
Prêter son mari : un fantasme érotique entre amies audacieuses
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Prêter son mari : une histoire érotique de partage entre amies
La pluie ruisselait paresseusement sur les vitres du salon, brouillant la vue sur la terrasse, où la nuit tombait lentement sur Paris. Assise en tailleur sur le canapé en lin beige, Élise tournait distraitement la tige de son verre de vin entre ses doigts. Le Pinot noir avait le goût du trouble ce soir. Celui qui gronde sans s’annoncer. Celui qu’elle guettait depuis qu’elle avait glissé cette idée à son mari, quelques semaines plus tôt…
Prêter son mari. Elle avait murmuré ces mots dans l’intimité d'une conversation à demi nue, à demi avouée, dans leur lit défait. Elle n’avait pas osé les répéter depuis, mais ils flottaient, suspendus, entre eux. Et entre elle, lui… et Claire.
Claire, sa meilleure amie. Claire, ses jambes interminables, sa bouche ourlée et ce regard qui la déshabillait parfois un peu trop longtemps. Ce soir, elle dînait chez eux. Décontractée, en robe cache-cœur noire, les cheveux relevés en un chignon négligé mais sublime. Claire était venue simplement… mais Élise avait vu sa lingerie affleurer en s’asseyant. Dentelle rouge. Clairement pas choisie par hasard.
– Tu veux un autre verre ? demanda Élise en se levant, les hanches soulignées par sa longue jupe fendue.
– Avec plaisir… répondit Claire avec un sourire qui dura une seconde de trop.
Jules arriva dans la pièce, chemise retroussée aux avant-bras, l’air faussement détendu. Son parfum boisé devança son entrée, et lorsqu’il s’assit à côté de Claire, Élise sentit son bas-ventre se tendre. Un frisson discret, mais tenace.
Ils parlèrent d’un peu tout. Du boulot, d’un roman érotique qu’Élise venait de finir – une histoire libertine de couple qui explorait le partage de partenaires. Claire s’était penchée vers elle, complice.
– Ça t’a excitée, non ?
Élise soutint son regard, le cœur battant. Le silence entre elles vibrait de mille promesses non dites. Jules les observait en coin, son verre à la main, attendant peut-être… un signe.
– On en a parlé, Jules et moi… souffla Élise doucement, la voix voilée. De ce fantasme. De t’inviter… dans notre lit.
Claire ne répondit pas tout de suite. Elle posa son verre. Un instant, seule la pluie répondit à leur place.
– Tu veux dire… me prêter ton mari ?
– Oui, répondit Élise. Ou plutôt… te le confier. Une fois. Ce soir. Avec moi. Si tu veux…
Le souffle de Claire s’accéléra à peine. Elle effleura la main de Jules posée sur la cuisse du canapé. Puis tourna les yeux vers Élise, brûlants d’une question silencieuse. Jules, lui, ne bougeait plus. Les pupilles dilatées. Ses doigts se refermèrent lentement sur ceux de Claire dans un frisson masculin à peine contenu.
– Et si on allait dans la chambre ? proposa Élise, sa voix un peu rauque, la culotte déjà humide entre ses cuisses.
Le désir avait cessé d’être théorique. L’instant prenait forme, lentement, sensuellement. Une histoire de partage réelle, incarnée. Pas juste une idée tirée d’une histoire érotique de couple libertin. Non. Une expérience. Leur fantasme. Leur nuit.
– Y aura des limites ? demanda Claire, soudain sérieuse.
Élise hocha la tête.
– On les découvre ensemble. Tu n’as qu’à dire stop si quoi que ce soit te déplaît. Ce n’est pas un jeu. C’est du désir. Vrai.
Claire sourit. Et se leva.
– Alors montre-moi ce que tu as envie de partager avec moi…
Leurs pas résonnèrent sur le parquet. La chambre baignait dans une lumière dorée. Un coffret noir était posé sur le lit. En l’ouvrant, Claire découvrit les menottes en cuir, un vibromasseur couleur rubis, un plug anal délicatement pailleté et un bandeau de soie.
– Petit kit de confiance… murmura Élise derrière elle.
Claire glissa ses doigts sur les accessoires, tremblante d’excitation.
– Tu es sûre de ce que tu veux ? demanda-t-elle à Élise.
– Je veux vous regarder. Vous toucher. Et me glisser entre vous deux.
Les premières limites venaient de tomber.
Claire écarta doucement les menottes en cuir et saisit le bandeau de soie. Elle le fit glisser entre ses doigts, lentement, comme si elle jaugeait le poids du plaisir à venir.
– Tu veux que je commence par ça ? demanda-t-elle, les yeux fixés sur Élise.
– Non… laisse-moi t’attacher, répondit Élise, sa voix plus grave que d’habitude.
Jules s’était assis au bord du lit, la chemise entrouverte, les yeux brillants. Il ne disait rien, mais tout son corps était tendu vers elles.
Claire recula jusqu’au matelas, s’y allongea sur le dos, les poignets au-dessus de sa tête. Elle regardait Élise, offerte, curieuse, frémissante.
Élise attacha doucement les menottes aux poignets de Claire, puis aux barreaux du lit. Elle se pencha sur elle, sa longue jupe glissant sur ses cuisses nues, et l’embrassa. Un baiser doux, posé, presque chaste. Mais leurs souffles trahissaient la tension qui montait.
– Tu es magnifique ainsi, murmura-t-elle contre sa bouche.
Jules se leva alors, s’approcha lentement, et s’agenouilla au pied du lit. Ses mains se posèrent sur les chevilles de Claire, qu’il écarta doucement. Sa robe remonta, dévoilant la dentelle rouge. Il s’attarda un instant à la contempler.
– Elle est pour toi ? demanda-t-il à Élise.
– Pour nous deux.
Jules glissa les doigts le long des cuisses de Claire, explorant la peau douce, attentive à la moindre réaction. Claire ferma les yeux, ses poignets tirant légèrement sur les menottes. Elle gémit doucement quand il écarta la dentelle, révélant l’humidité qu’elle n’essayait plus de cacher.
– Elle est déjà prête… souffla-t-il.
Élise s’approcha de lui, un petit vibromasseur rubis dans la main. Elle l’alluma, et le bourdonnement discret fit frissonner Claire avant même qu’il ne la touche.
– Plaisir partagé, murmura Élise. À trois.
Elle glissa lentement le sextoy contre le clitoris de Claire, en cercles souples. Jules, lui, embrassait maintenant l’intérieur de ses cuisses, sa langue effleurant à peine la peau. Claire arqua le dos, tendue entre eux deux, les yeux mi-clos, perdue dans les sensations.
– Oh putain…
Le mot lui échappa dans un souffle rauque. Jules l’embrassa à nouveau, plus haut cette fois, sa langue glissant entre ses lèvres. Claire se cambra, soumise au plaisir, les hanches mouvantes, offertes.
Élise s’agenouilla à côté d’elle, laissant le vibromasseur en place, et se pencha pour l’embrasser à nouveau. Cette fois, Claire répondit avec fougue, sa langue cherchant la sienne, comme si elle voulait l’avaler. Leurs bouches se dévoraient pendant que Jules la léchait avec une lenteur maîtrisée, alternant douceur et pression.
– Elle va jouir, murmura Élise dans le cou de Claire. Tu sens ?
– Oui… vas-y… encore…
Le corps de Claire se tendit, son souffle se brisa, et un cri aigu s’échappa de sa gorge. Son orgasme la secoua, profond, incontrôlable. Ses poignets tiraient sur le cuir, ses cuisses tremblaient sous les caresses de Jules.
Il s’écarta doucement, le visage brillant, et leva les yeux vers Élise. Elle lui tendit la main, l’attira à elle, et l’embrassa à pleine bouche, goûtant sur sa langue les restes du plaisir de Claire.
– Maintenant, c’est à moi de te voir… souffla Claire, encore haletante.
Élise se redressa, fit glisser lentement sa jupe le long de ses hanches. Elle ne portait rien en dessous. Son sexe était trempé, ouvert, vibrant.
Jules la regardait, fasciné. Claire aussi. Même menottée, elle semblait la dévorer des yeux.
– Allonge-toi sur moi, dit Claire.
Élise obéit, s’installant à califourchon sur le visage de son amie, ses mains sur la tête de lit. Claire, sans attendre, la goûta. Sa langue se fit lente, puis plus audacieuse. Elle explorait, suçait, léchait, avec un abandon délicieux.
Jules s’était relevé, torse nu désormais. Il regardait sa femme se faire lécher par une autre femme, et son sexe dur tendait déjà son pantalon. Il le fit glisser au sol, libérant sa verge, ferme, palpitante.
Il se plaça derrière Élise, colla son torse contre son dos, et la pénétra lentement. Elle gémit, bouleversée par la double sensation : la langue chaude de Claire entre ses cuisses, et la pression familière, brûlante, de Jules en elle.
– Mon dieu… oui… continuez…
Elle roulait des hanches, prise entre eux, offerte dans un ballet sensuel à trois. Jules la tenait fermement, la baisait avec des coups de reins profonds, pendant que Claire la suçait comme si elle voulait la posséder.
Leurs respirations se mêlaient. Le libertinage n’était plus un fantasme : c’était une expérience, un don, un abandon partagé.
Quand Élise jouit, ce fut avec un cri rauque, sauvage. Son corps se contracta autour de Jules, sa main tirant sur les cheveux de Claire. Elle trembla, se cambra, haleta, avant de se laisser aller, vidée, étourdie.
Jules se retira doucement. Claire, elle, souriait, ses lèvres brillantes, les yeux brillants de désir.
– Tu veux encore jouer ? demanda-t-elle à Jules.
– Dis-moi ce que tu veux, répondit-il, la voix grave.
– Je veux te sentir… mais attachée.
Jules échangea un regard avec Élise. Elle hocha la tête, complice. Claire n’était plus attachée : elle était à présent la maîtresse du jeu.
Ils changèrent de place. Claire attacha Jules avec les mêmes menottes, les bras écartés, vulnérable. Elle se glissa sur lui, nue, ses hanches ondulant lentement. Elle le prit en elle, gémissant, et commença une danse lente, profonde, sensuelle.
Élise, assise à côté, caressait les seins de Claire, son ventre, ses fesses. Elle glissa un doigt sur l’entrée de son anus, et Claire frissonna.
– Tu veux le plug ?
– Oui… mets-le-moi… doucement…
Élise saisit le plug anal pailleté, le lubrifia, et l’inséra lentement pendant que Claire montait et descendait sur Jules. Elle haleta, se cambra, mais ne s’arrêta pas. Le plaisir la submergeait par tous les pores.
Leurs corps s’emmêlaient, moites, brûlants. Les gémissements emplissaient la chambre. Jules, incapable de se retenir, grogna, jouit en elle dans un râle rauque, les poignets tendus, envahi.
Claire s’effondra contre lui, haletante, encore tremblante. Élise les regardait, la main entre ses jambes, caressant lentement son clitoris.
– Venez… souffla-t-elle. Embrassez-moi.
Ils se redressèrent, l’enlacèrent, et les trois corps se mêlèrent à nouveau, épuisés mais insatiables.
Dans le silence après la tempête, seuls leurs souffles répondaient à la pluie. Une nuit, une histoire. Une première fois. Et peut-être pas la dernière…
Claire ondulait sur Jules, le plug anal délicatement serti vibrant au rythme de ses mouvements. Chaque va-et-vient la faisait haleter plus fort, son souffle saccadé venant s’échouer contre la gorge d’Élise qui l’embrassait à pleine bouche.
– Tu sens comme il est dur, murmura Claire, les yeux fermés, le corps en transe.
– Et toi, comme tu es serrée… répondit Jules, haletant, les poignets toujours attachés aux barreaux du lit.
Élise glissa sa main entre les cuisses de Claire, effleurant le point où leurs deux corps se rencontraient. Le mélange de chaleur et de moiteur la fit frissonner. Elle pressa doucement, sentant la verge de Jules glisser sous ses doigts, emprisonnée dans la chair palpitante de son amie.
– Continue… supplia Claire, la voix brisée par le plaisir. Je suis… si proche…
Élise s’abaissa, embrassa son ventre, puis sa poitrine, suçant lentement un téton tendu. Claire se cambra, prise entre deux feux : la verge de Jules en elle et la langue d’Élise sur elle. Son corps tout entier vibrait.
Jules gémit, la tête renversée, les muscles tendus. Il se retenait, mais à peine. Claire accéléra ses mouvements, le plug enfoncé dans son intimité ajoutant une tension délicieuse à chaque descente.
– Je vais… je vais jouir, souffla-t-elle.
Et elle jouit. Fort. Longtemps. Son cri monta, presque animal, alors que ses muscles se contractaient, ses ongles griffant la peau d’Élise. Elle tomba contre le torse de Jules, tremblante, le souffle coupé.
Mais Jules n’en pouvait plus. Il poussa un râle grave, attrapa les hanches de Claire comme il le pouvait malgré les menottes, et se libéra en elle dans une série de spasmes puissants.
Ils restèrent ainsi, collés, haletants, leurs corps ruisselants de sueur et de désir. Élise caressait leurs dos, leurs cheveux, leurs cuisses, comme pour prolonger encore un peu la vague.
– C’était… intense, murmura Claire, les yeux brillants.
– C’était parfait, répondit Élise en l’embrassant doucement.
Ils se détachèrent lentement. Claire défit les menottes de Jules, puis se laissa tomber entre eux deux, un bras sur chacun. Le silence était doux. Chargé. Apaisé.
– Tu regrettes ? demanda Jules, la voix rauque mais tendre.
– Pas une seconde, répondit Élise. C’était exactement ce que j’avais fantasmé. En mieux.
Claire tourna la tête vers elle, un sourire coquin sur les lèvres.
– Tu sais… j’ai encore des idées. Et une valise avec quelques jouets…
– Oh ?
– Dont un paddle en cuir rouge. Et un harnais. Si jamais…
Élise sourit. Son regard croisa celui de Jules, complice et brûlant.
– Alors peut-être qu’on devrait remettre ça. Mais cette fois… c’est moi qui serai attachée.
La pluie tombait toujours dehors, et dans la chambre, les draps froissés portaient encore l’empreinte de leur première nuit partagée.
Une nuit où le fantasme de prêter son mari avait cessé d’être un tabou pour devenir une expérience sensuelle, libre et assumée.
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