Découverte Frissonnante Féminine

Découverte Frissonnante Féminine

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Ma première fois lesbienne : le frisson inattendu

Je n’aurais jamais cru que cette soirée-là changerait quelque chose en moi. Encore moins qu’elle m’ouvrirait une part entière de mon désir, une zone pourtant restée en sommeil jusqu’à ce que son regard s’y attarde. Elle s’appelait Alix. Brune, l’œil brûlant, la bouche faite pour dire des choses interdites. Et c’est justement ce qu’elle a fait.

La fête battait son plein dans le loft d’un ami d’enfance. Les lumières tamisées, la musique électro douce, les corps un peu trop proches et les verres vidés trop vite. J’étais venue là pour m’évader, me détendre. Pas pour explorer ma première fois avec une femme. Et pourtant…

Je portais un haut noir moulant, sans soutien-gorge, sentant mes pointes effleurer le tissu à chaque mouvement. Je savais que je provoquais, inconsciemment peut-être. J’aimais être regardée. Mais ce que je ne savais pas encore, c’était à quel point j’allais aimer être découverte par elle.

Alix est entrée dans mes pensées comme on entre dans un rêve humide. Elle m’avait souri dès le début. Un sourire oblique, presque sage. Mais ses yeux disaient autre chose. Ils glissaient sur mon cou, mes épaules nues, s’attardaient sur ma bouche. Quand elle s’est approchée pour me tendre un verre, nos doigts se sont frôlés — contact anodin, mais chargé soudainement d’une tension étrange et délicieuse.

– Tu t’ennuies ?

Sa voix était grave, douce, suffisamment basse pour être entendue que de moi. Je l’ai regardée. J’ai hésité une seconde de trop.

– Non… Enfin, un peu.

Elle a souri. Et j’ai compris : elle savait lire dans mon jeu. Elle avait vu, probablement avant moi, l’ouverture, l’appel à peine formulé. L'aveu silencieux d'une curiosité qui n’attendait qu’un feu vert.

– Tu veux souffler un peu ? Il y a un coin plus calme à l'étage.

Je n’ai pas répondu. J’ai simplement hoché la tête. Mon cœur battait plus vite. Je n’étais pas naïve, et pourtant j’avais la sensation troublante de franchir une frontière. Ses doigts fins se sont posés sur mon poignet. Une chaleur immédiate. Elle m’a guidée à travers les gens, sans se retourner, sûre de moi, sûre d’elle.

En haut, c’était presque silencieux. Une chambre d’ami sans lumière, à peine éclairée par le halo orangé d’une lampe à sel. Une senteur de vanille flottait, enveloppant l’air d’une douceur étrange, presque érotique.

– J’aime m’éloigner un peu quand ça devient trop… bruyant, a-t-elle murmuré.

Elle a fermé la porte, doucement, puis s’est tournée vers moi. J’étais soudain consciente de chaque centimètre de mon corps. De mon souffle. De mes cuisses légèrement serrées. Ses yeux m’enveloppaient, et je sentais déjà... le vertige.

– Tu es magnifique, tu le sais ?

Je n’avais pas encore entendu ça ce soir. J’ai baissé les yeux, intimidée. Mais elle s’est approchée. Un pas à la fois. Jusqu’à ce que je sente son souffle contre ma joue.

– Tu sais que tu me plais…?

Ma gorge s’est nouée. Une chaleur rayonnait de mon ventre à mes seins. J’ai murmuré :

– Je crois que… je n’ai jamais imaginé ça.

Ses doigts ont glissé sur mon bras, lentement. Chaque contact déclenchait en moi une onde nouvelle, délicieuse, un frisson direct entre mes hanches.

– Et là ? Est-ce que tu peux imaginer... maintenant ?

Je ne pouvais plus penser. Mes lèvres s’entrouvraient, ma respiration devenait plus rapide. Un petit oui s’est échappé, à peine audible. Elle a souri, puis a attrapé ma main pour la poser sur sa hanche. Son corps était chaud sous sa robe légère. Je croyais trembler. Peut-être pas tant de peur — mais d’excitation, de trouble. De cette sensation d’être parfaitement vivante, nue, offerte avant même d’avoir ôté le moindre vêtement.

Elle a reculé à peine, juste assez pour me regarder tout entière.

– Tu portes quoi, en dessous ?

– Une culotte… en dentelle. Noire.

– Montre-moi.

Je savais que je pouvais dire non. Mais non n’était plus une option. Mes doigts ont lentement glissé sous ma jupe. Je l’ai relevée un peu, juste assez pour qu’elle aperçoive la bande fine de dentelle sur mes hanches, le tissu moulant sur mon sexe déjà moite.

– Très joli. Ça me donne envie de jouer un peu avec toi.

Elle a ouvert un tiroir, dévoilant un assortiment d’accessoires. Menottes en satin, plumes, paddle en cuir, un petit vibromasseur noir… Elle voyait mon regard parcourir chaque objet, hésitant, curieux.

– Tu veux que je te montre ? Qu’on y aille doucement… Ou que je sois un peu plus directive ?

Elle savait. Elle connaissait ce trouble délicieux dans lequel elle m’enveloppait. Je me suis mordu la lèvre. Puis j’ai soufflé :

– J’ai envie… que tu m’apprennes.

Son sourire s’est élargi. Elle a déposé un baiser au creux de mon poignet.

– Alors ce sera ta première fois lesbienne. Et je vais la rendre inoubliable.

Elle s’est approchée, a passé ses mains sous ma nuque et m’a attirée contre elle. Nos fronts se sont effleurés. Mon cœur frappait à tout rompre. Son souffle sur mes lèvres, puis… un frôlement. Sa bouche effleurant la mienne. Un contact suspendu, une promesse.

J'ai fermé les yeux. Et c’est là, dans cette demi-obscurité, que j’ai compris : je ne reviendrai pas en arrière.

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Ses doigts ont effleuré la peau nue de mon bras, remontant lentement jusqu’à mon épaule. Le simple contact de sa paume laissait derrière lui une traînée chaude et électrique. Mon souffle était court, comme suspendu entre deux battements de cœur. Je n’avais jamais été aussi consciente de mon corps, de chaque frisson, de chaque point de tension sous ma peau.

– Tu trembles, murmura-t-elle, ses lèvres effleurant presque ma tempe.

– Je… oui.

Elle ne m’a pas demandé si c’était de peur ou d’excitation. Elle savait. Elle lisait en moi comme dans un livre ouvert, et chaque page semblait l’amuser délicieusement. Alix avait ce pouvoir-là — de rendre l’inconnu irrésistible.

Ses mains sont descendues le long de mes hanches, s’arrêtant juste au bord de ma jupe. Elle a soulevé doucement le tissu, y glissant un regard curieux et gourmand. Sa voix s’est faite plus basse, presque rauque :

– Tu es déjà mouillée, tu sais ?

J’ai rougi. Mais je n’ai pas détourné les yeux. J’ai hoché la tête, incapable de mentir ou de fuir. Elle a souri, ce sourire lent, félin, qui me faisait perdre pied.

– J’adore ça.

Elle a reculé d’un pas, sans me lâcher du regard, et a ouvert le tiroir une seconde fois. Cette fois, elle a sorti une paire de menottes en satin noir. Douces, élégantes, mais symboliques. Mon ventre s’est contracté, un mélange d’appréhension et d’envie brute.

– Tu veux essayer ?

Je n’ai pas répondu. J’ai simplement tendu mes poignets.

Alix a murmuré quelque chose entre ses lèvres, comme une incantation secrète, puis a attaché les menottes autour de mes poignets. Le tissu était frais contre ma peau, mais ce n’était rien comparé à la chaleur qui montait en moi.

– Tourne-toi, murmura-t-elle.

Je me suis exécutée, lentement. Elle se tenait derrière moi maintenant, ses mains glissant sur mes bras, mon ventre, mes cuisses. Elle a remonté ma jupe, révélant mes fesses à moitié couvertes par la dentelle noire. Puis elle a soufflé :

– Tu es sublime… Si délicieuse que j’ai du mal à ne pas mordre.

Ses dents ont effleuré ma nuque, puis elle a laissé sa langue glisser sur ma peau, humidifiant un sillon brûlant jusqu’à mon épaule. J’ai laissé échapper un soupir tremblant. Ma première fois lesbienne prenait une tournure que je n’aurais jamais pu imaginer — et chaque seconde me rendait plus avide.

– Je vais te montrer ce que c’est… d’être désirée par une femme.

Elle m’a fait asseoir sur le bord du lit, puis s’est placée entre mes cuisses, me dominant de toute sa hauteur. Elle a lentement défait les boutons de sa robe, me laissant voir, centimètre par centimètre, la peau douce de sa poitrine, sans soutien-gorge. Ses seins étaient pleins, fiers, la peau légèrement hâlée. J’ai retenu ma respiration.

– Tu peux les toucher… si tu me le demandes.

Je l’ai regardée, captivée.

– Je veux les toucher.

– Dis-le avec un peu plus de soumission, chérie.

Je n’ai pas hésité cette fois.

– Alix… s’il te plaît… laisse-moi toucher tes seins.

Elle a souri, satisfaite, et s’est penchée. Ma bouche a rencontré sa peau chaude, douce, légèrement parfumée. Mes doigts liés ont glissé maladroitement contre sa taille, et j’ai senti ses tétons se durcir contre ma langue. Elle a gémi doucement, un son grave, délicieux.

– Tu apprends vite.

Elle a reculé légèrement, puis a sorti du tiroir un petit flacon de lubrifiant et un vibromasseur noir, fin, élégant. Mon cœur a fait un bond. Elle a vu mon regard inquiet et m’a rassurée d’un murmure :

– Pas maintenant. Je veux d’abord que tu comprennes ce que peut faire une bouche… une main… une intention.

Elle a posé le sextoy à côté de nous, comme une promesse. Puis elle s’est agenouillée devant moi, ses mains s’emparant de mes cuisses, les écartant lentement.

– Tu peux me dire d’arrêter à tout moment. Mais si tu ne dis rien… je vais te goûter.

Mon ventre s’est contracté violemment. Je n’ai pas dit un mot.

Ses doigts ont glissé sous ma culotte, traçant un sillon lent sur mes lèvres intimes. Elle a laissé échapper un soupir d’admiration.

– Tu es trempée… J’adore cette première fois. J’adore te découvrir.

Ses lèvres ont rejoint ses doigts, et j’ai senti le premier contact de sa langue contre moi. Léger, exploratoire, presque chaste — mais terriblement électrique. J’ai gémi, surprise par la douceur et la précision de son geste.

Elle a alterné entre de longs coups de langue et de petits cercles taquins, s’arrêtant parfois juste avant que le plaisir ne devienne insupportable. Elle jouait avec moi, délicieusement cruelle, me tenant au bord du précipice sans jamais me laisser tomber.

– Tu veux que je continue ?

– Oui… s’il te plaît…

Elle a ri doucement, puis s’est redressée, ses lèvres brillantes d’envie. Elle a glissé deux doigts dans sa bouche, les a lentement sucés, puis les a approchés de mon entrejambe.

– Je veux que tu sentes ce que c’est… quand une femme sait exactement où appuyer.

Ses doigts ont frôlé l’entrée de mon sexe, sans pénétrer, juste pour me rendre folle. Mon dos s’est cambré. Les menottes tiraient légèrement sur mes poignets, comme un rappel constant de mon abandon. Et j’aimais ça. J’adorais être entre ses mains, guidée, explorée, offerte.

– Regarde-moi… reste avec moi…

Nos regards se sont accrochés. Elle a enfoncé lentement un doigt, puis un deuxième, avec tendresse mais fermeté. Mon corps l’a accueilli avec avidité. Je n’avais jamais ressenti cette forme de douceur profonde, cette précision sensuelle. C’était différent… plus intime, plus lent. Plus envahissant, aussi.

– Tu es si serrée… si chaude. Tu es à moi, ce soir.

Sa bouche est revenue sur la mienne. Elle m’a embrassée avec une telle intensité que j’en ai oublié le monde autour. J’étais là, suspendue à elle, à ses gestes, à sa voix. Mon corps vibrait entre ses doigts, et je ne voulais plus jamais que ça s’arrête.

Elle s’est arrêtée soudainement, retirant doucement ses doigts, me laissant haletante, frustrée, les cuisses tremblantes.

– Pas encore, murmura-t-elle en me caressant les cheveux. Tu vas attendre. Je veux que tu sois folle de moi. Je veux que tu me supplies de finir.

Je l’ai regardée, les yeux fiévreux, la bouche entrouverte. Elle m’a embrassée une dernière fois, puis a soufflé :

– Et ce n’est que le début.

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– Tu es prête… à jouir pour moi ?

La voix d’Alix, chaude et basse, coulait dans mes veines comme du miel brûlant. Elle avait repris sa place entre mes cuisses, son regard planté dans le mien, ses doigts toujours en moi, lents, profonds, précis. Je n’étais plus qu’un souffle, un ventre noué, une gorge sèche de désir.

Ses lèvres sont revenues contre mon clitoris, douces, insatiables. Elle suçait, léchait, pressait, comme si elle connaissait chaque nerf de mon corps mieux que moi-même. Mes hanches se soulevaient malgré moi, à la recherche de plus, de tout.

– Alix… s’il te plaît…

Je ne savais plus ce que je suppliais. Qu’elle continue ? Qu’elle me libère ? Qu’elle me possède ? Tout se mélangeait. Le satin des menottes qui tirait doucement sur mes poignets, le frisson glacé de la sueur sur ma nuque, la chaleur liquide entre mes cuisses… J’étais à elle.

Elle a pressé un point précis à l’intérieur de moi, juste au moment où sa langue s’est mise à tourner lentement en cercle. Mon cri s’est étranglé dans ma gorge.

– Oui… oui… encore…

Tout mon corps s’est crispé. Une vague immense, brûlante, m’a submergée. Mes cuisses ont tremblé, mon ventre s’est contracté, et j’ai joui. Longuement. Intensément. En silence d’abord, puis dans un gémissement rauque, presque animal. Elle ne s’est pas arrêtée. Elle a prolongé l’orgasme, l’a étiré, le rendant presque douloureux tant le plaisir était aigu.

Quand enfin elle s’est redressée, ses lèvres brillantes de moi, j’étais étendue, pantelante, incapable de bouger. Elle m’a détachée avec une douceur infinie, puis m’a attirée contre elle, mon visage niché dans le creux de son cou.

Son odeur, un mélange de vanille, de peau et de sexe, m’enveloppait. J’ai senti ses doigts caresser mes cheveux, lentement, comme pour me bercer.

– Tu étais parfaite…

Je n’ai pas répondu. Je me sentais flottante, comblée, mais aussi troublée. Cette première fois lesbienne venait de marquer quelque chose en moi. Une révélation. Un vertige délicieux.

– Tu regrettes ?

J’ai levé les yeux vers elle. Son regard était doux, mais sûr. Elle savait déjà la réponse.

– Non. Pas une seconde.

Elle a souri, puis a effleuré mes lèvres d’un baiser presque chastement tendre, contrastant avec la brutalité du plaisir qu’elle m’avait offert quelques instants plus tôt.

– Alors laisse-moi t’inviter… chez moi. Un jour où on aura tout le temps. Où je pourrai prendre ton corps encore plus lentement… et où tu pourras, peut-être, me rendre la pareille.

Je me suis mordue la lèvre, un feu doux reprenant déjà dans mon ventre.

– Tu crois que je saurai faire ?

– Je suis une excellente professeure.

Elle a glissé une main sous le drap, entre mes cuisses encore sensibles.

– Et toi, tu es une élève… fascinante.

Je l’ai embrassée, cette fois sans hésitation. Longuement. Ma culotte encore humide collait à mes lèvres, mon cœur battait fort, mais j’étais calme. Apaisée. Ou presque. Car une question vibrait déjà dans ma tête, insolente, délicieuse :

– Et si… je n’étais pas si hétéro que ça ?

Alix a souri contre ma bouche, comme si elle l’avait deviné avant moi.


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