Partage brûlant : un jeu érotique
Il m’a regardée jouir avec un autre – Fantasme érotique partagé
L’air chaud de la soirée d’été s’infiltrait par les grandes fenêtres ouvertes. L’appartement baignait dans cette lumière dorée si particulière au crépuscule, quand le ciel hésite entre le rose et l’ambre, et que le jour glisse doucement vers la promesse d’une nuit moite. Les rideaux en voile, presque impudiques, flottaient lentement sous la brise tiède, comme s’ils participaient déjà au jeu, dévoilant par moments les reflets de ma silhouette dans le miroir du salon.
Je portais cette robe. Celle qu’il aimait. Fluide, légère, elle ne cachait presque rien. À chaque pas, chaque mouvement, le tissu épousait mes hanches, mes cuisses nues, leur dessin se révélant sous les plis diaphanes comme une caresse lente. Un vêtement à peine là, pensé pour ce genre de soirées où, avant même un mot, tout est déjà dit.
Il était arrivé plus tôt. Silencieux. Observateur. Appuyé contre l'encadrement de la porte, il me regardait me déplacer dans la pièce, sans un mot. Ses yeux, sombres, perçants, suivaient chaque geste, chaque mouvement de hanche. Il y avait dans son regard quelque chose d’intensément calme, et pourtant brûlant. Une promesse non dite. Une tension à peine contenue.
Je savais qu’il avait lu certains des livres érotiques que je laissais traîner près du lit. Des passages sur la domination, sur les jeux de contrôle subtils mais puissants. Nous avions commencé à parler de ces choses : des fantasmes qu’on caresse du bout des lèvres, de ceux qu’on ose à peine formuler. De comment explorer ses fantasmes érotiques sans briser l’équilibre fragile du désir partagé.
Ce soir, c’était différent. Il savait. Il avait accepté. Et surtout… il allait regarder.
Je m’étais préparée pour lui, pour eux. Une lingerie choisie avec soin, fine comme une toile d’araignée noire, juste assez présente pour souligner l’attente, le frisson, le battement entre mes jambes. Sous la robe, je ne portais rien d’autre qu’un plug anal discret, glissé lentement avant leur arrivée – une idée à lui, soufflée au creux de mon oreille quelques nuits plus tôt, alors qu’il me maintenait contre le mur de la chambre, mes poignets menottés au-dessus de la tête.
Je retrouvais ce trouble, ce délicieux vertige dans mon ventre. Le mélange d’excitation, de légèreté, et cette tension diffuse sous ma peau quand j’osais vraiment incarner ce que je fantasmais.
— Tu es prête ? murmura sa voix derrière moi.
Je ne m'étais même pas rendu compte qu’il s’était approché si près. Son souffle effleura ma nuque nue, déclenchant une vague de chair de poule sur mes bras.
— Depuis toujours, répondis-je sans me retourner.
Il resta un instant suspendu dans ce silence. Puis, ses doigts frôlèrent le haut de ma cuisse, comme une vérification attentive, presque rituelle. Il souleva doucement l’ourlet de ma robe. Je sentis sa main caresser ma fesse nue, lentement, puis le léger contact du métal froid du plug contre sa paume.
— Parfaite, souffla-t-il. Tu es exactement comme je t’avais imaginée.
Il s’écarta sans un bruit, me laissant encore plus nue de cette absence. Mes jambes tremblaient à peine. Pas de peur. Mais d’anticipation. Nous avions longuement parlé de ce fantasme : être vue. Montrée. Offerte. Partagée dans un regard, mais avec son consentement total. Mon plaisir comme spectacle. Ma perte de contrôle comme cadeau.
Ce fantasme n’était pas une trahison, ni une infidélité. C’était une extension. Un terrain de jeu où les règles avaient été énoncées, répétées, acceptées. Une façon nouvelle de créer une ambiance érotique, un cadre où le corps devient récit, langage, offrande.
Des pas résonnèrent dans le couloir. Un autre souffle. Une autre énergie.
Je ne me retournais pas immédiatement. Je me contentai de marcher jusqu’à la baie vitrée, laissant la lumière du couchant me traverser de profil. J’ouvris légèrement les bras, étirant ma colonne, offrant sans vraiment montrer. Je savais qu’ils me regardaient tous les deux, chacun à leur manière.
Le nouvel arrivant s’approcha. Son parfum — cuir, bois, musc — se mêla à l’air tiède. Il se plaça dans mon dos sans dire un mot. Nous ne nous étions jamais vraiment touchés. Nos regards avaient parlé, une fois ou deux, mais cela s’arrêtait là… jusqu’à ce soir.
Un doigt frôla la naissance de ma nuque. Puis deux mains. Grandes, fermes. Il caressa mes épaules lentement, sans empressement. Il savait que je ne pouvais pas bouger. Que j’étais figée dans cette attente étrange, entre leur désir et ma propre exposition. Ma gorge se serra légèrement, tandis que l’envie se diffusait sous ma peau comme une chaleur enveloppante.
— Elle est magnifique, dit-il d’une voix sombre.
Derrière, je devinais son sourire à lui. Satisfait. Fier. Son regard ne quittait pas le moindre de mes gestes. Il orchestrerait tout. Me guiderait. Et il regarderait. Jusqu’à ce que je jouisse devant lui — pour lui.
Mon souffle s’accéléra. L’un de mes pieds glissa légèrement au sol, cherchant un ancrage. Mais je n’étais pas censée fuir. Au contraire. Ce rôle était le mien, ce soir : celui de l’objet du fantasme, du centre d’une lecture érotique incarnée.
Une main descendit vers ma taille, m’attira doucement contre un torse chaud. Je sentis les contours d’un désir évident, tendu contre mon dos. Il se pencha à mon oreille.
— Est-ce que tu veux qu’il te regarde pendant que je te touche ?
Je fermai les yeux. L’image me traversa brusquement : ses yeux à lui, calmes, brûlants, posés sur nous. Sur moi. Sur ce que je deviendrais entre ces mains étrangères, mais désirées.
— Oui, soufflai-je. Je veux ça.
Je sentis la robe qu’on remontait lentement, millimètre après millimètre. Le tissu glissait sur ma peau comme un murmure. Bientôt, mes fesses furent découvertes, et le léger plug noir, offert à la vue. J’entendis une inspiration derrière. Il s’était rapproché. Je le savais. Son regard me couvrait, m’enveloppait. Il ne toucherait pas… pas encore. Mais il ne raterait rien.
J'avais le cœur battant. La brise soulevait encore les voiles des rideaux comme une respiration. Cette pièce devenait notre théâtre sensuel. Début d’une histoire BDSM pleine de promesses. Où la domination n’était pas une contrainte, mais une offrande. Où les pratiques BDSM pour débutants comme pour initiés se tissaient de murmures et de complicités silencieuses.
Et moi… j’étais au centre.
``` ```htmlSes mains continuaient de m’effleurer, comme si elles hésitaient entre la tendresse et la prise. Je sentais son souffle se rapprocher de mon oreille, mais il ne disait rien. Pas tout de suite. Il me laissait dans ce silence vibrant, où chaque seconde devenait une tension sensuelle de plus.
Derrière, je sentais toujours sa présence à lui. Immobile. Silencieuse. Mais je savais qu’il observait. Qu’il prenait tout en lui. Chaque frémissement. Chaque soupir. Chaque mouvement subtil de mon bassin qui trahissait mon excitation.
Les doigts du second homme se posèrent sur mes hanches, les caressant avec une lenteur méthodique. Puis ils descendirent, effleurant l’élastique fin de ma lingerie, traçant le contour de mes fesses, découvrant le plug anal encore logé en moi. Il le toucha du bout des doigts, le fit tourner légèrement. Un frisson me traversa toute entière.
— Tu l’as laissé en place…
Sa voix était rauque, plus grave qu'avant. Chargée de désir contenu.
— Pour lui, soufflai-je.
— Et maintenant pour moi aussi.
Il s’agenouilla derrière moi. Je le sentis. Son souffle contre ma peau nue. Puis sa langue. Un contact chaud, inattendu, qui me fit cambrer les reins. Il lécha lentement la base du plug, puis remonta entre mes cuisses, jusqu’à ce que sa bouche effleure mes lèvres intimes, à peine dissimulées par la dentelle noire.
Je laissai échapper un soupir, mes genoux s’affaissant légèrement sous moi. Ma main se posa sur la baie vitrée pour garder l’équilibre. Mes yeux croisèrent ceux de l’homme derrière. Il me regardait. Calme. Concentré. Comme s’il lisait chaque sensation sur mon visage, chaque micro-tremblement de mes cuisses.
— Ne ferme pas les yeux, dit-il. Je veux que tu le regardes pendant qu’il te goûte.
Je haletai. La voix de mon amant, autoritaire mais pleine de douceur, déclencha en moi un nouveau pic de chaleur. J’écartai un peu plus les jambes, redressant le bassin, pour offrir une vue encore plus directe. Mes yeux restèrent fixés sur les siens. Il ne clignait presque pas.
— Comme ça… oui, murmura-t-il. Continue.
Le second homme écarta délicatement ma lingerie, dévoilant ma vulve humide. Sa langue caressa ma fente lentement, méthodiquement. Il prenait son temps. Chaque coup de langue était une note dans une partition érotique millimétrée. Il me mangeait comme on savoure un fruit défendu, avec une attention presque scientifique.
Je laissai échapper un gémissement. Court, aigu, incontrôlé. Il ne s’agissait pas d’un orgasme. Pas encore. Mais cette tension… cette lente montée… c’était pire. Mieux. Un supplice délicieux. Le fantasme d’être regardée pendant qu’un autre me faisait jouir prenait vie, et j’en ressentais chaque seconde dans mes entrailles.
— Tu veux qu’il te fasse jouir ?
Sa voix, à lui. Toujours posée. Toujours calme. Mais je le sentais plus proche. Juste derrière moi désormais.
— Oui…
— Tu veux qu’il lèche ta chatte jusqu’à ce que tu cries, pendant que je te regarde perdre le contrôle ?
Je hochai la tête, incapable de parler. Ma main se crispa contre la vitre. La brise chaude glissait contre ma peau moite, soulevant encore les pans de ma robe. J’étais offerte. Exposée. Et mon plaisir devenait un spectacle. Une offrande du corps et du regard.
Je sentis la langue devenir plus précise, plus rapide. Il avait trouvé ce point, juste à l’entrée de moi, là où j’étais la plus sensible. Il s’appliquait à le taquiner avec une précision presque sadique. Et toujours, mon regard accroché au sien. À lui. À celui qui m’avait permis ça. Qui m’avait conduite à cette exploration de mes fantasmes érotiques les plus intimes.
— Tu ne viendras que quand je te le dirai, dit-il.
Je haletai. J’étais si proche. Si proche que mon ventre se contractait déjà. Mais je luttais. Je voulais lui obéir. Lui offrir ma retenue comme on offre sa soumission. Une pratique BDSM pour débutants, peut-être, mais qui m’embrasait entièrement.
Les doigts du second homme glissèrent entre mes fesses, jouant avec le plug, tandis que sa langue redoublait d’intensité. Je sentais mes cuisses trembler. Ma cage thoracique se soulever avec des gémissements de plus en plus incontrôlables.
— Maintenant…
Le mot tomba comme une délivrance.
Je me laissai aller. Mon corps entier se crispa, puis s’ouvrit. Une vague me traversa, incontrôlable, déchirante, brûlante. Je jouis avec un cri étouffé dans ma gorge, les jambes tremblantes, le dos cambré, mon regard toujours plongé dans le sien. Il ne souriait pas. Il me regardait avec une intensité qui me traversait l’âme. Comme si ce moment lui appartenait autant qu’à moi.
Le silence qui suivit fut presque sacré. Ma respiration haletante était la seule musique de l’instant. Le second homme se redressa, essuya ses lèvres, puis s’éloigna dans un respect silencieux. Il savait que je n’étais pas à lui. Pas vraiment.
Je restai debout, nue, offerte, frémissante, sentant encore les battements de mon cœur dans ma gorge et entre mes jambes. Mon regard se posa sur lui. Sur celui qui avait tout vu. Tout guidé.
Il s’approcha enfin. Lentement. Un sourire discret aux lèvres. Il tendit la main, caressa ma joue, puis laissa glisser ses doigts entre mes cuisses encore trempées.
— Tu étais… magnifique.
Je posai ma tête contre son torse. Son odeur, son calme, sa force tranquille me ramenèrent à moi. Il m’enveloppa de ses bras. Me serra. Longuement. En silence.
— Ce n’est que le début, souffla-t-il contre mes cheveux.
Je souris. Complice. Abandonnée. Profondément vivante.
Et dans la lumière dorée du soir, pendant que les rideaux flottaient encore dans la brise, je sentis que l’histoire que nous écrivions ensemble ne faisait que commencer…
``` ```htmlSes mains ne s’étaient pas arrêtées. Il continuait à me lécher avec une lenteur perverse, alternant entre des coups de langue plats et larges, et des pointes précises sur mon clitoris gonflé. Mes jambes tremblaient, mes doigts s’étaient crispés contre la vitre. Je ne savais plus si je retenais un cri ou un sanglot de plaisir.
Derrière moi, il était là. Présent. Silencieux. Maître du rythme. Sa voix m’avait ordonné de jouir, mais c’était son regard qui me tenait suspendue dans cette chute. Je sentais encore ses yeux sur moi, comme une main invisible qui guidait chaque frisson.
— Regarde-moi, dit-il d’un ton bas, rauque.
Je levai les yeux. Et je vis. Son expression. Sa fierté. Son excitation contenue. Il mordait légèrement sa lèvre inférieure, ses pupilles dilatées, les épaules tendues. Il n’avait pas bougé. Mais il vibrait d’un désir pur, brut, presque douloureux.
Un doigt glissa entre mes fesses, jouant doucement avec le plug anal. Il le fit tourner, lentement, accentuant la pression alors que la langue, elle, s’attaquait à nouveau à mon point le plus sensible. Je me cambrai violemment, une onde de plaisir me traversant comme une décharge.
— Encore…
Je ne savais même plus à qui je parlais. À lui, derrière. À celui entre mes cuisses. À moi-même. Mon corps n’était plus qu’un champ de sensations. Ma peau moite, ma gorge sèche, mes cuisses ruisselantes.
Il glissa deux doigts en moi, sans prévenir. Parfaitement synchronisé avec sa langue. Je me mordis la lèvre, mais le cri m’échappa malgré tout. Un râle rauque, incontrôlable. Mon ventre se contracta, ma nuque se tendit, mes hanches se figèrent dans une position offerte, presque obscène.
— Tu es à moi, souffla-t-il derrière moi. Même quand tu cries pour un autre. Tu es à moi.
Et je jouis. Une deuxième fois. Plus fort. Plus profond. Un orgasme qui me submergea comme une vague noire, chaude, engloutissante. Mon dos se cambra, mes doigts griffèrent le verre. Je sentis mes parois se contracter autour des doigts en moi, le plug vibrant légèrement sous l’onde du plaisir.
Mon cri se perdit dans l’air chaud de l’appartement. Le silence retomba. Juste le souffle. Le mien. Le leur.
Il se redressa. Essuya ses lèvres du revers de la main. Il me regarda, puis tourna la tête vers lui. Un signe discret. Une reconnaissance muette.
Je restai là, offerte, haletante, le corps tremblant encore des secousses du plaisir. Et je sentis une main ferme sur ma hanche. C’était lui. Celui qui avait tout vu. Tout dirigé.
Il m’attira doucement contre son torse. J’y trouvai refuge. Force. Apaisement.
— Tu étais sublime, murmura-t-il à mon oreille.
Je fermai les yeux, nichée contre lui, enveloppée de son odeur familière — bois, musc, cuir. Mon cœur battait encore vite, mais il ralentissait peu à peu, bercé par sa main sur ma nuque, ses doigts sur ma peau moite.
— Est-ce que tu regrettes ?
Je souris contre sa clavicule. L’idée même me fit frissonner.
— Non. Je me sens… entière. Vue. Aimée. Offerte. Et toujours à toi.
Il m’embrassa sur le front, avec une tendresse rare. Puis ses doigts descendirent lentement entre mes cuisses, glissant paresseusement sur mes lèvres encore humides.
— Tu dégouline encore…
— C’est toi qui m’as mise dans cet état, soufflai-je.
Il rit doucement, puis me redressa par le menton. Ses yeux plongèrent dans les miens. Il y avait ce feu tranquille, ce pouvoir calme qu’il portait toujours. Il ne disait rien. Mais tout était là.
— Et si, la prochaine fois, c’était moi qui te prenais… pendant qu’il regarde ?
Je restai figée une seconde. Mon ventre se resserra. Une chaleur nouvelle me monta aux joues. Une inversion du fantasme. Une autre lecture érotique. Un autre terrain de jeu.
— Oui… soufflai-je. Je veux ça.
Il sourit. Lentement. Comme s’il venait d’ouvrir un nouveau chapitre. Un futur plein de tension, de domination douce, de pratiques BDSM pour débutants ou pour initiés. De fantasmes encore inexplorés.
La lumière du soleil couchant baignait toujours la pièce. Les rideaux flottaient doucement dans la brise. Et je savais, au creux de mon ventre encore palpitant, que ce n’était que le début.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr