Plaisir Féminin Révélé

Plaisir Féminin Révélé

Un voyage sensoriel au cœur des désirs inavoués.

Plaisir Féminin Révélé

Je l’ai regardée jouir doucement – Récit de plaisir féminin

Le loft baignait dans une lumière chaude et tamisée, filtrée par les voilages couleur crème qui balançaient doucement sous la caresse du soir. L’odeur boisée d’un encens discret flottait dans l’air, mêlée à celle plus animale de son parfum. Elle avait ouvert une bouteille de vin rouge, un Bordeaux profond et souple, et m’en avait versé un verre, sans rien dire. Elle ne parlait pas beaucoup. Elle laissait parler ses gestes, ses regards, parfois un frôlement du bout des doigts sur le bois brut de la table, comme une invitation silencieuse à venir plus près.

Assise sur le large fauteuil en cuir brun, elle portait une nuisette noire fendue jusqu’aux hanches. La dentelle révélait plus qu’elle ne cachait, dessinant des ombres sur ses courbes pleines, laissant entrevoir la naissance de ses seins, le satin épousant tendrement son ventre, ses hanches, la cambrure de ses reins. Elle maîtrisait son image, chaque mouvement semblait pensé, calculé… et pourtant terriblement naturel. Elle était là, offerte mais insaisissable. Je la regardais, fasciné.

Elle avait posé ses jambes l’une sur l’autre, son talon battait l’air à rythme lent, comme un métronome du désir. Elle ne me regardait pas. Elle regardait devant elle, vers la baie vitrée, vers la ville qui brillait en contrebas. Elle savait que mes yeux glissaient sur elle. Elle me donnait la permission de la voir sans un mot.

– Tu comptes rester là longtemps à me mater sans rien dire ?

Sa voix était douce, mais ferme. Une autorité tranquille. Son regard avait quitté la nuit pour se poser sur moi, et j’avais senti le poids de son attention comme une main invisible sur ma gorge. J’ai souri, haussé les épaules en approchant doucement.

– Tu aimais être regardée, non ?

Elle eut un sourire en coin, presque une provocation. Puis elle écarta les jambes, lentement. Très lentement. Elle portait un string en tulle noir, aussi fin qu’un murmure, et par transparence, je pouvais voir la ligne de son sexe battre doucement sous l’étoffe.

– Ça dépend qui regarde, dit-elle.

Je me suis arrêté à un mètre d’elle, debout. Mon regard fixé entre ses cuisses, mon souffle plus lourd. Elle savait exactement ce qu’elle faisait. Le pouvoir qu’elle exerçait. Ce n’était pas une scène jouée. C’était un spectacle offert. Un moment suspendu, aussi vibrant qu’un premier coup de langue sur une peau nue.

Elle leva une main vers le coussin à sa droite. Dessous, posé là comme une promesse, brillait un petit vibromasseur en silicone noir, à la courbe délicate. Elle le prit, le fit tourner lentement entre ses doigts, puis le posa sur ses lèvres.

– Tu veux que je me fasse jouir, là, devant toi ?

Son ton était calme, presque innocent, mais je sentais le gouffre de sensualité qui ouvrait sous ces mots simples. J’ai simplement acquiescé. Je ne voulais pas briser la magie de l’instant avec trop de mots vides. Ce n’était pas le moment du contrôle. C’était le sien.

Elle glissa une main sous sa nuisette, souleva doucement le tissu. Toute nue en dessous. Juste le string qu’elle repoussa de côté du bout des doigts. Doucement. Elle ne voulait pas précipiter, elle voulait que je voie. Que je savoure chaque détail. La lueur humide sur ses lèvres, déjà prêtes. La tension dans ses cuisses. La douceur de ses gestes. L’assurance tranquille d’une femme qui s’appartient totalement.

Elle alluma le sextoy. Un faible vrombissement emplit la pièce, couvert seulement par le cliquetis lointain de la ville nocturne. Elle le testa contre sa paume, comme pour apprivoiser l’intensité, puis le guida entre ses jambes. Son souffle s’alourdissait à peine. Elle était concentrée. Présente. Dans son corps. Dans sa peau. Accessible et lointaine à la fois. Et moi, je ne pouvais pas détacher mes yeux d’elle.

– Tu veux que je commence doucement ? Ou tu préfères me voir perdre le contrôle ?

Ma voix s’était coincée dans ma gorge. Elle savait que ma réponse importait peu : c’est elle qui allait décider. Et cela me donnait autant de plaisir que d’impatience.

Elle écarta un peu plus les jambes. Le sextoy glissa entre ses lèvres, lentement, presque timide. Elle s’allongea un peu dans le fauteuil, le dos calé dans le cuir, les cheveux retombant en cascade sur son épaule nue. Sa main libre jouait doucement avec son sein, pinçant son téton à travers la dentelle tendue. Elle soupira. Un son léger, presque irréel. Mais il vibra en moi comme une déflagration silencieuse.

Je sentais mon membre battre contre le tissu de mon jean. Pourtant je ne bougeais pas. J’étais prisonnier de cette scène. Elle se caressait pour elle, mais elle jouissait pour nous deux. Elle me donnait ce moment comme un cadeau rare, précieux, impudique.

Le vibromasseur dessinait des cercles lents sur son clitoris. Elle ferma les yeux un instant. Sa bouche s'entrouvrit. Son bassin accompagna légèrement le mouvement. Elle ne cherchait pas la jouissance immédiate. Elle explorait, elle montait. C’était une écriture du plaisir. Une poésie. Une musique lente qui montait en tension.

– J’adore ce moment-là, souffla-t-elle.

– Lequel ?

– Quand je sais que je vais venir… mais que je veux encore attendre. Le plaisir est meilleur quand on y résiste un peu. Tu ne crois pas ?

J’ai hoché doucement la tête. Ma gorge était sèche. Mon cœur battait trop vite.

– Continue…

Elle sourit, presque surprise. Puis elle reprit ses caresses. Plus précises. Plus sensuelles. Elle ouvrait son corps à mon regard, mais surtout, elle ouvrait son plaisir. Celui d’une femme qui connaît son rythme, ses envies. Celui qui ne demande aucune permission, mais qui invite si on sait écouter.

Je l’ai regardée jouir… doucement. Lentement. Comme on goûte un vin rare. Comme on écoute le craquement d’un feu dans une nuit d’hiver. Chaque frisson sur sa peau, chaque tremblement de ses cuisses, chaque soupir subtilement étranglé me rendait plus fou. Et pourtant, je restais là. Immobile. Témoin silencieux et ardent. Elle menait la danse. Et j’étais honoré d’être convié à ce ballet intime.


Elle avait fermé les yeux, les lèvres entrouvertes, un soupir suspendu entre le plaisir et l’attente. Le vibromasseur dansait lentement sur son clitoris, avec cette régularité calculée qui n’appartient qu’aux femmes qui savent exactement ce dont leur corps a besoin. Je n’osais pas bouger. Chaque mouvement de sa main, chaque frémissement de ses cuisses, était une invitation silencieuse à rester là, simple spectateur de son plaisir féminin en plein éveil.

Elle n’avait pas besoin de moi pour jouir. Et c’était précisément ce qui rendait la scène si intense. Elle se suffisait. Elle s’aimait. Elle avait fait de son propre corps un territoire de jeu et de caresse, et j’étais là, témoin privilégié, à la fois frustré et émerveillé.

– Tu regardes bien... Tu vois comme je suis déjà mouillée ?

Je hochai la tête, incapable de formuler une réponse. La lumière dorée jouait sur la peau satinée de ses cuisses, soulignait les perles d’humidité qui brillaient entre ses lèvres. Elle écarta un peu plus ses jambes, et la vue de son sexe épanoui me coupa le souffle. La transparence du string ne cachait plus rien. Le tissu, détourné sur le côté, épousait les rondeurs de ses lèvres, trempé, collé, soulignant la pulpe de son intimité.

– J’adore quand tu regardes. Ça me rend plus chaude encore.

Elle pressa un peu plus le sextoy contre elle, et un frisson visible parcourut tout son corps. Sa tête bascula légèrement en arrière, sa main libre chercha à nouveau son sein, qu’elle pétrit plus franchement cette fois. La dentelle se froissa sous ses doigts. Je la vis pincer son téton, le faire rouler entre ses doigts, ses hanches ondulant lentement contre la pulsation du vibromasseur.

Je me suis avancé d’un pas, juste un. Je sentais mon excitation battre dans mes veines, dans mon ventre, dans mon sexe tendu sous le tissu. Mais je n’osais pas rompre cet équilibre fragile. Elle menait la danse. Elle dictait le rythme.

– Tu veux que je change la vibration ?

Sa voix était douce, plus rauque. Elle ouvrit les yeux, ses pupilles dilatées d’un désir contenu. Je ne répondis pas. Elle ne cherchait pas ma permission. Elle voulait m’exciter. Me faire languir. Et elle y parvenait à merveille.

Elle fit glisser le vibromasseur un peu plus bas, caressant l’entrée de son sexe, puis le guida lentement à l’intérieur. Elle gémit doucement, le souffle brisé. Sa main ralentit, puis reprit un mouvement de va-et-vient lent et profond. Ses lèvres s’écartèrent à nouveau, un soupir plus long, plus chargé.

– Tu sens comme il me remplit ?

Je laissai échapper un grognement de frustration. Elle sourit. C’était une victoire de plus. Une de celles qu’elle savourait lentement, à sa manière. Elle retira le sextoy presque entièrement, le fit tourner sur ses doigts humides, puis le fit replonger en elle d’un geste plus affirmé.

Le bruit discret du silicone mouillé contre sa chair résonna dans le silence suspendu du loft. Elle se mordit la lèvre. Je pouvais voir son ventre se contracter, ses cuisses se tendre, son souffle devenir plus erratique. Mais elle gardait le contrôle. Elle ralentissait quand la vague montait trop vite. Elle modulait son plaisir comme on module une mélodie, pour faire durer la tension, pour effleurer l’orgasme sans encore y céder.

– J’ai aussi pris ça pour toi.

Elle tendit la main vers la petite boîte noire posée sur la table basse. Ses doigts tremblaient un peu. Elle l’ouvrit, et en sortit un plug anal en verre rose pâle, lisse, élégant. Un bijou discret, au bout orné d’un cristal. Je la regardai, fasciné.

– Tu veux que je le mette ?

J’ai dégluti, incapable de dire oui ou non. Mon silence était déjà une réponse. Elle se leva lentement, le sextoy toujours en main, dégoulinant de son envie. Elle posa un genou sur le fauteuil, puis l’autre, se retournant pour m’offrir la vue parfaite de son cul bombé, ses hanches pleines, sa cambrure outrageusement parfaite.

Elle écarta ses fesses, lentement, dévoilant l’anneau délicat de son intimité. Puis elle prit un petit flacon de lubrifiant, en versa quelques gouttes sur le plug, et le fit tourner entre ses doigts pour bien le recouvrir. Elle en appliqua aussi sur elle, avec des gestes doux, patients, presque tendres. Puis elle approcha le plug, le posa contre sa peau, et commença à l’insérer lentement.

Elle haleta, un son animal, presque rauque, alors que le bijou pénétrait doucement en elle. Son corps se tendit, ses jambes frémirent, ses doigts s’agrippèrent au cuir du fauteuil. Puis elle soupira, longuement, une fois le plug en place. Elle se redressa sur les genoux, le dos cambré, et tourna légèrement la tête vers moi.

– Tu aimes me voir ainsi ?

Je n’avais jamais rien vu d’aussi beau. D’aussi obscène et gracieux à la fois. Le contraste entre sa peau douce et le cristal, entre sa posture soumise et la maîtrise absolue de la situation, me rendait fou.

Elle reprit place dans le fauteuil, s’allongeant à moitié, les jambes largement ouvertes. Le vibromasseur retrouva sa place entre ses cuisses, mais cette fois, son autre main alla chercher plus bas, entre ses fesses, caressant doucement le plug en place. Elle gémit à nouveau, cette fois plus fort, plus profond. Son bassin roula contre le jouet, ses doigts glissèrent avec plus d’assurance.

– Là je suis pleine…

Ses yeux se fermèrent, sa bouche s’ouvrit, et elle se perdit dans ses sensations. Je la regardais, fasciné, ma respiration saccadée, incapable de détourner les yeux. Elle incarnait le plaisir. Le vrai. Celui qui n’a pas besoin d’approbation. Celui qui ne se demande pas s’il est trop ou pas assez. Elle était pure sensualité. Et je l’aimais pour ça.

– Parle-moi... dit-elle soudain, entre deux souffles.

– Tu es magnifique. Je n’ai jamais vu une femme se donner autant de plaisir. Tu es en feu. Tu es tout ce que j’ai jamais désiré, là, maintenant...

Elle gémit plus fort en entendant mes mots. Son bassin accéléra. Le jouet vrombissait plus vite. Elle approchait. Je le sentais. Son corps tout entier vibrait. Mais elle luttait. Elle résistait. Elle voulait encore faire durer. Encore quelques secondes, encore un frisson. Elle serra le plug entre ses doigts, se pinça le téton, et poussa un cri étouffé. Mais ne jouit pas. Pas encore.

– Regarde bien… Je vais venir. Mais pas pour toi. Pour moi.

Et ce fut la chose la plus érotique que j’aie jamais entendue.

Ses jambes s’étaient mises à trembler. Son souffle, court et irrégulier, se heurtait à chaque gémissement qu’elle n’arrivait plus à contenir. Elle avait cessé de lutter. Le plaisir l’envahissait par vagues, lentes d’abord, puis plus intenses, plus profondes. Ses doigts s’agrippaient au cuir du fauteuil, les ongles presque blanchis par la tension. Chaque va-et-vient du vibromasseur en elle déclenchait une contraction visible de son ventre, un frisson le long de ses cuisses ouvertes, offertes.

Elle murmura quelque chose, à peine audible, entre deux soupirs rauques. Je m’approchai enfin, incapable de résister davantage. À genoux devant elle, je posai une main sur sa cheville, l’autre sur le bord du fauteuil. Elle ne me regardait plus. Elle était ailleurs. En elle-même. Dans cette zone brûlante où le plaisir féminin devient presque sacré, animal et divin à la fois.

– Continue, souffla-t-elle. Regarde-moi… jusqu’au bout.

Je vis son bassin rouler une dernière fois, plus fort, plus tendu. Sa main appuya le vibromasseur contre son clitoris, tandis que l’autre pressait le plug anal, comme pour retenir toute cette intensité qui menaçait de la faire exploser. Et puis ce fut là. L’instant. Son corps entier se crispa, ses jambes se refermèrent à moitié dans une pulsion incontrôlée, son dos se cambra, et un cri silencieux s’échappa de sa gorge. Un orgasme long. Dense. Vibrant.

Elle resta figée quelques secondes, suspendue dans l’extase, les paupières closes, la bouche entrouverte. Des spasmes encore, doux, irréguliers. Puis elle laissa échapper un soupir, un souffle profond, presque soulagé. Le vibromasseur glissa d’entre ses doigts, tomba doucement sur le cuir. Sa main libre caressa son ventre, lentement, comme pour revenir à elle.

Je ne disais rien. J’étais juste là. Témoin de ce moment d’une rare intensité. Une scène que je n’oublierai jamais.

Elle ouvrit enfin les yeux. Me regarda. Son regard était encore brumeux, mais il y avait ce petit sourire, celui d’une femme repue… et encore affamée.

– Tu n’as pas bougé. Tu m’as laissée aller jusqu’au bout. Merci pour ça.

Je souris. Ma voix était rauque quand je répondis :

– C’était le plus beau spectacle qu’on m’ait jamais offert.

Elle se redressa lentement, le plug toujours en elle, sa peau encore frémissante. Elle posa une main sur ma joue, effleura ma bouche du bout des doigts.

– Et toi ? Tu crois pouvoir rester sage encore longtemps ?

Je ne répondis pas. Mon silence lui tira un nouveau sourire, plus franc, plus joueur.

– Reviens demain. J’ai un harnais. Et un godemichet en verre que j’aimerais beaucoup utiliser… sur toi.

Mon cœur manqua un battement. Elle se leva, nue, magnifique, et disparut dans la salle de bain sans un mot de plus, me laissant là, dur, brûlant, et terriblement vivant.

Je sus alors que ce n’était que le début. Que ce récit de plaisir féminin allait devenir le nôtre, chapitre après chapitre. Et qu’elle, douce et dominatrice, allait m’enseigner bien plus que le silence.

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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr

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