Image d'une femme en lingerie sexy avec un porte-jarretelles noir, évoquant des fantasmes de domination et de BDSM, créée dans un décor intime propice à la lecture érotique.

Fantasme Délicieux en Jarretelles

Fantasme en porte-jarretelles : une lecture BDSM aussi sensuelle que dominatrice

Le loft baignait dans une lumière douce, presque liquide, filtrée par les voilages blancs qui dansaient lentement sous la caresse des brises d’été. Les bougies parfumées diffusaient des notes de vanille et de musc, enveloppant l’espace d’un érotisme discret, mais lancinant. Le parquet lustré reflétait les flammes vacillantes, donnant à la pièce un effet de chaleur moite, de cocon intime suspendu dans le temps.

La musique, une lente mélodie au piano mêlée à des souffles électroniques, semblait jouer le tempo exact de leur respiration.

Elle était accoudée à la rambarde de l’escalier en colimaçon, silhouette fine mais affirmée, les jambes croisées, gainées de bas noirs en résille délicate. La jarretelle mordait sa cuisse dans un contraste tendre et cruel. Une robe légère, fendue haut, épousait ses courbes comme un gant de nuit. Ses longs cheveux ondulés cascadaient sur son dos nu, frissonnant à chaque mouvement à peine esquissé.

Lui s’était installé sur le canapé bas, un verre à la main, le regard posé sur elle. Il ne disait rien. Il n’avait pas besoin. Ce silence-là n’était pas vide, il vibrait d’une tension sous-jacente, de celles qui se tissent au fil des années et trouvent, un soir d’été, une faille pour s’épanouir.

– Tu comptes me regarder comme ça toute la soirée ? glissa-t-elle sans se retourner.

Sa voix, chaude, avait cette inflexion subtile que seules les femmes conscientes de leur pouvoir savent maîtriser.

– Je ne m’en lasse pas, répondit-il, un sourire aux lèvres. Tu es hypnotique ce soir…

Elle descendit une marche, lentement, sans se presser. Son regard croisa enfin le sien, et il y lut une provocation douce, à peine voilée. Ce n’était pas la première fois que leurs échanges prenaient cette tournure électrique. Mais ce soir... il y avait quelque chose de plus. Comme si l’un ou l’autre, ou les deux, avaient décidé que les limites familières de l’amitié allaient être redessinées.

– Tu sais pourquoi je t’ai proposé de venir ici ce soir ? demanda-t-elle en arrivant face à lui.

Il haussa les épaules, feignant l’innocence.

– Pour me montrer ta nouvelle déco, non ?

Elle ricana doucement, puis se pencha vers lui, posant une main sur son torse. Elle sentit les battements de son cœur s’accélérer aussitôt. Ce simple contact, cette pression, ce jeu entre domination et abandon, déclenchait en elle une douce montée d’adrénaline.

– T’es con. Tu sais très bien pourquoi…

Elle attrapa son verre, y trempa ses lèvres, puis s’assit à côté de lui, croisant les jambes. Son genou nu frôla le sien. Il détourna légèrement le regard, comme pour se protéger, ou se retenir.

– Ça te trouble ? souffla-t-elle tout contre son oreille.

– Un peu, admit-il dans un souffle.

Elle adorait ça. Ce moment précis où le désir passe de latent à palpable. Où les fantasmes deviennent des promesses.

Depuis quelques semaines, elle s'était plongée dans des lectures érotiques, des histoires BDSM teintées d’élégance et de feu. Elle y avait découvert des jeux de domination et soumission, des rituels, des sensations. Elle avait glané des idées, des envies. Et surtout, elle avait commencé à explorer, seule d’abord. Des accessoires glissés dans un tiroir de sa table de nuit : un plug anal en silicone noir, un paddle en cuir souple, des menottes en velours rouge. Et une multitude de lingeries fines, conçues pour dévoiler autant que pour dissimuler.

Elle voulait créer ce genre d’ambiance érotique à la maison, non pour séduire, mais pour vivre intensément. Et ce soir, elle avait envie de partager cette énergie avec lui. Ce fantasme en porte-jarretelles qu’elle nourrissait depuis si longtemps, c’était le moment.

– Je te fais confiance, murmura-t-il soudain, comme s’il avait lu dans ses pensées.

Elle se tourna vers lui, arqua un sourcil.

– Tu n’as encore rien vu.

Elle se leva, lentement, s’éloigna de quelques pas. Elle savait qu’il l’observait, qu’il suivait du regard chaque mouvement de sa hanche, chaque tremblement de ses cuisses. Elle tira une fine boîte noire d’un tiroir, la posa sur la table basse. S’en suivit un silence chargé d’attente.

– Tu connais le jeu ? dit-elle en enroulant autour de son doigt la fine lanière d’un collier de cuir.

Il déglutit, se redressa légèrement.

– Dis-moi les règles.

– C’est moi qui décide. C’est aussi simple que ça. Et toi, tu te laisses faire.

Un frisson parcourut son échine. Il hocha la tête. Il y avait dans son geste une forme de soumission volontaire, presque tendre. Ce n’était pas de la faiblesse. C’était de l’abandon lucide. Elle sentait son propre désir monter en elle, comme une vague chaude prête à déferler.

– Allonge-toi.

Il obéit, s’étendant sur le canapé, les bras le long du corps, comme une offrande fragile et musclée. Elle attrapa les menottes et les passa à ses poignets, doucement. Elle prenait son temps. Le métal froid contre sa peau contrastait avec la chaleur de ses mains.

– Tu pourrais être très beau attaché à mon lit, fit-elle en glissant une lanière de cuir autour de son cou.

La simple idée déclencha un soupir chez lui, entre tension et excitation.

Elle aimait ce regard qu’il posait sur elle : avide, légèrement suppliant, mais surtout brûlant de confiance. Elle s’agenouilla entre ses jambes, prenant soin de ne pas le toucher trop vite. Elle frôlait seulement, effleurait, titillait l’attente.

La chaleur de l’été se mêlait à celle de son corps. Les bougies jetaient des ombres dansantes contre les murs, comme si la pièce respirait avec eux. Tout convergeait vers ce crescendo sensuel et troublant. Le fantasme prenait corps, lentement, savamment.

Il y avait encore tant à explorer. Elle n’avait pas encore sorti le vibromasseur, ni le paddle. Elle voulait que chaque instant soit un prélude. Qu’il se souvienne non pas de l’acte, mais de l’attente. De cette montée douce vers la perte de contrôle.

– Ferme les yeux, murmura-t-elle.

Il obéit sans poser de questions.

Elle se pencha alors près de son oreille, sa poitrine effleurant son torse à travers la dentelle de sa lingerie sexy soigneusement choisie. Une création noire, ajourée, ouverte juste assez pour éveiller les sens. Le genre de lingerie qu’on ne choisit pas par hasard. Une lingerie pour pimenter la vie sexuelle, pour affirmer sans dire, pour séduire et dominer à la fois.

– Ce soir, je suis ton obsession. Et tu vas adorer ça.


Elle le regardait, allongé, vulnérable, les poignets ceints de velours rouge et les paupières closes. Il était magnifique ainsi, tendu entre soumission et désir brut. Chaque battement de son cœur semblait faire vibrer l’air entre eux. Elle effleura ses côtes du bout des ongles, traçant une ligne invisible, frémissante, vers le bas de son ventre. Il frissonna sous le contact.

– Tu sens ça ? chuchota-t-elle.

– Oui…

– Ce n’est rien. Juste le début.

Elle se releva lentement, laissant sa cuisse frôler la sienne, une caresse calculée. Puis elle s’éloigna vers la table basse pour ouvrir la boîte, révélant quelques accessoires soigneusement choisis : un petit lubrifiant à la texture satinée, un plug anal en silicone noir, un vibromasseur discret d’un gris anthracite, et une plume d’oie blanche. Elle avait tout préparé, sans précipitation, avec l’élégance d’une femme qui connaît ses désirs et les assume.

Ce moment, elle l'avait rêvé. Fantasmé. Elle s’était nourrie des meilleures lectures érotiques pour femmes, de récits où les femmes dominaient sans brutalité, avec assurance, sensualité, et cette pointe de cruauté douce qui électrise autant qu’elle rassure. Ce qu’elle voulait, ce soir, c’était lui offrir ce frisson-là. Cette bascule lente où le corps cède, où la volonté s’offre.

Elle revint vers lui et s’assit à califourchon sur ses cuisses, son bassin légèrement relevé pour ne pas le toucher de façon trop directe. Elle voulait qu’il devienne fou d’attente, qu’il suffoque d’envie.

– Tu es toujours d’accord pour jouer ?

Il hocha la tête, les lèvres entrouvertes, la respiration un peu plus rapide.

– Parle. J’ai besoin de t’entendre.

– Oui, j’en ai envie.

Elle sourit, satisfaite. Elle déposa un baiser lent au coin de sa bouche, tout en pressant légèrement son bassin contre le sien. Il gémit, imperceptiblement.

– J’adore ce son…

Puis elle glissa la plume le long de son torse. Du creux de sa clavicule jusqu’au nombril. Il se tendit sous elle, les muscles de ses cuisses devenant plus fermes. Elle continua, lente, précise, explorant chaque recoin de sa peau, là où elle devinait qu’il était le plus sensible. Derrière l’oreille. Sous le nombril. Juste à la jonction de l’aine.

– Tu veux que je continue ?

– Oui…

Elle s’interrompit, le regard dans le sien.

– Alors dis-le. Dis-le comme un bon garçon.

Il rougit légèrement. Et c’était délicieux.

– Continue, maîtresse.

Elle le récompensa par un lent baiser sur le torse, puis attrapa le lubrifiant et le plug. Elle le montra sans un mot, juste avec un regard interrogateur. Il acquiesça, les yeux brillants. C’était un de ses fantasmes, elle le savait. L’un de ceux dont ils avaient parlé une nuit, à demi-mots, entre deux verres, sans oser vraiment l’exprimer.

– Détends-toi. Respire. Je veux que tu ressentes chaque seconde.

Elle lubrifia l’objet avec soin, puis, d’une main douce, guida le plug vers son intimité. Il gémit, d’abord de surprise, puis de plaisir. Elle l’observait, fascinée par la manière dont son corps répondait à ses gestes. C’était ça, explorer le BDSM en couple : une danse subtile entre confiance et abandon, entre contrôle et extase.

– Tu es magnifique comme ça… offert. Prêt.

Elle se pencha pour le goûter, sa langue traçant un chemin humide sur son torse, jusqu’à ses tétons. Elle les mordilla doucement, les suçant, les pinçant entre ses dents. Il se cambra sous elle, chaque nerf en alerte, chaque souffle plus court.

La lingerie sexy qu’elle portait devenait presque une provocation à elle seule. Des jarretelles fines, une culotte ouverte qui laissait entrevoir la naissance de sa vulve, et un soutien-gorge à demi transparent rehaussant la courbe de ses seins. Elle se savait désirable, mais ce soir-là, elle se sentait puissante.

– Tu sais pourquoi je porte ça ? demanda-t-elle en se redressant, les mains sur ses hanches.

Il hocha la tête, incapable de parler.

– Non, dis-le.

– Pour me rendre fou. Pour me dominer. Pour… me posséder sans même me toucher.

– Exactement.

Elle se pencha à nouveau, ses cheveux effleurant son torse, créant un frisson supplémentaire.

– Je veux que tu comprennes à quel point je suis en contrôle. Ce soir, tu n’es là que pour mon plaisir. Et crois-moi… je vais te faire adorer ça.

Elle saisit le vibromasseur, le mit en marche. Une vibration basse, sourde, presque imperceptible. Elle le fit glisser le long de sa cuisse, puis de son bas-ventre, sans le presser. Il se tordit légèrement, cherchant plus de contact. Elle le frustra, volontairement, reculant chaque fois qu’il tentait de se rapprocher.

– Tu veux ça ?

– Oui… je t’en supplie.

– Alors sois sage. Et ne bouge pas.

Elle le fit glisser contre ses testicules, puis le long de son sexe, sans jamais le maintenir plus de quelques secondes. Chaque vibration déclenchait une respiration plus haletante, un râle de gorge plus profond. Elle était en train de le conduire à la limite, et elle adorait ça.

Mais soudain, le silence fut brisé.

Le téléphone sonna.

Un bruit strident, inopportun, presque obscène dans cette atmosphère si parfaitement orchestrée. Elle le regarda, surprise. Lui ouvrit les yeux, perdu entre frustration et amusement.

Ils restèrent là, tous les deux, suspendus. Le plug toujours en place. Les menottes attachées. Elle, à califourchon sur lui, le vibromasseur dans la main.

Un sourire complice naquit sur leurs lèvres.

– C’est le destin qui nous fait patienter encore un peu ? dit-il en soufflant.

– Ou juste une pause pour te faire languir davantage.

Elle se pencha, l’embrassa doucement, puis pressa sa bouche contre son oreille.

– Ce n’est que le début, mon joli. Ce fantasme en porte-jarretelles, tu vas le vivre jusqu’au bout. Mais pas ce soir. Pas encore.

Elle se leva, lissa sa robe, puis décrocha le téléphone sans se retourner. Il resta là, pantelant, les muscles tendus, le souffle court… et l’esprit plein de promesses à venir.

Elle le sentait vibrer sous elle, tendu comme une corde prête à rompre. Le vibromasseur glissa lentement jusqu’à la base de son sexe, puis remonta, caressant chaque centimètre de peau avec une précision calculée. Ses hanches tressaillirent. Il gémit, les poignets tirant doucement sur les menottes en velours rouge, comme pour chercher un appui, une échappatoire — ou peut-être juste plus de contact.

– Tu ne bouges pas, murmura-t-elle, sa voix plus rauque, plus grave. Sinon j’arrête.

Il hocha la tête, les lèvres entrouvertes, le souffle déjà court. Elle augmenta légèrement l’intensité du vibromasseur bullet, le posant cette fois directement contre la pointe de son sexe. Sa réaction fut immédiate, un râle guttural, profond, qui résonna dans sa gorge et fit vibrer la sienne en retour.

Elle se pencha, sa bouche effleurant la sienne sans l’embrasser. Elle voulait qu’il la supplie. Qu’il s’ouvre, qu’il se perde. Son bassin ondula lentement, ses fesses gainées de dentelle frottant à peine contre ses cuisses. Elle sentait son excitation comme une chaleur vive, une fièvre qui montait le long de sa colonne.

Puis elle se redressa, attrapa le plug déjà en place, et le fit tourner très lentement. Il se cambra, un souffle coupé, un soupir étranglé. Elle adorait ça : cette manière qu’il avait de se livrer, de se tendre, de s’abandonner sans honte. Elle savait exactement comment jouer de lui.

– Tu veux jouir ?

– Oui… je t’en supplie…

– Alors dis-le. Dis que tu es à moi.

– Je suis à toi, maîtresse.

Elle sourit, satisfaite, et s’empara de son sexe, le prenant enfin dans sa main chaude et ferme. Elle coordonna ses gestes avec les vibrations, le rythme de son bassin, les contractions de son propre plaisir contenu. Il haletait, les yeux clos, le visage tendu vers l’extase.

Et puis, il explosa.

Son corps entier se crispa sous elle, les muscles noués, la peau moite, la bouche ouverte sur un cri silencieux. Elle le regarda jouir, fascinée, domptée elle aussi par la puissance de ce moment. Un frisson la traversa, comme si le plaisir qu’elle lui offrait rejaillissait en elle avec la même intensité.

Elle ralentit ses mouvements, le vibromasseur encore posé contre lui, jusqu’à ce que ses tremblements cessent. Puis elle se pencha, l’embrassa lentement, profondément, comme pour sceller cette offrande partagée.

Il rouvrit les yeux. Ils brillèrent un instant, mi-perdus, mi-émerveillés.

– C’était…

– Chut. Ce n’est pas fini.

Elle glissa un doigt sur sa bouche, puis se redressa, lissant sa lingerie sexy encore parfaitement en place. Elle détacha les menottes, une à une, avec une douceur presque amoureuse. Puis elle retira le plug, lentement, le regardant frémir à nouveau, plus sensible que jamais.

Il resta allongé, haletant, les bras ouverts sur le canapé comme une offrande consumée. Elle s’assit à côté de lui, en silence, et attrapa une lingette hydratante dans le tiroir — un geste tendre, presque maternel, contrastant délicieusement avec la scène brûlante qui venait de se jouer.

– Tu vas bien ?

– Je crois que je ne me suis jamais senti aussi… vivant.

Elle sourit, pencha la tête, et lui caressa la joue du bout des doigts.

– Tu sais, ce n’est qu’un début. Il y a des dizaines de jeux qu’on n’a pas encore essayés. Des accessoires… des scénarios…

– Tu veux dire…

– Que si tu me laisses faire, je vais faire de toi un homme comblé. Et soumis. Très soumis.

Il rit doucement, encore essoufflé. Puis il se redressa à demi, son regard accroché au sien.

– À une condition.

– Laquelle ?

– Que tu portes toujours cette lingerie quand tu me domines.

Elle éclata d’un rire bas, sensuel, puis se pencha pour murmurer :

– Marché conclu. Mais la prochaine fois, c’est toi qui seras attaché à mon lit. Et j’utiliserai… tout.

Le téléphone vibra à nouveau sur la table. Ils échangèrent un regard complice.

– On laisse sonner ?

– Laisse-les tous attendre. Ce soir, c’est notre nuit. Notre fantasme.

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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr

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