Réunion Débordante de Tension
Réunion tardive... avec son sexe en bouche
La pendule accrochée au mur de la salle de réunion affichait 20h42. Le bureau, d’ordinaire vibrant de l’agitation des journées de travail, s’était transformé en un espace silencieux, presque intime. Seuls les néons blafards dessinaient des halos sur le mobilier design, projetant des ombres allongées sur les visages concentrés des deux derniers occupants de l’étage.
Elle croisait les jambes lentement, consciente du mouvement fluide de sa jupe-crayon qui dévoilait un soupçon de bas noirs retenus par des jarretelles invisibles. Son chemisier en soie ivoire collait à sa peau, légèrement humide à force de rester enfermée dans cette salle trop chauffée… ou peut-être était-ce cette tension étouffée qui faisait grimper sa température davantage que les radiateurs ?
De l’autre côté de la table, Marc tenait ses dossiers entre ses doigts, mais son regard s’attardait un peu trop souvent sur sa bouche, ses poignets, son cou. Depuis le début de cette "dernière réunion", il jetait des regards qu’il ne maîtrisait plus vraiment. Elle le sentait, elle le savait… et elle en jouait.
Elle avait toujours aimé le contraste glacé de ces réunions professionnelles, de ces costumes bien taillés, de ces emails aux formulations polies… avec l’électricité sourde que les corps envoient quand les mots ne le peuvent plus. Ce soir-là, l’air était chargé de cette tension délicieuse, celle qui précède les gestes interdits.
Marc se leva pour aller chercher un autre café, mais elle vit son regard glisser sur ses jambes croisées, juste avant qu’il ne détourne les yeux trop vite pour que ce soit innocent. Elle esquissa un léger sourire, puis tapota du bout des doigts sur le bord de la table.
– Je crois… qu’on explore bien plus que le budget prévisionnel, souffla-t-elle, sa voix suave tranchant le silence ambiant.
Il s’arrêta net. Une seconde de flottement. Puis il se retourna lentement, sa tasse suspendue dans le vide.
– Tu insinues que je suis distrait ?
– Tu trembles à peine quand tu me regardes. Ça se voit. Et j’adore ça.
Elle se leva sans hâte, contournant la table jusqu’à lui. Chaque pas résonnait, feutré mais ferme, dans l’espace déserté. Elle sentait son pouvoir envahir la pièce. Son parfum musqué flottait dans l’air, entêtant, conçu pour ensorceler.
Elle se posta face à lui, si proche que leurs respirations se frôlaient. Lentement, elle posa une main sur la cravate sombre qu’il portait, et la fit glisser entre ses doigts comme un ruban de soie.
– Tu me regardes comme si tu voulais me dévorer, murmura-t-elle. Mais tu ne bouges pas. C’est fascinant… ce mélange de contrôle et de désir brut.
Il serra les mâchoires. Son souffle était plus court. Son regard planté dans le sien devint urgent, presque implorant.
– Si je commence… je ne m’arrêterai pas.
– Alors commence doucement. Je veux savourer chaque seconde.
Elle agrippa sa cravate pour le tirer contre elle, doucement, fermement, comme on apprivoise un fauve. Le contact de leurs corps éveilla une onde de chaleur qui irradia jusqu’à son ventre. Il n’avait pas encore osé la toucher. Il attendait son feu vert… et elle adorait ça.
Son souffle caressa son oreille comme une caresse mentale.
– Ce n’est pas prudent… ici…
– C’est pour ça que j’en ai envie. La nuit, les bureaux vides, les risques… Tout me donne envie de m’offrir à toi. Mais à mes conditions.
Elle le poussa doucement contre le mur vitré, face au panorama de la ville qui scintillait en contrebas. Une main entre eux, elle libéra un premier bouton de sa chemise. Il ferma les yeux une seconde, comme pour absorber chaque sensation.
Elle glissa sa jambe contre la sienne, son genou entre ses cuisses, tout contre son entrejambe durci. La sensation de son sexe bandé, encore enfermé dans son pantalon, la traversa comme une onde chaude.
Elle murmura, les lèvres effleurant sa joue :
– Tu aimes les réunions tardives, Marc ? Celles où on ne parle plus du tout de chiffres ?
Il hocha la tête sans parvenir à articuler. Elle sentait sa main trembler légèrement, posée sur le dossier derrière elle. Une tension délicieuse montait comme une pression dans leurs bassins, les rendant presque fous d’envie et de retenue tout à la fois.
– J’ai glissé un plug anal discret sous ma jupe aujourd’hui… juste pour cette réunion.
Elle vit sa gorge se serrer, ses lèvres s’entrouvrir imperceptiblement. Il ne s’y attendait pas. Il voulait le visualiser, l’imaginer. Et cette image-là allait le hanter pendant des jours.
Elle se hissa sur la pointe des pieds et murmura :
– Ce petit sextoy vibre très doucement, tout contre moi… Je l’ai mis sur la vitesse la plus basse. Mais si tu te mets à parler trop fort, je le déclenche. C’est mon petit jeu intime, Marc. Et toi… tu n’en contrôles rien.
Il serra les dents, et elle sentit sa queue durcir brutalement contre son bassin. Son excitation était palpable, douloureuse. Mais il restait là, encore entièrement vêtu, prisonnier du cadre formel de la scène dont elle tordait les règles.
Elle recula d’un pas, le regard provocant, puis alla s’asseoir sur le bord de la table de réunion. Lentement, elle écarta les jambes, juste assez pour qu’il entrevoie la dentelle de son string noir… et la forme délicate du bijou anal scintillant à la lumière.
– Tu veux faire quoi maintenant ? Rester là, bien sage… ou faire enfin ce que tu crèves d’envie de faire depuis la première fois que mes lèvres ont prononcé ton prénom ?
Un silence, long, vibrant, saturé de tension sexuelle.
– Je veux t’arracher tous tes soupirs, souffla-t-il.
Elle sourit, triomphante, maîtresse du rythme. Et elle savait… que ce n’était que le début.
Marc ne disait plus rien. Son souffle s’était ralenti, comme s’il retenait chaque mouvement, chaque geste, pour ne pas tout faire basculer trop vite.
Elle le regardait, assise sur le bord de cette table en bois noble où, quelques heures plus tôt encore, ils débattaient de prévisions trimestrielles. Maintenant, c’était son regard à elle qui dictait l’ordre du jour. Et il n’y avait plus rien de rationnel dans l’équation.
Elle croisa lentement les jambes, puis les décroisa, avec cette lenteur maîtrisée qui faisait grimper son excitation à elle autant que celle de Marc. Il en oubliait de respirer à chaque fois que la dentelle noire de son string apparaissait brièvement entre les pans de sa jupe retroussée.
– Je te plais comme ça ? demanda-t-elle, sa voix grave, posée, presque tendre.
Il hocha la tête, la mâchoire crispée par le désir.
– Tu n’as pas idée…
Elle se pencha légèrement en avant, ses coudes posés sur ses genoux. Sa chemise entrouverte laissait entrevoir la naissance de sa poitrine, la courbe douce de ses seins maintenus par un soutien-gorge en tulle transparent. Il cligna des yeux, hypnotisé.
– Tu sais que j’ai une petite télécommande dans mon sac ? Pour le plug. Un jouet de bureau… très discret. Tu veux l’essayer ?
Il déglutit, les yeux rivés entre ses cuisses.
– Tu veux dire… maintenant ?
– Tu crois que j’ai mis ce plug anal juste pour le plaisir d’un secret ? Non, c’est pour te troubler, Marc. Pour que tu saches que pendant que tu parles stratégies… moi je vibre.
Elle se leva, traversa la salle à petits pas lents, puis sortit de son sac une petite télécommande noire. Elle pressa un bouton. Un frisson la traversa instantanément.
– Oh… voilà. Tu sens ? Moi oui. Intensité moyenne. Essayons plus fort…
Elle monta d’un cran. Ses hanches se contractèrent malgré elle, et un soupir s’échappa de ses lèvres entrouvertes.
– Mmmh… Voilà ce que tu me fais, même sans me toucher.
Elle le vit faire un mouvement en avant, comme s’il allait enfin céder. Mais elle leva une main, paume ouverte.
– Non. Pas encore. Regarde-moi.
Elle s’approcha de lui, jusqu’à l’effleurer, puis s’agenouilla lentement. Le tissu soyeux de sa jupe frottait contre ses cuisses, et le parquet froid contrastait avec la chaleur moite entre ses jambes.
Ses mains glissèrent le long des cuisses de Marc, jusqu’à sa ceinture. Elle la défit sans quitter ses yeux, savourant le claquement métallique de la boucle. Son pantalon tomba aux chevilles, dévoilant un boxer tendu, presque douloureux de tension.
– Tu veux que je goûte à ton envie, Marc ?
Il murmura un oui rauque, presque brutal.
Elle effleura la bosse tendue de son sexe à travers le tissu. Puis elle glissa ses doigts sous l’élastique, libérant sa queue dressée, chaude et palpitante. Elle la regarda, l’admira même, avant d’humecter ses lèvres lentement.
Elle approcha sa bouche, sans le toucher, juste assez pour qu’il sente son souffle chaud sur le gland. Il frissonna.
– Tu es si dur… Tu penses à moi dans ce bureau, pendant les réunions ? Tu te demandes ce que je porte sous mes tailleurs ?
– Tout le temps.
– Mmmh… alors je vais t’offrir un petit aperçu. Mais tu ne viens pas. Pas encore. C’est moi qui décide quand tu jouis.
Doucement, elle effleura le bout de sa langue contre l’extrémité de son sexe, récoltant une perle de plaisir déjà présente. Puis elle le prit entre ses lèvres, lentement, millimètre par millimètre, jusqu’à l’enfoncer presque entièrement dans sa bouche chaude et humide.
Marc gémit, la tête basculée en arrière. Ses doigts se crispèrent sur les rebords de la table derrière lui.
Elle le suçait avec une lenteur soigneusement calculée, utilisant sa langue pour dessiner des cercles précis, variant les pressions, les vitesses. À chaque mouvement, elle sentait le plug vibrer doucement en elle, ajoutant une dimension brûlante à sa propre excitation.
Elle se retira avec un bruit humide, un filet de salive brillant entre ses lèvres et son sexe tendu.
– Tu as bon goût…
Elle le reprit aussitôt, plus profond, sa gorge s’ouvrant pour le recevoir. Un léger gargouillis, sensuel, remplit la pièce. La scène était presque irréelle : ce bureau, ces fauteuils en cuir, la ville derrière eux… et elle, à genoux, avalant lentement sa queue comme si c’était le centre du monde.
Il tenta de bouger, de prendre un rythme, mais elle planta ses ongles dans ses cuisses.
– Non. Tu ne bouges pas. Tu restes là, bien droit, pendant que je décide de ton plaisir.
Il haleta, les yeux fous de désir.
– Tu vas me rendre dingue…
Elle sourit contre sa peau, puis reprit ses va-et-vient, plus rapides cette fois. Sa main droite caressait ses propres cuisses, frôlant le tissu trempé de sa culotte. Elle aurait pu jouir là, sur le sol du bureau, juste avec les vibrations du plug et le pouvoir qu’elle exerçait sur lui.
Elle sentait ses jambes trembler, son bassin se contracter. Il était proche. Elle le savait.
Elle s’arrêta brutalement, le sexe encore luisant de salive dans sa main.
– Ne viens pas. Pas maintenant.
Il inspira un grand coup, frustré, mais obéissant. Elle se redressa, souriante, puis se pencha à son oreille.
– Je veux que tu rentres chez toi ce soir… bandé comme jamais. Et que tu penses à moi, à ma bouche autour de toi, à mon plug vibrant entre mes fesses. Tu vas te branler comme un fou, pas vrai ?
– Oui…
– Mais tu ne jouiras qu’en pensant à ce moment. À cette réunion tardive… où je t’ai mis à genoux sans même me déshabiller.
Elle lui remit son pantalon, lentement, délicatement, comme si elle rangeait un jouet précieux. Puis elle le fixa dans les yeux.
– Demain, à la première heure… nouvelle réunion. Et cette fois, peut-être que tu pourras me goûter aussi.
Elle fit claquer ses talons sur le parquet, récupéra son sac, et sortit sans un mot de plus, laissant Marc pantelant, encore tendu, ivre de frustration et de désir.
La réunion était terminée. Mais le jeu ne faisait que commencer.
Il ne tenait plus. Ses jambes tremblaient, ses doigts s’étaient crispés sur le rebord de la table comme s’il risquait de s’effondrer. Elle le sentait au bord, suspendu à ses lèvres, à ses règles, à cette tension brûlante qu’elle maîtrisait comme une partition parfaitement jouée.
Elle accéléra le rythme, avalant sa queue avec une intensité nouvelle, ses va-et-vient devenant plus profonds, plus sonores. Sa langue tournoyait, sa gorge l’avalait avec une souplesse presque indécente. Le plug anal vibrant pulsait en elle à pleine puissance, déclenchant des vagues de chaleur dans son propre ventre, la rendant fébrile, dilatée, affamée.
Marc gémit, un râle rauque et guttural qui résonna dans la pièce. Il se cambra légèrement, ses hanches cherchant un mouvement qu’elle refusait encore de lui offrir. Elle planta ses ongles dans sa peau pour le contenir, puis releva les yeux vers lui, regard brillant, bouche pleine, salive brillante sur son menton.
– Tu aimes ça, hein ? Ma bouche sur ta queue, pendant que je vibre de l’intérieur…
Il hocha la tête, incapable de parler, la mâchoire tendue, le souffle court. Elle sentit son sexe pulser violemment contre sa langue. Il était à la limite. Juste là. Et elle… elle était en feu.
Sa main gauche glissa sous sa jupe, cherchant la chaleur moite de sa culotte trempée. Elle écarta la dentelle, effleura son clitoris gonflé, et à peine ses doigts s’y frottèrent que son corps se contracta violemment. Un gémissement étouffé s’échappa de sa gorge, tandis qu’elle continuait à le sucer, les vibrations du sextoy amplifiant chaque frisson.
Elle jouit, silencieuse, intense, le bassin secoué de spasmes délicieux. Son plaisir se mêlait à sa domination, à cette sensation de l’avoir à sa merci, si dur, si prêt…
Elle se retira lentement, laissant un filet de salive lier sa bouche à son sexe palpitant. Puis, ses doigts encore humides de son orgasme, elle les porta à ses lèvres et les suça un à un, sans le quitter des yeux.
– Maintenant, tu peux venir, murmura-t-elle.
Il n’eut besoin de rien d’autre. Un râle brutal s’échappa de sa gorge tandis qu’il jouissait puissamment, son sperme giclant sur son ventre, sur sa chemise entrouverte, sur sa cuisse nue. Il tremblait, vidé, subjugué, presque perdu.
Elle se releva lentement, lissa sa jupe, puis attrapa une lingette dans son sac pour essuyer le désordre avec une tendresse inattendue.
– Tu vois… il fallait juste attendre le bon moment.
Il sourit, les yeux mi-clos, encore haletant.
– Tu es… incroyable.
Elle haussa un sourcil, malicieuse.
– Je sais. Et je ne t’ai même pas encore montré mon paddle préféré…
Il rit doucement, encore à moitié nu, encore sous le choc de ce qu’ils venaient de vivre. Elle se pencha, l’embrassa sur le front, puis soupira doucement.
– Je vais te laisser. Tu as un dossier à boucler, non ?
– J’ai surtout une obsession à nourrir…
– Parfait. Nourris-la jusqu’à demain. Parce que demain, c’est moi qui m’allonge sur cette table… et toi qui t’agenouilles.
Elle lui lança un clin d’œil, récupéra la télécommande du plug anal, et la glissa dans son sac avec un petit clic satisfait. Puis elle sortit, laissant derrière elle une odeur de sexe, de pouvoir et de promesses non tenues.
La salle de réunion redevint silencieuse. Mais la tension… elle, restait suspendue dans l’air.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr