Image représentant une femme séduisante en maillot de bain noir, qui drague le maître-nageur de son camping, illustrant le thème de l'article Sous la ligne de flottaison : ma première nuit avec le maître-nageur

Je l’ai séduit au bord de la piscine : mon été avec le maître-nageur du camping

Je l’ai séduit au bord de la piscine : mon été avec le maître-nageur du camping

Chaque été, je loue ce même petit bungalow dans un camping du sud. La mer n’est pas loin, les soirées sont douces… mais cette année, quelque chose, ou plutôt quelqu’un, allait tout changer. Un regard. Un torse brun. Un sifflet accroché à sa bouche, et ce short rouge si serré qu’on devinait tout ce qu’il cachait.

Il s’appelle Léo. Maitre-nageur sauveteur. Tous les matins à 9h, il trace ses longueurs dans le grand bassin, avant que les enfants n’envahissent les lieux. Et moi ? Moi je prends toujours mon café en terrasse, juste en face de la piscine. Une habitude qui a pris une toute autre saveur depuis que je l’ai vu pour la première fois, glissant dans l’eau comme une promesse de plaisir.

Ce matin-là, short taille basse, débardeur sans soutien-gorge, j’avais bien l’intention de tester plus qu’une simple baignade.

Je suis arrivée à la piscine avec ma serviette sur l’épaule, un petit sac contenant mes secrets : un flacon d’huile pailletée, un mini sextoy discret, une paire de menottes pour plus tard... si jamais l’envie me prenait. Je sais ce que je veux, et je n’ai jamais été timide.

Il était là, agenouillé au bord du bassin, en train de replacer une bouée. Ses épaules, ses bras, sa nuque… tout en lui appelait la morsure, l’emprise, l’interdit. Je me suis approchée sans faire de bruit, jusqu’à ce qu’il sente ma présence.

– Besoin d’aide pour remettre les choses à leur place ? ai-je lancé avec un sourire en coin.

Il a relevé les yeux vers moi, surpris, puis amusé.

– Seulement si tu veux te mouiller, mademoiselle.

Il ignorait encore combien j’étais déjà trempée... pas d’eau.

Je me suis assise sur le bord du bassin, jambes dans l’eau. Mon débardeur collait un peu à ma poitrine, laissant deviner mes tétons durcis par l’air du matin. Son regard ne s’en détournait pas, même s’il tentait de rester professionnel. J’adore ce jeu-là : provoquer subtilement, capter l’attention, leur faire perdre le fil. Lentement.

– Tu veux que je t’apprenne quelques techniques de nage ? demanda-t-il, le regard franc, mais les yeux qui traînaient sur mon corps.

– Seulement si tu m’enseignes… avec les mains, soufflai-je sans ciller.

Il a laissé un petit silence s’installer, assez pour que l’électricité entre nous devienne presque physique. Puis il a souri et tapoté la surface de l’eau.

– Viens dans l’eau. On verra si tu flottes bien… ou si tu as besoin d’un bon maintien.

Je suis entrée dans le bassin, lentement, laissant l’eau glisser sur ma peau bronzée. Mes cuisses effleuraient la sienne, et je pouvais sentir ce frisson nerveux chez lui, ce mélange d’excitation et de retenue. J’adore ça chez un homme : quand le désir se lit malgré leur volonté de rester sages.

Il m’a attrapée par la taille, franchement, fermement. Ses mains étaient chaudes sous l’eau. Trop proches de mes hanches pour être innocentes. Mon cœur battait plus vite et le moindre contact devenait une caresse en puissance. Je me suis laissée aller contre lui, en flottant presque, le regardant droit dans les yeux.

– Tu fais ça avec toutes les campeuses ?

– Non. Pas celles qui portent ce genre de lingerie sous leur short…

Il venait de glisser ses doigts entre ma taille et l’élastique de mon shorty noir. En dentelle fine. Oui, j’avais choisi exprès une culotte qui suggère plus qu’elle ne cache. De quoi réveiller certaines envies. Je ne portais rien d’autre dessous. Il l’avait senti.

– Je pourrais te faire couler, tu sais, murmura-t-il à mon oreille.

– J’aime être attachée au fond, parfois…

Ses yeux ont viré au noir de désir. Il n’avait pas prévu ça. Moi si. Je suis sortie de la piscine d’un pas lent, affichant mon dos ruisselant, et mes fesses moulées dans le short trempé. Avant de partir, je me suis retournée vers lui.

– Bungalow numéro 27. Viens réparer ma douche, elle fuit. Et moi avec.

Le reste de la journée, je l’ai guetté entre les stores. Il passait, repassait. S’arrêtait parfois. Mais je savais qu’il viendrait. Le soir descendait doucement quand on a frappé à ma porte…

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Sous la ligne de flottaison : ma première nuit avec le maître-nageur du camping

Il était 21h47 quand j’ai ouvert la porte. Léo se tenait là, torse moulé dans un t-shirt blanc semi-transparent, les cheveux encore humides, les mains dans les poches. Sous la lumière chaude du porche, il avait l’air d’un péché prêt à être consommé.

– Tu m’as appelée pour une fuite ? lança-t-il avec ce sourire en coin qui m’avait déjà mouillée le matin même.

– La douche dégouline. Moi aussi, soufflai-je en le laissant entrer.

Il pénétra dans le bungalow d’un pas calme, presque feutré, mais ses yeux trahissaient une tension animale. Je refermai doucement la porte derrière lui tandis qu’il se retournait vers moi. Je portais une nuisette noire en voile fin, fendue jusqu’au haut de la cuisse, sans rien en dessous. Dentelle, transparence, promesse silencieuse.

– Tu ne dors pas encore ? demanda-t-il, son regard glissant de mes hanches à mes seins, libres sous le tissu.

– Je t’attendais. Et je dors rarement habillée…

Je me suis approchée de lui, lentement. Le silence entre nous était tendu de désir brut. Mon doigt a effleuré son bras, glissant jusqu’à son poignet, comme une caresse qui cherche à s’enrouler. Il ne bougeait pas, mais je sentais sa respiration s’accélérer.

– Tu veux voir la douche ? demandai-je avec un sourire.

– Je crois que j’ai trouvé une autre source de fuite, murmura-t-il en posant enfin ses mains sur ma taille.

Il m’attira contre lui, son torse contre mes seins, et m’embrassa. Lentement d’abord, comme pour goûter. Puis plus fort, plus profond. Sa langue dansait avec la mienne, chaude, affamée. Mes mains se glissèrent sous son t-shirt, explorant ses abdos, sa peau salée par le jour. Il le retira d’un geste, révélant ce torse que j’avais tant observé depuis ma terrasse.

Je l’ai poussé vers la petite salle de bain, nos bouches collées, nos corps frottant l’un contre l’autre avec une urgence délicieuse. Je voulais le dévorer. Là, debout, contre le mur.

– Tourne-toi, ordonnai-je doucement.

Il obéit sans un mot. J’adorais cette docilité tendue, cette façon qu’il avait de me laisser prendre le contrôle tout en gardant sa force silencieuse.

Je sortis les menottes de mon sac. Métal froid, cuir noir. Je les passai autour de ses poignets et les fixai à la barre de la douche avec un cliquetis net.

– Tu vas réparer ma fuite comme il faut, dis-je en me glissant derrière lui.

Mes mains caressaient ses flancs, descendirent jusqu’à son short de bain. Je le fis glisser lentement, découvrant ses fesses fermes, sa peau chaude. Il n’avait visiblement rien dessous. Et il était déjà dur.

Je me suis agenouillée derrière lui, mes lèvres effleurant la courbe de sa hanche, puis descendant jusqu’à la naissance de sa verge. Je n’ai pas encore touché. Je voulais qu’il supplie. Qu’il sente l’attente le consumer.

– Tu es tendu, Léo… Tu veux que je t’aide à relâcher la pression ?

– Oui… Putain, oui…

Je me suis levée, me frottant contre lui, mes seins nus pressés dans son dos. Mes mains ont glissé entre ses cuisses, effleurant ses boules, caressant lentement l’intérieur. Il gémit, bas, rauque. Je sentais son membre pulser, prêt à jaillir à la moindre caresse.

Je pris le petit flacon d’huile pailletée et l’ouvris d’un geste. Quelques gouttes sur mes paumes, tiédies au creux de mes mains. Puis je suis revenue vers lui, j’ai enrobé sa queue de mes doigts huilés, la caressant lentement de la base au sommet, en cercles humides et précis.

– Tu fais ça… trop bien, souffla-t-il, la tête contre le carrelage.

Je l’ai relâché, le laissant haleter. Il allait jouir trop vite, et je n’avais pas encore commencé à jouer.

J’ouvris un tiroir et en sortis un petit plug anal en silicone noir, déjà lubrifié. Je me suis penchée contre lui, ma bouche à son oreille.

– Tu veux que je te prenne, Léo ? Que je te remplisse pendant que tu me supplies ?

Il frissonna, grogna presque.

– J’en peux plus… Oui. Prends-moi.

Je caressai lentement son anus, le préparant avec soin. Il se cambrait sous mon toucher, tendu, offert. Quand je glissai le plug en lui, il lâcha un soupir long, profond, presque tremblant.

– Bon garçon… Tu apprends vite.

Je me suis déshabillée entièrement, laissant ma nuisette glisser jusqu’à mes chevilles. Je me suis placée devant lui, ses bras toujours attachés, son regard planté dans le mien, plein de feu.

Je pris le vibromasseur discret que j’avais emporté – noir, fin, puissant – et le posai contre mon clitoris, me caressant lentement tout en le regardant. Il me fixait, hypnotisé, la bouche entrouverte, sa queue dressée contre son ventre.

– Tu veux me lécher ? demandai-je en m’approchant de sa bouche.

– Je rêve que de ça…

Je me suis assise sur le rebord de la baignoire, jambes écartées, et j’ai guidé sa bouche vers moi. Il m’a dégustée comme un homme affamé, sa langue explorant chaque pli, chaque frisson. Mon vibro toujours en main, j’alternais les pressions, les vibrations, mon plaisir montant comme une vague impossible à contenir.

– Léo… plus vite… là… oui…

Je jouis contre sa bouche, mes mains agrippant ses cheveux, mon souffle brisé. Quand je me suis reculée, tremblante, je le regardai, ses lèvres humides de moi, ses yeux brûlants.

– Libère-moi, maintenant… supplia-t-il.

Je défaisais lentement les menottes, savourant la tension dans ses muscles, la bête que j’avais réveillée. Dès que ses mains furent libres, il me plaqua contre le mur, ses lèvres sur les miennes, ses hanches cherchant la mienne.

– À mon tour maintenant…

Il me souleva sans effort, me pénétra d’un coup sec, profond. J’étais déjà trempée, ouverte, offerte. Chaque va-et-vient était une gifle de plaisir, une onde qui me traversait toute entière.

– Tu m’as rendue dingue toute la journée… Tu sais ce que tu fais, hein ?

– Oh oui… Je sais très bien ce que je veux…

Il me posséda contre ce mur, sans retenue, jusqu’à ce que je crie son nom, jusqu’à ce qu’il jouisse en moi dans un râle animal, nos corps collés, haletants, ruisselants.

On resta là, pantelants, nos souffles mêlés, nos peaux brûlantes. Puis il me regarda, un sourire au coin des lèvres.

– Et demain matin, tu reviens nager ?

– Seulement si tu me donnes un cours… en position ventrale.

Il rit, m’embrassa à nouveau. Et je sus que notre été ne faisait que commencer.

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Sous la ligne de flottaison : ma première nuit avec le maître-nageur du camping

Il me plaqua contre le mur carrelé, mes jambes autour de sa taille, sa queue encore palpitante d’envie, glissant contre mes lèvres trempées. Son regard était noir, animal, les muscles de ses bras tendus alors qu’il me tenait fermement.

– Tu veux vraiment sentir ce que c’est que de couler, murmura-t-il en me pénétrant d’un coup sec.

Je haletai, surprise par la force, par la profondeur. Mon dos heurta le mur avec un bruit sourd. Mais je n’avais jamais été aussi vivante.

– Encore… plus fort…

Il obéit. Ses coups de reins étaient précis, puissants, chaque va-et-vient envoyait une onde de plaisir brut jusque dans mes orteils. Mes seins rebondissaient contre son torse chaud, ruisselant de sueur et d’huile. Mes ongles labouraient ses épaules, marquant sa peau comme une signature.

– Tu glisses si bien… putain, t’es trop bonne, souffla-t-il entre deux grognements.

Je sentais mon ventre se contracter, ma gorge s’ouvrir sous les gémissements. Il me pilonnait avec une intensité presque douloureuse, mais je ne voulais rien arrêter.

Il me reposa au sol, m’attrapa par les hanches, me retourna face au miroir. Mes mains s’y posèrent d’instinct. Je vis nos reflets : lui derrière moi, puissant, les muscles tendus, sa queue luisante de moi.

Il me pénétra à nouveau, d’un angle plus profond.

– Regarde-toi… Regarde comme tu es belle quand je te prends.

Je gémis, la tête basculée en arrière, le souffle court. Il m’empoigna par les cheveux, tirant juste assez pour me garder éveillée dans cet orgasme qui montait comme une vague prête à tout emporter.

Ses doigts glissèrent entre mes cuisses, trouvèrent mon clitoris, le frottèrent avec précision. Je criai, incapable de retenir le flot de plaisir qui me déchirait le ventre.

– Oui… Léo… là… continue…

Mon corps se contracta violemment autour de lui. Il grogna, accéléra encore, jusqu’à se figer dans un râle rauque, jouissant en moi, profond, entier, brutal.

Nous restâmes là, collés, haletants, nos corps tremblants, mêlés de sueur, d’huile et de foutre. Mon cœur battait à tout rompre, mes jambes peinaient à me porter.

Il m’embrassa dans le cou, plus tendre cette fois. Sa voix était basse, rauque, presque timide.

– T’es une tempête, toi…

Je souris, les yeux mi-clos.

– Et toi, un très bon nageur. Tu tiens longtemps sous pression.

On rit doucement, encore essoufflés. Il me guida jusqu’au lit, m’allongea sur les draps froissés. Mon corps vibrait encore, hypersensible, vivant.

Il s’allongea à côté de moi, caressant doucement l’intérieur de ma cuisse, puis ma hanche. Un silence agréable s’installa, comme une mer calme après le tumulte.

– Tu dors ici cette nuit ? demandai-je en posant ma tête sur son torse.

– Si tu me gardes attaché, oui.

Je ris doucement, traçant du bout du doigt les lignes de ses abdos.

– J’ai encore quelques accessoires dans mon sac…

Il me regarda avec un air de défi tendre.

– Et demain matin ? On recommence dans la piscine ?

– Seulement si tu acceptes de porter un plug anal pendant tout ton cours de natation.

Il sourit, visiblement tenté.

– Tu vas me rendre accro, toi.

Je le regardai, les yeux brillants.

– C’est déjà fait.


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``` Title:Nuit Sensuelle avec le Maître-Nageur au Camping Description:Sous un ciel étoilé, une rencontre brûlante avec le maître-nageur promet des plaisirs inoubliables et des secrets à découvrir.
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