
Bas, Désirs et Tentations
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Je bande quand elle met ses bas – Une histoire de fétichisme des bas
Il y a des femmes qui savent exactement ce qu’elles déclenchent quand elles croisent votre regard. Leur pouvoir ne tient ni à leur voix, ni à leur sourire. Non. Leur pouvoir est plus silencieux, plus insidieux, presque invisible. Il se glisse dans un geste, une inclinaison de hanche, une manière de croiser les jambes. Et surtout… il s’enroule autour d’un détail si simple, si ancien, qu’il en devient presque mystique : un bas fin, noir, à jarretière délicatement brodée.
Elle s’appelle Clara.
Et dès la première fois où je l’ai vue tirer lentement son bas jusqu’à sa cuisse, mes pensées ont basculé dans un monde où le fétichisme des bas devenait une obsession charnelle, inavouable — et que je n’avais plus aucune envie d’étouffer.
Je me souviens encore de cette soirée. Je l’attendais dans notre loft. Un vendredi soir comme un autre en apparence. La lumière était tamisée, projetant sur les murs de briques nues des ombres chaudes, presque lascives. Dehors, la ville murmurait son chaos sourd, mais ici, tout était calme. Suspendu.
Elle avait insisté pour « prendre son temps ». J’avais souri. J’aimais quand elle jouait avec ma patience. Quand elle s’amusait à faire durer l’attente, à transformer la frustration en caresse mentale.
J'étais déjà assis au bord du lit, chemise ouverte, regard perdu sur la porte entrouverte de la salle de bain. La buée commençait à se dissiper sur le miroir. Et puis je l’ai entendue. Le claquement sec d’un clip métallique. Celui d’un porte-jarretelles qui s’accroche.
Elle savait.
Elle savait que je bandais dès qu’elle mettait ses bas. Elle adorait ce pouvoir-là — et elle l'exerçait avec une cruauté délicieuse.
La porte a bougé. Juste un peu. Puis sa silhouette est apparue, découpée dans l'embrasure. Clara ne portait qu'une guêpière noire en dentelle, d'une finesse presque irréelle. Son ventre plat, ses hanches pleines, laissaient deviner ce corps que je connaissais par cœur — mais qui, ce soir encore, me semblait nouveau. Elle s’est arrêtée, un genou posé sur le siège en velours de la coiffeuse, dos cambré, et a levé lentement une jambe.
Le bas noir glissait contre sa peau comme une caresse humide. Semi-transparent, tendu, parfaitement dessiné. Son mollet devenait un objet d’adoration. Son geste était lent, précis, presque cérémonial.
Je sentais déjà mon sexe réagir dans mon pantalon entrouvert.
Elle tourna la tête vers moi, un coin de sa bouche relevé.
– Tu regardes ? demanda-t-elle sans fausse pudeur.
– Regarder est un euphémisme, dis-je d'une voix rauque. Je vénère.
Elle rit doucement, puis accrocha le bas à la jarretelle. Le claquement sec du clip me fit frissonner. Chaque son, chaque geste, chaque centimètre de nylon devenait une forme d'érotisme supérieur. Je n’étais plus dans notre chambre. Elle m’avait transporté ailleurs — dans un espace où le désir dictait ses propres lois, où un simple accessoire devenait un fétiche, un totem, presque une extension d’elle-même.
Elle s’approcha lentement. Son regard planté dans le mien. À chaque pas, le frottement très léger de ses bas contre ses cuisses me vrillait l’imaginaire. Elle passa une main derrière mes épaules, fit courir ses doigts jusqu’à ma nuque. Puis elle se pencha, ses lèvres tout contre mon oreille.
– J’ai mis ceux que tu aimes. Les coutures bien droites et la matière douce... tellement douce. Je veux que tu sentes ce que ça te fait. Que tu sois obligé de me supplier pour que je les enlève.
Son souffle me faisait perdre pied. Elle savait exactement jouer avec cette part de moi que j’avais lentement laissé grandir à ses côtés. Cette obsession pour les textures, les détails, les symboles. Et plus que tout, cette envie brûlante de la voir dans sa lingerie, dans ses bas, avant même de penser à la dénuder.
– Tourne-toi, ordonna-t-elle soudain d’une voix plus ferme.
Je m’exécutai. Dos à elle. Le cœur battant. L’excitation cognait déjà contre mon ventre.
J’entendis un cliquetis métallique. Puis un cuir froid contre mes poignets.
– Ce soir, ce sont les menottes. Pas de questions.
Je souris. Elle entrait dans son jeu de domination subtile, douce mais intransigeante. Elle savait temporiser, doser le trouble et le contrôle. Il n’y aurait pas d’acte immédiat, pas de sexe sauvage dès les premières minutes. Non. Elle allait faire durer. Me faire frémir. Me faire imaginer ce que je ne verrai pas. Ou pas tout de suite.
Je sentis ses bas glisser contre ma joue lorsque ses jambes se glissèrent de chaque côté de mes hanches. Elle s’était assise sur moi, à califourchon, tout en me forçant à rester tourné. Immobilisé. Aveuglé. Déjà soumis à ses règles.
– Tu sens ce que ça te fait ? susurra-t-elle en balançant doucement son bassin.
Le nylon frotta contre ma peau nue, et mon érection me fit presque mal contre le tissu de mon pantalon toujours fermé.
Elle me tenait. Entièrement. Par ce simple frôlement, par cette lingerie sensuelle qui faisait de mon désir quelque chose d’à la fois brutal et délicat. Un vertige proche de la torture, une montée crescendo où chaque seconde devenait une caresse impossible à ignorer.
– Je vais te faire supplier pour le reste, murmura-t-elle. Et tu sais quoi ? Tu vas adorer ça.
Oui. J’allais adorer. Parce qu’avec elle, chaque bas devient un prolongement de sa volonté. Un instrument de plaisir aussi précis qu’un sextoy, aussi enveloppant qu’un fantasme bien gardé. Elle était cette femme rare, délicieusement cruelle, qui savait exactement comment capturer un homme par le plus subtil des accessoires.
Et moi, j’étais déjà prisonnier. Volontaire. Fébrile.
Clara n’avait même pas encore commencé.
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Clara descendit lentement de mes hanches, laissant derrière elle une traînée de chaleur là où ses bas venaient de frôler ma peau. Je retenais ma respiration, chaque nerf tendu, chaque pensée concentrée sur l’empreinte sensorielle qu’elle venait de laisser. Les menottes me coupaient légèrement la circulation, mais je ne voulais pas bouger. J’étais à elle. Entièrement. Et elle le savait.
Elle fit quelques pas, ses talons fins claquant doucement contre le parquet. Puis elle revint dans mon dos, sa bouche à nouveau contre mon oreille.
– Tu ne vois rien. Tu ne peux pas me toucher. Tu n’as que tes oreilles… et ton imagination.
Sa voix était un murmure de velours. Le genre de murmure qui glisse directement entre les jambes.
– Je vais remettre mes bas… très lentement. Et toi, tu vas écouter. Imaginer. Et t’interdire d’éjaculer. Compris ?
Je grognai un "oui" à peine audible. Ma verge était raide, douloureuse, comprimée sous mon pantalon. J’étais déjà au bord.
Elle s’éloigna à nouveau. Je l’entendis s’asseoir sur la coiffeuse. Puis le froissement caractéristique du nylon. La tension du tissu, les petits ajustements, le claquement précis de l’attache métallique sur la jarretelle. Le tout rythmé, maîtrisé, presque sadique.
– Tu te rappelles, ces bas que tu m’as offerts à Noël ? Ceux avec la couture arrière et l’élastique renforcé…
– Oui… soufflai-je, la bouche sèche.
– Je les porte. Tu n’imagines pas comme ils me font sentir… délicieuse. Sensuelle. Cruelle.
Je sentis un frisson me traverser. Le fétichisme des bas n’était pas un simple fantasme pour moi. C’était un langage. Une obsession. Un code secret entre sa peau et mon désir. Et elle savait exactement comment en jouer.
Elle revint derrière moi, se pencha, me mordilla le lobe de l’oreille.
– Tu veux les toucher ?
– Oui.
– Tu veux poser ta langue contre la couture, la suivre jusqu’à ma cuisse ?
– Tellement.
Elle glissa sa main sur ma poitrine, puis descendit lentement jusqu’à ma braguette. Elle ne l’ouvrit pas. Pas encore.
– Tu vas attendre.
Je poussai un râle sourd. Elle me torturait. Doucement. Intensément.
Elle fit le tour du lit, lentement. Puis je sentis la soie de ses bas effleurer mes lèvres.
– Embrasse-les.
Je m’exécutai. Les lèvres contre le nylon tendu, je fermai les yeux. Une décharge me traversa. La sensation était subtile, mais terriblement érotique. Un goût de peau, une odeur de parfum léger, un soupçon de lessive. Et ce contact si particulier, entre rugosité et douceur.
– Encore, ordonna-t-elle.
Je baisai son mollet, sa cheville, la couture verticale. Chaque baiser était une offrande. Mon sexe palpitait, gonflé à l’extrême. Elle se recula.
– Tu veux que je me mette à genoux entre tes jambes ? Que je libère ta queue et que je la caresse avec mes bas ?
Ma tête tomba en arrière.
– Clara… je t’en supplie…
Elle rit doucement.
– Pas encore. Je ne suis pas prête. Je veux que tu respires mon odeur. Sans me goûter.
Elle grimpa sur le lit, s’agenouilla derrière moi. Ses jambes encadraient mes hanches, ses cuisses couvertes de ce nylon noir que je vénérais. Elle me pressa contre elle, m’enveloppant dans son odeur, sa chaleur.
– Tu sais ce que je porte sous la guêpière ?
– Dis-moi…
– Un plug anal. Petit. En verre. Juste pour me rappeler que je suis déjà ouverte. Prête à toi. Mais que tu ne peux rien faire, pour l’instant.
Une onde de chaleur me traversa le bas-ventre. Elle venait d’enfoncer une flèche dans mon imaginaire. J’étais là, menotté, bandant comme un fou, et elle… elle se promenait dans la pièce, le corps transpercé d’un petit bijou secret, invisible mais terriblement suggestif.
– Tu veux le toucher avec ta langue ?
– Oui…
– Tu veux le lécher, le faire glisser jusqu’à ce que je le sente vibrer ?
– Clara… tu me rends fou…
Elle me contourna, s’accroupit au sol, et écarta légèrement mes jambes. Cette fois, elle ouvrit ma braguette. Lentement. Et libéra mon sexe, tendu, palpitant, brillant de pré-sperme.
Elle ne le toucha pas. Non. Elle s’approcha avec ses jambes, et fit glisser un bas contre ma verge. Le contact fut électrique.
– Tu sens ça ? C’est le nylon que tu aimes tant. Contre toi. Tout contre ta queue.
Je me mordis la lèvre pour ne pas jouir. Son jeu était cruel. Parfaitement orchestré.
– Tu n’as pas le droit de jouir. Pas sans mon ordre. Tu entends ?
– Oui… maîtresse…
Elle sourit. Je le sentis plus que je ne le vis. Elle adorait quand je basculais dans ce rôle. Quand je me laissais emporter. Quand je devenais vulnérable à son fétichisme, prisonnier de sa lingerie sexy, esclave consenti de ses bas.
Elle glissa à nouveau le nylon contre ma verge, le fit monter, descendre. Doucement. Puis s’arrêta net.
– Tu veux que je continue ?
– Oui. Pitié…
– Alors respire. Et attends.
Elle se leva, s’éloigna. Je l’entendis fouiller dans le tiroir de la coiffeuse. Le cliquetis d’un flacon. Puis elle revint.
– Du lubrifiant. À la lavande. Tu aimes, non ?
Elle versa lentement quelques gouttes sur mon sexe. Le froid du gel me fit gémir. Puis elle reprit le jeu avec ses bas. Nylon contre peau lubrifiée. La friction était parfaite. Sensationnelle. Hypnotique.
– Tu vas me supplier de te faire jouir. Et je te dirai non. Encore. Et encore.
Je suffoquais. Elle me tenait au bord du précipice, refusant de me laisser plonger.
Elle colla ses seins contre mon dos, les tétons durs à travers la dentelle. Sa main libre glissa entre ses jambes. Je l’entendis soupirer doucement.
– Tu m’excites tellement… Je suis trempée. Et toi, tu ne peux rien faire.
Son souffle, sa voix, ses bas, son odeur… Tout devenait un piège érotique parfait.
– Clara… je t’en supplie…
– Pas ce soir. Pas encore. Maintenant, je veux que tu restes comme ça. Que tu bandes. Pour moi. Pour mes bas. Jusqu’à ce que je décide ce que je fais de toi.
Elle se releva, me laissa là, menotté, sexe tendu, cœur au bord de l’implosion.
Et tandis qu’elle s’éloignait à petits pas, les coutures de ses bas parfaitement alignées, je su que le pire — et le meilleur — restait encore à venir.
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Son souffle se fit plus saccadé. Je le sentais contre ma nuque, chaud, vibrant, presque tremblant. Clara était montée sur le lit, à califourchon sur mes cuisses, et ses bas frottaient contre mes hanches, déclenchant à chaque mouvement un spasme incontrôlable dans mon bas-ventre.
– Tu es prêt ? murmura-t-elle, sa voix rauque et pleine de promesses.
– Je n’ai jamais été aussi prêt…
Elle libéra enfin mes poignets, lentement, comme une offrande. Mes bras tombèrent de chaque côté de mon corps, engourdis mais avides. Je me retournai, haletant, pour la voir dans toute sa maîtrise : guêpière entrouverte, plug en verre toujours niché entre ses fesses, et ces bas… tendus, brillants, parfaits.
Elle attrapa ma main, la guida entre ses cuisses. Elle était trempée. Bouillante. Vibrante.
– Tu sens ? C’est toi qui me fais ça… Par le regard que tu poses sur mes bas. Par la façon dont tu respires quand je les remonte. Par cette tension que tu ne contrôles plus.
Je m’agenouillai devant elle. Ma langue suivit la couture de son bas, remontant lentement, avec dévotion, jusqu’à sa cuisse. Puis plus haut. Jusqu’au bord de la guêpière. Elle écarta les jambes, m’invitant.
Je la léchai doucement, savourant chaque frémissement. Ses doigts se glissèrent dans mes cheveux, me maintenant contre elle. Son bassin ondula, chercha, exigea.
– Continue… Là… Oui…
Je la sentis se contracter, se crisper. Son dos se cambra violemment, et un cri court, aigu, s’échappa d’elle.
– Oh… putain… oui…
Son orgasme fut bref mais intense. Un frisson nerveux parcourut tout son corps. Elle se laissa retomber sur le lit, haletante, les cuisses encore tremblantes.
J’étais toujours dur, douloureux, en feu. Elle ouvrit les yeux, m’observa avec un sourire cruel et tendre à la fois.
– Tu veux jouir maintenant ?
– Clara… je vais exploser.
Elle se pencha, attrapa le bas qu’elle avait retiré plus tôt. Elle l’enroula autour de ma verge, l’enserrant doucement, puis le fit glisser de haut en bas, lentement, avec une précision chirurgicale.
– Regarde-moi quand tu jouis. Je veux voir ton visage quand le nylon t’achève.
Je n’ai pas tenu dix secondes. Mon orgasme fut brutal, fulgurant. J’ai gémi, le corps secoué, le sperme jaillissant entre les fibres du bas comme une offrande finale à son pouvoir.
Elle le garda ainsi, enroulé autour de moi, comme un trophée intime.
Le silence tomba. Un silence doux, épais, presque sacré. Clara s’étira, se blottit contre moi, sa peau chaude contre la mienne.
– Tu sais ce que j’adore ? dit-elle en caressant mollement ma poitrine.
– Dis-moi.
– Que tu ne me touches pas vraiment. Que tu bandes pour un accessoire. Pour un symbole. Pour quelque chose d’aussi simple qu’un bas.
– Ce n’est pas simple, Clara. C’est… sacré.
Elle rit doucement, puis embrassa ma clavicule.
– Et tu sais ce que j’adore encore plus ?
– Non…
– Te savoir déjà accro. Parce que je viens de commander trois nouvelles paires. Et une paire de gants en résille. Ils arrivent mardi.
Je souris, les yeux fermés. Mon corps flottait encore dans les vapeurs de l’extase, mais déjà, mon esprit repartait. Vers mardi. Vers elle. Vers ses jeux. Vers ses bas.
– Tu vas me tuer…
– Non, mon amour. Je vais juste te faire bander. Encore. Et encore.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr