Photocopieuse et fantasmes révélés

Photocopieuse et fantasmes révélés

Plongez dans un monde de passion et de mystère, où chaque regard enflamme l'imagination.

Photocopieuse et fantasmes révélés

Il m’a prise sur la photocopieuse

L’odeur du toner et du papier chaud emplit l’air, familière, presque rassurante. Le bourdonnement régulier de la machine à photocopier forme une sorte de pulsation mécanique, comme un battement de cœur discret dans cet open space déserté à l’heure du déjeuner. Il ne reste que moi. Et lui.

Je feins de trier une pile de dossiers sur le bureau en formica. Mais mes gestes sont lents, retenus. Je ne suis pas concentrée. Je le sens tout près, dans mon dos. Son parfum boisé flotte encore dans les couloirs. Son regard m’a frôlée plus d’une fois ce matin. Plus langoureux que professionnel.

Je l’appelle “Monsieur Lefèvre” devant les autres. Ici, on respecte encore une certaine hiérarchie, surtout avec un directeur comme lui — austère, élégant, autoritaire dans sa façon de poser une main sur une hanche, même quand il prétend juste passer derrière moi pour récupérer un rapport.

Mais dans mes rêves, dans mes fantasmes les plus sales, il ne porte que sa montre et cette voix grave qui me donne l’impression d’être mise à nu, sans qu’il ait besoin de me toucher. Jusqu’à aujourd’hui, ce n’est resté qu’un fantasme de bureau, une fiction que j’entretiens entre deux réunions, assise bien droite dans ma jupe moulante et mes bas autofixants.

Pourtant, ce midi, tout a changé. Il a fermé la porte. Sans prévenir. Il l’a verrouillée.

Je me suis retournée, le cœur battant, la gorge sèche.

– Il y a… un souci ?

Son regard a lentement glissé sur moi, des escarpins à la nuque. Une caresse invisible. J’ai senti mes tétons se durcir sous ma chemise blanche, bien trop fine. J’ai regretté d’avoir mis ce soutien-gorge en dentelle noire, même si je savais très bien pourquoi je l’avais choisi ce matin-là.

– Non, répondit-il en s’approchant. Juste besoin de faire quelques copies… en toute discrétion.

Sa voix était posée. Mais le ton. Le ton m’a transpercée. Il savait. Il savait que je restais souvent tard, que je le matais derrière la baie vitrée de son bureau, qu’il me faisait mouiller rien qu’en dictant un mail à l’assistante RH. Et moi, je savais que j’étais en train de glisser lentement dans ce rôle d’employée docile et désirable. Et je n’avais aucune envie de résister.

Il posa son classeur sur la photocopieuse, puis croisa les bras, me toisant. Un silence trouble s’installa. Je sentais la tension gonfler. Ce n’était plus un simple silence de bureau. C’était l’attente d’un geste. D’un ordre. D’une main, peut-être, entre mes cuisses.

– Tu sais utiliser cette machine, n’est-ce pas ?

– Bien sûr, monsieur.

Ce “monsieur” m’échappa avec un frisson. Je m’en veux aussitôt d’avoir eu la voix si suave.

Je contourne la photocopieuse, mon dos tourné vers lui, et me penche légèrement pour soulever le capot. Je sens son souffle, tout près. Je sais qu’il peut voir la naissance de mes fesses sous la jupe fendue. Je ne porte pas de culotte aujourd’hui. Plus par jeu que par confort. Et je sens déjà l’humidité entre mes cuisses.

Je glisse les feuilles sur la vitre. Il ne dit rien. Mais il est là. Il regarde. Il attend. Peut-être qu’il imagine déjà ce qu’il pourrait faire de cette surface froide, lisse, vibrante.

Je déclenche la copie. La lumière verte flotte sous mes doigts. Je deviens la secrétaire modèle. Mais à l’intérieur, je suis en feu. Je me mords la lèvre.

– Tu es sûre de savoir t’en servir ?

– Certainement, monsieur.

– Parce qu’il manque un document sur cette page, me semble-t-il…

Il s’approche. Je le sens derrière moi à nouveau. Son bassin presque contre mes fesses. Son souffle dans mes cheveux.

– Tu pourrais… t’asseoir dessus. Pour voir si tout fonctionne. Poser ton… corps sur la vitre.

Je me redresse lentement, le cœur affolé. Ce n’est plus une suggestion. Ce n’est plus du tout professionnel. C’est l’invitation d’un prédateur élégant, sûr de son emprise. Son regard est noir. Dévorant.

Je ne dis rien. J’ai envie. Trop. Mon ventre chauffe. Je détache lentement les boutons de ma chemise. Pas tous. Juste assez pour qu’il voie le haut de ma poitrine, le galbe de mes seins. C’est lui qui m’a appris à doser, à offrir sans tout donner. Il me déshabille du regard.

– T’as toujours été aussi obéissante ?

– Pas toujours… mais j’apprends vite.

Je remonte sur la photocopieuse, les talons claquent doucement contre le plastique. Je sens la surface froide sous mes cuisses nues. Il me regarde. Je pose mes mains de chaque côté, le dos cambré, les jambes entrouvertes.

– Comme ça, monsieur ?

– Parfait… Ne bouge plus.

Sa main remonte lentement sur ma cuisse. Il ne touche presque rien, et pourtant mon corps frémit. Il effleure seulement. Je ferme les yeux. La machine bourdonne toujours. Je me demande si elle enregistrera aussi mon soupir s’il me touche entre les jambes. Ou si elle imprimera les battements de mon cœur.

Il dégaine un vibromasseur discret de la poche intérieure de sa veste. Classique. Noir. Silencieux. Je n’en crois pas mes yeux.

– Ne t’inquiète pas, dit-il en effleurant mes lèvres. Je le désinfecte toujours…

Je souris. Je ne m’inquiète pas. Au contraire. J’écarte un peu plus les cuisses. Mon corps parle pour moi. Il sait. Il réclame.

– Bon. Alors on va faire une copie de ton plaisir. Une première version. Ensuite… on verra pour les doubles.


Et cette fois, c’est moi qui ne dis rien. Parce que j’ai compris. Aujourd’hui, je ne suis plus l’assistante modèle. Je suis le fantasme devenu réel. Celle qui va se faire prendre sur la photocopieuse. Et Dieu que j’en ai envie.

Le silence du bureau est moite, presque complice. L’unique lumière vient de la photocopieuse, dont l’écran clignote doucement. Je suis toujours assise sur la vitre, les cuisses entrouvertes, le dos légèrement cambré. Mon souffle est court. Et lui, Monsieur Lefèvre, se tient devant moi, les yeux ancrés dans mon décolleté entrouvert, comme s’il lisait chaque battement de mon cœur à travers ma peau.

Il ne dit rien. Il me regarde. Il me déguste. Lentement, sa main gantée de cuir noir — le détail me fait frissonner — effleure le bord de ma cuisse, juste là où la jupe s’arrête.

– Tu te rends compte de ce que tu es en train de faire, petite secrétaire ?

Je hoche la tête. J’ai la gorge trop serrée pour parler. Mes doigts se crispent sur la surface froide de la photocopieuse. Elle vibre encore sous moi, comme un rappel constant de ce que je suis en train de devenir.

– Répète-le.

– Je… je m’offre à vous, monsieur.

Il sourit. Lentement. Ce sourire qui dit qu’il a tout prévu, tout anticipé. Même ma soumission.

– Bien. Alors ne bouge pas.

Il se penche et tire doucement sur ma chemise, écartant le tissu pour libérer un sein. Mon téton se dresse aussitôt dans l’air frais du bureau. Je retiens un gémissement, mais mes hanches basculent malgré moi.

– Tu ne portes rien sous cette jupe, n’est-ce pas ?

– Non, monsieur.

– Petite salope prévoyante…

Ses mots me transpercent, plus qu’une caresse. Je me sens exposée, offerte, mais aussi terriblement vivante. Il glisse deux doigts entre mes cuisses, sans me pénétrer. Il recueille simplement l’humidité qui y perle déjà.

– Tu dégoulines. Pour moi.

Je ferme les yeux. Il retire ses doigts et les glisse entre mes lèvres. Je les suce lentement, en le fixant. Il ne cligne pas des yeux. Il me dévore.

– Voilà. Comme une bonne employée.

Il sort alors un petit flacon de lubrifiant parfumé — menthe et poivre. J’en reconnais l’arôme dès qu’il en étale une goutte sur ses doigts. Il en enduit le vibromasseur, puis me regarde à nouveau.

– Tu veux que je te l’insère ?

– Oui, monsieur.

– Où ?

Je déglutis. Ma voix est un souffle.

– Dans ma chatte. Là où je suis chaude pour vous.

Ses doigts remontent, cette fois plus fermes. Il écarte doucement mes lèvres, exposant ma vulve brillante à la lumière verte de la machine. Il place la tête du sextoy contre mon entrée et attend.

– Dis-le. Que tu veux te faire baiser par une machine.

Je me cambre. Je le veux tellement que j’en tremble.

– Je veux me faire baiser… là, sur la photocopieuse… avec votre sextoy… pendant que vous me regardez.

Il pousse lentement. Je gémis. Le jouet glisse en moi, doucement, jusqu’à être bien enfoui. Mon ventre se contracte. Mes cuisses tremblent.

– Voilà. Parfaite. Ne bouge pas. Je vais te faire une copie… d’une secrétaire bien remplie.

Il appuie sur le bouton. La lumière se met en route, glissant sous moi, révélant chaque courbe, chaque ombre. Le bourdonnement de la machine semble résonner avec mon propre corps. Le vibromasseur vibre doucement en moi, à peine, juste assez pour réveiller chaque nerf.

– Tu sens ça ?

– Oui… monsieur…

Il s’approche, sa bouche frôle mon oreille.

– Et si je disais que ce n’est que le début ? Qu’après la copie, on passe à l’agrafeuse ?

Je ris, haletante, mais mon rire s’étrangle quand il augmente l’intensité. La vibration devient plus profonde, plus directe. Je m’agrippe aux bords de la photocopieuse. Mon bassin bascule malgré moi.

– Reste en place.

Il sort une fine paire de menottes, pas celles en fourrure qu’on voit dans les boutiques pour couples timides. Non, celles-ci sont froides, métalliques, avec un léger cliquetis envoûtant. Il me prend les poignets et les attache derrière mon dos, juste au-dessus du plateau de verre.

Je suis bloquée. Offerte. Et délicieusement vulnérable.

– Tu n’as plus le droit de te toucher maintenant. Tu ne peux que recevoir.

Je gémis doucement. Le jouet pulse en moi. Je suis moite, brûlante, trempée.

Il se redresse, décroche son téléphone, me prend en photo. Une photo de moi, bras attachés, jambes ouvertes sur la vitre d’une machine de bureau, le corps vibrant de plaisir, la jupe remontée jusqu’aux hanches.

– Pour le dossier RH, murmure-t-il avec un clin d’œil.

Je ris, malgré la tension. Malgré le fait que je suis à un souffle d’imploser.

Il contourne la machine, me regarde de profil. Il prend une autre photo. Puis il s’approche à nouveau, glisse deux doigts sous mes seins, les soulève, les caresse, les pince doucement.

– Tu veux jouir ?

– Oui…

– Pas encore. Pas tant que je n’ai pas fait une copie de ton visage… au moment précis où tu perds le contrôle.

Je ferme les yeux. Le jouet vibre encore. Il joue avec l’intensité, monte, redescend, s’arrête. Mon corps est une onde. Je suis sur le fil. Et je sais qu’il m’y laissera, encore quelques minutes. Juste pour le plaisir de me voir supplier.

– Monsieur… s’il vous plaît…

Il s’accroupit devant moi, me regarde, les yeux à hauteur de mon sexe. Il approche sa bouche. Ne touche pas. Inspire seulement.

– Tu sens le sexe. Tu sens l’obéissance. C’est délicieux.

Je suis à bout. Et je sais que ce n’est que l’entrée du jeu. Il n’a pas encore baissé sa braguette. Il n’a pas encore effleuré mon clitoris. Il n’a pas encore utilisé ce plug anal que je devine dans la poche de son veston.

Mais il me possède déjà.

Et moi, je suis à lui. Entièrement.

Il augmente la vibration d’un cran. Puis un autre. Mon corps se tend, arc électrique vibrant sur cette surface de verre glacée. Mes poignets tirent contre les menottes, mes cuisses s’écartent davantage, offertes, tremblantes. Je suis sa chose. Sa secrétaire docile, attachée, exposée, baisée par la machine sous son regard brûlant.

– Regarde-moi, ordonne-t-il.

Je lève les yeux, la mâchoire crispée par le plaisir. Il tient son téléphone à hauteur de mon visage. Je comprends. Il attend. Il veut capturer l’instant exact où je perds pied.

– Tu vas jouir, ma belle. Et je veux chaque détail. Chaque frisson.

Le vibromasseur pulse plus fort, plus profond. Mon ventre se contracte, mes hanches cherchent le rythme, mes seins se soulèvent au rythme de ma respiration saccadée. Mon clitoris est en feu. Il effleure à peine, mais c’est suffisant pour me faire imploser.

– Je… je vais…

– Oui. Laisse-toi aller. Maintenant.

Je crie. Un cri étouffé, tremblé, presque honteux. Mon corps se cambre violemment. Des vagues de plaisir me traversent, longues, dévastatrices. Mon sexe se contracte autour du sextoy, des spasmes incontrôlables me secouent. Je sens l’humidité couler entre mes cuisses, glisser sur la vitre.

– Voilà… magnifique…

Il prend la photo. Une dernière. Mon visage en extase. Les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, les joues rougies. Il sourit, satisfait, comme un artiste devant son chef-d’œuvre.

Il retire doucement le vibromasseur. Mon corps tressaille encore. Il le nettoie méticuleusement avec une lingette, puis le range dans un étui discret. Professionnel jusqu’au bout.

– Tu as été brillante, murmure-t-il en détachant mes poignets.

Je retombe contre lui, molle, vidée, le souffle court. Il me soutient, me caresse doucement la nuque, puis replace un bouton de ma chemise, presque tendrement.

– C’était… plus qu’une simple copie, soufflé-je contre sa chemise.

Il rit doucement, son torse vibrant contre mon front.

– Je dirais un tirage haute définition.

Je souris, encore haletante. Il m’aide à descendre, m’ajuste la jupe, ramasse mes escarpins tombés. Je suis encore nue sous ce tissu, encore moite, encore marquée par ses mains invisibles.

– Et maintenant ?

Il me tend un dossier, l’air sérieux.

– Tu vas retourner à ton poste. Et moi, à ma réunion. Mais ce soir, tu restes. Compris ?

Je hoche la tête, muette. Mon sexe palpite encore. Je sens les gouttes tièdes contre mes cuisses.

– Et apporte ton plug. Celui en verre noir.

Je frissonne. Il sait. Il a deviné. Ou peut-être a-t-il fouillé dans mon tiroir personnel. Peu importe. Je suis à lui. Ce soir. Et peut-être tous les autres midis où la photocopieuse clignotera pour autre chose qu’un banal rapport.


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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr

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