Séduction au bureau dévoilée

Séduction au bureau dévoilée

Je l’ai sucé dans la salle de pause – récit érotique au bureau

Il était 17h52. L’agence se vidait lentement, comme chaque vendredi. Les bruits familiers de claviers, de photocopieuses, de tasses qu'on rince au fond de la kitchenette s’éteignaient peu à peu, laissant flotter un silence étrange — presque intime — dans cet espace trop éclairé. Je fermai mon ordinateur, d’un geste lent. Mon cœur cognait discrètement contre ma poitrine. Je savais déjà que je ne partirais pas tout de suite. Lui non plus.

Milan. Six mois qu’il bossait dans le bureau d’en face. Il n’était pas cadre, pas vraiment mon supérieur, pas vraiment mon égal non plus. Consultant externe. Il passait parfois quinze jours sans venir, et quand il apparaissait à nouveau dans l’open space, c’était comme une décharge dans l’air.

Grand, rasé de près, toujours vêtu de noir — il avait quelque chose de précis, de tranchant. Ce n’était pas vraiment son physique qui me faisait cet effet-là. C’était sa façon de me regarder. Il ne m’observait jamais trop longtemps, jamais trop ostensiblement. Mais quand nos regards se croisaient, je sentais quelque chose frissonner entre mes cuisses.

Il restait encore deux collègues derrière le mur vitré du bureau RH. Je les entendais rire doucement, discuter week-end, enfants, Netflix. De mon côté, je fis semblant de chercher une clé USB dans mon sac. En réalité, j’attendais qu’il sorte.

Milan passa devant moi quelques minutes plus tard, sa veste posée sur l’épaule, sa montre brillante au poignet. Il ralentit juste assez en arrivant à ma hauteur et j’osai enfin lever les yeux vers lui. Il ne sourit pas. Mais son regard accrocha le mien, comme s’il m’appelait. Puis il se dirigea vers la salle de pause, sans rien dire. Sans se retourner. La porte battante se referma doucement derrière lui.

Ma gorge se serra. Je savais. Ou plutôt, j’espérais. J’avais imaginé ce moment plusieurs fois, entre deux réunions, au détour d’un email trop banal signé de ses initiales. C’était fou, certainement. Mais mes talons effleurèrent le sol sans réfléchir, et je le suivis.

La salle de pause n’était éclairée que par la lumière orange de la rue, filtrée par les stores. L’odeur familière du café froid et du plastique des fauteuils gris contrastait étrangement avec l’atmosphère brûlante qui s’épaississait entre nous.

Il se tenait là, appuyé contre le comptoir, une main dans sa poche.

– Tu t’es décidée, murmura-t-il.
– Peut-être, soufflai-je, en refermant la porte derrière moi.

Je m’adossai à la porte, comme pour m’empêcher de reculer. Je voulais qu’il avance. Qu’il vienne m’attraper. Qu’il lise dans mes yeux combien j’avais besoin de lui.

– Tu sais ce que tu fais ?

Il ne bougea pas. Mais son regard descendit lentement sur moi. Mes hanches, mes jambes croisées dans ce tailleur trop ajusté. J’avais choisi cette jupe ce matin-là, presque inconsciemment. Fine, fendue sur le côté, laissant deviner les bas autofixants et la bordure dentelée de ma jarretelle préférée. Pour personne. Pour moi. Et peut-être un peu pour lui.

Je sentais déjà la tension monter dans mon bas-ventre, cette chaleur qui remuait, douce et sauvage à la fois. Le fantasme de la fellation au bureau avait toujours fait partie de mes envies les plus viscérales, mais je n’avais jamais osé l’exprimer à voix haute. Jusqu’à maintenant, je ne l’avais même jamais avoué à quelqu’un. À personne. Mais là, avec lui, dans cette pièce trop vide, trop silencieuse, ce fantasme devenait tangible.

– Tu me provoques depuis des semaines, lâcha-t-il.
– Voilà que tu crois que tout te revient…

Il s’approcha d’un pas. Lent. Précis. Je retins mon souffle.

– Tu crois que je n’ai pas remarqué ce plug anal glisser de ton sac l’autre jour ? demanda-t-il à mi-voix.
– Tu regardes souvent dans les sacs des filles ?

Il sourit pour la première fois. Un sourire en coin, indécent, presque cruel. Il adorait avoir raison. Et il l’avait.

– Je regarde ce que tu veux que je voie.

Il s’arrêta juste devant moi, sa main glissa sur ma hanche, lentement, comme s’il testait le terrain. Mon souffle était court. J’avais chaud. Je sentais l’humidité sur ma peau malgré l’air climatisé. Son corps projetait une ombre qui m’enveloppait presque entièrement. Je me redressai légèrement, mon dos contre la porte, tendue vers lui sans même bouger.

– Tu veux jouer ?

Je hochai la tête, incapable de formuler une réponse plus intelligible. Il fit glisser ses doigts sur mon bras nu, ses yeux plantés dans les miens. Il ne m’embrassait pas. Il ne me touchait presque pas. C’était pire. C’était exquis.

Je sentis ses doigts s’attarder sur le revers de ma jupe, là où la fente dévoilait un peu trop. Lentement, il releva le tissu sans un mot. Son souffle près de mon oreille fut plus érotique qu’aucune caresse.

– Ce sera ta seule chance de t’éclipser, maintenant.

– Et si je reste ?

Il posa sa main sur ma cuisse, juste là où commence la jarretelle.

– Alors tu termines ce que tu as commencé à fantasmer. Jusqu’au bout.

Son doigt effleura la dentelle, puis s'aventura entre mes jambes, presque sans pression. Ma culotte était déjà trempée. J’étais à deux doigts de renoncer à toute forme de retenue. Le bureau entier aurait pu se remplir à nouveau que je n'en aurais rien eu à faire.

– Tu vas te mettre à genoux, ici ? demanda-t-il, toujours contre mon oreille.
– Tu préfères la table basse ? soufflai-je sans même rougir.

Il émit un rire grave. Puis recula d’un pas.

– Enlève ta culotte. Lentement.

Je n’hésitai même pas. Les lumières de la ville jouaient sur mes jambes pendant que je faisais glisser le tissu humide jusqu’à mes chevilles. Il la récupéra au vol, la glissa négligemment dans la poche intérieure de sa veste posée sur le dossier d’un fauteuil.

Un frisson me parcourut. Pas d’issue. Pas de retour. Juste lui.

Le murmure de ma voix tremblait déjà.

– Dis-moi ce que tu veux.

Il déboutonna lentement sa ceinture, son regard vissé au mien.

– Je veux que tu me suces. Ici. Maintenant.

Et je tombai à genoux, lentement, dans la chaleur de cette salle de pause devenue chambre interdite.

Le lino froid de la salle de pause heurta doucement mes genoux à travers mes collants. Le silence, à peine troublé par un klaxon lointain, semblait s’épaissir autour de nous. J’entendais chaque battement de mon cœur, chaque froissement de tissu. Je levai les yeux vers lui.

Milan me regardait comme s’il attendait cette scène depuis des semaines. Peut-être que c’était le cas. Ses doigts effleurèrent la boucle de sa ceinture, méthodiques, délibérés. Il ne précipitait rien. Il voulait me voir attendre. Me voir désirer. Me voir supplier du regard.

Il ouvrit sa braguette sans quitter mes yeux. Je sentis un frisson remonter lentement le long de ma colonne. L’excitation, brute. Froide et brûlante à la fois.

– Tu aimes te mettre à genoux pour moi ?

– J’ai envie de goûter, soufflai-je.

Il sourit, ce rictus lent et carnassier que j’avais déjà imaginé bien des nuits. Il sortit son sexe, déjà dur, imposant, et le laissa reposer contre ma joue. Je fermai les yeux un instant, me gorgeant de cette chaleur, de cette texture, de ce fantasme devenu réel.

Je l’effleurai à peine de mes lèvres, un baiser chaste, presque timide. Il ne bougea pas, mais son souffle changea. Plus court. Plus dense. Je le sentis.

– Tu peux mieux faire que ça, non ?

Je souris contre sa peau et le pris lentement entre mes lèvres, juste le gland. Ma langue tournoya doucement, goûtant la salinité, explorant avec une langueur étudiée. J’ouvrais grand la bouche, mais je prenais mon temps. Le sexe au bureau, c’était déjà interdit. Une fellation dans la salle de pause, c’était carrément obscène. Et j’adorais ça.

Je le regardai, les yeux brillants. Il avait reculé d’un pas, mains sur les hanches, dominant la scène avec une maîtrise presque cruelle.

– Regarde-moi pendant que tu le prends. Je veux voir jusqu’où tu vas.

Je m’exécutai, engloutissant lentement plus de lui, mes lèvres s’étirant autour de sa verge. Ma salive glissa sur sa peau, rendue chaude par l’attente. Mes mains serrèrent ses hanches, cherchant un appui, un ancrage, pour mieux m’abandonner à ce plaisir interdit.

Je sentais sa peau vibrer sous ma langue. Chaque gémissement étouffé dans sa gorge était un encouragement. Je me délectais du pouvoir que j’avais à cet instant précis.

Un bruit dans le couloir me fit sursauter. Je me stoppai net, le souffle court. Il posa une main sur ma tête, fermement, sans brutalité.

– Continue. Ils ne viendront pas. Personne ne vient jamais ici après 18h.

Je repris, plus lentement, plus profondément. Je me laissais aller à cette envie ancienne, ce fantasme de domination douce. Chaque mouvement de tête, chaque va-et-vient accentuait mon envie. Je le voulais entier. Je le voulais tremblant.

Sa main s’agrippa à mes cheveux, maintenant fermement mon crâne. Il guida le mouvement, imposant un rythme plus intense. Je me laissai faire. J’aimais ça, être dirigée. Être utilisée pour son plaisir. Et pourtant, c’était moi qui avais le contrôle. C’était moi qui menais la danse, à genoux, offerte, mais libre.

– Tu suces comme si t’avais fait ça toute ta vie, murmura-t-il.
– Peut-être que j’attendais juste le bon bureau, répondis-je entre deux inspirations.

Il grogna, ce son rauque que je n’oublierai jamais. Je l’avalai à nouveau, plus profond, jusqu’à ce que mes yeux s’humidifient. Ma gorge se tendait, mais je restais là, docile et affamée, le regard planté dans le sien.

Il recula légèrement, me forçant à lâcher prise. Un mince filet de salive reliait encore ma langue à lui. Je haletais, les joues rouges, les lèvres gonflées.

– Mets-toi debout. Tourne-toi.

Je me relevai lentement, les jambes tremblantes. La tension sexuelle était si forte que j’avais du mal à respirer. Il me retourna face à la table basse, ses mains sur mes hanches.

Il souleva ma jupe, découvrant mes fesses nues, les bas maintenus par les jarretelles fines. Je sentis son souffle, chaud, près de ma peau. Puis ses doigts glissèrent entre mes cuisses, découvrant l’humidité déjà bien présente.

– Tu mouilles comme une salope, souffla-t-il.
– Tu m’as fait attendre trop longtemps.

Ses doigts s’enfoncèrent légèrement, juste assez pour me faire gémir. Je me cambrai contre la table, cherchant plus, m’offrant sans honte.

– Tu crois que tu mérites que je te baise ici ?

– Je mérite tout ce que tu veux me faire.

Il retira ses doigts et les porta à ma bouche. Je les suçai lentement, avec la même dévotion qu’un instant plus tôt. Il grogna à nouveau, et je sentis son sexe se presser contre mes fesses, dur et brûlant.

Mais il ne me pénétra pas. Pas encore. Il se recula à nouveau, jouant avec moi, avec mes nerfs, avec cette frustration délicieuse.

– Tu vas retourner à genoux. Et tu vas reprendre. Jusqu'à ce que je te dise d’arrêter.

Je m’agenouillai à nouveau, soumise à ce jeu que j’adorais. Mon rouge à lèvres avait bavé. Mes cuisses collaient. Et pourtant je n’avais jamais été aussi vivante.

Je le repris en bouche, avec plus d’intensité. Il gémissait enfin, sa voix grave résonnant doucement dans la pièce. Je le suçais comme une déesse affamée, caressant ses couilles d’une main, enserrant sa base de l’autre. Ma gorge s’ouvrait, accueillant sa largeur, l’avalant encore et encore. Ma salive dégoulinait sur mon menton, et je m’en fichais. Je voulais le faire jouir. Je voulais qu’il perde le contrôle.

Mais il se retira, brutalement cette fois. Il me saisit par les bras et me redressa contre lui. Sa bouche se posa enfin sur la mienne, brutale, possessive. Nos langues se mêlèrent dans un baiser qui avait le goût de ma soumission. Il me renifla presque, comme un animal en rut.

– On n’a pas terminé. Loin de là.

Je frémis. Il me relâcha et me fit asseoir sur la table basse, écartant mes cuisses sans ménagement. Il s’agenouilla à son tour, me regardant de bas, comme s’il allait me dévorer.

– Tu veux que je te lèche ? Ici ?

– Oui…

– Tu veux que je te donne un orgasme entre deux micro-ondes et une machine à café ?

– Oui, Milan, putain…

Il sourit. Et recula.

– Pas ce soir.

Je restai là, pantelante, les jambes tremblantes, le sexe gonflé d’attente. Il remit sa chemise en place, reboutonnant lentement sa ceinture.

– Je te laisse mijoter un peu. La prochaine fois, tu m’appelleras avant 18h.

Il attrapa ma culotte dans sa poche, la porta à son nez, puis la glissa dans sa poche arrière.

– Cadeau de la semaine.

Et il sortit, me laissant là, nue sous ma jupe, le cœur battant, les lèvres gonflées et le goût de lui dans la bouche.

Je regardai l’horloge murale. 18h23. J’avais encore le temps avant que quelqu’un n’entre.

Je souris. Cette histoire de fellation au bureau n’était que le début.

Il ne m’accorda plus un mot. Juste ce regard noir, brûlant, entre domination et faim. Ses mains prirent mes poignets, me soulevèrent sans effort. Il me retourna à nouveau, face à la table basse. Mon ventre toucha le bord. Mes seins se pressèrent contre le bois froid. J’étais offerte.

Son sexe glissa entre mes fesses, humide de ma salive, dur comme une promesse. Il me frôla, me nargua. Puis… il s’enfonça en moi.

Je haletai violemment. Mon corps tout entier se cambra sous la pénétration. Il était large, profond. Mon sexe l’accueillait avec une avidité presque animale.

– Tu es si serrée… Tu m’attendais vraiment.

Il commença à bouger. Lentement d’abord, comme pour savourer. Puis plus vite, plus fort. Mes ongles griffaient le bois de la table, mes bas glissaient sur mes cuisses moites. Chaque coup de reins me faisait gémir plus fort, à peine étouffée par la paume qu’il posa sur ma bouche.

– Tais-toi… Tu veux qu’on t’entende ?

Je hochai la tête, incapable de répondre autrement. Je voulais hurler. Je voulais venir. Mais je voulais aussi durer. Encore un peu.

Ses doigts cherchèrent mon clitoris, précis, habiles. Il le pinça, le caressa, le pressa comme s’il savait exactement comment me faire jouir. Et il savait. Mon orgasme monta d’un coup, brutal, incontrôlable.

Je tremblai sous lui, mes jambes ne me soutenant plus. Il me pénétra plus fort encore, jusqu’à ce que je l’entende grogner, son souffle se briser dans ma nuque.

Il jouit en moi. Longuement. Profondément. Son corps se colla au mien, chaud, vibrant, puissant.

Nous restâmes ainsi, collés l’un à l’autre, haletants, les sens encore électrisés.

– Bordel… souffla-t-il contre ma peau.
– J’espère que tu ne factures pas ça en consulting.

Il rit doucement, sa main glissant sur ma hanche, possessive.

– Non. Mais je facture les suites. Et crois-moi, tu vas vouloir la suite.

Je me redressai lentement, mes jambes encore tremblantes. Il me tendit un mouchoir, et je souris malgré moi.

– Tu fais souvent ça ?
– Sucer quelqu’un dans une salle de pause ? Non. Mais fantasmer dessus… tous les vendredis après 17h.

Il remit sa chemise, lentement, regardant mes jambes nues sous la jupe relevée.

– Tu sais que tu as laissé ton plug dans ton sac ?
– Peut-être que je comptais l’utiliser… la prochaine fois.

Il s’approcha, sa voix rauque, un souffle contre mon oreille.

– Alors préviens-moi. Je ramènerai les accessoires BDSM.

Il m’embrassa une dernière fois, doucement cette fois. Puis il partit, me laissant seule avec le goût de sa peau dans la bouche et mes cuisses encore marquées de ses mains.

Je réajustai ma jupe, récupérai ma dignité… du moins ce qu’il en restait. Et sortis enfin, les joues roses, la bouche gonflée, le cœur battant.

Je savais que je ne verrais plus jamais cette salle de pause de la même façon.

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