Nuit de noce pour Lucie et son mari, ça dérape avec le barman dans un cadre festif où l'ambiance de joie et d'imprévu crée des souvenirs inoubliables.

Noces Tabou : La Tentation

Nuit de noces torride : quand Lucie craque pour le barman

La musique vibrait encore doucement dans les murs feutrés du salon privé. Les derniers invités quittaient le hall de réception avec des rires légers, les bras chargés de souvenirs et d’ivresse joyeuse. Lucie, elle, était restée un instant seule, pieds nus sur le parquet glacé, la traîne de sa robe de mariée relevée négligemment sur l’avant-bras. La nuit venait à peine de commencer. Et déjà, quelque chose grondait en elle…

Elle fixa son reflet dans la baie vitrée : une mariée magnifique, les cheveux défaits en cascade, les joues rougies, les yeux brillants de champagne… et de quelque chose d’un peu plus trouble. Dans sa poitrine, son cœur battait fort, pas seulement à cause du mariage. Non. C’était autre chose. Une tension sourde, presque indécente. Comme si, depuis le début de la soirée, un courant invisible s’était noué entre elle… et lui.

Lui, c’était Nathan. Le barman.

Lucie aurait aimé dire que ce n’était qu’un jeu, un flirt innocent au milieu des coupes de champagne. Mais dès leur première rencontre, il y avait eu cette façon qu’il avait de la regarder, dangereusement longtemps… Et cette voix grave, mate, qui tranchait avec le sourire poli de tous les autres. Il l’appelait “madame” avec une ironie bienveillante qui la déshabillait plus sûrement que toutes les mains de la terre. Et pourtant, il n’avait jamais franchi la ligne.

Pas encore.

Elle entendit soudain la porte grincer légèrement. Elle se retourna. Nathan était là. Il avait ôté son tablier, déboutonné le haut de sa chemise. Sous la lumière tamisée, son regard était sombre, précis, presque animal.

– Vous n’avez pas froid ? demanda-t-il, en s’approchant lentement.

– Pas vraiment, répondit Lucie, la gorge un peu sèche.

Elle sentit ses orteils se crisper sur le sol. Elle n’arrivait pas à bouger. C’était comme si son corps refusait de fuir, aimanté par la chaleur brute qui émanait de lui. Son mari s’était éclipsé plus tôt pour récupérer des affaires dans leur suite. Elle savait qu’il ne reviendrait pas avant un moment. Ils s'étaient embrassés, tendrement, amoureux, mais sans urgence. Elle, au fond d’elle, brûlait déjà.

– Heureuse ? demanda Nathan, tout en s’adossant au comptoir vide.

Lucie hésita. Une question aussi simple. Une réponse si trouble.

– Oui… Ou du moins, je devrais l’être, répondit-elle lentement.

Elle vit ses sourcils se lever, ses lèvres se retrousser dans un sourire moqueur. Il s’approcha d’un pas, lentement, comme un prédateur qui mesure une distance, une attente, une proie.

– Vous êtes magnifique dans cette robe, glissa-t-il. Mais j’vous imagine encore mieux sans.

Un frisson. Brutal. Authentique.

Lucie sentit l’entrejambe de sa culotte de soie - fine, blanche, presque invisible sous la tenue de mariée - se gorger doucement de moiteur. Ce n’était pas de la peur. Ce n’était pas de la honte non plus. C’était… une pulsion. Une faille dans sa morale. Une envie brute. Sauvage.

Elle aurait dû l’envoyer balader. Repréciser les limites. Parler de son mari. De la fidélité. De la nuit de noces à deux dans quelques instants. Mais les mots restèrent prisonniers dans sa gorge. À la place, c’est son corps qui parla. Elle fit un pas en avant.

– Si je vous disais que je n’ai pas mis de soutien-gorge sous cette robe, souffla-t-elle, juste pour voir son regard vriller.

– J’dirais que vous êtes aussi cruelle… que délicieusement provocante.

Il effleura son bras du bout des doigts. Léger, comme une caresse d’air. Mais elle ferma les yeux instinctivement, comme si un courant électrique venait de claquer entre ses jambes. Elle sentait son sexe pulser, tiède, gonflé, vibrant contre le tissu tendu de sa culotte. Rien qu’à un effleurement.

– Vous savez ce que vous faites, marmonna-t-il entre ses dents. Et j’ai bien peur que ça dégénère.

– Ce mot me plaît, murmura-t-elle. Dégénérer…

Son souffle était court, son ventre tendu par le désir. Elle savait que tout ça était fou : le jour de son mariage, dans un lieu public, avec un inconnu, un barman… Mais elle s’en moquait. La mariée modèle avait sacrifié chaque parcelle de folie depuis des mois pour organiser une cérémonie parfaite. Ce soir, elle voulait déraper. Juste une fois. Juste assez pour trembler encore demain matin en y repensant.

– Enlevez votre veste, ordonna-t-elle.

Il obéit sans un mot. Lentement.

Lucie avança jusqu’à lui. Elle sentait la tension magnétique de son corps, l’érection naissante qu’il ne cachait même pas. Sa robe glissa un peu plus sur son épaule, dévoilant la dentelle fine de sa poitrine, et la ligne gourmande d’un sein sans attaches. Il la regardait, lèvres entrouvertes, yeux brûlants.

Elle tremblait. Pas de peur. D’excitation.

– Posez vos mains dans mon dos, souffla-t-elle.

Ses doigts grandes, rêches, glissèrent contre la courbe de ses reins et trouvèrent l’agrafe du corset. Un instant suspendu. Elle pencha la tête contre son épaule et murmura :

– Détachez-moi. Doucement. Je veux… dégénérer avec vous.

La fermeture du corset céda avec un doux crissement, comme un secret qu'on dénude. Lucie frissonna en sentant le tissu glisser le long de sa peau. La robe de mariée, symbole de pureté, tomba en silence jusqu’à ses hanches, révélant son dos nu, offert, vulnérable… ou peut-être indomptable.

– Vous êtes… sublime, souffla Nathan, la voix rauque.

Ses mains glissèrent sur sa taille, explorant la courbe de ses hanches, s’arrêtant juste à la naissance de sa culotte. Une dentelle blanche, fine, presque transparente, qui n’avait plus rien d’innocent maintenant qu’elle était seule avec lui.

Lucie se retourna lentement, le regard planté dans le sien. Sa poitrine, libre, fière, palpitait doucement. Les tétons dressés, rosés, trahissaient son excitation. Elle ne cherchait plus à la cacher.

– Tu me veux, Nathan ?

– Depuis que je t’ai vue franchir la porte avec cette robe. Et même avant… quand tu m’as commandé ton premier cocktail. Tu te souviens ?

Elle sourit. Oui, elle s’en souvenait. Ce gin tonic glacé, ses doigts autour du verre, ses yeux qui l’avaient déshabillée en silence.

– Alors prends-moi, murmura-t-elle. Mais fais-le comme si tu savais que tu n’en aurais qu’une fois. Comme un homme affamé.

Il grogna, bas, presque animal. Ses lèvres fondirent sur les siennes. Un baiser brutal, possessif, qui fit gémir Lucie contre sa bouche. Elle répondit avec la même violence, mordit sa lèvre, griffa ses épaules nues. Plus rien n’existait. Ni la salle de réception. Ni son mari. Ni le monde.

– T’as l’air d’avoir besoin qu’on te rappelle que tu es vivante, souffla-t-il à son oreille en la plaquant doucement contre le comptoir.

– Rappelle-le-moi… fort.

Il la souleva sans effort, la posa sur le marbre froid. Un frisson remonta le long de sa colonne. Ses jambes s’écartèrent d’instinct, accueillant les hanches du barman, l’invitant à plus. Il plongea la tête dans son cou, la mordilla légèrement, descendant lentement vers sa poitrine.

Sa langue effleura un sein, puis l’autre. Il les suçait avec une lenteur experte, alternant douceur et morsures légères. Lucie bascula la tête en arrière, haletante.

– Bordel… continue…

Ses doigts à elle glissèrent dans ses cheveux, l’enfonçant contre sa poitrine. Les mains de Nathan, elles, s’attardaient sur ses cuisses, remontant vers cette culotte déjà trempée. Il caressa l’entrejambe du bout des doigts.

– Tu es trempée pour moi, princesse…

– Je suis en feu… Je veux que tu me lèches. Là.

Il écarta le tissu tremblant de la culotte et découvrit le sexe luisant de Lucie. Ses lèvres s’écartèrent, rouges, prêtes, impatientes. Il ne dit rien. Il se pencha et sa langue traça une première ligne lente, savoureuse, entre ses lèvres intimes. Lucie se cambra violemment, un gémissement brutal lui échappant.

– Oh… putain…

Il s’appliqua. Chaque coup de langue était précis, rythmé, alternant les cercles autour de son clitoris et les plongées plus profondes dans l’ouverture de son sexe. Il la dégustait. Comme un dessert interdit. Comme une mariée déchue.

Lucie agrippa le comptoir, ses petits cris devenant plus pressants. Elle se sentait proche. Trop vite. Trop fort. Son ventre se contractait, ses jambes tremblaient.

– Je… je vais jouir… Nathan, je…

Il accéléra, enfonçant deux doigts en elle, courbés juste au bon endroit. Elle explosa avec un cri étouffé, la tête renversée, les seins tendus, le dos arqué. Son plaisir éclata en ondes brûlantes, incontrôlables. Elle jouissait sur le marbre froid, tenue par les bras d’un inconnu, le jour de son mariage. Et elle adorait ça.

Quand elle rouvrit les yeux, Nathan la fixait. Il avait les doigts humides, les lèvres brillantes.

– Mariée ou pas… tu m’appartiens ce soir.

Elle se redressa lentement, encore haletante, et glissa à genoux, face à lui.

– J’ai envie de goûter à mon péché, murmura-t-elle en défaisant sa ceinture.

Son sexe jaillit, dur, tendu, palpitant. Lucie le prit en main, caressant la longueur avec une lenteur presque cruelle. Il était magnifique. Long, épais, légèrement veiné. Elle effleura le gland du bout de la langue, le goûtant comme une friandise interdite.

– Tu veux que je te suce, Nathan ?

Il hocha la tête, les mâchoires serrées. Elle rit doucement, provocatrice.

Elle l’engloutit lentement, enfonçant centimètre après centimètre dans sa gorge chaude. Il grogna, les mains dans ses cheveux. Elle fit des va-et-vient rythmés, lents, profonds, s’arrêtant parfois pour lécher ses testicules, le regarder dans les yeux.

– Tu suces comme une déesse, gémit-il.

Elle accéléra, le sentant proche. Mais elle se retira au dernier moment, le sexe luisant de salive et de désir.

– Pas encore. Je veux que tu me prennes. Comme une mariée… pas si sage.

Elle se retourna, s’appuya sur le comptoir, les jambes écartées, la culotte glissant le long de ses cuisses. Elle était offerte, trempée, prête. Il la pénétra d’un coup sec, brutal, la faisant crier. Elle l’accueillit avec un plaisir animal, se cambrant pour l’absorber plus profondément.

– Putain… t’es si serrée…

– C’est pour toi. Juste pour toi ce soir…

Il la pilonna avec force, tenant ses hanches, claquant contre ses fesses nues. Chaque coup résonnait dans la pièce vide. Ses seins balançaient sous elle, son ventre se contractait à chaque poussée. Elle gémissait, râlait, s’abandonnait complètement.

– Plus fort… plus sale…

Il glissa un doigt entre ses fesses, l’effleurant là où peu osaient. Elle gémit plus fort.

– Tu veux que je t’enfile un plug ? demanda-t-il, haletant.

– J’en ai un… dans ma valise. Pour la nuit de noces…

– Tu me rends fou, Lucie.

Il accéléra encore. Elle se sentit proche, à nouveau. Une vague montante, dévastatrice.

– Je viens… Nathan, je… je jouis avec toi…

Elle explosa à nouveau, prise dans un orgasme plus sauvage encore. Il la suivit, poussant un râle profond, se déversant en elle avec violence. Leurs corps restèrent collés, tremblants, moites, haletants.

Le silence retomba. Un silence dense, chargé de ce qu’ils venaient de faire.

Lucie se redressa, essuyant doucement la sueur sur sa nuque. Elle sourit.

– Quelle nuit de noces…

– Et elle n’est pas finie, répondit Nathan, un éclat dangereux dans les yeux.

Il la tenait fermement, les mains plaquées sur ses hanches, et la faisait vibrer à chaque coup de reins. Le marbre froid contre son ventre contrastait avec la chaleur brûlante de leurs corps en fusion. Lucie haletait, les cheveux collés à ses joues, les fesses rougies par l’impact répété de leurs ébats.

– Tu veux aller plus loin ? demanda-t-il, la voix grave, rauque d’envie.

– Oui… Je veux sentir ton doigt… là, souffla-t-elle, les joues en feu.

Il glissa lentement un doigt lubrifié entre ses fesses, jusqu’à frôler son anneau interdit. Elle se cambra plus fort, surprise par l’intensité du frisson qui la traversa.

– Tu es si réceptive... Tellement docile ce soir, madame la mariée.

– Mets-le… Nathan… j’ai envie que tu me défonces… partout.

Il introduisit lentement son doigt dans son anus, tandis qu’il continuait de la prendre avec force. Elle hurla presque, submergée par cette double sensation, cette possession totale.

– Tu veux ton plug, hein ? murmura-t-il contre son oreille. Où est ta valise ?

– Dans la suite… avec mon mari, rit-elle, à moitié folle de désir.

– Alors on improvise, salope.

Il la retourna sans douceur, la souleva à nouveau et la plaqua contre le mur. Elle enroula ses jambes autour de sa taille, l’accueillant au plus profond d’elle-même. Il accéléra, brutal, précis. Chaque coup faisait trembler ses seins, sa tête cognait doucement contre le mur, et elle gémissait, sans retenue.

– Je vais… jouir encore… Nathan…

– Crie mon nom. Laisse-le t’entendre, ton mari parfait.

– NATHAN !

Son orgasme la saisit comme une vague furieuse, la secouant de spasmes incontrôlables. Il se libéra en elle dans un râle animal, ses doigts crispés dans sa chair, son sexe pulsant encore à l’intérieur.

Ils restèrent collés, haletants, leurs souffles mêlés, leurs peaux moites glissant l’une contre l’autre.


Lucie se laissa glisser au sol, le dos contre le mur, les jambes écartées, encore tremblante. Nathan s’agenouilla devant elle, caressant tendrement l’intérieur de sa cuisse.

– Tu vas bien ?

Elle hocha la tête, incapable de parler. Puis elle rit, un rire rauque, libéré.

– J’ai l’impression d’avoir couché avec le péché incarné.

– Et tu regrettes ?

– Pas une seconde… Mais je vais devoir marcher droit dans l’allée demain matin, avec ça entre les jambes.

– Ce n’est que le début. Tu voulais dégénérer ? Tu n’imagines pas ce que je peux te faire avec des menottes et un plug anal.

Elle frissonna à ses mots, le regard brillant d’une promesse silencieuse.

– Tu penses qu’on aura une deuxième nuit de noces ?

– Si tu reviens… j’amène le paddle.

Elle éclata de rire, puis l’embrassa, encore nue, encore offerte, encore affamée.

– Marché conclu.


🔥 Cette histoire vous a inspiré ? Découvrez notre sélection de jouets pour nuits interdites :
👉 Collection spéciale plug anal
👉 Menottes & accessoires BDSM
{ "@context": "https://schema.org", "@type": "Article", "headline": "Nuit de noces : Lucie et le barman", "description": "Une nuit de mariage où les désirs inavoués prennent le dessus dans un jeu de séduction audacieux.", "author": { "@type": "Person", "name": "Élodie S." }, "publisher": { "@type": "Organization", "name": "dessous-femme.fr", "logo": { "@type": "ImageObject", "url": "https://dessous-femme.fr/LOGO2_DESSOUS-FEMME.FR.png" } }, "mainEntityOfPage": { "@type": "WebPage", "@id": "https://dessous-femme.fr/blogs/" }, "datePublished": "2023-10-05
Retour au blog

Laisser un commentaire

Veuillez noter que les commentaires doivent être approuvés avant d'être publiés.