Première Nuit Défendue

Première Nuit Défendue

Plongez dans un univers de passion et de mystère.

Première Nuit Défendue

Ma toute première fois avec une femme : une nuit hors du temps

Je ne pensais pas qu’un simple regard pouvait bouleverser mon équilibre aussi violemment. C’était un jeudi soir, quelque part entre la fin d’une réunion interminable et une envie soudaine de ne pas rentrer. J’avais besoin de respirer, de sentir que j’existais encore en tant que femme… pas seulement comme manager, collègue ou fille parfaite. La pluie s’était arrêtée de tomber, et la terrasse d’un petit bar feutré du Marais m’avait tendu les bras. L’endroit sentait le cuir, le vin rouge, et quelque chose d'indéfinissable, presque animal. Je m’y suis installée, sans but, sans défense, avec cette chemise blanche ouverte juste ce qu’il faut et une envie étrange qui me frôlait depuis des jours.

Elle est entrée comme on entre dans une pièce préparée pour soi. Naturelle. Magnétique. Elle portait un pantalon en cuir noir, une chemise fluide que le moindre mouvement faisait glisser sur ses courbes. Elle a commandé un gin tonic et s’est tournée vers moi. Son regard a accroché le mien. Puissant. Comme si elle savait.

Je n’avais jamais touché une femme. Oh, j’avais déjà fantasmé, souvent. Mais franchir la limite ? Jamais. Pourtant, je sentais que ce soir, quelque chose était différent. Les battements de mon cœur résonnaient jusque dans mon bas-ventre. Mes cuisses se serraient doucement. Je crois que j’ai souri sans même m’en rendre compte.

Elle s’est rapprochée. Doucement. Elle a posé son verre sur ma table sans demander. Et sa voix… sa voix avait la douceur d’un satin qu’on fait glisser sur une peau nue.

— Tu es seule ?

J’ai hoché la tête. Elle m’a observée, longuement, comme on caresse déjà sans toucher. Son regard est descendu sur ma gorge, mes lèvres, puis il a glissé jusqu’à mes cuisses croisées. Elle a souri, lentement. Et je me suis sentie foutrement mouillée.

— Tu bois quoi ?

— Un verre de rouge. Il est bon, je crois.

Elle n’a rien dit. Elle s’est contentée de s’asseoir en face de moi, d’un geste fluide, presque félin. Mon corps avait déjà décidé sans moi : mes seins tendus sous ma chemise fine, mes joues chauffées, mon ventre contracté. Le cuir de son pantalon craquait légèrement quand elle bougeait. Elle a croisé les jambes, révélant une cheville fine, une main posée sur sa cuisse dans un geste d’assurance presque dominatrice. J’avais envie de l’embrasser. Mais je n’ai pas bougé.

— Je m’appelle Lena, ajouta-t-elle simplement.

— Camille.

Elle a répété mon prénom dans un murmure. "Camille". C’était doux et brûlant à la fois. Elle avait ce don d’habiller chaque mot d’un frisson. Comme si elle me frôlait déjà du bout des doigts.

Elle a levé son verre. J’ai levé le mien. Nos doigts se sont à peine frôlés. Un frisson m’a traversée. Mon imagination s’est emballée. L’idée d’un plug anal, d’un paddle dans ses mains, de mes poignets liés au cadre d’un lit inconnu dans une chambre aux lumières tamisées… Tout s’étalait dans ma tête comme un film dont j’étais à la fois l’actrice et la spectatrice troublée.

Je l’ai regardée. J’ai osé.

— C’est étrange, mais j’ai l’impression que tu sais exactement ce que je ressens.

Elle a penché la tête, ses yeux rieurs, presque dangereux.

— Je le vois, Camille. Ça vibre tout autour de toi.

Elle a posé sa main sur ma cuisse. Juste là, entre le tissu léger de ma jupe et ma peau déjà trop chaude. Elle a exercé une pression lente, ferme. Pas agressive. Ma respiration s’est suspendue. Ma culotte était trempée.

— Tu n’as jamais goûté aux lèvres d’une femme, n’est-ce pas ?

J’ai rougi. Je n’ai pas répondu.

— Ne t’inquiète pas. Je ne veux pas te brusquer. Mais si tu me suis ce soir, Camille… je te promets une première fois que tu n’oublieras jamais.

Ses doigts ont glissé plus haut, à peine. Juste assez pour que mes hanches avancent d’elles-mêmes. Je crois que j’ai gémi. Oui, un petit cri animal, involontaire. Elle l’a entendu.

— Viens. Il y a un hôtel juste là, au coin de la rue. Dis oui, ou je retiens cette tension suspendue dans ton ventre jusqu’à demain…

J’ai vidé mon verre d’un trait. Mon corps entier réclama. Elle s’est levée, ses doigts glissés dans ma main. J’ai suivi. Sans parler. Sans réfléchir. Mon sexe battait contre ma culotte comme un cœur impatient. Le trajet jusqu’à l’hôtel fut une torture délicieuse. Chaque pas résonnait dans mon bassin, chaque battement de pluie sur les pavés me ramenait à cette réalité trouble. L’envie. Le feu. La première fois…


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La porte de la chambre d’hôtel s’est refermée derrière nous dans un silence presque cérémonieux. L’ambiance y était tamisée, baignée d’une lumière dorée qui caressait les murs aux teintes chaudes. Je n’osais plus respirer. Lena ne disait rien. Elle me regardait simplement, debout devant moi, ses yeux plantés dans les miens comme deux promesses brûlantes.

Elle a retiré sa veste d’un geste lent, précis, révélant ses épaules fines, sa chemise légèrement entrouverte. Ses doigts ont glissé doucement sur les boutons… et je me suis surprise à retenir mon souffle à chaque pression libérée.

— Tu peux encore partir, Camille.

Sa voix était basse, presque rauque. Elle savait que je n’irais nulle part.

Je me suis contentée de secouer la tête. Elle a souri. Cette fois, c’était un sourire de victoire. Sensuel. Sûr. Elle s’est approchée, a fait glisser son index sous mon menton pour relever mon visage. Puis ses lèvres se sont posées sur les miennes.

Le baiser était lent. Délicat. Mais chargé d’une tension qui me fit trembler. Sa langue a effleuré la mienne, curieuse, joueuse. Je m’y suis abandonnée, les mains crispées contre mes cuisses. Mon corps entier vibrait. C’était ma première fois avec une femme… mais mon sexe la reconnaissait déjà.

Ses mains se sont posées sur mes hanches, ses pouces caressant lentement le tissu de ma jupe. Elle a descendu son visage vers mon cou, y déposant une pluie de baisers humides. Je sentais son souffle chaud sur ma peau, et chaque contact déclenchait une vague de chaleur entre mes jambes.

— Tu trembles, murmura-t-elle.

— Je… je crois que j’ai peur de ne pas savoir faire.

Elle a relevé la tête, son regard planté dans le mien.

— Tu n’as rien à faire, Camille. Juste… ressentir.

Ses mains sont remontées lentement sur mon ventre, glissant sous ma chemise. Elle a effleuré la peau nue de mes flancs, puis s’est arrêtée juste sous ma poitrine. Elle a attendu… comme pour me demander la permission. Mon corps a répondu à ma place, mes seins se dressant dans mon soutien-gorge comme s’ils l’appelaient.

Elle a glissé ses doigts sous le tissu, et ses paumes ont enveloppé mes seins. Je me suis cambrée, un gémissement m’échappant. Elle a pincé mes tétons entre ses doigts, juste assez fort pour faire jaillir une décharge jusque dans mon bas-ventre.

— Tu es si réceptive…

J’ai rougi. Elle a embrassé ma joue, puis mon menton, puis ma bouche à nouveau. Sa langue s’est faite plus insistante. Et je me suis laissée faire. J’ai même commencé à répondre, maladroitement d’abord, puis avec plus d’assurance. Je voulais la goûter. La sentir. Apprendre chaque recoin de sa bouche et de son corps.

Elle a reculé d’un pas, ses yeux fixés sur moi. Lentement, elle a fait glisser ma chemise hors de mes épaules. Mon soutien-gorge noir est resté en place un instant, jusqu’à ce qu’elle vienne, du bout des doigts, en détacher l’agrafe dans mon dos. Mes seins se sont libérés, tendus, offerts.

Elle les a contemplés un instant, puis s’est penchée pour en prendre un dans sa bouche. Sa langue a tourné autour du téton, l’humectant, le suçant doucement, puis plus fort. L’autre était soumis à la caresse de sa main. Je ne pouvais plus parler. Je ne pouvais que gémir… et sentir le tissu de ma culotte devenir de plus en plus humide.

— Tu veux que je t’aide à te détendre encore ?

J’ai hoché la tête. Elle est allée chercher son sac, l’a posé sur le lit, et en a sorti un petit étui noir. J’ai retenu mon souffle. Elle a ouvert la fermeture éclair. À l’intérieur, un petit plug anal en silicone rose, un flacon de lubrifiant, et un vibromasseur discret, élégant. Mon cœur s’est emballé. Mon ventre s’est noué de désir.

— On ne fera rien que tu ne veux pas, dit-elle doucement. Mais si tu me laisses… je peux te faire découvrir ton corps autrement.

Je savais que j’étais prête. Je n’avais jamais utilisé de plug anal, jamais laissé quelqu’un explorer cet endroit de moi. Mais avec elle… j’avais envie. Terriblement.

Je me suis assise sur le lit, les jambes tremblantes, le souffle court. Elle a écarté doucement mes cuisses, s’agenouillant entre elles. Elle a embrassé l’intérieur de mes genoux, remontant lentement, très lentement, jusqu’à l’élastique de ma culotte. Elle l’a tiré du bout des dents. Mon sexe s’est dévoilé, luisant de désir.

— Tu es magnifique…

Elle a soufflé sur ma vulve, sans me toucher. J’ai haleté. Puis ses doigts sont venus caresser mes lèvres, les écartant doucement. Elle a glissé un doigt entre mes plis, explorant avec une patience exquise. Puis deux. Elle m’a pénétrée lentement, jusqu’à sentir mes parois se refermer autour d’elle.

— Tellement chaude… Tellement prête…

Elle a retiré ses doigts, les a portés à sa bouche, les a goûtés. Son regard ne m’a pas quittée, et j’ai senti une vague de chaleur me traverser.

Elle a pris le lubrifiant, en a versé une noisette sur ses doigts, puis a doucement caressé ma raie, s’arrêtant sur mon anus contracté. Elle a massé autour, avec une douceur infinie, me laissant le temps de m’habituer à l’idée. Puis elle a glissé un doigt, très lentement, sans forcer. Je me suis raidie.

— Respire, Camille. Laisse-toi aller…

J’ai expiré longuement. Et son doigt est entré. Une sensation étrange, nouvelle, mais pas désagréable. Au contraire… j’avais l’impression de découvrir une autre facette de mon plaisir. Elle a bougé doucement, en cercles, puis s’est arrêtée pour prendre le petit plug. Elle l’a lubrifié, et sans me presser, l’a glissé en moi. Je me suis cambrée, surprise par la sensation de plénitude.

— Voilà… Tu es incroyable.

Elle m’a embrassée encore. Longuement. Sa main sur ma nuque, sa langue dans ma bouche, son autre main caressant mes cuisses. Le plug m’envahissait délicieusement, et je me sentais offerte, vulnérable… mais en sécurité.

Elle a pris le vibromasseur, l’a allumé. Une vibration discrète, mais puissante. Elle l’a posé contre mon clitoris. J’ai gémi, fort. Mon corps s’est tendu, et je me suis accrochée à ses épaules pour ne pas sombrer dans l’orgasme trop vite.

— Pas encore, murmura-t-elle. Je veux que tu restes là, dans cette tension…

Elle a retiré le sextoy. Mon corps a protesté, tendu vers le plaisir interrompu. Elle a ri doucement, puis s’est allongée contre moi, son corps chaud contre le mien, ses mains explorant encore. Je n’étais plus qu’un brasier, une attente, une faim.

— Tu es prête pour la suite, Camille ?

Je l’ai regardée, incapable de répondre. Mon corps, lui, criait déjà oui.

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Ses doigts ont retrouvé le vibromasseur, qu’elle a rallumé sans un mot. Cette fois, elle l’a pressé contre mon clitoris sans détour, me tenant fermement par la cuisse. Mon dos s’est arqué, mes jambes se sont raidies, et un cri m’a échappé, brut, incontrôlable.

— Oui… ne retiens rien, Camille…

Sa voix était grave, presque féline. Elle contrôlait tout, même mon souffle. Elle a amplifié la pression, modulant les vibrations, jusqu’à ce que je perde toute notion du temps. Le plug en moi accentuait chaque sensation, chaque onde de plaisir. Je n’étais plus que chair offerte, bouche entrouverte, sexe palpitant, cœur battant à la tempe.

— Je… je vais…

— Laisse-toi aller.

Et j’ai explosé. Mon ventre s’est contracté violemment, mes cuisses se sont resserrées autour de son bras. J’ai gémi son prénom, plusieurs fois, haletante, tremblante, incapable de contenir ce flot incandescent qui m’envahissait. L’orgasme m’a prise toute entière, profond, long, presque douloureux de plaisir.

Elle a continué de me caresser pendant que mon corps ondulait encore sous les secousses involontaires. Puis, lentement, elle a éteint le vibromasseur et l’a posé sur la table de chevet. Elle s’est penchée vers moi, a embrassé mon front, puis mes lèvres, tendrement.

Je n’arrivais pas à parler. Je pleurais doucement, sans tristesse. Juste… submergée. Elle m’a entourée de ses bras, ses cuisses contre les miennes, nos peaux moites se cherchant encore.

— Tu es magnifique quand tu jouis, murmura-t-elle dans ma nuque.

— Je… je ne savais pas que c’était possible… d’aller aussi loin…

— On n’a fait qu’effleurer, Camille. Tu n’as aucune idée de ce que ton corps peut encore découvrir.

Elle a glissé sa main sur mon ventre, doucement, puis a retiré le plug avec une lenteur exquise. Je me suis mordue la lèvre, encore sensible, mais délicieusement vidée.

Nous sommes restées là, nues, entremêlées, à écouter nos respirations s’apaiser. Ma tête reposait sur sa poitrine. Ses doigts jouaient distraitement avec une mèche de mes cheveux.

— Tu regrettes ?

J’ai souri, sans ouvrir les yeux.

— Non. C’est comme si… j’étais enfin entrée dans ma propre peau. Comme si je ne voulais plus jamais reculer.

— Alors ne recule pas.

Elle s’est redressée, a attrapé une lingette dans son sac, et a nettoyé doucement entre mes cuisses, attentive, presque amoureuse. Elle m’a ensuite tendu un verre d’eau, que j’ai bu d’une traite.

— Tu veux dormir ici ?

— Non. Je veux recommencer.

Son éclat de rire a résonné comme une promesse.

— Alors laisse-moi te montrer la suite. Il y a un paddle, une paire de menottes et un baume pour vulve qui n’attendent que toi.

Mon ventre s’est resserré à nouveau. Une autre vague d’envie. Plus lente. Plus profonde. J’ai glissé mes doigts contre sa hanche, et j’ai murmuré :

— Mais cette fois, je veux te goûter aussi…

Elle a fermé les yeux, un sourire au coin des lèvres.

— Alors viens. Et prends ton temps.

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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr

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