Colocataire, secret et passion

Colocataire, secret et passion

Plongez dans un monde de mystère et de passion sous les étoiles.

Colocataire, secret et passion

Mon coloc gay m’a initié au plaisir

L'appartement n'avait rien d'extravagant, mais il avait ce charme bohème propre aux quartiers étudiants. Deux chambres mansardées, quelques meubles dépareillés, des posters de cinéma sur les murs. Une grande fenêtre dans le salon laissait filtrer une lumière tiède et dorée en cette fin de journée. L’air sentait le café refroidi, le jasmin et l’odeur discrète de son parfum, que je reconnaissais maintenant parmi tous les autres.

Il s’appelait Adrien. Frange brune, peau pâle, des yeux d’un bleu vert presque indécent. Mon nouveau colocataire depuis trois semaines. Gay, assumé, drôle, désarmant de naturel. Il avait ce truc… une nonchalance qui me troublait sans que je comprenne encore pourquoi. J’avais toujours pensé être hétéro. Enfin… je ne m’étais jamais vraiment posé la question non plus. Jusqu’à ce soir-là.


Adrien sortait de la douche, juste une serviette autour des hanches. Des gouttes glissaient le long de son torse. Je détournais les yeux pour ne pas paraître impoli, mais j’avais quand même eu le temps de détailler ses abdos, la fine courbe de ses hanches, ses tattoos en noir et gris… Une chaleur étrange naquit dans mon ventre.

– Tu veux une bière ? demanda-t-il, en se dirigeant vers le frigo sans se rhabiller.

– Euh… oui, merci.

Il ouvrit une canette, l’autre main maintenant sa serviette. Je m’efforçais de fixer l’écran de mon ordi, mais je ne lisais plus rien depuis dix minutes. Mon esprit divaguait, à chaque mouvement de son corps. C'était la première fois qu’un autre homme me faisait cet effet-là. C’était troublant. Et terriblement excitant.


– T’es bizarre ce soir, fit-il avec un petit rire moqueur. Tu rougis ?

Je le regardai enfin, à la fois gêné et complètement fasciné. Il me fixait avec ce regard malicieux, presque prédateur, comme s'il avait déjà compris avant moi ce qui était en train de changer.

– Peut-être que t’as chaud, poursuivit-il. Ou alors… c’est moi qui te fais quelque chose ?

Un silence flotta dans l’air. Mon cœur battait plus vite. J’aurais pu nier, faire une blague. Mais l’idée de mentir, là, devant lui, me semblait soudain hors sujet. Ce n’était pas une blague. C’était réel. Mon désir, ses gestes, cette tension qui montait entre nous comme une marée lente, presque insidieuse.

– Je sais pas, soufflai-je. Peut-être…


Il s’approcha. Lentement. S’assit sur le canapé, tout près. Trop près. La chaleur de sa peau rayonnait à travers l’air, presque palpable. Son genou frôla le mien. Je ne bougeai pas. Je ne pouvais pas.

– Tu sais… dit-il en posant sa canette sur la table basse, certaines premières fois ont lieu au bon moment. Quand on s’y attend le moins.

Son regard était franc. Pas dominateur, pas moqueur. Juste… sûr de lui. Sûr de moi. Comme s’il savait exactement ce que je ressentais sous mes hésitations. Comme s’il lisait en moi.

– Et parfois, ajouta-t-il, c’est agréable de se laisser guider. De découvrir des choses sur soi… de façon très intime.


Sa main se posa sur ma cuisse. Ferme. Lente. Et mon sexe se contracta dans mon jean, brusquement. Aucun mot ne sortit de ma bouche. Mon souffle devint plus court, plus lourd. Il le sentit. Bien sûr qu’il le sentit.

– Tu veux que j’arrête ? murmura-t-il tout contre mon oreille.

J’eus un frisson. Sa voix grave, si proche, me fit vibrer dans tout le corps. J’étais excité. Oui. Tellement. J’avais peur aussi. Mais je ne voulais pas fuir.

– Non…

Le mot s’échappa. Presque inaudible, mais vrai. Mais entier.


Adrien sourit. Et sans forcer, il glissa sa main jusqu’à mon entrejambe. A travers le tissu de mon jean, il sentait déjà mon érection. Mes sens étaient en alerte. Tout vibrait. Ce n’était pas seulement du désir. C’était comme une porte qui s’ouvrait dans mon corps, dans mon imaginaire tout entier. Un nouveau territoire. Jamais exploré. Et c’était terriblement bon.

– Tu es tendu, bébé, dit-il doucement. Laisse-moi t’aider à te détendre…

Il se leva. Sans un mot, il disparut dans sa chambre. Mon cœur tambourinait dans ma poitrine. Était-ce ça, vivre une première expérience gay ? C’était étrange d’avoir attendu si longtemps pour ressentir un truc aussi viscéral. Et beau. Et terrifiant.

Il revint avec quelque chose dans la main. Un petit sac de satin noir. Il s’assit à nouveau, plus proche encore. Je ne comprenais pas tout de suite. Jusqu’à ce qu’il l’ouvre.

Des menottes en cuir. Un petit plug anal en silicone profond, lisse. Et un flacon d’huile parfumée. Mon ventre se serra. Mes joues flambèrent. Mais mes reins, eux, se relâchèrent dans une pulsation brûlante.

– On n’est pas obligé d’aller loin, souffla-t-il. Juste... ce que tu veux. Ce que tu ressens. Tu peux dire stop à tout moment.

Je hochai doucement la tête. Je n’avais jamais utilisé de sextoy. Encore moins un plug. Ni même été menotté. Mais l’idée qu’il prenne le contrôle, qu’il me guide, m’enveloppa d’une chaleur inattendue. Ce n’était pas de la soumission. C’était de la confiance. Et mon sexe, dur et vibrant contre la fermeture de mon jean, ne mentait pas.


– Tu es prêt à me laisser t’initier au plaisir ?

La question suspendit le temps. Il n’y avait plus que lui, moi, et cette tension électrique entre nos corps. J'étais sur le point de basculer dans quelque chose de plus grand, de plus intense. Et je n’avais jamais eu autant envie qu’on me prenne la main pour m’y conduire.

– J’ai envie que tu me montres, soufflai-je.

Son sourire devint plus intense. Il posa une main sur ma gorge, douce mais affirmée. Ses lèvres vinrent frôler les miennes, sans les prendre encore. Il voulait que je réclame. Que je m’offre. Et j’étais à deux doigts de céder…


Là, sur ce canapé où tout semblait ordinaire jusqu’à cette nuit, mon monde commençait à changer. Lentement. Sensuellement. Et je n’avais jamais eu aussi faim d’un homme. De lui. Adrien.

Adrien s’était approché à nouveau, le regard plus intense, plus chargé. Il se plaça derrière moi sur le canapé, ses mains glissant sur mes épaules, lentes, fermes, comme s’il voulait m’ancrer dans l’instant. Je sentis la chaleur de son torse contre mon dos, la serviette toujours nouée bas sur ses hanches.

– Respire… laisse-toi aller.

Sa bouche effleura ma nuque. Une première fois. Puis une deuxième, plus lente, plus humide. Je frémis, incapable de parler. Il me frôlait à peine, mais chaque contact envoyait une secousse de désir jusqu’à mon bas-ventre. Mon jean me comprimait, trop serré, trop chaud. Il le savait.

– Tu veux que je t’aide à te sentir mieux ?

Je hochai la tête. Sa main descendit sur ma poitrine, traçant la ligne de mes côtes jusqu’à la ceinture de mon pantalon. Son autre main tirait doucement sur les boutons de ma chemise, les défaisant un à un, lentement, comme une offrande.

– Je vais te montrer. Tout doucement. Rien que toi et moi.

Il écarta les pans de ma chemise et posa sa paume contre ma peau nue. J’eus un soupir. Je n’avais jamais ressenti ça avec une femme. Ce n’était pas que différent. C’était un autre monde. Plus précis. Plus attentif. Les sensations semblaient plus nettes, plus intimes. J’avais l’impression de voler sous ma peau.

Ses doigts glissèrent vers ma ceinture. Il la défit sans se presser, puis ouvrit le bouton, la fermeture. Mon sexe tendu se libéra un peu, mais restait prisonnier du tissu. Il effleura mon érection à travers le boxer. Un soupir m’échappa, incontrôlable.

– Voilà… t’es déjà dur pour moi. Tu aimes ça, hein ?

Je n’arrivais pas à répondre. Mon souffle était court, erratique. Il glissa sa main dans mon sous-vêtement, sans me quitter des yeux. Ses doigts chauds, sûrs, enroulés autour de ma verge. Il bougea à peine, juste assez pour réveiller chaque nerf endormi. Mon bassin réagit, avide, pris dans un feu que je ne contrôlais plus.

– Doucement, murmura-t-il. Laisse-toi sentir. Laisse-moi faire…

De l’autre main, il attrapa le flacon d’huile. Il en versa un filet dans sa paume, le parfum musqué emplit aussitôt l’air. Puis il glissa les doigts huilés le long de mon torse, de mon ventre, et revint entre mes cuisses. Le contact était glissant, chaud, délicieux. Mon corps se cambra vers lui, sans réfléchir.

Il me caressait avec lenteur, comme s’il dessinait des lignes invisibles sur ma peau. J’étais brûlant, tendu à craquer. J’avais envie de plus, de tout. Mais il maîtrisait le rythme avec une précision désarmante.

– Tu veux que je t’attache ? demanda-t-il à voix basse, sa bouche contre ma tempe.

Je ne répondis pas tout de suite. L’idée me fit trembler. Mais pas de peur. De curiosité. D’envie. Mon sexe palpita dans sa main.

– Oui…

Il sourit contre ma peau. Puis il se leva, et d’un geste fluide, fit glisser la serviette au sol. Mon souffle se coupa. Il était nu. Entier. Et magnifique. Son sexe dur pointait vers moi, lourd, vibrant. Pas une image fantasmée. Réelle. Vraie. Et incroyablement excitante.

– Lève-toi. Viens.

Je me levai. Il me fit reculer jusqu’à sa chambre, doucement, ses mains sur mes hanches. Il me débarrassa de mon jean, de mon boxer, de ma chemise. Je me retrouvai nu devant lui. Nu et vulnérable. Mais jamais je ne m’étais senti aussi vivant.

– Sur le lit. À genoux. Les mains devant.

Je le fis. Tremblant. Mon cœur battait dans mes oreilles. Il attacha mes poignets avec les menottes en cuir, les fixant à la tête de lit. Son souffle était calme. Le mien, plus chaotique. J’étais offert, là, à sa merci. Et j’adorais ça.

Il s’assit derrière moi, et je sentis ses mains sur mes fesses, les caressant, les explorant. Puis un doigt huilé vint effleurer mon intimité. Lentement. Avec patience. J’eus un sursaut, mais pas de recul. Juste une vague de désir plus profonde.

– Respire… c’est juste moi. Je vais tout faire pour que tu te sentes bien.

Il inséra le doigt, lentement, avec délicatesse. Mon corps se tendit, surpris par la sensation nouvelle, mais il me laissa le temps. Il bougea en cercles, assouplissant, apprivoisant. Puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier. Plus intense. Plus profond. Je gémis. De plaisir. De trouble. D’envie.

– Tu es parfait… si réactif. Tellement prêt à t’ouvrir à ça.

Il retira ses doigts. J’eus un soupir de frustration. Mais il revint avec le plug anal. Il le montra devant mes yeux, brillamment huilé. Je le fixai, fasciné. Jamais je n’aurais cru être excité par un sextoy. Et pourtant…

– Tu me fais confiance ?

– Oui.

Il l’introduisit lentement. J’eus un gémissement. C’était étrange. Invasif. Mais pas douloureux. Il bougeait à peine, juste pour me faire sentir le poids, la pression, l’ouverture. Mon sexe frémissait entre mes cuisses, dur, gonflé, vibrant.

– Regarde-toi… tu es magnifique. Tellement sensuel, comme ça, offert, rempli pour la première fois.

Ses mots me firent gémir. Le plug bougeait légèrement à chacun de mes mouvements, réveillant des sensations inconnues. Mon cerveau était en feu. Mon corps, un champ de désir pur.

Il vint se placer devant moi, caressant ma joue, mes lèvres. Son sexe effleura les miennes. Il ne me força à rien. Il attendait. Offrait. Invitait. Et moi… je n’avais jamais eu autant envie d’un homme.

Je tirai un peu sur les menottes, tendu vers lui. Mes lèvres s’entrouvrirent. Il gémit à son tour, brut, surpris, en sentant ma langue effleurer sa peau. Je le goûtai. Lentement. Inexpérimenté, mais avide. Et lui… il perdit un peu de son contrôle.

– Putain… tu me rends fou…

Il se retira, frustré, haletant. Il ne voulait pas aller trop vite. Il voulait que cette première expérience gay soit parfaite. Que je me souvienne de chaque seconde, chaque frisson. Et moi, j’étais suspendu à lui. À ses gestes. À ce désir nouveau qui m’envahissait tout entier.

Adrien passa derrière moi à nouveau, ses mains sur mes hanches. Il fit rouler le plug en moi tandis qu’il me masturbait lentement. Je gémissais, incapable de me contenir. Mon corps vibrait à chaque va-et-vient de ses doigts, chaque pression interne. Mon sexe était au bord de l’explosion, mais il savait comment me retenir, comment faire durer.

– Pas encore, murmura-t-il. Il faut que tu apprennes… que tout peut durer plus longtemps. Que le plaisir, c’est aussi la montée, pas juste la chute.

Je n’arrivais plus à parler. Je n’étais que souffle, peau, feu. J’aurais pu pleurer tant c’était bon, tant j’étais bouleversé par sa tendresse et son assurance. Il m’initiait. Il me guidait. Il me possédait sans me prendre encore. Et j’en voulais plus. Tellement plus.

– Tu aimes ça ? demanda-t-il.

– Oui… oui, putain… j’adore ça…

Il sourit. Je ne le voyais pas, mais je le sentais. Son plaisir à me voir m’ouvrir. À me voir vibrer pour lui. Mon colocataire. Mon ami. Mon premier homme. Mon initiateur.

Il retira le plug en un mouvement lent, presque cruel tant c’était bon. Et son souffle contre mon oreille, brûlant, me fit frissonner jusqu’à l’os.

– Tu veux qu’on continue ?

Je tournai la tête vers lui, les yeux brillants, le souffle court.

– J’en ai jamais autant eu envie…

Il m’embrassa enfin. Profond. Langoureux. Et tout devint silence, et feu, et abandon.

Je sentis Adrien se coller à moi, son torse chaud contre mon dos. Il se pencha, ses lèvres effleurant ma nuque avec une lenteur calculée. Mon corps tout entier tendu, prêt, suspendu à ses gestes. Il reprit le lubrifiant, en versa entre mes fesses, et ses doigts reprirent leur danse — un, puis deux, puis trois. Lents, profonds, précis.

Je gémissais, incapable de retenir les sons. Mes poignets tirés par les menottes, mes hanches offertes, mon sexe dur se frottant contre les draps. J’étais vulnérable et brûlant, dévoré par l’envie qu’il me prenne enfin. Il le savait. Il savourait cette attente.

– Dis-le, murmura-t-il contre ma peau.

– J’ai envie que tu me baises…

Il grogna, animal. Je sentis le bout de son sexe se poser contre mon entrée, large, chaud, palpitant. Il me laissa un instant pour respirer, puis poussa lentement. Très lentement. Mon souffle se coupa, mes muscles se crispèrent autour de lui. C’était intense, brut, mais il m’accompagnait, un murmure à l’oreille, une main sur mes hanches.

– Respire avec moi… voilà… tu es incroyable...

Il entra plus profond, centimètre après centimètre, jusqu’à ce que je le sente entier en moi. Une sensation pleine, délicieuse, brûlante. Et alors il bougea. D’abord lentement, un va-et-vient fluide, presque tendre. Puis plus fort. Plus rythmé. Les claquements de sa peau contre la mienne se mêlaient à mes halètements, à nos gémissements.

Chaque poussée atteignait un point précis en moi, déclenchant des vagues de plaisir que je n’aurais jamais imaginées. Mon sexe, dur, glissait contre les draps humides. Il me prit une main, la libéra des menottes, et la plaqua sur mon sexe.

– Branle-toi pour moi, bébé. Je veux te voir jouir pendant que je suis en toi…

Je le fis. Ma main tremblait, mais le plaisir était trop fort. Trop proche. Il accéléra, ses coups plus profonds, plus sauvages. Mon corps tout entier vibrait. Je me cambrai, criant son prénom quand l’orgasme m’emporta, brutal, éclatant, brûlant contre ma paume et les draps.

Adrien grogna à son tour, se tendit et jouit en moi dans un râle rauque, possessif. Il resta enfoncé un instant, son souffle court, son front contre ma nuque, son sexe pulsant encore au creux de mon corps.


Nous restâmes là, un instant suspendus, nos corps noués, nos peaux moites et collées. Il se retira lentement, avec douceur, et me détacha. Mes poignets étaient rouges, mais je m’en fichais. Je me laissai tomber sur le matelas, pantelant, vidé et comblé à la fois.

Adrien s’allongea près de moi. Il me regarda, caressa ma joue du bout des doigts.

– Tu vas bien ?

Je hochai la tête, incapable de parler. Je n’avais jamais ressenti ça. Pas seulement le sexe. Mais cette façon d’être vu, guidé, désiré. J’avais l’impression de renaître dans ma propre peau.

– C’était… fou, soufflai-je enfin.

Il sourit, m’embrassa doucement.

– Tu t’es laissé aller. Et t’as été parfait.

Je me blottis contre lui. Le silence était doux. Intime. Et dans ce calme après la tempête, une pensée me traversa : je ne serais plus jamais le même. Ce soir avait tout changé.

– Tu crois que… on pourra recommencer ?

Il rit doucement, son souffle contre mon front.

– Bébé… ce n’était que le début.

Il me serra contre lui. Et dans ses bras, je sentis que j’avais trouvé quelque chose que je ne savais même pas chercher.


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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr

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