Délicieux Abandon Nocturne

Délicieux Abandon Nocturne

Une rencontre envoûtante où les sens s'éveillent et les âmes se frôlent.

Délicieux Abandon Nocturne

J’ai enfin goûté à la double pénétration

Il faisait chaud, cette nuit-là. Une lourdeur estivale emplissait l’air de la chambre, collant la soie de mon déshabillé à ma peau nue. J’avais laissé la baie vitrée ouverte, laissant entrer le souffle tiède d’un vent paresseux et les échos lointains de la ville qui ne dormait jamais. La lueur orangée des lampadaires dessinait des reflets dorés sur le parquet, comme une invitation silencieuse au trouble.

Je me regardais dans le miroir, perchée sur mes talons à brides noires, mon corps langoureusement gainé dans une nuisette en dentelle ivoire, aussi fine qu’un souffle. Elle ne cachait rien. Mes tétons pointaient sous le tissu, tendus, sensibles. Mon ventre frémissait déjà d’attente. Ce n’était pas une soirée ordinaire. J’avais tout planifié depuis des semaines.

Cela faisait des mois que je tournais autour de cette idée. Fantasme obsédant, murmuré dans le creux d’un oreiller, couché sur mes lèvres quand je me caressais seule, les jambes ouvertes au milieu de mes draps. J’en voulais plus. Une vraie nuit d’abandon. Une première fois que je n’oublierais pas.

La double pénétration. J’avais chuchoté ces mots avec hésitation, un soir, à mon partenaire. Quentin. Grand, brun, regard profond et gestes sûrs. Il avait souri. Lentement. Avec cette lueur dans les yeux que j’aimais chez lui. Une excitation partagée. Il n’était pas jaloux, ni timide. Il aimait me voir perdre le contrôle.

Et ce soir, il avait prévu quelqu’un. Un ami de confiance. Quelqu’un qui savait écouter. Qui respectait. Et qui savait faire grimper le désir comme un feu qu’on attise lentement, sans jamais le brusquer.

Je regardais l’heure. 21h47.

La sonnette vibra doucement. Mon cœur sauta dans ma poitrine.

Je descendis lentement l’escalier, mes hanches ondulant sans y penser, les cuisses déjà moites. Il était là. Quentin, dans un pantalon sombre, une chemise à demi ouverte, le regard calme, posé. Et lui, à côté. Émile. Je ne l’avais vu qu’en photo avant ce soir. Mâchoire carrée, yeux vert-de-gris, une assurance tranquille émanait de sa posture.

– Bonsoir, murmura-t-il en me détaillant d’un regard franc. Tu es ravissante.

Je souris. Juste un souffle.

– Merci. Entrez.

Ma voix vibrait légèrement. Pas de nervosité, non. Plutôt une tension délicieuse qui me faisait frissonner de l’intérieur. Quentin me frôla la taille discrètement en passant derrière moi. Il connaissait mes signaux. Mes silences aussi.

Nous nous installâmes au salon. Quelques verres. Rires feutrés. Mes jambes croisées sous la lumière douce, les regards qui traînaient sur mes cuisses, sur ma gorge. Je jouais avec la bretelle de ma nuisette, la faisant glisser paresseusement sur mon épaule.

Quentin tendit la main et effleura la peau nue, puis me regarda droit dans les yeux.

– Tu es certaine de toi ?

Je hochai la tête, lentement. Mon ventre dansait de promesses silencieuses.

– Je n’ai jamais été aussi prête, soufflai-je.

Un silence. Puis Émile se leva, contournant le canapé. Il prit ma main, la porta à ses lèvres. Ce fut doux. Presque cérémonieux.

– Tu as un mot pour qu’on arrête ?

– Rouge, dis-je. Comme mon envie. Comme ma peau sous les griffes du plaisir.

J’avais préparé la chambre. Des bougies parfumées à la vanille, une lumière tamisée, le lit vaste, les draps tirés. Un coffre ouvert sur la table de chevet révélait quelques accessoires soigneusement choisis : un plug anal garni de cristaux, des menottes en cuir, une boucle ceinture qui servait parfois de collier, un vibromasseur à double tête.

Quentin entra derrière moi. Me prit par les hanches, ses mains fermes, possessives. Il tira doucement mon dos contre son torse. Son souffle chaud glissait contre ma nuque.

– Ce soir, tu t’abandonnes. Ce soir, on te prend entière.

Je me cambrai légèrement. Mes reins cherchaient déjà leur place contre lui. Je sentis une main étrangère, celle d’Émile, qui effleura ma cuisse, remontant lentement jusqu’à la courbe de mes fesses.

– Elle tremble déjà, dit-il doucement.

– Elle est impatiente, répondit Quentin en m’embrassant l’épaule.

J’ouvris les yeux sur le miroir face au lit. Mon reflet était celui d’une amante offerte, d’une femme prête à franchir un seuil. Mes joues roses, mes lèvres entrouvertes, mon regard brillant d’anticipation.

Je sentis les doigts habiles d’Émile glisser sous la dentelle, effleurer mes lèvres intimes, jouer sans presser. Ils me découvrirent trempée. Ouverte. Affamée.

– Laisse-toi faire, murmura-t-il. On va te faire vibrer comme jamais.

Les menottes claquèrent contre le montant du lit. Ma respiration se fit plus courte. Mes poignets prisonniers, je m’offrais, vulnérable et invincible à la fois. Le plug anal glissa entre mes fesses, huilé, précédent la vraie caresse. Je haletais.

J’avais franchi le seuil du fantasme. Et ce n’était que le début.


Émile se tenait derrière moi, sa main caressant lentement le bas de mon dos, pendant que Quentin me dévêtait avec une patience presque cruelle. La dentelle glissa sur mes hanches, tomba en silence à mes pieds. Je me sentis nue, offerte, mais étonnamment puissante. Leurs regards me dévoraient, et cette attention me faisait vibrer de l’intérieur.

Leurs gestes étaient coordonnés, comme s’ils m’avaient déjà rêvée ensemble, mille fois. Quentin s’agenouilla devant moi, ses lèvres effleurant l’intérieur de ma cuisse. Je sentis sa langue s’attarder, chaude, possessive, pendant qu’Émile massait mes épaules, ses paumes larges réveillant chaque nerf sous ma peau.

Je m’abandonnais à leurs mains, à leurs souffles mêlés. Mon ventre se contractait à chaque caresse bien placée. Ils prenaient leur temps, et c’était pire que tout. Mieux que tout.

– Tu es si belle… souffla Émile, sa voix grave contre ma nuque.

– Regarde comme elle s’ouvre déjà, ajouta Quentin, ses doigts explorant mes lèvres gonflées et luisantes.

Je gémis doucement, incapable de retenir cette onde de plaisir qui montait comme une vague lente. Je les voulais tous les deux. Maintenant. Mais ils savaient me faire attendre. Me rendre folle d’envie. Le jeu ne faisait que commencer.

Le plug anal fut saisi avec délicatesse. Je le vis dans le miroir : ce bijou rose pâle, scintillant, que j’avais choisi moi-même. Quentin le porta à mes lèvres, me laissant l’embrasser, le goûter. J’aimais cette mise en scène. Ce rituel érotique où chaque geste avait un poids, une intention.

– Tu es prête à l’accueillir ? murmura-t-il, ses doigts effleurant mes fesses.

– Oui… s’il vous plaît…

Je sentis le lubrifiant froid d’abord, coulant lentement entre mes plis, puis la pression douce du plug qui s’enfonçait, petit à petit, dans cette partie de moi que j’avais longtemps refusé d’explorer. Je haletais. La sensation était étrange, puissante, comme si mon corps s’élargissait à de nouvelles dimensions du plaisir.

– Tu le prends si bien…

Émile, toujours derrière, passa ses bras autour de moi, ses mains capturant mes seins tendus, les malaxant avec une fermeté qui me fit gémir plus fort. Je me cambrai, mon cul offert, ma gorge vibrante de soupirs.

– Laisse-toi faire, princesse, murmura Quentin, son souffle effleurant ma hanche. Ce n’est que le début…

Ils me menèrent jusqu’au lit, mes poignets relâchés mais dociles. Je m’y allongeai, jambes écartées, offerte et impatiente. Quentin monta sur le matelas, entre mes cuisses, tandis qu’Émile s’agenouillait près de ma tête.

– Ouvre la bouche, souffla-t-il en prenant ses cheveux dans une main ferme.

Je m’exécutai, docile, accueillante. Son sexe glissa lentement entre mes lèvres, dur, chaud, battant. Je le suçai lentement, sensuellement, pendant que Quentin introduisait deux doigts en moi, puis trois. Mon corps vibrait de partout, tendu comme la corde d’un violon.

– Elle est si serrée… si mouillée…

Je gémissais autour du sexe d’Émile, ma bouche pleine, mes hanches bougeant pour en avoir plus. Chaque mouvement de leurs corps, chaque mot soufflé, chaque doigt glissé en moi m’emmenait plus loin.

Quentin se redressa, ses mains attrapant mes hanches. Il me pénétra d’un coup lent, profond, délicieux. Je criai contre Émile, surprise et comblée. Mon ventre se contracta instantanément, envahi par cette chaleur qui me consumait.

– Putain… tu es parfaite…

Leurs corps se mirent à danser autour du mien. Quentin me prenait lentement, ses coups de reins profonds, calculés. Émile guidait ma bouche, me caressant les cheveux, me murmurant des mots crus, tendres, troublants.

– Tu aimes ça, hein ? Être remplie, domptée, adorée…

Je hochai la tête, le regard perdu entre les draps et le miroir. Voir mon reflet, mes seins qui rebondissaient au rythme des va-et-vient, mes hanches offertes, ma bouche occupée… c’était irréel.

Quentin se retira lentement, me laissant vide, frustrée. Il attrapa ma taille et m’aida à me mettre à quatre pattes, le plug toujours niché en moi, me faisant haleter à chaque mouvement.

Émile vint se placer derrière moi, ses doigts glissèrent sur mes fesses, retirant doucement le plug, me faisant trembler. Une onde de plaisir brut me traversa quand il glissa sa langue entre mes plis, explorant l’espace laissé vide, préparant patiemment mon corps à cette première fois tant fantasmée.

– Tu veux qu’on te prenne tous les deux, ma beauté ?

– Oui… oui, je vous veux…

Le lubrifiant coula à nouveau sur ma peau. Ses doigts, patients, glissèrent dans mon intimité arrière, un à un, me dilatant lentement. Je criai, de plaisir, de tension, de cette frontière que je franchissais avec eux. Quentin se tenait devant moi maintenant, me tenant le menton, m’obligeant à le regarder.

– Regarde-moi quand ça va commencer. Je veux voir ton visage quand tu comprendras ce que c’est… d’être prise… vraiment.

Je ne pouvais que hocher la tête, les yeux noyés de désir. Il me pénétra à nouveau, lentement, pendant qu’Émile dirigeait son sexe vers ma deuxième entrée, plus lentement encore. Le moment exact n’arriva pas tout de suite, mais j’étais prête. Mon corps palpitait de besoin. La tension était à son comble, chaque nerf, chaque muscle tendu vers cette promesse de plaisir total.

Ils ralentirent, sentant que j’étais au bord du précipice, mais pas encore prête à tomber. Ils savaient comment jouer avec moi, comment me pousser toujours plus loin, sans me briser. Ce soir, j’étais leur terrain de jeu. Leur offrande. Leur muse.

Et ils n’avaient pas fini de me façonner entre leurs mains expertes.

Le moment exact où ils m’emplirent tous les deux fut suspendu dans l’éternité d’un souffle. Quentin s’enfonça lentement en moi, ses hanches contre mes fesses, pendant qu’Émile guidait sa verge plus bas, dans cette ouverture que j’avais si longtemps imaginée. Je sentis la pression, la brûlure douce, le corps qui s’écarte, s’offre, se tend. Je haletai, les yeux écarquillés, mes ongles plantés dans les draps.

– Respire, murmura Quentin. Laisse-toi aller…

Je poussai un cri rauque, entre extase et abandon, alors que leurs corps s’ajustaient au mien. Je ne pensais pas que je pourrais les accueillir tous les deux. Mais je le faisais. Et c’était sublime. Mon ventre se contractait, mes cuisses tremblaient, chaque nerf de mon bassin hurlait de plaisir. Ils bougeaient lentement, l’un après l’autre, puis ensemble. Une danse sensuelle, profonde, hypnotique. Je me sentais pleine. Remplie. Possédée.

– Regarde-la… elle est magnifique, souffla Émile, des gouttes de sueur perlant à sa tempe.

– Elle prend tout… elle nous prend si bien…

Je sentais leur chaleur, leur force, leur rythme. Quentin me tenait fermement, ses doigts ancrés dans ma taille, pendant qu’Émile caressait mes reins, mes hanches, mon dos. Ils me murmuraient des mots crus, des promesses de plaisir, des ordres doux qui me faisaient fondre.

– Tu es notre muse, notre putain parfaite ce soir…

Je gémissais, incapable de contenir les vagues de plaisir qui montaient en spirale. Mon corps entier vibrait, secoué par chaque poussée, chaque va-et-vient coordonné. Je me sentis exploser de l’intérieur. Une décharge électrique jaillit de mon ventre, irradia jusque dans mes doigts, mes orteils, mon cœur. Je criai leur nom, perdue dans une jouissance animale, brute, sacrée.

Ils me suivirent presque aussitôt. Quentin se tendit en moi, profond, haletant, pendant qu’Émile se crispa derrière, ses mains serrant mes hanches, son souffle court. Je sentis leur chaleur m’inonder, me remplir pour de vrai. Et je souris, les yeux fermés, le cœur battant, comblée jusqu’à l’âme.

Le silence après fut presque irréel. Juste les soupirs de nos corps fatigués, le froissement des draps, le clapotis de la pluie légère qui avait commencé dehors.

Quentin se laissa tomber à côté de moi, m’attira contre lui, son torse chaud contre mon dos. Émile vint s’allonger de l’autre côté, ses doigts jouant doucement avec une mèche de mes cheveux trempés de sueur.

– Tu vas bien ? demanda-t-il doucement.

Je tournai lentement la tête vers lui, un sourire paresseux sur les lèvres.

– Mieux que bien… je me sens… vivante.

– Tu étais incroyable, souffla Quentin contre mon cou. Belle. Courageuse. Démente.

Je ris doucement, encore ivre de sensations. Mon corps vibrait encore, ouvert, détendu, comme flottant dans une mer tiède de plaisir.

– Et si on recommençait… un jour ? murmurai-je, espiègle, en traçant un cercle paresseux sur le torse de Quentin.

– Quand tu veux, répondit Émile. On n’en a pas fini avec toi.

Je fermai les yeux, bercée entre leurs deux corps. Il y aurait d’autres nuits. D’autres premières fois. D’autres fantasmes à explorer. Mais ce soir, j’avais franchi une frontière. Et je ne reviendrai jamais en arrière.

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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr

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