Ma première fois avec deux femmes : Éveil et désirs partagés

Ma première fois avec deux autres femmes : confidences d’un soir brûlant

Je n’avais jamais prévu de vivre une expérience à trois. Encore moins avec deux femmes. Et pourtant, ce soir-là, tout a basculé dans le salon tamisé de Clara, entre un verre de vin blanc sec et les effluves sucrées de son parfum ambré.

Clara, c’était cette collègue au regard un peu trop appuyé pour être innocent. Toujours élégante, toujours à fleur de peau. Elle savait parler, rire, séduire sans jamais forcer. Et puis il y avait Élise, sa colocataire, que j’ai rencontrée ce même soir. Boucles rousses, bouche pulpeuse, regard joueur. Une beauté insolente qui ne demandait qu’à troubler.

Je ne sais même plus comment la conversation a dérapé. Peut-être à cause des sujets trop intimes, ou des verres qui s’enchaînaient. Ou peut-être parce que j’avais besoin de ça : franchir une limite, explorer l’un de mes fantasmes érotiques les plus inavouables — une relation entre femmes, charnelle, libre, hors des codes.

– Tu n’as jamais essayé avec une femme ? demanda Élise, un sourire en coin.

Je sentis mes joues chauffer. Clara posa sa main sur ma cuisse, comme si elle cherchait à calmer la tension… ou à l'attiser.

– C’est différent. Plus lent. Plus... attentif, souffla Clara à mon oreille.

Mon cœur battait plus vite. Ma culotte était déjà humide. Je n’avais jamais été aussi consciente de mon corps, ni du leur. Chaque geste, chaque souffle, semblait charger la pièce d’une électricité brûlante.

Élise se leva et mit de la musique. Quelque chose de sensuel, presque tribal. Puis elle revint vers moi, et sans me quitter des yeux, fit glisser sa veste, révélant une lingerie noire délicate, toute en transparence.

– On peut s’arrêter quand tu veux, murmura-t-elle. Mais si tu as envie… laisse-toi faire.

J’hochai la tête. Je crois que j’avais envie depuis la première seconde où j’étais entrée. Mais là, je n’avais plus peur. Juste ce frisson délicieux entre les cuisses, cette chaleur montante, ce besoin de découvrir ce que c’était, une première fois avec deux autres femmes.

Clara se leva à son tour et s’approcha de moi. Elle m’embrassa doucement, ses lèvres chaudes et sucrées. Puis plus fort. Ses mains glissèrent dans mes cheveux, pendant qu’Élise s’agenouillait devant moi et faisait glisser mes collants. Lentement. Délicieusement lentement.

– Tu veux qu’on t’attache ? proposa Clara, en montrant une paire de menottes en cuir posée sur la table basse.

Je ris nerveusement. Mais mon corps répondit avant moi. J’écartai un peu plus les jambes. La réponse était claire.

– Oui… s’il vous plaît.

Et c’est ainsi que tout a commencé. Une nuit de découvertes. De plaisir partagé. Où chaque limite était discutée, respectée. Où la jalousie n’avait pas sa place, tant tout était fluide, naturel, intense.

Je découvrais non seulement leur corps, mais le mien aussi. Comment une caresse lente pouvait me faire trembler. Comment un vibromasseur contre mon clitoris, pendant qu’Élise me léchait doucement, pouvait me faire gémir sans retenue. Et comment Clara, derrière moi, glissait un plug anal tout en m’embrassant le cou, me faisait atteindre un orgasme que je ne croyais réservé qu’aux livres ou aux fantasmes BDSM.

Ce soir-là, j’ai appris à parler. À dire ce que je voulais. Ce que je ne voulais pas. À communiquer mes limites, mes désirs, sans honte. J’ai compris que vivre une expérience érotique à trois n’était pas juste une orgie sans âme — mais une danse à trois corps et trois cœurs en éveil.

Et maintenant, chaque fois que je repense à cette nuit, mon ventre se serre. Mon sexe se contracte. Et l’envie revient, vive, chaude, urgente.

Parce que certaines premières fois marquent à jamais.

Je ne sais pas combien de temps je suis restée simplement assise là, entre elles deux, à les regarder, à les regarder me regarder. Mon souffle était court, mon cœur battait dans mes tempes comme un tambour de guerre. Clara me tenait toujours la cuisse, ses doigts dessinant de petits cercles sur ma peau nue. Élise, elle, avait posé sa bouche contre mon genou, y déposant un baiser aussi léger qu’un frisson.

– Tu vas adorer, souffla-t-elle, avant de remonter lentement ses lèvres vers mon entrejambe.

Je sentis ma respiration s’accélérer, ma poitrine se soulever sous le soutien-gorge en dentelle que je n’avais pas encore retiré. Clara se leva, contourna le canapé, et attrapa les menottes posées sur la table basse. Son regard était ferme, sûr. Elle savait ce qu’elle faisait. Et moi, je n’avais jamais été aussi prête à me laisser faire.

– Donne-moi tes poignets, dit-elle simplement.

Je tendis les bras, docile, curieuse, affamée. Le cuir refermé sur ma peau douce, le petit cliquetis métallique des fermoirs me fit frissonner de la tête aux pieds. Elle attacha mes poignets au dossier du canapé, les maintenant au-dessus de ma tête, m’offrant à elles, vulnérable et exposée.

– Tu es magnifique comme ça, murmura Clara, en se penchant pour m’embrasser le creux du cou.

Ses lèvres étaient chaudes, sa langue traçait une ligne humide jusqu’à ma clavicule. Pendant ce temps, Élise écartait doucement mes jambes, me regardant comme un trésor qu’elle s’apprêtait à découvrir.

– Tu veux que je te lèche ? demanda-t-elle, son souffle effleurant mon pubis.

Je hochai la tête, incapable de parler. Ma culotte était trempée. Elle le constata en y pressant un doigt, puis deux.

– Tellement mouillée… Tu nous veux vraiment, hein ?

Je gémis, incapable de mentir. Chaque mot, chaque geste, chaque regard me consumait un peu plus.

Clara revint avec un petit vibromasseur couleur bordeaux. Discret, élégant. Elle le déposa un instant contre mes lèvres, me faisant sentir sa fraîcheur.

– On va commencer doucement. Tu n’as qu’à nous dire si tu veux qu’on arrête, d’accord ?

Je hochai la tête, les poignets toujours attachés, offerte, vulnérable.

Le premier contact du sextoy sur mon clitoris me fit cambrer. Une chaleur vive s’empara de mon ventre. Clara tenait l’objet avec une lenteur calculée, presque cruelle, tandis qu’Élise faisait glisser ma culotte le long de mes cuisses, la déposant comme un trophée sur la table basse.

– Goûte-la, dit-elle à Clara avec un sourire malicieux.

Clara porta ma culotte à ses lèvres, ferma les yeux, inspira profondément, puis la lécha lentement comme un fruit confit. Je n’aurais jamais cru que ce geste me ferait gémir, mais je sentis mon sexe pulser violemment.

– Tu sens le miel et le sel, murmura-t-elle. J’ai envie de toi depuis des semaines.

Élise s’installa entre mes cuisses, ses mains appuyant doucement sur mes hanches pour m’ancrer à elle. Sa langue toucha mes lèvres intimes avec une lenteur exquise. Mon corps tout entier vibrait entre leurs mains. Je ne savais plus où j’étais, qui j’étais, juste que j’étais là, à vivre ce fantasme érotique à trois, à me laisser guider.

Clara embrassa ma bouche pendant qu’Élise me léchait, d’abord doucement, puis avec plus d’assurance. Le vibromasseur vibrait doucement contre mon clitoris, tandis que les gémissements que je retenais à peine résonnaient entre les murs du salon.

– Tu veux qu’on aille plus loin ? demanda Clara, une main sur mon sein, l’autre entre mes cuisses.

– Oui… soufflai-je. Faites-moi tout.

Son regard s’assombrit d’un plaisir carnassier. Elle disparut un instant et revint avec un petit plug anal en silicone noir. Je n’avais jamais essayé. Mon regard trahit mon hésitation.

– On va y aller doucement. Tu vas adorer. Fais-moi confiance.

Elle lubrifia l’objet avec soin, puis me caressa doucement entre les fesses. Élise continuait ses va-et-vient langoureux avec sa langue, et je sentais l’orgasme tout proche, prêt à jaillir. Mais Clara voulait jouer plus longtemps. Elle inséra un doigt, lentement. Puis deux. Je me tendis, surprise par l’intensité du mélange de gêne et de plaisir.

– Respire. Relâche-toi. Tu es à nous ce soir.

Et je me relâchai. Le plug entra doucement, accompagné de ses doigts, de sa voix, de son souffle contre mon oreille. Mon sexe palpitait, mes jambes tremblaient, mes gémissements étaient devenus des suppliques.

– Maintenant… jouis pour nous, dit Élise, sa voix rauque, pleine d’envie.

Et je jouis. Fort. Longtemps. Mon corps entier se contracta, mes poignets tirant contre les menottes, mon dos cambré, ma bouche grande ouverte dans un cri silencieux, pendant que Clara me tenait par la gorge et qu’Élise me léchait jusqu’à la dernière onde de plaisir.

Je retombai contre le canapé, épuisée, haletante, les jambes encore tremblantes.

Mais elles n’avaient pas fini.

Clara me détacha doucement, me coucha sur le tapis moelleux, et me regarda dans les yeux.

– À ton tour de nous faire plaisir.

Elle se déshabilla lentement, révélant une lingerie en satin prune, ses bas maintenus par des jarretelles fines. Élise se plaça derrière moi, me glissant un baiser derrière l’oreille.

– Tu vas adorer ça, murmura-t-elle.

Clara s’assit sur le canapé, les jambes écartées, son sexe à nu, brillant d’excitation. Je rampai jusqu’à elle, encore étourdie de mon propre orgasme, mais affamée d’elle.

Je posai mes lèvres sur sa vulve doucement, timidement d’abord, puis avec plus d’assurance en sentant son corps se tendre sous mes caresses. Elle gémit, sa main agrippant mes cheveux. Je léchai lentement, explorant chaque pli, chaque frémissement, chaque perle d’humidité. Son goût était envoûtant, mêlé d’un soupçon de musc et de désir pur.

Derrière moi, Élise m’écartait doucement les fesses, redonnant vie au plug, puis en ajoutant un doigt dans mon sexe, jouant avec mon propre plaisir pendant que je donnais le sien à Clara.

– Vous êtes si belle ensemble, souffla Élise. Tellement indécentes… tellement parfaites.

Et Clara jouit, sa main serrant mes cheveux, son bassin plaqué contre ma bouche, son cri rauque résonnant dans toute la pièce.

Je me redressai, haletante, couverte de plaisir, de sueur, de leur odeur mêlée à la mienne.

On s’allongea toutes les trois sur le tapis, nues, entremêlées, encore vibrantes.

– Tu vas avoir du mal à t’en remettre, murmura Élise, sa tête contre mon épaule.

– Je ne veux pas m’en remettre, répondis-je, un sourire au coin des lèvres.

Et dans les bras de ces deux femmes, je compris que certaines premières fois ne sont pas des accidents… mais des appels du corps qu’on attendait juste d’entendre.

Clara se cambra sous ma langue, ses cuisses se resserrant un instant autour de ma tête, puis se relâchant dans un soupir tremblé.

– Continue… comme ça…

Sa main plaquait mon visage contre son sexe, tandis qu’Élise derrière moi glissait un deuxième doigt à l’intérieur de moi, tout en jouant doucement avec le plug anal déjà en place. Mon corps vibrait entre elles, suspendu à chaque gémissement, chaque contraction.

Je bougeais la langue avec plus de rythme, traçant des cercles autour de son clitoris, le prenant entre mes lèvres, le suçant doucement, puis plus fort, au rythme de ses gémissements qui s’accéléraient.

– Putain, tu lèches si bien… haleta Clara. Je vais jouir encore…

Je sentis son bassin se raidir, ses jambes trembler, puis tout son corps se tendre dans une vague de plaisir. Elle cria, rauque, presque sauvage, et s’écroula contre le canapé, haletante, les doigts toujours enroulés dans mes cheveux.

Derrière moi, Élise se pencha sur mon dos, sa poitrine nue effleurant ma peau moite.

– Tu crois que t’en as fini ? souffla-t-elle à mon oreille. Je n’ai pas encore joui, moi…

Elle me retourna doucement sur le dos, m’embrassa avec une tendresse brûlante, puis s’installa à califourchon sur mon visage, son sexe humide et ouvert à quelques centimètres de mes lèvres.

– Ta langue, maintenant. Rends-moi folle…

Je n’avais jamais fait ça, mais mon envie surpassait toute hésitation. Je la léchai d’abord doucement, découvrant son goût, ses réactions. Elle ondulait contre ma bouche, gémissait fort, sans retenue. Clara s’était relevée et s’était glissée entre mes cuisses, reprenant le vibromasseur qu’elle m’appliqua immédiatement contre le clitoris.

Je me cambrai, ma langue toujours plongée dans le plaisir d’Élise, pendant que Clara jouait avec moi comme si elle connaissait chaque recoin de mon corps. La sensation du sextoy, le plug qui me remplissait, les doigts d’Élise s’agrippant à mes seins… tout devenait flou, irréel, trop intense.

– Tu es si bonne… murmura Clara. Si offerte…

Élise poussa un cri aigu, se tendit au-dessus de moi, puis se laissa tomber en arrière, pantelante, les cuisses tremblantes. Juste à ce moment-là, Clara augmenta les vibrations. Mon orgasme me prit par surprise, violent, incontrôlable. Je criai à mon tour, le ventre noué, les jambes crispées, le cœur battant à exploser.

Je jouis une deuxième fois, plus longuement encore, comme si mon corps s’était ouvert en deux pour recevoir leur désir.

Quand tout se calma, je restai là, allongée entre elles, trempée de sueur, de plaisir, de leur odeur mêlée à la mienne.

Clara me regarda avec un sourire doux, presque tendre.

– Tu vas bien ?

J’hochai la tête, incapable de parler. Mes lèvres étaient gonflées, mon sexe encore palpitant.

Élise se blottit contre moi, sa main jouant paresseusement avec une mèche de mes cheveux.

– C’était intense, murmura-t-elle. Tu t’es laissée aller… totalement.

– J’ai jamais ressenti ça, soufflai-je. C’était… au-delà des mots.

Clara embrassa ma tempe, puis mon épaule, puis ma bouche. Doucement. Lentement. Comme pour sceller quelque chose.

– Et si on recommençait… un autre soir ? proposa-t-elle, son regard brillant d’une promesse.

Je souris, le cœur encore battant, la peau frémissante à l’idée de revivre ça. D’aller plus loin. De m’abandonner encore.

– Oui. Mais cette fois, je vous attache toutes les deux.

Leurs rires éclatèrent dans le silence du salon. Moelleux, complices, brûlants.

Et dans cette chaleur partagée, je sus que je venais de franchir un seuil. Et que derrière, il n’y avait plus de retour possible. Juste l’envie. Et la promesse de nuits encore plus folles.

Title:première fois en trio : un voyage sensuel entre femmes Description:Plongez dans l'érotisme de ma première fois avec deux autres femmes, une expérience sensuelle et libératrice qui bouleverse toutes les limites.