respiration devenir plus saccadée.

– Est-ce que je peux compter sur vous ? a-t-il ajouté, sa voix baissant d’un ton.

– Oui… bien sûr.

– Bien. Car il y a des manières très efficaces de corriger les écarts d’attention.

Il a marqué un temps. Lentement, il s’est redressé, contournant son bureau. Je l’ai suivi du regard, troublée. Il a ouvert un tiroir, puis en a sorti quelque chose. Un objet fin, noir, presque élégant. Un paddle en cuir.

Mon sang n’a fait qu’un tour. Était-ce réel ? Avais-je rêvé ce qu’il tenait entre ses doigts ? Ou venait-il, sans le savoir, de donner corps à tous mes fantasmes BDSM longtemps réprimés ?

Il a posé le paddle sur le bureau, entre nous, sans rien dire. Ma bouche est restée entrouverte. Mes cuisses brûlaient. L’excitation me montait à la tête comme un shot de gin.

– Certaines choses ne s’expriment pas par écrit, a-t-il dit doucement. Il faut parfois employer un autre langage. Plus… direct.

Je sentais ma poitrine se soulever de plus en plus vite sous ma blouse. J’ai baissé les yeux, rougissante et humide.

– Vous ne dites rien, mademoiselle Lambert ?

– Je… Je suis surprise, monsieur Delcourt.

Il s’est approché de moi encore, contournant lentement le bureau jusqu'à se placer derrière ma chaise. D’un geste lent, contrôlé, il a effleuré délicatement ma nuque. Pas un geste déplacé. Juste une pression chaude, terriblement maîtrisée.

– Je préfère quand vous êtes concentrée. Vous êtes une excellente secrétaire. Talentueuse. Dévouée. Désirable.

Le mot est tombé comme une bombe. Désirable.

Mon ventre s’est creusé sous l’effet du désir. Mes bas collaient légèrement à ma peau. Mes pensées dérapaient. J’ai pensé à mes sextoys, ceux que je cachais dans ma table de chevet. À la sensation d’un plug anal glissé lentement au creux de mon intimité pendant une réunion Zoom. À la voix de mon patron, murmurée dans mes fantasmes interdits.

Et maintenant… je vivais peut-être l’un d’eux.

– Vous êtes tendue, a-t-il chuchoté à mon oreille, dans un souffle presque érotique. Laissez-moi vous aider à vous détendre…

Mon corps tout entier appelait déjà la suite.

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Le fantasme du patron : convoquée dans son bureau

Il m’avait effleurée à peine, du bout des doigts, mais j’en frissonnais encore. Un frisson court, intense, presque douloureux. Mon corps tout entier s’était mis en alerte. Et lui, toujours derrière moi, gardait le silence, comme s’il écoutait ma respiration devenir plus rapide, plus irrégulière.

Je n’osais pas bouger. Quelque chose en moi savait que si je tournais la tête, si je rompais ce fragile équilibre, tout chavirerait. Et je n’étais pas sûre de vouloir l’arrêter.

– Vous êtes bien silencieuse, mademoiselle Lambert, dit-il dans un souffle grave. Est-ce la nervosité… ou l’excitation ?

Je sentis son souffle effleurer la naissance de mon cou, juste là où ma peau était la plus sensible. Il savait ce qu’il faisait. Chaque mot, chaque geste, était pensé, maîtrisé avec une précision chirurgicale. Et moi, je sombrais.

– Peut-être… un peu des deux, murmurai-je sans me retourner.

Ma voix tremblait légèrement. Mais il y avait autre chose. Une provocation. Un frisson de courage qui me traversait, nourri par la chaleur moite entre mes cuisses.

– Intéressant, répondit-il simplement.

Il se redressa, s’éloignant d’un pas. Mon dos se glaça de son absence, puis se réchauffa aussitôt quand il fit lentement le tour du bureau pour se replacer face à moi. Il s’assit sur le rebord, jambes croisées, le paddle toujours posé entre nous.

– Je pourrais vous faire un blâme, vous retirer certains accès, vous mettre en observation, dit-il en faisant glisser un doigt sur le cuir noir. Mais j’ai l’impression… que ce ne serait pas très efficace avec vous.

Je déglutis. Mon regard était fixé sur sa main. Sur le paddle. Lisse. Disciplinant. Excitant.

– Non, monsieur Delcourt, avouai-je. Je ne pense pas.

Il esquissa un sourire à peine perceptible, un pli aux commissures de ses lèvres. Ce sourire-là, je ne l’avais jamais vu en réunion. Il n’était pas professionnel. Il était… personnel. Troublant.

– Vous portez quoi, sous cette jupe ? demanda-t-il soudain, sans hausser la voix.

Je me figeai. Mes lèvres s’entrouvrirent, mais aucun son n’en sortit. Il parlait comme on donne un ordre. Une demande sous forme de domination douce. Je sentis mes joues s’embraser.

– Des bas… noirs. Porte-jarretelles, dis-je enfin, à voix basse.

Il hocha lentement la tête, comme s’il validait une information cruciale. Son regard s’était assombri, chargé maintenant d’un désir à peine contenu.

– Montrez-moi.

Ce n’était pas une question. Pas une supplication. C’était une injonction posée, calme, presque polie. Et pourtant, elle me fit l’effet d’un fouet invisible.

Ma main glissa lentement sur ma cuisse, attrapa le bord de ma jupe. Je la relevai doucement, dévoilant la dentelle fine de mes bas, la bande noire du porte-jarretelles, tendue contre ma peau pâle. J’allais lentement. Pour lui. Pour moi. Pour le plaisir de sentir son regard me déshabiller.

– Très joli, souffla-t-il. Vous aimez les dessous raffinés, mademoiselle Lambert ?

– Oui… surtout quand personne ne les voit.

Il pencha légèrement la tête. Son regard descendit le long de mes jambes croisées, s’arrêta sur mes genoux à demi découverts. Puis il leva les yeux vers moi, et je crus y lire l’ébauche d’une étincelle carnassière.

– Je suis ravi d’avoir cet… honneur.

Il attrapa le paddle, le fit tourner lentement entre ses doigts. Le bruit du cuir contre sa paume me fit frémir. Je croisai à nouveau les jambes, plus fort cette fois, comme pour contenir la moiteur naissante de mon désir.

– Est-ce que vous avez déjà été punie, Lambert ?

Je le fixai, les joues en feu.

– Pas au bureau.

– Mais ailleurs, oui ?

Je hochai la tête, incapable de mentir. J’avais flirté avec le BDSM, doucement, prudemment. Quelques fessées données du plat de la main, un collier de cuir, un plug anal utilisé en secret pendant une réunion Zoom, juste pour le frisson de l’interdit. Mais jamais avec lui. Et jamais dans ce contexte-là. Jamais dans le cadre brûlant d’un fantasme patron secrétaire devenu tangible.

– Bien. Cela facilitera les choses, murmura-t-il.

Il se leva, contourna à nouveau le bureau. Je sentis mon cœur battre plus fort. Il passa derrière moi, puis je l’entendis ouvrir un tiroir. Un cliquetis de métal. Puis un autre. Quand il revint à ma hauteur, il tenait une paire de menottes en acier brossé, élégantes, froides. Leur éclat me coupa le souffle.

– Vous êtes libre de refuser. Mais si vous restez, vous m’appartenez jusqu’à ce que j’en décide autrement.

Sa voix était calme, mais sa main, elle, s’était posée sur mon épaule avec fermeté. Je sentais la chaleur de ses doigts à travers le tissu. Et je savais que je ne bougerais pas.

– Je reste.

Il ne dit rien. Il passa derrière moi, attrapa mes poignets, les guida lentement derrière le dossier de la chaise. Les cliquetis des menottes furent discrets… mais symboliques. Son autorité venait de franchir un seuil. Et moi, je m’y abandonnais.

– Voilà qui est mieux.

Il se pencha, ses lèvres frôlant mon oreille.

– Vous êtes si docile… Je me demande ce que vous cachez derrière cette blouse blanche. Une poitrine indisciplinée ? Un sextoy glissé dans votre culotte ? Ou peut-être… rien du tout ?

Je haletai doucement. L’image me traversa : moi, à genoux dans ce bureau, ses doigts dans mes cheveux, son paddle contre ma cuisse. Et je sentis une goutte chaude couler lentement entre mes lèvres intimes. J’étais trempée.

– Vous voulez que je vérifie ?

Je n’ai pas répondu. Mais mon corps, lui, criait oui.

Il fit lentement le tour, s’agenouilla devant moi. Ses mains remontèrent le long de mes cuisses avec une lenteur exaspérante. Puis il s’arrêta juste avant d’atteindre ma culotte en dentelle noire. Il me regarda, droit dans les yeux.

– Elle est déjà mouillée… Vous êtes incroyablement excitée, mademoiselle Lambert.

– Je ne contrôle pas… ce que vous me faites.

Il sourit, cette fois franchement.

– C’est parfait. J’aime quand le corps parle avant l’esprit.

D’un doigt, il effleura le tissu humide. J’haletai doucement. Il ne fit qu’un aller-retour, suffisamment lent pour que je ressente chaque fibre, chaque vibration.

– Je pourrais glisser un vibromasseur là, entre vos lèvres trempées… le laisser vrombir pendant que vous prenez des notes à la prochaine réunion RH.

– Mon dieu…

– Et vous ne diriez rien. Parce que vous savez que vous êtes à moi. Ma secrétaire. Ma petite chose disciplinée.

Je fermai les yeux. Mon bassin bougeait malgré moi. Mes poignets se tendaient contre les menottes. Mon clitoris me suppliait d’être touché. Mais il savait. Il savait que la frustration fait partie du jeu.

Il recula, lentement. Se releva, me laissa là, attachée, offerte, haletante.

– Je veux que vous restiez comme ça cinq minutes. Sans bouger. Et que vous réfléchissiez à la façon dont vous allez me remercier… la prochaine fois.

Il attrapa le paddle, le fit claquer doucement dans sa paume.

– Car il y aura une prochaine fois, mademoiselle Lambert. Et elle ne sera pas aussi… clémente.

Mon regard le suivit jusqu’à la porte. Mon corps, lui, était en feu. Et déjà, je n’attendais qu’une chose : qu’il revienne.

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Le fantasme du patron : convoquée dans son bureau

Ses doigts s’enfoncèrent lentement sous ma culotte trempée. Il ne me quittait pas des yeux, surveillait la moindre de mes réactions, comme s’il lisait en moi en temps réel. Je retenais un gémissement, mais mon corps, lui, ne mentait pas. Tout en moi appelait sa main, sa bouche, son autorité.

– Écartez les jambes, ordonna-t-il doucement.

Je m’exécutai, les menottes me forçant à cambrer un peu plus. Une position d’offrande. Vulnérable. Exquise.

Il retira ma culotte d’un geste précis, puis la glissa dans la poche intérieure de son veston.

– Souvenir de cette première entrevue, murmura-t-il.

Sa langue descendit le long de mon ventre, traçant une ligne brûlante jusqu’à mon centre. Lorsqu’il effleura mon clitoris du bout des lèvres, je crus m’évanouir. Un cri étouffé franchit ma gorge, ma tête tomba en arrière contre le dossier.

– Vous goûtez l’interdit, Lambert… Et j’adore ça.

Il alternait caresses et morsures, suçant avec lenteur, explorant chaque recoin de mon intimité avec une précision cruelle. Ma peau était parcourue de frissons involontaires. Chaque coup de langue déclenchait une onde de chaleur, un spasme incontrôlable. Mon bassin se soulevait malgré moi, quémandant plus, encore, sans fin.

– Vous êtes si réactive. Si docile. Votre corps me supplie de continuer.

Il inséra un doigt, puis deux, avec une lenteur exaspérante. Je m’arquai, gémissante, incapable de retenir ma jouissance qui montait en spirale.

– Je veux que vous jouissiez pour moi. Ici. Dans mon bureau.

Ses paroles me traversèrent comme un ordre gravé dans ma chair. Son pouce trouva mon clitoris. Sa langue reprit ses caresses. Et alors que ses doigts accéléraient leur rythme, je basculai, emportée par une vague fulgurante.

– Monsieur… je… je…

Je me tendis, chaque muscle crispé, mes poignets tirant sur les menottes. Ma respiration se coupa, puis explosa en une série de gémissements incontrôlables. Mon corps se contracta violemment autour de lui. L’orgasme me traversa comme une décharge, brutale, totale, irréversible.

Il ne bougea pas, continua jusqu’au dernier frisson. Jusqu’à ce que je m’effondre contre la chaise, pantelante, tremblante, offerte.


Il remonta lentement, essuya ses lèvres d’un revers du pouce, puis se pencha vers mon oreille.

– Voilà. Vous êtes beaucoup plus concentrée, maintenant.

Je souris malgré moi, encore à demi absente, prise dans une brume chaude et délicieuse.

– C’est… c’était…

– Une mise en bouche, coupa-t-il en détachant les menottes avec soin. Ce bureau est insonorisé. Et je n’ai aucune réunion prévue avant demain matin.

Je relevai les yeux vers lui, les jambes encore molles, la culotte absente, la peau marquée de ses attentions.

– Vous comptez me garder ici toute la nuit ?

Il sourit, un sourire rare, carnassier.

– Pas toute la nuit. Juste assez longtemps pour que vous n’ayez plus jamais envie d’être distraite au travail. Et pour que vous sachiez, à chaque mail reçu… que vos fesses m’appartiennent.

Il me tendit la main. Je la pris. Me levai.

– J’ai des accessoires dans le tiroir du bas. Une cravache. Un plug vibrant. Un bandeau en soie. Vous voulez les voir ?

Je le fixai, un sourire aux lèvres, le cœur battant, le désir encore palpitant entre mes cuisses.

– Montrez-moi tout, monsieur Delcourt.

Et il referma la porte à clé.


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