
Le String de la Tentation
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Son string me rendait fou
Le bureau était calme, presque trop pour un jeudi soir. Les néons au plafond vibraient doucement, jetant une lumière froide sur les dossiers épars et les écrans en veille. Tout le monde était parti depuis longtemps. Sauf elle. Sauf moi.
Je n’avais pas prévu de rester non plus, mais un simple message avait suffi à me faire changer d’avis :
« Si tu restes un peu ce soir… je te montrerai ce que je porte sous ma jupe. »
Je l’avais relu au moins dix fois, incapable de reprendre ma respiration. Elle maîtrisait l’art du fantasme avec une précision exaspérante, presque cruelle. Chaque mot était calibré pour réveiller ce qui sommeillait en moi depuis des semaines. Depuis qu'elle avait été engagée, en vérité.
Camille. Vingt-huit ans. Responsable marketing. Une présence magnétique, plus intense que n’importe quelle stratégie sur laquelle elle travaillait. Elle arrivait toujours en robe ou en tailleur un peu trop cintré. Et sa manière de marcher… Je l'avais remarqué dès le premier jour : ce léger déhanchement, comme si elle savait que chaque pas était une promesse. Son parfum laissait des traces sur les fauteuils, dans l’air... dans mon corps.
Et ce soir, il n’y avait plus personne pour faire semblant. Plus de réunions. Plus d’excuses. Juste elle. Et moi.
Elle entra dans mon bureau sans frapper. Comme à son habitude. Talons noirs, jupe crayon, blouse entrouverte. Ses cheveux bruns étaient relevés en un chignon lâche, quelques mèches folles caressant sa nuque nue. Elle ferma la porte derrière elle. Lentement.
Je levai les yeux, retenant ma respiration.
– Tu travailles encore ? demanda-t-elle innocemment, tout en s’approchant.
– J’attendais un message…, répondis-je, la voix plus grave que je l’aurais voulu.
Elle sourit, satisfaite de l’effet. Elle savait. Elle savait parfaitement.
– Et tu l’as reçu, ce message ?
– Oui.
– Alors… tu veux voir ?
Elle était là, debout devant moi, à moins d’un mètre. Je voyais le mouvement lent de sa poitrine sous sa blouse, le frémissement subtil de ses doigts jouant avec le bouton de sa jupe.
Je la fixais, hypnotisé.
– Qu’est-ce que tu portes, Camille ?
Elle ne répondit pas tout de suite. Elle se contenta de tourner légèrement, offrant la courbe parfaite de sa hanche à ma vue, et abaissa, doucement, sa jupe sur ses hanches. Pas complètement. Juste assez pour révéler le début d’un string noir. Une dentelle fine. Luxueuse. Un fil ténu entre ses fesses, tendu comme un mirage. J'avais du mal à avaler ma salive.
Mon cœur battait trop vite.
– Tu aimes ? murmura-t-elle, en relevant les yeux vers moi.
– Tu n’imagines pas à quel point.
Je me levai sans réfléchir. Mon corps avait répondu avant mon esprit. Mes mains frôlèrent le bois du bureau, prêtes à la rejoindre, mais elle recula d’un pas, espiègle.
– Pas encore, souffla-t-elle.
Elle remit sa jupe en place, lentement, s’assit dans le fauteuil juste en face du mien, croisa les jambes. Ce mouvement seul fit remonter le tissu sur ses cuisses. Elle savait ce qu’elle faisait. Et j’étais à la limite de la décence.
– Tu sais que tu joues avec le feu, Camille ?
– C’est ce que j’aime le plus. Quand ça brûle un peu…
Elle sortit quelque chose de sa poche. Un petit plug anal, en métal rosé, orné d’un bijou en verre noir au bout. Je sentis mon ventre se contracter instantanément.
– Tu connais cet accessoire ? demanda-t-elle, moqueuse.
– Oui. Très bien.
Elle le posa sur mon bureau, lentement, comme un objet sacré. Puis elle s’adossa dans le fauteuil, observa ma réaction, savoura mon silence tendu.
– Et si je te disais… que je le porte déjà ?
Un frisson me parcourut. Léger, glacé, implacable.
Elle s’humecta les lèvres. Ses yeux brillaient d’un éclat trouble.
– Tu fantasmes souvent sur moi, non ?
– Tout le temps, avouai-je, la voix plus rauque que jamais.
– Et… tu me vois comment ?
Je pris une inspiration lente, maîtrisée. Elle voulait l’entendre. Elle voulait que je le dise. Que je formule mon désir. Mon besoin. Mon obsession.
– Je te vois contre une vitre, cambrée, ton string enlevé d’un seul doigt, ton dos marqué par la trace de mes mains…
Elle ferma les yeux une seconde, comme si ces mots s’imprimaient directement sur sa peau.
– Continue.
Je m’approchai du bord du bureau. Nos genoux se frôlèrent. Je pouvais sentir la chaleur de son entrejambe, même à travers les vêtements. Ce string… ce fichu bout de tissu était devenu un symbole. Une provocation. Un déclencheur.
– Je te vois accrochée aux menottes que je garde dans le tiroir du bas. Ton souffle court. Tes jambes tremblantes. Et ce plug… vibrant sous mes ordres.
Un frisson la parcourut. Je le vis, clairement. Le micro-tressaillement de ses cuisses, le souffle retenu, le rouge léger qui montait jusqu’à ses pommettes.
– Je crois que tu me rends folle aussi, murmura-t-elle.
Je tendis ma main pour effleurer sa joue. Elle se laissa faire. Elle ferma les yeux, bascula légèrement la tête, offrit sa gorge. Mon pouce effleura lentement la ligne fine de sa mâchoire.
– Et ce string… ce n’est que le début, n’est-ce pas ?
Elle rouvrit les yeux. Un éclair de défi pur brillait dans ses prunelles.
– Tu n’as encore rien vu.
Au fond du couloir, un néon clignota. La nuit s’était installée sans prévenir. Dehors, Paris semblait figée. Dedans, tout bouillonnait. Elle, moi, cette tension suspendue comme une gifle qui allait enfin s’abattre.
Et ce simple bout de dentelle… ce string noir… était devenu le fil qui allait peut-être tout faire basculer.
Plus tard, quand je repenserais à tout cela, à cette première nuit, je saurais exactement le moment où j’avais perdu pied : le moment où elle avait descendu sa jupe, juste assez pour me montrer l’interdit. Pour allumer l’histoire.
Notre histoire.
```htmlSon string me rendait fou
Un silence tendu régnait dans le bureau, comme suspendu entre deux battements de cœur. Camille s’était adossée dans le fauteuil, les jambes croisées, le regard planté dans le mien. Elle jouait avec une mèche de ses cheveux, nonchalamment, mais je sentais dans son immobilité quelque chose de profondément maîtrisé. Comme une lionne sur le point de bondir.
Je me levai lentement, contournai le bureau. Elle ne bougea pas, mais je vis ses doigts se crisper légèrement sur l'accoudoir. Elle aimait ce jeu autant que moi. Ce délice cruel de se frôler sans se toucher. Ce moment suspendu où chaque seconde de plus frise l’obsession.
Je m’agenouillai devant elle. Ses genoux étaient toujours croisés, mais je pouvais voir, juste là, la ligne noire de son string, tendue sous le revers de sa jupe remontée.
– Tu n’as pas idée de ce que tu me fais, Camille…
Elle pencha la tête sur le côté, ses lèvres à peine ouvertes.
– Si. J’en ai une très nette idée.
Elle écarta lentement les jambes. Pas entièrement. Juste assez pour m’offrir une vision délicieuse : le triangle parfait de dentelle fine, tendu sur sa peau chaude. Un string noir, presque transparent, qui ne cachait rien, au contraire. Il soulignait. Il accentuait.
Je me mordis l’intérieur de la joue pour ne pas gémir.
– Ce string me rend fou, murmurai-je.
– C’est pour ça que je l’ai mis.
Elle se pencha légèrement vers moi, attrapa ma cravate, la remonta lentement jusqu’à ce que mon visage soit à quelques centimètres du sien.
– Regarde ce que tu me fais, toi aussi.
Sa voix vibrait, chargée de tension. Mon regard descendit doucement vers sa poitrine, que la blouse ne couvrait plus vraiment. Je distinguais le galbe d’un sein, le bord d’un soutien-gorge assorti au string. Un ensemble pensé, choisi pour ce soir. Pour moi.
– Je veux que tu me dises ce que tu ressens, dit-elle doucement.
Je fermai les yeux une seconde, submergé par une vague de chaleur.
– J’ai envie de te goûter. De te lécher à travers ce string. De sentir la dentelle humide sur ma langue. De t’entendre gémir quand je passerai ma bouche sur ton sexe sans jamais l’enlever.
Elle gémit très légèrement, un souffle rauque, presque inaudible. Mais je l’avais entendu.
– Et après ?
– Après, je t’attache.
Elle sourit, les pupilles dilatées.
– Avec quoi ?
Je me relevai lentement, attrapai le tiroir du bas, celui qu’elle avait évoqué plus tôt. J’en sortis les menottes en cuir noir. Elles claquèrent doucement sur le bois du bureau. Camille les regarda comme on regarde une offrande.
– Tu les gardes vraiment là ?
– Toujours. Pour toi.
Elle se leva à son tour, se plaça dos au bureau, les mains posées sur le rebord.
– Attache-moi, alors.
Je fis lentement le tour, mes mains effleurant ses bras, ses poignets. Je caressai sa peau avant d’enserrer ses poignets dans les menottes. Le cliquetis des fermoirs résonna comme une incantation.
Elle étouffa un soupir quand je resserrai un peu les liens. Je sentais sa respiration s’accélérer. Ses paupières étaient mi-closes. Son parfum m’enveloppait, entêtant, mêlé à l’odeur du cuir et de l’envie.
Je me penchai contre son oreille.
– Tu es si belle attachée...
– Et si offerte, répondit-elle dans un souffle.
Je descendis mes mains le long de ses hanches, jusqu’à sa jupe. Je la retroussai doucement, révélant à nouveau ce string noir, ce fantasme vivant. Je caressai ses fesses, lentes, fermes, et sentis sous mes doigts le bijou du plug anal, déjà en place.
– Tu ne mentais pas…
– Jamais sur ce genre de choses.
Je fis glisser un doigt le long de la ficelle du string, la tendant doucement, la faisant claquer légèrement contre sa peau. Elle sursauta, un gémissement discret échappa de ses lèvres.
– Tu aimes quand ça claque, hein ?
– J’adore quand tu prends ton temps.
Je posai mes lèvres sur sa nuque, l’embrassai doucement, puis plus bas, entre ses omoplates, descendant lentement vers la cambrure de son dos. Mon souffle chaud contre sa peau déclencha une série de frissons visibles.
Je passai mes doigts entre ses cuisses, à travers la dentelle. Elle était trempée.
– Tu es déjà si mouillée…
– C’est ce string… et ta voix… et tes mains…
Je caressai lentement ses lèvres intimes à travers le tissu, alternant pression et douceur. Chaque mouvement faisait vibrer le plug, chaque frôlement la faisait gémir davantage.
– Tu réalises à quel point tu es excitante ?
– Et toi, tu réalises que je suis au bord de l’implosion ?
Je fis glisser le string de côté, lentement, juste assez pour découvrir ses lèvres gonflées, brillantes de désir. Mais je ne la touchai pas. Pas directement. Pas encore.
– Tu veux que je te pénètre ?
– Non… pas tout de suite. Continue comme ça. J’aime quand tu me fais attendre.
Je me redressai, passai mes mains sous sa blouse, caressai ses seins à travers la dentelle du soutien-gorge. Ses tétons étaient durs, pointés, suppliants.
– Tu es à moi ce soir, Camille.
– Je suis à toi depuis le premier jour…
Je l’embrassai enfin. Profondément. Avec cette faim que je retenais depuis si longtemps. Elle répondit avec la même intensité, se frottant contre moi, les menottes la maintenant offerte, tendue, vulnérable et puissante à la fois.
Je me reculai, haletant, les mains tremblantes d’envie.
– Tu veux le vibromasseur maintenant ?
Elle rit, presque méchamment.
– Ce serait cruel de me priver, non ?
Je sortis l’objet de mon tiroir. Un petit modèle en silicone, silencieux, précis. Je le posai contre son clitoris, à travers la dentelle, et l’allumai. Elle s’arqua aussitôt, un cri étouffé au creux de la gorge.
Je maintenais une pression légère mais constante, observant la manière dont son corps réagissait. Ses muscles se tendaient, ses jambes tremblaient légèrement, ses mains se crispaient dans les menottes.
– Dis-moi ce que tu ressens.
– C’est… brûlant… c’est trop bon…
– Tu veux jouir ?
– Oui… non… attends…
Je réduisis l’intensité du vibromasseur, la maintenant juste en dessous du point de non-retour. Elle gémit de frustration, se cambra davantage.
– Tu es diabolique.
– Je veux que tu t’en souviennes. Que ce string devienne ton obsession…
– C’est déjà fait…
Je stoppai le vibromasseur. Un gémissement de protestation s’échappa d’elle. Je l’embrassai dans le cou, la mordillant légèrement.
– Ce n’est que le début, Camille.
– Alors fais-moi attendre encore. Mais ne t’arrête pas. Pas maintenant.
Je reculai d’un pas, l’observant attachée au bureau, la jupe remontée, le string écarté, le plug brillant dans l’ombre, ses cuisses ouvertes, ses lèvres humides, sa peau frissonnante.
Et je sus que je n’oublierais jamais cette image. Jamais.
Ce n’était plus un simple fantasme. C’était une scène gravée dans ma chair. Une histoire de string, de pouvoir, de désir retenu… et de promesses non tenues.
Pour l’instant.
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Je fis à nouveau glisser la dentelle humide sur le côté, révélant ses lèvres luisantes d’envie. Mon souffle effleurait son intimité. Elle frissonna, tendue entre anticipation et abandon.
– Ne t’arrête plus… souffla-t-elle, la voix cassée par le désir.
Je posai ma langue contre elle, doucement. Juste un effleurement. Puis un autre. À travers la pulpe, je sentais chaque vibration du plug anal vibrant qu’elle portait encore, comme une promesse intérieure. Elle gémit, bas, rauque, presque douloureux.
Je léchai lentement, savourant le goût salé de sa peau, le soupir qu’elle tentait d’étouffer. Ma langue traçait des cercles autour de son clitoris, jamais tout à fait dessus. Je la tenais entre mes mains, offerte, attachée, et délicieusement à ma merci.
Ses hanches ondulaient contre ma bouche, ses poignets tiraient sur les menottes en cuir. Le bureau grinçait à peine sous ses mouvements, mais le son suffisait à faire monter la tension encore.
– Je… je ne vais pas tenir…
Je fis glisser deux doigts en elle, lentement, profondément. Et cette fois, je plaçai ma bouche exactement là où elle en avait besoin. Elle se cambra violemment, son cri résonna contre les murs vides du bureau.
Son orgasme la traversa comme une vague. Longue. Sinueuse. Son corps tout entier se tendit, puis se relâcha par vagues tremblantes. Ses cuisses se crispèrent autour de ma tête, et je restai là, à la tenir, la soutenir, l’engloutir jusqu’à la dernière secousse.
Ses cheveux s’échappaient de son chignon, ses joues étaient rouges, ses lèvres entrouvertes. Sublime. Dévastée. Vivante.
Je me redressai, essuyai doucement ma bouche du revers de la main. Elle releva les yeux vers moi, encore flous de plaisir.
– Tu m’as vidée…
– Et pourtant, j’ai à peine commencé.
Je déverrouillai lentement les menottes. Elle massa ses poignets, puis me prit la main et la porta à ses lèvres. Un baiser. Lent. Profond. Remerciement silencieux. Invitation muette.
Elle remit sa jupe, sans culotte. Le string était resté sur le bureau, détendu, humide, comme un trophée oublié dans la bataille.
– Tu vas le garder ? demanda-t-elle, espiègle.
– Il est à moi maintenant.
Elle sourit, se rhabilla lentement, sans pudeur. Chaque geste semblait dire : « Tu pourras me déshabiller encore. Et encore. »
Je m’approchai, passai mes bras autour de sa taille.
– Tu dors ici ce soir ?
– Non. Mais je reviendrai demain. Même heure. Même jupe. Peut-être un autre string…
Elle me lança un clin d’œil, puis sortit sans un bruit, laissant derrière elle son parfum, son empreinte, et ce fantasme devenu réel.
Je m’assis, encore essoufflé. Le string noir trônait sur mon bureau. Provocant. Chargé. Vivant.
Je sus que, désormais, chaque jeudi soir aurait un goût de promesse. Et que ce simple morceau de dentelle serait mon obsession. Mon talisman. Mon histoire.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr