Premier baiser envoûtant
Première fois sensuelle : un baiser long, profond, troublant
Il pleuvait doucement sur les vitres du grand appartement parisien. La lumière tamisée des lampadaires filtrait à travers les rideaux en lin, jetant une lueur chaude sur les murs couleur crème. L'ambiance était feutrée, douce, presque irréelle. Dans le salon, un disque de jazz tournait lentement, laissant s’échapper quelques accords languissants, comme un murmure.
Elle l’observait du coin de l’œil, accoudée à la fenêtre, un verre de vin entre les doigts. Sa robe en soie glissait sur les courbes de son corps comme une caresse continue, dévoilant plus qu’elle ne dissimulait. Ses pieds nus frôlaient le tapis épais, et l’odeur de l’encens, mêlée à celle du cuir des fauteuils et d’un parfum boisé, enveloppait toute la pièce d’un voile sensuel.
Il était là, assis nonchalamment dans le canapé, chemise entrouverte sur un torse ferme, son regard planté dans le sien avec une intensité troublante. Il n’avait pas besoin de parler. Tout dans sa posture, ses gestes retenus, son souffle contrôlé, criait le désir contenu. Cela faisait des semaines qu’ils se croisaient, s’effleuraient, échangeaient des sourires teintés d’ambiguïté. Mais ce soir… tout semblait différent.
Elle avança lentement vers lui, chaque pas mesuré, presque chorégraphié. Il ne bougeait pas. Il la laissait venir. Il lui laissait le choix. Le pouvoir. Et c’était grisant.
– Tu veux un peu plus de vin ? demanda-t-elle d’une voix basse, presque rauque.
– Non. Je veux juste te regarder encore un peu.
Il avait dit ça sans détourner les yeux, sans sourire, sincère. Elle sentit son ventre se contracter. Un frisson lui remonta l’échine, et elle sut qu’elle était à la lisière. Cette ligne délicate où la tension devient magnétique. Où tout est encore possible, mais plus vraiment contrôlable.
Elle s’assit à côté de lui, à peine à quelques centimètres. Leurs genoux se frôlèrent, puis leurs cuisses. Il n’y eut pas de brutalité, aucun geste précipité. Juste leurs souffles qui se mélangeaient, leur peau qui se reconnaissait à tâtons.
Il leva une main vers sa joue, lentement, presque avec révérence. Ses doigts étaient un peu rugueux, tièdes, précis. Elle pencha légèrement la tête contre sa paume, et ferma les yeux.
– Tu es… très belle.
– Je sais.
Elle avait souri, un peu provocante. Un brin dominatrice, oui. Elle aimait garder le contrôle. Et pourtant, ce soir, elle sentait le sol vaciller sous ses pieds. Pas d’un vertige de peur. Mais un vertige délicieux, puissant, irrépressible.
Il approcha son visage. Elle sentait son haleine, douce, sucrée, tiède. Et puis, leurs lèvres se frôlèrent. Si légèrement qu’elle en eut des frissons partout. C’était un baiser qui n’en était pas encore un, et pourtant… c’était déjà trop.
Quand enfin il posa vraiment sa bouche sur la sienne, elle soupira. Ce n'était pas un baiser rapide ni volé. C’était un baiser long, profond, troublant. Un baiser qui réveillait tout. Qui ouvrait des portes intérieures, des paysages brûlants, des souvenirs jamais vécus mais attendus depuis toujours.
Son corps se détendit contre le sien, puis s’abandonna. Leurs langues se cherchèrent, s’apprivoisèrent, s’enlacèrent. Il n’y avait pas de précipitation, juste une lente montée, une vague lente mais implacable. Elle sentit sa main descendre le long de sa nuque, effleurer sa clavicule, caresser la naissance de son sein par-dessus la soie.
Elle avait envie qu’il l’explore. Qu’il la déshabille, pièce par pièce, regard par regard. Mais elle voulait aussi faire durer. Sentir chaque seconde. L’anticipation était un aphrodisiaque plus puissant qu’aucun sextoy, même les plus perfectionnés.
Elle écarta doucement les lèvres, offrit sa langue, puis la retira pour mieux la redonner. Un jeu. Un jeu sensuel. La première fois qu’on embrasse vraiment quelqu’un, il y a cette magie, ce vertige, cette intensité qu’on ne retrouve jamais tout à fait. Et ce baiser-là, elle le savait déjà, allait la hanter longtemps.
Elle sentit son ventre vibrer. Son sexe réagir avec une lenteur délicieuse. Les tissus qui la frôlaient devenaient insupportables. Son corps appelait. Mais elle ne voulait pas céder trop vite. Non. Elle aimait cette attente. Cette tension suspendue. Comme un plug anal délicatement glissé, invisible, mais toujours présent, prêt à exploser la moindre seconde venue.
Il avait glissé la main sous le tissu de sa robe, frôlant la peau nue de sa cuisse sans chercher plus loin. Pour l’instant. Juste la couvrir de sa paume, comme une promesse.
– Tu trembles…
– Ce n’est rien. C’est toi.
Elle se redressa lentement, se leva, le regardant de haut, sûre d’elle. Puis elle recula d’un pas, dos tourné, tendit ses bras derrière elle et fit glisser les fines bretelles de sa robe. Le tissu tomba sans bruit, révélant un corps nu orné seulement d’une paire de bas noirs et d’un harnais minimal en cuir fin qui soulignait ses hanches. Il ne dit rien. Il la buvait des yeux.
Elle s’approcha de lui, prit sa main, et la guida entre ses cuisses, là où sa peau était fiévreuse. Son regard disait tout le reste.
La première fois n’a pas besoin d’être rapide, maladroite, hésitante. Elle peut être lente, dominée, tendue. Elle peut être une promesse tenue. Une envolée sensuelle.
Elle voulait qu’il la goûte comme un secret. Qu’il épouse ses moindres frissons avant même de la posséder. Elle voulait le guider. Lui apprendre combien chaque baiser pouvait être un monde à lui seul. Car ce n’était que le début.
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Elle s’était rassis lentement sur lui, cette fois à califourchon, sans détacher ses yeux des siens. Sa peau nue effleurait la sienne, encore couverte par la chemise entrouverte. Elle sentait sous elle la tension de ses cuisses, la chaleur de son ventre, le battement sourd de son désir contenu.
Ses mains à elle, fines mais décidées, s’étaient posées sur ses épaules. Elle caressait la ligne de sa nuque, puis descendait lentement le long de ses bras, explorant, découvrant, s’appropriant.
– Tu me regardes comme si j’étais une énigme à résoudre, murmura-t-elle.
– Plutôt comme un poème à lire lentement… à voix basse…
Ses lèvres s’étirèrent en un sourire trouble. Elle se pencha légèrement, ses seins frôlant son torse à peine couvert. Puis elle vint l’embrasser à nouveau. Mais cette fois, ce fut plus lent encore. Plus profond. Un baiser comme une immersion. Comme un plongeon dans un bain chaud où chaque millimètre de peau se réveille.
Leurs langues dansaient, se goûtaient, se cherchaient. Il y avait quelque chose de presque sacré dans ce baiser. Comme si c’était la première fois qu’elle se laissait vraiment embrasser. La première fois sensuelle. Celle qui marque. Celle qui reste.
Elle ondulait doucement contre lui, ses hanches dessinant des cercles lents, lascifs. Il glissa ses mains dans le creux de ses reins, la maintenant contre lui, sans la forcer. Juste pour sentir. Pour suivre le rythme de ses mouvements.
– Tu as toujours ce plug…?
Il avait murmuré la question à son oreille, sa voix légèrement rauque, chargée de désir et de curiosité.
– Oui, souffla-t-elle. Tu veux le sentir ?
Elle se redressa un peu, se cambra. Le petit bijou de métal effleura le tissu de son pantalon, et il en devina la forme, la pression. Il ferma les yeux une seconde, inspirant profondément.
– Tu es incroyable…
Elle attrapa sa main, la guida lentement vers sa fesse, lui faisant sentir le relief du plug anal sous sa peau tendue.
– Il est là depuis le début… Chaque pas, chaque baiser, je le sens. C’est une tension délicieuse. Comme toi entre mes cuisses, mais sans mouvement. Juste l’attente…
Il déglutit. Son regard s’assombrit. Elle sentait le pouvoir qu’elle avait sur lui, et elle l’aimait. Elle adorait cette montée. Ce jeu de séduction lent, presque cruel, mais terriblement excitant.
Elle se pencha à nouveau, embrassa sa mâchoire, puis son cou, lentement, en laissant sa langue s’attarder à chaque creux, chaque pulsation.
– Tu veux que je continue ?
– Oui. Mais doucement. J’ai envie… de tout sentir.
Elle sourit contre sa peau. Elle aussi. Elle voulait chaque frisson. Chaque soupir.
D’un geste, elle défit un bouton de sa chemise, puis un autre. Elle exposait sa peau comme on déplie un livre précieux. Sa main glissa sur son torse, caressa les lignes de ses muscles, les poils fins, la chaleur sous ses doigts.
Elle se redressa légèrement, et attrapa la coupe de vin posée sur la table basse. Elle y trempa un doigt, puis le porta à ses lèvres, le suçotant lentement, sensuellement. Il la regardait faire, fasciné.
– Tu sais ce que j’imagine ?
– Dis-moi…
– Ce vin… sur toi. Sur ta peau. Que je te lèche comme je te lirais. Lentement. Ligne après ligne.
Elle frissonna. Ce qu’il disait, la manière dont il le disait… c’était presque trop pour rester sage.
Elle trempa à nouveau ses doigts, et cette fois, les posa sur sa clavicule, traçant une ligne humide vers son torse. Puis elle se pencha, et lapa doucement le liquide, sa langue glissant sur lui avec une lenteur calculée.
– Tu es joueur… murmura-t-elle.
– Non. Je suis affamé.
Elle rit doucement, un rire bas, chaud. Puis elle se leva d’un pas, nue dans la lumière dorée de la pièce, ses bas noirs dessinant ses jambes interminables, le harnais soulignant la cambrure de ses reins. Elle fit quelques pas vers la commode, ouvrit un tiroir. En sortit un petit flacon de lubrifiant délicat, un vibromasseur discret, et une paire de menottes en cuir souple.
Elle revint vers lui sans un mot. Ses gestes étaient lents, contrôlés. Elle le regardait comme une maîtresse regarde son amant : avec appétit, et tendresse. Elle s’agenouilla devant lui, entre ses jambes.
– Tu me laisses jouer un peu ?
Il hocha la tête, incapable de parler. Son souffle était plus court. Son regard brûlait.
Elle posa les objets sur le canapé, à portée. Puis elle remonta lentement ses mains sur ses cuisses, les écartant légèrement. Le tissu de son pantalon était tendu, l’appelait. Mais elle n’était pas pressée.
Elle revint s’asseoir sur lui, plus proche encore. Leurs visages presque collés. Elle n’avait pas besoin de plus de mots.
Leurs bouches se retrouvèrent, plus affamées cette fois. Le baiser était plus profond encore, plus chaud, plus tremblant. Sa langue venait chercher la sienne, la provoquait, la caressait, la dominait parfois, se laissait dominer aussi.
Leurs mains se cherchaient, se trouvaient, s’échappaient. Elle sentait son sexe dur sous elle, pressé contre sa chair brûlante. Le plug en elle vibrait à chacun de ses mouvements, amplifiant les sensations, la rendant plus consciente de tout.
– Tu ne veux pas que je t’attache… pas encore…? demanda-t-elle, la voix basse, presque contre sa bouche.
– Si. Mais seulement si tu continues de m’embrasser comme ça…
Elle sourit, puis attrapa les menottes. Les fixa délicatement à ses poignets, qu’il tendit sans résistance. Puis les accrocha à l’anneau du dossier du canapé. Il était à sa merci. Mais elle ne voulait pas le punir. Pas ce soir. Elle voulait le faire fondre.
Elle se pencha, l’embrassa encore. Longuement. Profondément. Troublée elle aussi par la force de ce baiser. Elle se sentait chavirer. Comme si ce n’était pas juste un jeu, mais une fusion. Une sorte de vérité nue, offerte à travers leurs langues, leurs souffles, leurs soupirs.
Elle glissa le vibromasseur entre ses cuisses, sans le démarrer. Juste pour le sentir là. Une promesse de plus. Puis elle se remit à l’embrasser. Inlassablement.
Ce baiser-là… c’était leur premier. Mais il contenait déjà tous les autres à venir.
```Elle glissa lentement sur lui, le vibromasseur toujours coincé entre ses cuisses, provoquant une pression juste là où elle la voulait. Il était attaché, vulnérable, à sa merci. Elle sentait son sexe dur contre elle, battant, impatient. Mais elle n’avait pas fini de jouer.
Elle se redressa légèrement, et d’un mouvement des hanches, fit coulisser le vibro contre son clitoris, sans encore l’allumer. Juste la matière froide contre sa chaleur. Elle ferma les yeux un instant, savourant la tension, le contraste, le frisson.
Sa main libre descendit vers sa bouche, effleura ses lèvres, puis s’attarda sur son propre sein, caressant, pinçant doucement le téton qui se durcissait. Il la regardait faire, haletant, les poignets tendus par les menottes, incapable de résister à l’envie de la toucher, de la prendre.
Elle se pencha à nouveau, sa bouche effleurant la sienne, puis descendit le long de sa mâchoire, de son cou, jusqu’à son torse. Sa langue traçait des cercles, ses dents mordillaient avec douceur. Il gémit, bas, rauque.
– Je vais te faire perdre la tête, souffla-t-elle contre sa peau.
– Tu l’as déjà fait…
Elle alluma enfin le vibromasseur. Une vibration fine, discrète, mais terriblement précise. Elle l’ajusta contre son clitoris, et la secousse la fit se cambrer. Son souffle s’accéléra, ses hanches ondulèrent plus vite, incontrôlables.
Elle appuya plus fort. Ses muscles se tendaient. Le plug en elle amplifiait chaque contraction, chaque spasme. Elle sentait la montée, fulgurante, inévitable. Il la regardait, fasciné, incapable de détourner les yeux de cette femme qui se consumait lentement sur lui.
– Tu vas jouir ? demanda-t-il, la voix brisée de désir.
– Oui…
Elle ferma les yeux, mordit sa lèvre, et la vague la traversa. Un orgasme lent, profond, qui la fit trembler de la nuque aux orteils. Elle se crispa contre lui, le vibro plaqué fermement entre ses cuisses, le plug vibrant avec chaque pulsation de plaisir.
Son cri fut étouffé contre sa gorge. Un gémissement long, fendu de soupirs. Et puis, le silence. Un silence vibrant, chargé d’électricité. Elle resta là, immobile, son front contre le sien, leur souffle mêlé, encore haletant.
Elle éteignit l’appareil, le posa à côté. Puis, lentement, elle défit les menottes.
Il attrapa aussitôt son visage entre ses mains, l’embrassa fiévreusement, comme s’il avait retenu ce baiser pendant des heures, des jours. Elle se laissa faire, fondit contre lui, encore tremblante.
– Tu es… renversante, murmura-t-il contre sa tempe.
– Toi aussi… Et je n’ai pas encore tout montré.
Ils restèrent là, nus, emmêlés, leurs peaux moites et collées, leurs cœurs battant en écho. La pluie avait cessé au-dehors, mais dans le salon, le jazz continuait, lent et sensuel, comme un prolongement de leur souffle.
Elle se leva finalement, alla chercher un plaid, revint s’enrouler contre lui. Il la serra fort, une main sur ses hanches, l’autre encore tremblante sur sa cuisse.
– Tu veux dormir ici ? demanda-t-elle.
– Pas dormir. Rester.
Elle sourit, l’embrassa doucement.
– Alors reste. Mais demain, c’est moi qui serai attachée.
Son regard s’illumina, un éclat joueur dans les yeux.
– Promesse ?
– Promesse.
Et dans le silence de la nuit, elle sut que cette première fois sensuelle n’était que le début d’un long voyage. Un voyage de peau, de souffle, de jeux et d’abandon.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr