Regarde-moi, je m'abandonne
Il m’a regardée jouir avec un autre – Fantasmes érotiques et domination douce
La lumière dorée du soleil déclinant baignait les murs de béton brut, caressait les lignes épurées du mobilier design, et glissait sensuellement sur le parquet ciré du loft. L’atmosphère flottait entre la chaleur d’un jour qui meurt et la tension électrique de ce qui allait naître.
Je me tenais là, pieds nus sur le bois tiède, dans une robe fluide couleur ivoire. Le tissu léger s’accrochait à mes hanches, effleurait mes cuisses nues, soulevé parfois par la brise tiède qui entrait par les baies vitrées entrouvertes. Mon corps trahissait déjà l’impatience que je tentais de dissimuler derrière mon sourire énigmatique.
Lui était appuyé contre l'encadrement de la verrière intérieure, un verre de vin en main, le regard noir et calme. Charismatique, il avait cette façon de vous regarder sans jamais cligner des yeux, avec une intensité qui forçait à respirer plus doucement. À chaque échange de regards, une vague silencieuse de tension sexuelle déferlait entre nous. Une tension douce, maîtrisée, mais irrésistible.
Il n’avait presque pas besoin de parler pour dominer la pièce. Sa voix pouvait se faire grave, hypnotique, ou presque tendre parfois — une technique de domination douce qu’il maîtrisait à la perfection. Il savait comment créer une ambiance érotique dans une relation, un art chez lui, presque une mise en scène instinctive.
Je crois que c’est ce qui m’avait poussée à lui partager mon fantasme.
Celui d’être regardée. Dévoilée. Prise. J'avais osé formuler ce désir brûlant et trouble : qu’il me regarde jouir... avec un autre. Que sa présence me lie, même s'il ne me touche pas. Que son regard possède mon plaisir, mon abandon.
Il avait simplement hoché la tête. Puis il avait souri.
– Tu es sûre de toi ?
Je l’étais. Et le fait qu’il me laisse aller là, sous ses yeux, ne faisait que renforcer son pouvoir. C’était cela, aussi, explorer ses fantasmes érotiques : se donner sans honte, dans un cadre de confiance brûlante, où le regard suffit à dire “tu es à moi, même là”.
Ce soir, tout commençait.
Le troisième protagoniste ne s’était pas encore présenté. Pas physiquement. Mais son ombre flottait déjà entre nous, comme une présence attendue. Il n'était qu’un instrument, une extension de mon désir... et du sien.
Je m’avançais doucement vers lui, le bout de ma robe balayant mes jambes dans un frisson. Mes tétons, déjà durcis sous le tissu fin, frottaient à chaque pas. Il le voyait. Il le savait.
– Tu as préparé quelque chose ? demandai-je, la voix basse, presque impudique.
Il haussa légèrement un sourcil, amusé par mon impatience, puis désigna nonchalamment la table basse. Un carton noir mat y reposait, élégant, fermé par un ruban de satin.
Je m’approchai, mes doigts glissèrent lentement sur le nœud.
– Tu peux l’ouvrir.
À l’intérieur, de la dentelle noire, fine et croisée comme une toile d’araignée. Un plug anal au bijou rose incrusté, brillant comme un rubis dans l’ombre. Un bandeau pour les yeux. Une paire de menottes doublées de cuir. Et un petit vibromasseur doré, discret, élégant. Tout évoquait une introduction au BDSM pour débutants — raffinée, sensuelle, contrôlée.
Je sentis une chaleur me monter le long du ventre. Mon souffle se coupa brièvement.
– C’est pour moi… ou pour lui ?
Il sourit, s’approcha enfin. Le contact furtif de sa main sur ma nuque fit basculer tout mon corps en arrière.
– C’est pour toi, répondit-il. Pour que tu comprennes combien ton plaisir m’appartient. Même si c’est un autre qui te le donne.
Ses mots fusèrent en moi comme une caresse interdite. Une tension délicieuse se tendit entre mes cuisses, profonde, persistante. Il n’avait pas encore touché réellement — et pourtant, je brûlais.
Je baissai les yeux, offerte, frémissante.
– Tu seras là… tout le temps ?
– Je veux tout voir. Chaque frisson. Chaque cri. Chaque contraction de ton ventre autour de lui.
Il s’approcha encore. Son index remonta lentement le long de ma cuisse, juste effleurée par la robe. Le tissu s’éleva très légèrement, porté par une brise complice, révélant la naissance de ma lingerie noire, fine, presque indécente dans sa transparence.
Sa main ne m’avait pas touchée à nu. Juste un frôlement au travers du tissu, mais c’était suffisant pour que mes jambes se fassent moins sûres.
– Tu trembles déjà, murmura-t-il.
– Ce n’est rien comparé à ce que je ressens là, soufflai-je, la gorge sèche.
Il prit mon menton entre ses doigts, doucement. Je plongeai dans son regard. Il me possédait déjà. Il savait exactement comment explorer mes fantasmes érotiques sans jamais me rendre vulnérable. Ce soir, j’allais me livrer. Mais à lui seul, même si c'était un autre qui me prenait.
Je frémis à l’idée de ce qui allait venir. Nerveuse. Exaltée. Prête à perdre pied sous ses yeux.
Un bruit discret retentit. Une vibration dans le téléphone posé sur le buffet. Il regarda l’écran, puis me lança un regard chargé d’électricité.
– Il est là.
Mon ventre se contracta. Mon souffle se suspendit. Mes jambes se collèrent. Je crois que je n’avais jamais été aussi humide — ni aussi consciente de chaque parcelle de ma peau.
Il tendit la main. La mienne s’y glissa sans hésiter. Nos doigts s’effleurèrent, puis se lièrent, provoquant cette onde de chaleur qui monta, fulgurante, le long de mon dos, jusqu’à ma nuque. Je retins un soupir, trahie par cette connexion si pure, si immédiate.
Il m’attira contre lui. Me murmura à l’oreille :
– Tu vas être magnifique. Et tu ne quitteras pas mes yeux. Jamais.
Je fermai brièvement les paupières. Mon corps entier vibrait. Mon cœur battait vite, juste sous sa main, posée contre ma cage thoracique.
Et quand je rouvris les yeux, je souris.
Complice. Soumise. Prête.
Un nouveau chapitre allait s’écrire, sous sa surveillance brûlante... et je ne voulais rien d’autre.
```htmlLa porte s’ouvrit sans bruit. Il entra.
Grand, brun, légèrement barbu, l’inconnu portait une chemise noire entrouverte, un jean sombre moulant des hanches puissantes. Il était beau, mais ce n’était pas ce qui m’obséda d’abord. C’était son regard. Dirigé vers moi. Évaluateur. Prêt.
Mais je n’étais pas à lui. Je n’étais là que pour une chose : être prise, vue, offerte… sous le regard de l’autre. Mon homme. Celui qui tenait la laisse invisible de mon plaisir.
Je n’osais pas avancer. Mes jambes vacillaient. Mon souffle était suspendu à chaque battement de cœur. Lui, mon regard, mon centre, me frôla la hanche du bout des doigts. Une caresse aérienne, presque cruelle.
– Va t’asseoir, dit-il simplement. Montre-toi.
Je marchai lentement vers le canapé en cuir fauve. Ma robe glissait sur mes courbes comme une seconde peau. Je sentais leurs regards posés sur moi comme une chaleur diffuse, pénétrante. Je m’assis, jambes croisées, dos droit, poitrine tendue sous le tissu, offerte sans l’être.
– Tu es sûre de vouloir ça ? demanda l’inconnu, voix grave, légèrement rauque.
– Elle n’a jamais été aussi sûre d’elle, répondit mon homme à ma place. Et elle t’attend.
La tension sexuelle dans la pièce était presque palpable. Une épaisseur invisible qui collait à la peau, aux lèvres, entre les cuisses. Chaque geste, chaque regard, était une promesse. Une montée lente, brûlante, vers quelque chose d’irréversible.
– Déshabille-la, ordonna-t-il calmement.
Je frémis. Ce n’était pas une demande. C’était une mise en scène. Une introduction au BDSM pour débutants, parfaitement maîtrisée. Je ne contrôlais rien. Et c’était ça, mon fantasme.
L’autre homme s’approcha. Ses mains glissèrent le long de mes bras, puis vers mes épaules. Il effleura les bretelles de ma robe du bout des doigts, les fit glisser lentement. Le tissu tomba, laissant mes seins nus, dressés, frissonnants sous l’air tiède.
Je n’avais jamais été aussi consciente de mon corps. De ma peau exposée. De ce que cela représentait… pour lui. Celui qui regardait. Celui pour qui je faisais tout cela.
– Regarde-la, dit-il. Regarde comme elle est belle quand elle s’abandonne.
Je relevai les yeux vers lui. Il s’était assis dans le fauteuil en face, jambes croisées, une main posée sur l’accoudoir, l’autre sur son verre de vin. Souverain. Silencieux. Son regard me pénétrait plus intensément que n’importe quelle main.
Le troisième homme fit glisser ma robe jusqu’à mes hanches. Je soulevai doucement les fesses pour l’aider. Mes cuisses se déployèrent légèrement, dévoilant ma lingerie noire, brillante d’humidité.
– Tu peux toucher, dit-il. Mais tout ce que tu fais, c’est à moi que tu le dois.
Le regard de l’inconnu se posa dans le mien. Il comprenait. Il n’était pas là pour me posséder. Il était là pour exécuter. Pour m’offrir un plaisir sous haute surveillance. C’était une forme de domination douce, raffinée, mais absolue.
Ses mains glissèrent sur mes cuisses. J’haletai à peine. Les doigts se faufilèrent sous le tissu humide de ma culotte. Et je sus, à la première caresse, que je ne tiendrais pas longtemps.
Je m’arquai. Mon dos se cambra. Je sentis mes reins se tendre, mes tétons se durcir davantage encore. Mais mes yeux, eux, ne quittaient pas ceux de mon homme.
– Tu veux qu’il continue ? demanda-t-il calmement.
– Oui… soufflai-je. S’il te plaît.
– Dis-le comme tu le penses.
– Je veux qu’il me fasse jouir… pendant que tu me regardes.
Un sourire s’étira sur ses lèvres. Lent, possessif. Il leva légèrement son verre, comme pour porter un toast à mon abandon.
Le troisième homme s’agenouilla entre mes jambes. Il écarta ma culotte lentement, découvrant mon sexe gonflé, brillant, tremblant.
– Elle est déjà prête, dit-il, presque admiratif.
– Elle est à moi. Elle est toujours prête, quand je la regarde.
Je gémis doucement quand ses lèvres effleurèrent ma chair. Mon bassin se souleva à peine, tendu vers le contact. Ses doigts s’enfoncèrent doucement, avec précaution, alors que sa langue traçait des cercles lents, humides, sur mon clitoris déjà gonflé.
Je me perdis. Je me perdis dans les sensations, dans la chaleur, dans l’audace. Mais surtout, dans ce regard. Ce regard qui ne me lâchait pas. Il me tenait sans me toucher. Il me guidait sans un mot.
Mes jambes s’ouvrirent davantage d’elles-mêmes. Je voulais qu’il voie tout. Qu’il voie combien j’étais offerte. Combien je me donnais, là, nue, tremblante, gorge serrée, bouche entrouverte, corps vibrant sous une langue qui n’était pas la sienne, mais qui ne faisait que l’amplifier, lui.
Je sentis quelque chose de froid glisser entre mes fesses. Le plug. Il l’avait préparé. Et l’autre homme savait.
– Il est bien lubrifié, souffla-t-il. Elle va l’aimer.
Je me tendis, mais ne refusai pas. C’était prévu. C’était désiré. C’était une des techniques de domination douce dont il parlait. Il ne me brusquait pas. Il me préparait. Il m’élevait.
Le plug s’inséra lentement. Je haletai, surprise par la sensation de plénitude, par cette double stimulation qui me fit vibrer. Une onde de chaleur se propagea dans mon ventre, dans mes cuisses, dans ma nuque. Je n’étais plus qu’un corps en tension, palpitant, suspendu à son regard.
– Tu es magnifique, murmura-t-il. Regarde-toi. Tu es en train de jouir… et tu ne m’as même pas touché.
Je ne répondis pas. Je ne pouvais pas. Je gémissais. Mes doigts s’étaient crispés sur le cuir du canapé. Mon bassin ondulait, cherchant plus. Mes yeux se remplirent de larmes de plaisir. Et lui, mon homme, ne bougeait pas. Il me regardait, possédait chaque tremblement de mon corps sans lever le petit doigt.
Et puis, au moment où je crus que j’allais exploser, il se leva.
Il s’approcha lentement, une main dans mes cheveux, l’autre sur ma gorge, douce, ferme, rassurante.
– Pas encore. Ce n’est pas encore le moment, ma belle.
Il me fit signe de m’asseoir. De reprendre mon souffle. De me redresser. L’autre homme se recula, respectueusement, comprenant que son rôle s’arrêtait là, pour l’instant.
Mon cœur galopait. Mes cuisses tremblaient. Ma gorge vibrait encore de soupirs étouffés. Et pourtant, quand je relevai les yeux vers lui, je souris. Un sourire complice, tremblant, mais lumineux.
Il me tendit la main. Je la saisis. Nos doigts se croisèrent. Et dans ce simple contact, je sentis toute la promesse de ce que nous venions d'écrire ensemble.
Un chapitre. Un fantasme devenu réalité. Et l’envie brûlante de continuer à explorer, à jouer, à me perdre dans ses yeux… encore et encore.
```Ses doigts s’activèrent en moi avec une précision presque cruelle. Je n’étais plus qu’un souffle, une vibration, un cri suspendu.
Sa langue tourbillonnait sur mon clitoris, lente, méthodique, pendant que ses doigts courbés exploraient chaque paroi interne, cherchant ce point précis, cette faille de chair prête à céder. Le plug anal me comblait de son étrangeté délicieuse, m’ouvrant à une sensation de plénitude jamais éprouvée.
Je sentais mes cuisses se crisper, mes abdominaux se contracter en vagues incontrôlées. Le cuir du canapé grinçait sous mes reins qui cherchaient l’angle parfait. Mon souffle s’étranglait dans ma gorge. Et lui… toujours lui… me regardait.
Il ne souriait plus. Il observait. Possédait. Chaque gémissement que j’échappais était pour lui. Chaque contraction de mon ventre, chaque spasme, chaque vibration interne lui appartenait.
– Regarde-moi, ordonna-t-il, sa voix grave, basse, comme une corde tendue.
Je relevai les yeux. Et c’est là que je perdis pied.
Son regard. Ce puits noir de désir et d’autorité. Ce feu glacé qui me transperça, déverrouilla quelque chose en moi. Mon orgasme me prit violemment, sans prévenir, comme une déferlante qui brise une digue trop longtemps contenue.
Je hurlai. Un cri rauque, profond, primal. Mes jambes se refermèrent sur la tête de celui qui me léchait encore, mes doigts agrippèrent le cuir, mes hanches se soulevèrent, puis tremblèrent, sans contrôle. Une pluie de frissons me traversa, de la nuque aux orteils. Je crus m’évanouir tant le plaisir fut large, total, infini.
Et au cœur de cette tempête, je ne voyais qu’une chose : lui. Son regard. Sa main posée sur son genou, calme, souveraine. Il ne m’avait pas touchée. Mais il m’avait tout donné.
Je retombai lentement, haletante, le corps en feu, les jambes flasques, le cœur battant contre ma poitrine comme une proie prise à la gorge.
– Voilà, souffla-t-il. C’est ça… quand tu t’abandonnes vraiment.
Le troisième homme se redressa, me caressa doucement la cuisse, puis se recula, respectueux. Il avait été l’instrument. Lui restait le maître.
Je me laissai glisser sur le côté, posant ma tête sur l’accoudoir. Mes seins nus se soulevaient encore à chaque respiration. Le bijou rose brillait doucement entre mes fesses, témoin silencieux de ma soumission offerte.
– Tu vas bien ? demanda-t-il, en s’approchant enfin.
– Mieux que bien, murmurai-je, la voix rauque.
Il s’assit près de moi, me caressa les cheveux, puis déposa un baiser lent sur mon front.
– Tu es magnifique quand tu jouis pour moi.
Je souris, les yeux mi-clos, encore perdue dans la douceur de l’après. Une chaleur douce persistait entre mes cuisses, comme une braise qu’on ne voulait pas éteindre.
– Est-ce que… on recommencera ?
Il me regarda longuement. Puis, lentement, il fit glisser sa main le long de ma gorge, de ma poitrine, jusqu’à mon ventre encore contracté.
– Pas exactement comme ça. Mais oui. On écrira d’autres chapitres. Et tu ne sauras jamais ce que je prépare… jusqu’à ce que tu sois déjà dedans.
Un frisson délicieux me parcourut. Mon corps était épuisé, mais mon esprit, lui, vibrait déjà à la promesse suivante. Ce fantasme n’était qu’un début. Une porte entrouverte sur une infinité d’autres jeux, d’autres scènes, d’autres découvertes.
Je posai ma main sur la sienne. Nos doigts se lièrent à nouveau.
– Alors je veux tout lire, tout vivre. Jusqu’à la dernière ligne.
Il se pencha vers moi, effleura mes lèvres sans les prendre.
– Et je veux que tu continues à m’appartenir… même quand tu cries pour un autre.
Ce soir, j’avais joui comme jamais. J’avais appris comment explorer mes fantasmes érotiques en toute confiance, dans une introduction au BDSM raffinée, sous le regard d’un homme qui savait créer une ambiance érotique sans un mot. Et je savais désormais que le plus grand luxe… c’est d’être vue, vraiment vue, au moment exact où l’on éclate.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr