Ma première fois avec deux hommes : une expérience gay inoubliable

Ma première fois avec deux hommes : une expérience gay inoubliable

Ma première fois avec deux hommes gays : une expérience inoubliable

Je n’avais jamais osé l’imaginer vraiment. Fantasmer, oui. Rêver… souvent. Mais franchir ce pas, me retrouver au centre d’un désir partagé par deux hommes, dans la chaleur trouble d’une nuit où tout vacille ? Jamais je n’aurais cru que ça m’arriverait. Et pourtant…

Tout a commencé un samedi soir, dans ce bar à cocktails du Marais. J’y étais allé presque par jeu, un peu par défi aussi. Ma chemise était trop ajustée, mon jean peut-être un peu trop moulant, et dans mes poches tremblaient mes mains moites d’anticipation.

Ils étaient déjà là, accoudés au comptoir. Leurs regards se sont tournés vers moi comme si c’était écrit. L’un, brun ténébreux au regard fuyant, s’appelait Léo. L’autre, plus massif, plus sûr de lui, s’appelait Matt. Ils m’ont offert un verre. J’ai accepté. Mon cœur battait trop fort pour dire non.

– Alors, c’est ta première fois ? demanda Matt, avec un sourire en coin.

– À trois, oui. Et avec deux hommes… encore plus, répondis-je, la voix un peu rauque.

Il y eut un silence. Pas un silence gêné. Un silence chargé. Léo baissa les yeux vers ma bouche. Matt effleura ma main du bout des doigts, lentement, comme on teste une température.

– On ne va pas te brusquer, murmura Léo. Tu n’as qu’à nous suivre. Si tu veux.

Je voulais.

Le trajet jusqu’à leur appartement fut un mélange d’excitation et de vertige. Je me demandais comment se passe une première fois gay, comment gérer cette envie animale qui montait en moi alors même que j’ignorais tout des gestes, des sensations, du rythme.

Le salon était tamisé. Une odeur de musc flottait dans l’air. Il y avait une bouteille de vin ouverte, deux verres à peine entamés, un troisième posé pour moi. Sur la table basse, un petit coffret noir entrouvert laissait deviner un plug anal et une paire de menottes en cuir rouge. Je déglutis. Mes mains tremblaient à nouveau.

– Tu peux dire stop à tout moment, dit Matt en s’approchant. Mais si tu veux… on peut te guider.

Je hochai la tête. J’avais envie. De leurs regards. De leurs mains. De leurs peaux contre la mienne. J’avais envie de vivre cette première fois avec deux hommes, de sentir leurs corps, leurs souffles, de me laisser faire, dominer, explorer ce que je n’avais jamais osé nommer.

La première caresse fut timide. C’était Léo, ses doigts effleurant ma nuque, descendant lentement le long de ma colonne. Il se plaça derrière moi, tandis que Matt, face à moi, déboutonna ma chemise. Leurs gestes se répondaient sans mot, une chorégraphie sensuelle et lente qui me fit frissonner jusqu’à l’entrejambe.

– Respire, souffla Léo à mon oreille. Laisse-toi aller.

– On est là pour toi… rien que pour toi, ajouta Matt, en glissant une main chaude contre mon torse nu.

Je fermai les yeux. Je sentais leurs corps m’envelopper, leurs haleines se mêler à la mienne. Une chaleur étrange, douce et pressante, montait en moi. Je n’avais jamais ressenti cela. Ce n’était pas seulement sexuel. C’était une offrande. Une initiation. Mon corps devenait le terrain d’un désir partagé, et j’en étais le centre.

Ils me guidèrent jusqu’au canapé. Mes vêtements tombèrent un à un, comme des barrières qu’on laisse derrière soi. Matt me fit allonger sur le cuir froid, pendant que Léo, à genoux, sortait lentement le plug anal du coffret. Il le caressa du bout des doigts, le chauffa entre ses paumes.

– Tu veux qu’on te l’essaie ? demanda-t-il, le regard brillant.

Je n’ai pas répondu. Je me suis contenté d’ouvrir les jambes.

Le cuir froid du canapé sous ma peau nue me fit frissonner. J’avais le souffle court, les bras légèrement écartés, comme offert. Léo, toujours à genoux devant moi, tenait le plug anal entre ses doigts. Il l’avait enduit d’un gel transparent, brillant, au parfum discret de menthe poivrée.

– Détends-toi, souffla-t-il. On prend notre temps.

Matt, debout derrière lui, me regardait avec une intensité calme. Il déboutonna lentement son jean, révélant un boxer noir qui moulait parfaitement son entrejambe tendue. Sa main passa sur sa propre braguette, sans me quitter des yeux.

Je sentais mon ventre se contracter sous l’effet d’un mélange de tension, de peur douce et d’envie brute.

– Tu veux le sentir ? demanda Léo en approchant le plug de mon entrée, sans forcer, juste la chaleur du silicone contre ma peau.

Je hochai la tête. Mon corps parlait mieux que mes mots.

Il fit de petits cercles, patient. Sa main libre se posa sur ma cuisse, rassurante, ferme. Je sentis le premier contact, une pression délicate, presque timide… puis un peu plus profonde. Mon souffle se coupa.

– Respire, murmura Matt en s’agenouillant à mon niveau. Sens. Ne lutte pas.

Je laissai échapper un gémissement bref. Le plug glissait lentement, centimètre après centimètre. Une chaleur étrange se propageait à l’intérieur de moi. C’était nouveau. Intrusif. Jouissif.

– C’est… intense, soufflai-je en fermant les yeux.

– Ton corps apprend vite, répondit Léo avec un sourire en coin.

Il le laissa en place, puis se pencha pour embrasser le creux de mon ventre. Sa langue dessina un cercle autour de mon nombril, tandis que Matt passa derrière moi, ses mains glissant sous mes épaules pour m’asseoir à moitié entre ses jambes puissantes.

– Tu sens comme tu es beau, là ? souffla-t-il à mon oreille en me tenant contre lui.

Sa voix grave vibrait contre ma nuque. Il me caressa le torse, pinça doucement un téton entre ses doigts pour le faire durcir, tandis que Léo descendait plus bas, ses lèvres frôlant l’aine, son souffle chaud entre mes cuisses.

Je n’avais jamais été aussi exposé. Et pourtant, je ne m’étais jamais senti aussi désiré.

Mes jambes s’écartèrent d’elles-mêmes. Le plug en moi accentua chaque mouvement, chaque frisson. Je sentais mon sexe battre, gonflé, tendu au point de presque me faire mal.

– Je peux ? demanda Léo, ses yeux levés vers les miens.

Je n’eus pas besoin de répondre. Il prit mon sexe dans sa bouche, lentement, comme s’il voulait en goûter chaque millimètre. Sa langue tourna autour du gland, ses lèvres serrées juste ce qu’il faut. Un râle m’échappa sans que je puisse le retenir.

– Bon garçon, glissa Matt derrière moi, l’une de ses mains glissant jusqu’à mon bas-ventre. Tu le prends si bien…

Je me cambrai légèrement contre lui. Mon dos contre son torse. Sa bouche effleurant mon épaule. Léo, entre mes jambes, m’aspirant avec une lenteur calculée, son regard fixé sur mes réactions.

Je n’étais plus qu’un nœud de nerfs et de plaisir, suspendu à leurs gestes, à leur souffle.

– Tu veux que je t’attache ? demanda Matt à mon oreille.

Mon ventre se contracta violemment. Je voulais. Je ne savais pas encore pourquoi. Mais je voulais.

– Oui…

Il se leva, s’éloigna quelques secondes, puis revint avec les menottes rouges. Il souleva mes poignets au-dessus de ma tête, les attacha à une boucle discrète fixée derrière le canapé. Je me retrouvai vulnérable, les bras tendus, le torse offert.

– Tu es à nous, maintenant, murmura-t-il.

Léo se redressa, ses lèvres brillantes de ma mouille. Il se pencha vers Matt, et ils s’embrassèrent juste devant moi. C’était animal, possessif. Leurs langues se cherchaient, leurs mains s’agrippaient. J’étais spectateur de leur désir… et bientôt acteur.

– Tu veux goûter ? demanda Matt en s’approchant de mon visage.

Il se baissa, ses lèvres effleurant les miennes. Un baiser d’abord léger, puis plus profond. Il me fit sentir le goût de moi dans sa bouche. C’était chaud. Troublant. Excitant.

Léo s’était placé à nouveau entre mes jambes. Il retira doucement le plug, me fit ressentir son absence comme un vide presque douloureux.

– Prêt pour plus ?

Je haletais, incapable de formuler une réponse claire. Mais mon corps, lui, criait oui.

Il attrapa un préservatif, le déroula sur son sexe, qu’il avait sorti à son tour. Il était dur, large, veiné. Il s’agenouilla, me souleva légèrement le bassin, et positionna son gland contre mon entrée.

– Dis-moi si ça va, souffla-t-il.

Il entra lentement, avec une patience infinie. Un centimètre, puis un autre. C’était intense, presque brûlant, mais je sentais mon corps s’ouvrir, s’accueillir.

– Putain… tu le prends si bien…

Matt, toujours derrière moi, me tenait contre lui, m’embrassait la nuque, me murmurait des mots que je n’entendais qu’à moitié.

– Tu es magnifique comme ça. Regarde comme tu t’offres.

Léo commença à bouger, lentement, en moi. Je sentais chaque va-et-vient comme une onde électrique. Mon sexe était dur, palpitant, frotté contre le ventre de Matt qui se collait à moi.

– Tu veux jouir ? demanda ce dernier, sa main s’approchant de mon sexe.

– Oui…

Il le prit dans sa main, le serra, le caressa en rythme avec les coups de reins de Léo. Je ne tenais plus. Mon corps entier vibrait, tendu comme un arc.

– Viens pour nous, souffla Léo en accélérant.

– Laisse-toi aller, murmura Matt à mon oreille.

Et j’ai joui. Fort. Puissant. Un orgasme qui me traversa comme une décharge, me fit crier, trembler, me contracter autour du sexe de Léo encore en moi.

Ils m’embrassèrent tous les deux. Longuement. Chaleureusement.

Je n’étais plus le même. Mon corps, mon désir, mon regard sur moi-même… tout avait changé.

Et j’avais aimé ça.

– Continue… continue, soufflai-je, ma voix brisée par l’intensité du moment.

Léo accéléra ses mouvements, ses hanches claquant doucement contre moi, son sexe dur s’enfonçant en moi avec une précision presque cruelle. Chaque poussée me faisait grogner de plaisir. Mon corps tout entier vibrait, tendu, arqué entre eux deux.

Matt me maintenait contre lui, ses bras puissants autour de ma taille, ses lèvres sur ma nuque, son souffle grave qui me traversait comme une vague chaude.

– Regarde-toi… si beau, si offert, murmura-t-il, en glissant sa main le long de mon torse jusqu’à mon sexe encore tremblant.

Il le reprit en main, sans relâche, synchronisé avec les coups de reins profonds de Léo. Je sentais leurs forces combinées, leurs désirs fondus dans le mien.

– Tu veux que je te baisse à mon tour ? glissa Matt contre mon oreille, sa voix rauque d’excitation contenue.

– Oui… j’veux vous deux…

Je n’étais plus qu’un feu. Un cri. Un souffle suspendu entre les corps. Léo se retira lentement, son sexe brillant de moi, et laissa la place à Matt derrière moi.

Il attrapa un autre préservatif, le déroula sur son sexe encore plus large, plus épais. Il ne dit rien. Il me regarda juste. Et je compris.

Je me cambrai, les bras toujours attachés, les cuisses tremblantes mais ouvertes.

Il guida son gland à mon entrée déjà dilatée, caressa les bords avec patience, puis poussa… lentement. Profondément.

Je haletai, incapable de retenir les gémissements. C’était brut. C’était fort. C’était irrésistible.

– Tu le prends comme un roi… putain…

Il bougeait en moi avec une puissance maîtrisée. Rythmée. À chaque va-et-vient, mon corps frissonnait, mes muscles se contractaient, mon esprit partait.

Et Léo, revenu devant moi, me caressait, m’embrassait, murmurait :

– T’as envie d’encore jouir, hein… je le vois dans tes yeux…

Il se pencha à nouveau, reprit mon sexe en bouche, l’aspira avec une ferveur dévorante. Sa langue jouait, sa gorge vibrait autour de moi.

Je n’en pouvais plus. Je n’étais plus qu’une vibration. Une tension extrême prête à exploser.

Matt accéléra, ses coups de reins claquant contre mes fesses. Son souffle devenait rauque, animal.

– Vas-y, jouis encore pour nous…

Et j’ai joui. Encore. Un orgasme inattendu, sauvage, qui me fit hurler. Mes bras tirèrent contre les menottes, mon dos se cambra, mes cuisses se crispèrent autour de Léo.

Je me vidai dans sa bouche, tremblant, secoué de spasmes incontrôlables alors que Matt jouissait en moi dans un râle rauque, son corps plaqué contre le mien.

Un silence moite suivit. Un silence rempli de sueur, de soupirs, de peau collée à la peau.


Ils m’allongèrent doucement, m’embrassèrent chacun d’un côté. Léo essuya sa bouche, ses yeux brillants de douceur. Matt me détacha lentement, ses doigts traçant des cercles sur mes poignets rouges.

– Tu vas bien ? murmura-t-il, en me serrant contre lui.

Je hochai la tête, incapable de formuler la moindre phrase. Mes muscles étaient relâchés, mon esprit encore ailleurs. Mais mon cœur battait fort. Plein. Vivant.

– Tu t’es laissé aller… c’était magnifique, souffla Léo en caressant mon ventre encore humide.

Je souris, les yeux mi-clos.

– J’avais peur. Mais là… je crois que j’ai jamais été aussi bien.

Matt m’embrassa sur le front, puis se leva pour aller chercher une serviette tiède. Il me nettoya doucement, avec une tendresse inattendue. Léo se rhabillait lentement, sans me quitter des yeux.

– Tu veux rester dormir ? proposa-t-il, en s’asseyant à côté de moi.

Je n’ai pas répondu tout de suite. J’ai regardé leurs deux visages, leurs corps encore nus, leurs mains qui s’étaient posées sur moi avec tant de respect, de désir, de maîtrise.

– Je veux… recommencer. Un jour.

Matt sourit. Léo aussi. Ils se regardèrent, puis se penchèrent pour m’embrasser en même temps. Doucement. Sans urgence.

– Quand tu veux, murmura Léo.

– Et cette fois… on sortira les autres jouets, ajouta Matt avec un clin d’œil.

Je ris. Un rire relâché. Vrai. Et je savais que ce ne serait pas la dernière fois.


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