Punition Bureau Érotique
Il m’a punie pour un rapport en retard – Fantasme BDSM au bureau
Le rapport était en retard. Pas d’un jour, pas d’une heure… mais de trois jours. Et dans notre service, ça équivalait presque à de l’insubordination.
Je savais qu’il n’allait pas me laisser passer ça. Pas lui. Pas mon manager, Thomas. Grand, sûr de lui, toujours impeccablement habillé, ses yeux sombres savaient lire à travers les gens. Quand il me fixait, j’avais cette impression étrange qu’il déshabillait plus que mon regard – comme s’il mettait à nu mes intentions les plus secrètes.
Et pourtant, j’avais joué avec le feu. J’avais fait exprès de traîner. Ce rapport mensuel sur la performance des équipes, je l’avais laissé reposer dans mon dossier brouillon, attendant l’excuse parfaite. Peut-être un besoin d’attention, ou juste l’envie inavouée d’être rappelée à l’ordre par lui.
Une partie de moi cherchait cette punition. J'en crevais d’envie.
Ce matin-là, j’arrivais au bureau un peu plus tôt. Jupe noire fendue juste ce qu’il faut, blouse blanche semi-transparente sous ma veste de tailleur. Pas de soutien-gorge. Une envie, un jeu dangereux. Je savais que ça se verrait à certains angles, à certains reflets.
Mon cœur battait un peu plus fort que d’habitude en passant devant son bureau. Les stores étaient mi-clos, filtrant une lumière dorée matinale. L’atmosphère flottait dans une tension suspendue.
Je m'installai à mon poste, ouvrant mon ordinateur, feignant la concentration. Cinq minutes plus tard, une notification tomba :
« Bureau 101. Immédiatement. »
Signé Thomas.
Je levai les yeux vers la porte vitrée. Il ne regardait pas vers moi… mais j’avais cette sensation étrange qu’il souriait déjà. Un frisson me parcourut le dos.
Je pris une inspiration et me levai, ajustant ma jupe, mes talons claquant sur le sol ciré du couloir. Mon ventre se nouait doucement, délicieux mélange de peur et d’excitation. Une chaleur discrète s’empara de mon bas-ventre. Chaque pas m’amenait un peu plus près du moment où il allait me confronter. J’en mouillais presque déjà la culotte. Si j’en avais porté une.
Je toquai.
– Entrez, dit-il.
Je poussai la porte. Il était seul. Debout derrière son bureau. Cravate sombre, chemise blanche impeccable. Regard fixe. Il n’y avait déjà plus aucune ambiguïté.
– Assieds-toi, dit-il simplement.
Je m'exécutai, croisant les jambes lentement. Un spasme me traversa quand nos regards se croisèrent. Il me scruta en silence pendant de longues secondes, laissant planer une tension presque insupportable. Ses yeux glissèrent un instant vers ma poitrine. Rien d’ouvertement indécent, mais suffisamment pour qu’il devine.
– Trois jours de retard. Tu trouves ça normal ?
– Non, murmurai-je.
– Tu sais ce que cela implique ?
– Oui.
– Regarde-moi quand tu réponds.
Je relevai les yeux vers lui. Il ne souriait pas. Son ton n’était pas celui d’un manager mécontent. C’était celui d’un homme qui savait qu’il allait obtenir ce qu’il voulait.
– Tu le fais exprès ? demanda-t-il en contournant lentement le bureau.
Il se posta derrière moi, sa voix brûlante frôlant mon oreille :
– Ça t’excite, n’est-ce pas ?
Je fermai les yeux un instant, tentant de garder contenance. Mais son souffle contre ma nuque fit trembler mes jambes.
– Réponds, reprit-il plus fermement. Est-ce que ça t’excite qu’on te rappelle à l’ordre ?
– Oui… soupirai-je.
Il posa les mains sur les accoudoirs de mon fauteuil. M’emprisonnant sans me toucher. Je sentais la chaleur de son corps tout contre mon dos. Mon entrejambe palpitait, ma respiration s’accélérait.
– Tu vas être punie. Pas parce que tu as remis ton rapport en retard…
Il marqua une pause, ses lèvres à peine à un souffle de ma joue.
– … mais parce que tu l’as fait pour attirer mon attention. Et tu l’as eue. Toute mon attention.
Mon ventre se contracta. Je me sentais déjà nue sous son regard. Ma peau frissonnait, réactive aux moindres mots qu’il m’offrait. Il n’avait même pas besoin de me toucher pour me faire trembler comme une adolescente prise en faute.
– Lève-toi.
Je me levai lentement. Mes mains légèrement moites, ma gorge sèche et mes cuisses légèrement trempées. Thomas contourna de nouveau le bureau, ouvrant un tiroir. Il en sortit quelque chose. Quelque chose que je ne distinguais pas encore. Il le posa lentement sur le bois verni. Un paddle noir, en cuir. Sobre. Élégant. Dangereux.
– Est-ce que tu sais ce que c’est ? demanda-t-il calmement.
Je hochai la tête. Mes joues brûlaient. Mon sexe palpitait. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine.
– Alors tu sais ce qui va suivre, ajouta-t-il en me fixant.
Je déglutis. Il ne s’agissait plus d’un simple rapport en retard. Il s’agissait de jouer avec les règles. De les transgresser. D’y prendre goût.
– Plie les mains à plat sur le bureau. Garde les jambes tendues.
Je m’exécutai. Mon souffle s’accéléra encore. La position me rendait vulnérable… offerte. L’arrière de ma jupe glissa le long de mes cuisses. Je savais ce qu’il allait découvrir. Je l’avais voulu. Depuis le début.
Il souleva lentement le tissu. Sans hâte. Il découvrit mes fesses nues. Un silence savoureux suivit. J'imaginais son regard posé sur ma peau nue, déjà chaude d’envie.
– Aucune culotte. Tu es venue me provoquer.
Son ton se durcit. Mon ventre se contracta plus fort encore.
– Dis-le, ordonna-t-il. Dis-moi pourquoi tu es venue me voir sans culotte aujourd’hui.
– Pour que vous me punissiez…
– Encore.
– Pour que vous me punissiez, Monsieur.
Il posa le paddle sur mes fesses, à peine… une caresse de cuir froid contre ma peau en feu.
– Voilà une employée qui sait ce qu’elle veut. Tu vas être servie.
Mon cœur battait si fort que j’en avais presque mal. Cette anticipation, cette tension dans l’air… le moindre bruit, la respiration, le parfum boisé de sa peau – tout était amplifié. J’étais sur le fil. Suspendue. Prête à éclater.
Mon esprit n’était plus dans ce bureau. Il dérivait dans un autre monde, fait de règles inversées, d’ordres murmurés, de soumission savourée. Le premier clac résonna avant même que je ne le sente. Mais mon corps, lui, vibra tout entier, comme s’il attendait ce moment depuis toujours.
Le cuir glissa lentement contre ma peau nue. Un effleurement d’abord, presque tendre. Mais je savais que ce n’était qu’un prélude. Derrière moi, je sentais sa présence, stable, ferme. Un homme en contrôle. Mon manager. Mon bourreau consenti.
Il ne disait rien. Il laissait le silence travailler à sa place. Il savait que mon esprit tournait à cent à l’heure, que mon cœur cognait fort, que mon sexe trahissait déjà toutes mes intentions.
– Tu n’as pas idée à quel point ça m’excite que tu sois venue ainsi, murmura-t-il.
Sa voix était grave, posée, chaude. Elle coulait dans mon oreille comme du miel brûlant.
– Nue sous ta jupe. Sans soutien-gorge. Offerte. Insolente.
Je mordis ma lèvre, incapable de répondre. Mon dos cambré, mes mains bien à plat sur le bureau, j’étais tendue, exposée. Le moindre frôlement m’arrachait un frisson.
– Tu vas compter à voix haute, dit-il simplement.
Je déglutis. Je sentais le paddle se lever derrière moi. Mon ventre se contracta.
Clac.
Le premier coup tomba. Pas violent. Mais ferme. Précis. Contrôlé. La chaleur monta instantanément sur ma fesse gauche, puis se diffusa lentement.
– Un…, soufflai-je.
– Plus fort.
– Un !
Le deuxième suivit. L’autre joue. Symétrie parfaite. Mon souffle se hacha.
– Deux !
– Tu aimes ça ?
– … Oui.
– Je veux l’entendre. Dis-moi ce que tu ressens.
– Je… je suis trempée.
Il rit doucement. Un rire grave, sûr de lui. Il se pencha au-dessus de moi, ses lèvres frôlant ma nuque.
– Tu mouilles parce que je te punis ?
– Oui, Monsieur…
Un troisième coup. Plus sec. Plus fort. Je gémis cette fois, incapable de le retenir. Mon sexe pulsa fort, réclamant plus. Réclamant tout.
– Trois !
– Tu mouilles… pour moi. Pour ta punition. Tu es une petite soumise bien indisciplinée.
Sa main glissa entre mes cuisses. Juste un instant. Juste assez pour qu’il confirme ce que mes mots ne disaient pas. Il retira ses doigts, humides.
– Mmmh… tu confirmes.
Il me fit attendre. Le paddle resta suspendu. Mon dos était en feu, mes fesses délicieusement douloureuses, mais c’était mon sexe qui réclamait son attention. Il pulsait, avide, prêt à être comblé.
– Tu es excitée, dit-il. Mais pas encore assez punie.
Je haletais. Le cuir claqua encore. Puis encore. Les chiffres sortaient mécaniquement de ma bouche. Cinq. Six. Sept… Je n’étais plus dans mon corps. J’étais dans une autre dimension. Un espace entre douleur et plaisir, où la soumission devenait un art, une offrande.
Quand il s’interrompit, je restai immobile, tendue. Mon sexe coulait presque. Mes cuisses collaient l’une contre l’autre. J’avais besoin qu’il me touche. Qu’il me prenne. Qu’il me dévore.
Mais il n’en fit rien.
Il fit le tour du bureau, s’assit lentement sur le fauteuil en cuir, croisa les jambes et m’observa.
– Redresse-toi.
Je me relevai, les jambes tremblantes, le visage brûlant. Mes fesses nues, rougies, exposées. Ma blouse collait à ma peau, mes tétons pointant sous le tissu transparent.
– Viens ici.
Je fis un pas. Il me fit signe de m’agenouiller. Je m’exécutai, docile. Je sentis la moquette froide sous mes genoux, contraste délicieux avec la chaleur moite entre mes cuisses.
Il défit lentement sa ceinture. Je le regardai faire, hypnotisée. Il ne baissa pas son pantalon. Pas encore. Il sortit un petit objet noir d’un tiroir du bureau. Je reconnus la forme immédiatement. Un plug anal. Élégant, en silicone noir, avec une base en forme de cœur.
– Tu sais ce que c’est, dit-il.
Je hochai la tête. Mon ventre se noua de désir.
– Tu l’as déjà porté ?
– Oui, soufflai-je.
– Pour qui ?
– Pour moi… et une fois… pour un ex.
– Ce matin, tu es venue sans culotte. Mais tu avais oublié quelque chose. Tu aurais dû venir déjà prête.
Il se leva, fit le tour, s’agenouilla derrière moi. Je sentis ses doigts ouvrir un tiroir à nouveau. Un petit flacon de lubrifiant. Il ne disait rien. Il préparait le terrain.
– Penche-toi à nouveau sur le bureau. Bras à plat. Jambes écartées.
Je m’exécutai. L’exposition me rendait folle. Mon anus se serra d’anticipation, mon sexe coulait de plus belle. Je le sentis s’agenouiller derrière moi, ses mains maintenant posées sur mes hanches.
– Tu vas porter ce plug tout le reste de la journée. Et tu ne le retireras qu’une fois rentrée chez toi. Compris ?
– Oui…
– Oui, quoi ?
– Oui, Monsieur.
Ses doigts enduits de lubrifiant glissèrent entre mes fesses. Il massa doucement l’entrée, m’ouvrant lentement. Je haletai, chaque seconde plus offerte, plus exposée. Le plug entra lentement. Une pression délicieuse. Invasive. Excitante. Quand il le relâcha, je sentis le cœur froid de la base contre mes fesses brûlantes.
– Parfait. Une employée bien plugée.
Je ne savais plus où j’étais. Mon sexe vibrait, mon anus rempli, mes seins tendus sous la blouse. Et pourtant, il n’avait toujours pas baissé son pantalon.
Il retourna s’asseoir. Me regarda encore, longuement.
– Remets-toi debout. Lisse ta jupe. Et retourne à ton poste.
Je le fixai, incrédule. Il me fit un petit signe de tête affirmatif.
– Tu crois que je vais te donner ce que tu veux maintenant ? Non. Tu vas retourner travailler. Avec ce plug en toi. Chaque mouvement, chaque pas te rappellera ta punition. Et tu sauras… qu’elle ne fait que commencer.
Je remis lentement ma jupe, le tissu frottant contre mes fesses rougies. Je me sentais trembler. À l’intérieur, j’étais en feu. Un feu délicieux, dangereux, incontrôlable.
Je remis ma veste, croisant son regard une dernière fois. Il souriait, à peine.
– Et demain, tu me rendras ce plug. Propre. Et je te dirai quoi en faire ensuite.
Je sortis du bureau, le pas incertain, la chaleur entre mes jambes insupportable. Chaque pas faisait bouger le plug en moi. Chaque pas me ramenait à lui.
J’étais marquée. Punie. Et délicieusement soumise.
Je sortis du bureau comme dans un rêve moite, chaque pas amplifiant la pression délicieuse du plug anal niché en moi. Mon sexe palpitait à chaque mouvement, mes cuisses humides frémissaient sous la jupe que je venais de lisser, et mes fesses encore brûlantes portaient les marques de sa punition. Mais ce n’était pas fini. Je le savais. Il me l’avait dit.
Je traversai l’open space, le regard bas, le souffle court. J’avais l’impression que tout le monde pouvait deviner. Que chaque collègue entendait le battement de mon cœur, ou voyait ce rouge sur mes joues qui n’avait rien à voir avec le stress professionnel.
Assise à mon bureau, je ne pouvais plus penser à rien d’autre. Chaque frôlement contre ma chaise me faisait mordre la lèvre. Je sentais le plug bouger en moi, lentement… intensément. Je contractais inconsciemment, pour le sentir davantage. Comme si mon corps refusait de le laisser tranquille. Mon esprit flottait entre deux mondes : celui de l’entreprise, et celui, bien plus sombre et délicieux, que Thomas avait ouvert en moi.
Une notification tomba sur mon écran. Discrète. Une ligne. Un frisson.
« À 17h30. Salle d’archives, niveau -1. Sans culotte. Sans soutien-gorge. Avec le plug. »
Mon ventre se contracta violemment.
Je tapai nerveusement sur mon clavier, incapable de me concentrer. J’avais envie de me toucher. Là, maintenant. De faire glisser ma main sous ma jupe, de masser mon clitoris déjà gonflé, douloureux. Mais je résistai. Parce que je savais que le vrai plaisir viendrait plus tard. Et qu’il serait décuplé par l’attente.
Les heures passèrent lentement. Mon excitation, elle, ne faiblissait pas. Vers 17h25, je me levai. Mon cœur battait à tout rompre. Je descendis les escaliers, le plug vibrant doucement à chaque pas. Salle d’archives. Porte grise. Lumière tamisée. Déserte.
Il était là. Assis sur une caisse. Détendu. Il leva les yeux vers moi, lentement, et me détailla sans un mot.
– Ferme la porte, dit-il.
Je m’exécutai. Mes mains tremblaient.
– Tu es venue comme demandé ?
– Oui, Monsieur.
Il se leva. S’approcha de moi. Son regard était sombre, brûlant. Il effleura mon menton du bout des doigts.
– Tu as bien travaillé aujourd’hui. Pour une petite soumise indisciplinée… tu mérites ta récompense.
Ses mains glissèrent sous ma jupe. Il ne perdit pas de temps. Deux doigts s’enfoncèrent en moi, humides, avides. Je haletai, agrippant son épaule pour ne pas flancher.
– Trempée, comme prévu.
Il se pencha à mon oreille, sa voix grave me transperçant.
– Maintenant, je vais te baiser. Ici. Comme tu l’as fantasmé depuis des semaines.
Je ne répondis pas. Je n’en avais plus la force. J’étais à lui.
Et il le savait.
Il me retourna contre l’étagère métallique. Ma jupe se releva, mes mains plaquées contre les dossiers. Je l’entendis baisser son pantalon, puis je le sentis. Large. Dur. Brûlant. Il me pénétra d’un coup. Mon cri se noya dans les cartons. Mon sexe l’engloutit avec une avidité animale.
Il me prit ferme. Loin du bureau, mais toujours sous ses ordres. Chaque va-et-vient me faisait vibrer entre le plaisir de ses coups de reins et la pression constante du plug. Mon corps entier était un instrument entre ses mains. Et il jouait chaque note avec une précision impitoyable.
– Tu vas jouir pour moi, murmura-t-il.
– Oui… oui, Monsieur…
Je sentis la vague monter, irrépressible. Mes jambes tremblaient. Mon ventre se contractait déjà. Il accéléra encore, agrippant mes hanches, cognant plus fort. J’explosai.
Un orgasme brutal, profond, qui me fit crier son nom contre l’acier froid. Mon sexe se contracta autour de lui, encore et encore, tandis qu’il jouissait à son tour, profondément enfoui en moi.
Il resta quelques instants contre moi, son souffle brûlant dans ma nuque. Puis il se retira lentement. Un filet chaud glissa le long de ma cuisse. J’étais vidée. Comblée. Marquée.
Il m’aida à me rhabiller, remit ma jupe en place, lissa ma veste.
– Demain, tu viendras dans mon bureau à 8h30. Et tu porteras des boules de geisha. Compris ?
– Oui, Monsieur.
Il m’embrassa. Pour la première fois. Un vrai baiser. Lent. Langoureux. Troublant. Comme une promesse.
Je sortis de la pièce, les jambes tremblantes, le cœur retourné. Demain serait encore plus intense. Et je n’avais plus aucune envie d’y échapper.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr