
Passion Secrète au Bureau
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Réunion très spéciale après 18h – Une histoire de sexe au bureau
La lumière crue des néons avait cédé la place à un halo plus doux, tamisé par les stores semi-clos du dernier étage. Il était 18h37. Depuis longtemps, la majorité des employés avaient déserté les plateaux vitrés du cabinet de consulting. Seuls quelques laptops encore allumés témoignaient d'une présence discrète... ou volontairement prolongée.
Élodie, elle, était restée.
Assise à la table de réunion, dos droit, elle relisait distraitement la présentation PowerPoint affichée en fond d’écran sur le téléviseur mural. Sa jupe noire fendue remontait un peu trop haut sur sa cuisse croisée, mais elle s’en moquait à moitié. Peut-être même qu’elle l'avait fait exprès. Un dossier "stratégique" justifiait leur rencontre tardive. Mais l’urgence était ailleurs. Elle le sentait dans le creux de son ventre, ce frisson indéfinissable, ce frémissement sous sa culotte en dentelle qu'elle n'aurait pas dû porter aujourd’hui, selon ses propres règles. Trop fine. Trop ouverte. Trop... tentante.
Le bruit sourd de la porte qui se referma doucement derrière lui la fit frissonner. Elle ne tourna pas la tête, mais elle le savait déjà là. L’odeur légère de son parfum boisé l’envahit. Ce parfum qu'elle avait reconnu dès le premier jour.
– Je vois que tu es ponctuelle, Élodie.
Sa voix grave était comme un toucher. Elle ferma brièvement les yeux.
– Toujours, répondit-elle sans le regarder. J’aime que les choses soient... bien orchestrées.
Elle sentit son regard glisser sur elle. Lentement. Décortiquant chaque bouton de sa chemise ivoire, s'attardant là où la transparence du tissu trahissait la forme de ses seins, dont les pointes trahissaient une excitation qu’elle faisait mine d’ignorer. Elle ne portait pas de soutien-gorge ce soir. Il le verrait bientôt. Elle avait tout prévu. Ou presque.
Il tira une chaise, sans la quitter des yeux. S’assit à côté d’elle. Trop près pour respecter les conventions. Juste assez pour ne pas qu’on puisse l’accuser de quoi que ce soit. Pas encore.
– Alors... ce document confidentiel que tu voulais me montrer ? demanda-t-il, amusé.
– Sur ton écran, tu le trouveras dans le dossier « Prévisions Q4 ».
Ses doigts pianotèrent sur son clavier, mais ses yeux restaient ancrés aux siens. Elle y lisait un défi. Une tension électrique, presque insolente. Cela faisait des semaines qu’ils se frôlaient sans s’effleurer. Des réunions partagées, des regards volés pendant les conférences hebdomadaires, des mails codés envoyés à des heures où personne ne travaille vraiment.
Et cette fois, elle avait décidé de franchir la ligne. Volontairement. Délibérément.
Elle se pencha en avant pour saisir sa bouteille d’eau, laissant sa chemise pendre légèrement, révélant la base fine de sa colonne vertébrale. Elle sentit son regard descendre, lent, précis, avant de remonter le long de ses hanches moulées dans sa jupe trop serrée.
Un murmure glissa dans l’air :
– Tu sais que ce que tu fais est dangereux ?
Elle se retourna, planta ses yeux dans les siens. Lentement, elle dévissa le bouchon de sa bouteille, en prenant soin de garder ses gestes fluides, maîtrisés. Puis elle but une gorgée, sans le quitter du regard.
– Le risque est une spécialité dans cette boîte, non ?
Il rit, bas, un peu rauque. Son rire résonna dans la salle, presque trop grande pour deux. Elle aimait ce moment suspendu, ce préliminaire verbal aussi excitant qu’une caresse. Elle sentait la tension grimper, délicieusement. Comme un plug anal discrètement inséré au réveil, et qu’elle avait porté toute la journée en souriant. Le secret du plaisir, c’était la maîtrise. Et l’attente. Surtout l’attente.
– Tu prépares quelque chose, murmura-t-il, penché vers l’écran, sans la regarder, mais bien plus proche qu’avant. Je le sens.
– Peut-être, dit-elle. Tu sauras si tu restes jusqu’à la fin de la réunion.
Le silence s’étira. Un silence dense, saturé du soupir contenu de ses cuisses fermées trop longtemps.
– Tu joues, Élodie.
– Je gagne surtout.
Il se leva, contourna la table lentement, comme un fauve contournant sa proie consentante. Derrière elle, il s’arrêta. Elle sentit son souffle sur sa nuque. Elle ne bougea pas. Elle aimait sentir son pouvoir faire écho au sien. Elle savait que s’il posait un doigt sur elle maintenant, elle halèterait. Pourtant, elle attendait. Elle voulait que ce soit lui qui rompe le charme. Ou qu’il l’élève encore.
– Dis-moi, souffla-t-il à son oreille. Tu portes quoi ce soir... dessous ?
Elle pivota lentement, sans bouger son buste, ses yeux plantés dans les siens. Elle esquissa un sourire.
– Ce que j’ai de mieux. Pour les occasions spéciales.
– Et celle-ci en est une ?
– Toi-même, tu le sais.
Il se rapprocha. À quelques centimètres seulement, elle pouvait sentir la chaleur de son corps. L’envie montait, irrépressible. Mais pas encore.
Elle referma son laptop en douceur. Se leva. Lentement, détacha un à un les boutons supérieurs de sa chemise. Assez pour laisser deviner. Rien de plus.
– Je pense qu’on devrait parler... derrière des portes plus discrètes, dit-elle dans un souffle.
Il la regarda longuement. Puis hocha lentement la tête.
– Salle de repos ?
– Mieux. Bureau RH. Ils ferment toujours à 17h30.
Elle tourna les talons, laissant ses talons claquer sur le sol ciré. Elle savait qu’il la suivrait. Il n’en avait pas le choix.
Ce soir, il n’y aurait pas de mails. Pas de comptes rendus. Juste une nouvelle page à écrire. Une histoire de sexe au bureau. Et le premier chapitre venait tout juste de commencer.
```htmlRéunion très spéciale après 18h – Une histoire de sexe au bureau
Le couloir était désert. Élodie marchait devant, talons assurés, silhouette sculptée par sa jupe taille haute et sa chemise entrouverte. Elle ne se retournait pas. Elle n’en avait pas besoin. Elle le savait derrière elle, captif, silencieux, excité.
Le badge de sécurité glissa dans la fente. La porte du bureau RH s’ouvrit dans un déclic feutré. Elle entra sans un mot, laissant le battant se refermer lentement derrière lui.
La pièce était plongée dans une pénombre douce, éclairée seulement par la lumière orangée qui filtrait à travers les stores. L’atmosphère changea aussitôt. Plus intime. Plus dangereuse aussi.
Elle s’adossa au bureau principal, les bras croisés sous sa poitrine nue sous la chemise.
– Tu sais que c’est de la folie, souffla-t-il enfin.
– Je sais, répondit-elle. Et c’est pour ça que tu restes.
Il ne répondit pas. Mais s’avança. Lentement. Chaque pas résonnait dans le silence du bureau déserté. Lorsqu’il fut à sa hauteur, elle leva les yeux vers lui. Un bras toujours croisé, elle laissa l’autre main effleurer sa cuisse, juste sous la fente de sa jupe.
– Tu veux savoir ce que je porte ?
Il hocha la tête, les yeux fixés à l’endroit où ses doigts jouaient avec l’ourlet du tissu.
Elle fit glisser doucement la fente, dévoilant un bout de dentelle noire. Un string à peine là. Transparent. Et plus bas encore, un discret bijou argenté brillait à la commissure de ses lèvres intimes.
– Tu portes un... plug ?
– Depuis ce matin, dit-elle en souriant. Pour me rappeler que je ne suis jamais vraiment sage.
Il grogna bas, comme un animal excité. Un souffle rauque qu’elle ressentit jusqu’au ventre. Elle adorait ça. Ce moment où le contrôle basculait. Où le pouvoir se disputait entre eux, sans qu’aucun ne le lâche vraiment.
– Tourne-toi, ordonna-t-il doucement.
Elle planta ses yeux dans les siens.
– Pas encore. C’est moi qui mène le jeu... pour l’instant.
Elle s’approcha, jusqu’à ce que leurs corps se frôlent. Ses mains vinrent se poser sur sa chemise, qu’elle déboutonna lentement. Elle aimait ce moment. Déshabiller un homme, comme on défait une promesse. Bouton après bouton. Jusqu’à la peau.
Ses doigts glissèrent sur ses abdominaux, sur la ligne fine de sa ceinture. Elle sentit le frisson dans sa mâchoire quand elle effleura sa boucle de cuir.
– Tu es tendu, murmura-t-elle dans un souffle.
– Tu n’as pas idée.
Elle se pencha, ses lèvres frôlant à peine son torse, y déposant un baiser léger. Puis un autre. Plus bas. Juste au-dessus de la ceinture. Elle s’agenouilla lentement, ses genoux touchant la moquette tiède.
Mais elle ne toucha rien. Pas encore.
Elle leva les yeux vers lui, un sourire au coin des lèvres.
– Tu en as envie, n’est-ce pas ?
– Tellement.
– Alors attends. Je veux te sentir perdre patience.
Elle se releva d’un mouvement fluide, puis se retourna. Sa jupe glissa le long de ses hanches, tombant sur ses talons. Il découvrit ses fesses parfaitement galbées, le fin bijou métallique fiché entre ses lèvres brillantes. Elle était mouillée. Visiblement. Délibérément.
Il s’approcha, posa une main sur sa hanche.
– Si tu savais comme tu es belle...
– Alors regarde. Mais ne touche pas encore.
Elle s’appuya contre le bureau, cambra légèrement, offrant une vue parfaite sur la courbe de ses reins, sur l’éclat humide de sa peau offerte mais encore intouchée.
Il grogna à nouveau, sa main tremblant d’envie.
– Tu joues avec le feu, Élodie.
– Et toi, tu brûles déjà, non ?
Il recula légèrement, reprenant son souffle, son self-control. Elle se retourna, lentement, sa poitrine nue vibrant légèrement à chaque respiration. Elle ouvrit un tiroir derrière elle, en sortit un petit étui noir.
– Tu connais ce vibromasseur ? demanda-t-elle innocemment.
– Montre-le-moi.
Elle ouvrit l’étui. Un petit modèle, fin, élégant, argent satiné. Elle le fit glisser entre ses doigts, lentement, le fit vibrer d’une simple pression. Un bourdonnement discret envahit la pièce.
– Il est silencieux. Parfait pour les réunions... spéciales.
Elle s’assit sur le bureau, jambes croisées, le sextoy dans une main. Puis elle le guida lentement entre ses cuisses, sous le regard captivé de son partenaire. Le contact fit frémir sa peau, un soupir s’échappa de ses lèvres.
– Tu veux regarder ?
– J’en crève d’envie.
Elle écarta lentement les jambes, juste assez pour qu’il voie le vibromasseur effleurer ses lèvres gonflées. Le plug toujours en place. Sa respiration s’accéléra, la tension monta. Elle luttait pour ne pas aller trop vite. Pour ne pas glisser tout de suite dans cette jouissance qui la happait déjà.
– Dis-moi ce que tu veux, Élodie.
– Je veux que tu me regardes jouir... sans me toucher.
Son regard s’assombrit. Il aimait ça. Cette provocation. Cette frustration. Ce jeu de pouvoir inversé. Il s’assit sur la chaise en face d’elle, écartant légèrement les jambes, comme pour mieux se contenir.
– Vas-y. Montre-moi.
Elle ferma les yeux, la tête légèrement basculée en arrière. Le vibromasseur vibrait à peine, mais elle y était déjà tellement sensible. Le plug en elle amplifiait chaque pulsation. Elle se mordit la lèvre, un gémissement retenu glissant entre ses dents.
– Tu vois ce que tu me fais ?
– Je le sens, oui.
Elle ouvrit les yeux, planta son regard brûlant dans le sien.
– Et ce n’est que le début.
Il se leva d’un bond, la rejoignit en deux pas. Son souffle était court. Sa main tremblait en caressant l’air, sans encore toucher sa peau.
– Élodie... je vais exploser.
– Pas encore.
Elle coupa le vibromasseur. Le silence retomba, brutal. Le manque était presque douloureux. Mais le plaisir, lui, était suspendu. Prêt à éclater. Plus violent encore.
Elle se pencha, son souffle chaud contre son oreille.
– La prochaine étape... c’est toi qui la décideras. Si tu oses.
Elle recula, ramassa sa jupe, laissa sa chemise ouverte, et marcha vers la sortie, nue sous le tissu, encore frémissante.
– Demain. Même heure. Salle d’archives. Si tu veux la suite de cette histoire de sexe au bureau...
Elle disparut dans le couloir sombre, le laissant là, raide de désir, le regard hanté par le corps qu’il n’avait pas encore possédé.
``` ```htmlRéunion très spéciale après 18h – Une histoire de sexe au bureau
Elle n’avait pas refermé la porte derrière elle. Il l’avait rattrapée dans le couloir, sans un mot, l’avait saisie par la taille avec une urgence contenue depuis trop longtemps. Le dossier RH était oublié. Le seul fichier qu’ils allaient ouvrir ce soir, c’était leurs corps.
Élodie se laissa plaquer contre le mur feutré de la salle d’archives, dans un coin où plus personne ne venait depuis des mois. Il la souleva légèrement, ses mains sous ses cuisses, son souffle court contre sa gorge.
– Tu m’as rendu fou, souffla-t-il.
– C’était le but…
Elle écarta les jambes, accueillante, brûlante. Son string tomba à ses chevilles d’un geste habile. Le plug vibrait encore doucement en elle, amplifiant chaque frisson. Elle haletait déjà, et il n’avait même pas encore pénétré.
Il la regarda, yeux noyés de désir, puis entra en elle d’un coup lent mais profond. Un soupir s’échappa de ses lèvres, suivi d’un gémissement rauque. Elle s’agrippa à ses épaules, cambrée contre le mur, offerte, connectée.
– Encore, murmura-t-elle.
Il obéit. Des coups lents, appuyés, rythmés par le clapotis de son excitation. Chaque va-et-vient faisait vibrer le plug en elle, la rendant plus sensible, plus réceptive. Elle sentait chaque pulsation jusque dans ses reins.
– Tu es si serrée…
– Et toi… si dur…
Il accéléra, ses mains crispées sur ses hanches. Elle sentait venir la vague. Elle la voulait entière, brutale, totale.
Elle tendit la main à l’aveugle, attrapa le vibromasseur qu’elle avait glissé dans sa poche avant de partir. Elle le plaça contre son clitoris, le déclencha à puissance maximale. Son cri fut étouffé contre son épaule.
Son orgasme la traversa comme une décharge. Son corps se contracta autour de lui, fort, profond, incontrôlable. Il grogna, s’enfonça plus loin encore, et explosa à son tour dans un râle rauque, tremblant contre elle, les yeux fermés, le souffle arraché.
Ils restèrent ainsi, collés l’un à l’autre, haletants, moites, suspendus dans cette bulle de plaisir brut.
Le silence qui suivit n’était pas vide. Il était dense. Chargé de ce qu’ils venaient de vivre. De ce qu’ils venaient de franchir.
Elle rit doucement, ses doigts glissant sur sa nuque.
– On devrait appeler ça une réunion de crise.
– J’appelle ça… une fusion d’actifs, répondit-il, sourire aux lèvres.
Elle se redressa lentement, remit sa jupe, sans remettre sa culotte. Il la vit la glisser dans sa poche, provocante.
– Tu repars sans ?
– Il faut bien marquer la suite du dossier, non ?
Il la regarda, fasciné, encore à demi nu, le souffle toujours court.
– Et si quelqu’un entre dans ton bureau demain matin ?
– Alors ils apprendront ce qu’est une vraie stratégie d’influence.
Elle l’embrassa juste au coin des lèvres, rapide, comme un post-it collé à la hâte. Puis elle ouvrit la porte, s’arrêta, se retourna une dernière fois.
– Mardi. 19h. Salle serveur. Apporte les menottes. Le reste, je gère.
Et elle disparut.
Il resta là, adossé au mur, le cœur battant, le sexe encore engourdi de plaisir, et un sourire idiot collé au visage. Il venait de vivre sa première véritable histoire de sexe au bureau.
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