Image représentant une femme séduisante dans un maillot de bain noir, tentant d'attirer l'attention du maître-nageur du camping alors qu'elle se prépare à flirter et à briser les règles.

Camping Fantasies Ignite Desire

Ma Séduction Mouillée : Comment j'ai dragué le maître-nageur du camping

Chaque été, je me dis que c’est la dernière fois que je viens dans ce camping. Mais il y a quelque chose dans l’air du sud, la chaleur, le sel, les corps dénudés… quelque chose qui m’appelle. Cette année, pourtant, le vrai danger ne venait ni du soleil ni des mojitos. Non. Il portait un short rouge, un sifflet suspendu sur un torse satiné par le chlore, et des lunettes de soleil qu’il ne quittait jamais, même à l’ombre.

Il s’appelait Lucas. Et dès que je l’ai vu, assis au bord du bassin olympique, je n’ai plus pensé qu’à une chose : le faire glisser entre mes cuisses.

Je suis arrivée ce matin-là avec mon bikini préféré : noir, minimaliste, si fin qu’il fallait presque l’arracher du regard pour voir la ligne exacte de mon bronzage. Ma culotte était un triangle audacieux, et mon haut tenait plus de la suggestion que de la protection anti-UV. Je portais aussi mon pareo fendu, celui qui laisse entrevoir le galbe de mes hanches à chaque pas.

Je suis entrée dans l’eau avec lenteur, très consciente de sa présence au-dessus de moi. Ses lunettes reflétaient le soleil, mais je sentais son regard suivre chaque mouvement de mes épaules. J’ai nagé deux longueurs, la poitrine en avant, puis je suis sortie en secouant mes cheveux comme dans une pub pour gel douche. Une goutte a glissé entre mes seins. Il m’a offert un sourire poli.

– L’eau est bonne ? m’a-t-il lancé, la voix grave et douce à la fois.

– Très. Mais je préfère quand elle devient plus chaude… soufflai-je, un sourire en coin.

J’ai adoré le léger mouvement de ses lèvres, cette hésitation d’homme qui sait qu’il est regardé, mais qui ne veut pas tomber dans le piège trop vite.

Je me suis allongée sur mon transat, jambes croisées, laissant ma serviette glisser juste ce qu’il faut pour exposer la naissance de mes fesses. Dans mon sac, j’avais discrètement glissé un petit vibromasseur rose waterproof, un sextoy discret que je n’utilisais jamais sans une bonne excuse. Et croyez-moi, j’en avais une excellente.

Je savais qu’au fond de la piscine, il y avait souvent peu de monde vers midi. J’avais tout prévu : un passage "accidentel" sous la douche extérieure, un petit massage de crème sur mes cuisses que je ferais durer un peu trop longtemps, et surtout, des regards. Beaucoup de regards.

– Tu viens souvent ici ? demanda-t-il en s’approchant, faux détachement, vraie envie dans la voix.

– Tous les étés. Mais je crois que c’est la première fois que j’ai envie d’apprendre à nager correctement… au fond de la piscine, avec un bon professeur.

Il a baissé ses lunettes un court instant. Ses yeux ont plongé dans les miens. Il n’a rien répondu. Mais son regard m’a fait frissonner jusqu’au creux du ventre.

Il est reparti, sifflotant, comme si de rien n’était. Mais ses doigts ont effleuré légèrement ma hanche en passant près de moi. Un geste infime. Chargé. J’en suis restée haletante.

Alors j’ai attendu. Et quand l’heure creuse est arrivée, je me suis levée, comme hypnotisée, direction la piscine annexe. Là où il n’y avait souvent personne. J’ai plongé, seule… ou presque.

Quelques minutes plus tard, j’ai senti les remous derrière moi. Il m’avait suivie.

– Tu voulais un cours particulier ? demanda-t-il en me rejoignant, torse nu, torride.

– Ça dépend… Est-ce que tu proposes aussi des options plus… sensorielles ?

Je me suis approchée de lui, à quelques centimètres. L’eau entre nous était chaude, mais pas autant que la tension électrique qui vibrait dans mon bas-ventre. J’ai doucement remonté mes mains sur ses bras, humides, musclés. Il n’a pas reculé. Mais il attendait. Attisait.

Alors j’ai glissé ma bouche tout près de son oreille.

– Et si je te disais que je ne porte rien sous ce bikini… rien pour m’arrêter si tu avais envie de m’explorer ?

Son souffle s’est accéléré. Lentement, il a passé son doigt sur mon ventre, descendant vers le bord de ma culotte.

– Si tu continues… tu vas me faire rompre toutes les règles du camping.

– Et si moi, j’aime les règles… juste pour le plaisir de les briser ?

Je l’ai pris par la main sous l’eau. Guidé. Mon cœur battait comme un tambourin. Lui, impassible, dominant savamment son excitation derrière ses lunettes opaques. Mais je sentais sa main trembler légèrement. Comme s’il se retenait de tout arracher.

Ce n'était que le début. J'avais ma lingerie préférée, bien roulée dans mon sac de plage. Une culotte en dentelle échancrée et un bustier en satin noir, que j’avais bien l’intention de porter rien que pour lui… dans un endroit très privé du camping.

Je souriais déjà à l’idée de ce qui allait suivre. Car une femme bien décidée, moulée dans la peau salée de l’été, peut vite transformer un maître-nageur en jouet… ou en amant à genoux.


Sous la surface : Comment j'ai séduit le maître-nageur du camping

L’eau tiède me caressait la peau comme une promesse. Il était là, à moins d’un mètre, ses bras croisés sur le bord du bassin, torse dégoulinant, et ce sourire à peine esquissé qui me retournait le ventre.

Je me suis approchée à petits mouvements de brasse, lents, sensuels. Mon bikini noir plaquait mes seins contre ma poitrine, laissaient deviner leur fermeté à travers les éclats mouillés du tissu. Je savais qu’il regardait. Il ne pouvait pas faire autrement.

– Tu comptes vraiment m’apprendre à nager ou juste me regarder couler ?

Il a souri, penché légèrement la tête. Son regard, dissimulé derrière ses lunettes de soleil, semblait me déshabiller plus que mes propres mains n’auraient pu le faire.

– Ça dépend de toi. Tu préfères la brasse… ou les jeux plus profonds ?

Je me suis mordue la lèvre. Un frisson m’a traversée. Mon cœur cognait contre mes côtes. Le camping était presque désert à cette heure-là. Un couple au loin, des enfants à la pataugeoire… mais ici, dans cette piscine isolée, nous étions seuls. Seuls avec nos désirs à peine contenus.

Je me suis glissée entre ses jambes, l’eau ondulant autour de mes hanches. Mon pied a caressé l’intérieur de sa cuisse sous la surface. Sa respiration s’est modifiée. À peine perceptible. Mais je l’ai senti, dans la tension de ses bras, dans le mouvement léger de son bassin contre le bord.

– Tu sais, j’ai une théorie, soufflai-je tout contre son oreille,

– Ah oui ?

– Que les maîtres-nageurs sont les meilleurs amants. Endurance, souplesse, respiration maîtrisée…

– Et tu comptes tester cette théorie ?

– Tout de suite.

Je l’ai attrapé par le sifflet qu’il portait encore autour du cou. Lentement, j’ai tiré, l’obligeant à se pencher vers moi. Ma bouche s’est posée juste au coin de ses lèvres, effleurante, agaçante. Il ne bougeait pas. Mais je sentais la tension dans tout son corps. Le désir contenu. L’envie presque douloureuse.

Et moi… j’étais trempée. Mais pas que par la piscine.

J’ai remonté ma main sous l’eau, glissant mes doigts vers le haut de sa cuisse. Il a tressailli quand j’ai trouvé la bosse dure sous son short rouge.

– Tu es… bien équipé pour un sauveteur, murmurai-je en refermant ma paume contre son sexe.

– Et toi… dangereusement provocante pour une simple vacancière.

Je l’ai senti durcir davantage sous ma main. J’ai bougé lentement mes doigts, massant, explorant. L’eau masquait nos gestes, mais l’électricité entre nous était brûlante.

– Viens, lui dis-je. Je veux te montrer quelque chose.

Je suis sortie de la piscine, ruisselante. Mon bikini collait à ma peau, soulignant chaque courbe, chaque frisson. Je me suis tournée vers lui, ma main tendue. Il l’a saisie. Et ensemble, nous avons contourné le bassin jusqu’au local technique, à peine entrouvert. Personne ne viendrait ici. Pas maintenant.

À l’intérieur, il faisait chaud. Une odeur de chlore, de plastique mouillé. J’ai refermé la porte doucement derrière nous. Dans le silence, nos souffles se mêlaient déjà.

– Allonge-toi là, ordonnai-je, en désignant une chaise longue pliante contre le mur.

Il a hésité une seconde. Puis il a obéi. Son torse luisait de gouttes. J’ai tiré lentement sur le cordon de son short. Le tissu a glissé, lentement, révélant son sexe dressé, puissant. Il me dévorait des yeux.

– Tu veux jouer ? soufflai-je en sortant de mon sac une petite trousse zippée.

Je l’ai ouverte devant lui, lentement. À l’intérieur : un petit vibromasseur waterproof, rose pâle. Un lubrifiant à base d’eau. Et une paire de menottes en velours noir. Il a haussé un sourcil.

– Tu viens toujours aussi bien équipée à la piscine ?

– Seulement quand le maître-nageur vaut qu’on prenne des risques.

Je l’ai chevauché, mes genoux de chaque côté de ses hanches. Mon bikini était toujours en place, mais mon sexe, lui, était prêt. Trempé. Palpitant. Je me suis penchée, ai léché lentement son torse salé, jusqu’à son nombril. Puis je me suis redressée pour détacher mon haut d’un geste.

Mes seins sont tombés libres, fiers, rosés. Il a voulu les toucher. J’ai saisi ses poignets et l’ai attaché avec les menottes aux accoudoirs de la chaise.

– Ce soir, c’est moi qui donne les règles, mon beau sauveteur.

Il a grogné doucement, un sourire au bord des lèvres. Je l’ai récompensé en frottant mon bassin contre son sexe, encore enfermé dans ma culotte trempée. Un long va-et-vient, lent, torride.

– Tu sens ça ? demandai-je en me penchant.

– Mmmh… Oui. Tu es brûlante.

– Et encore… tu n’as rien vu.

J’ai glissé ma main entre mes cuisses, écartant le tissu pour frotter mon clitoris du bout des doigts. Il me regardait, fasciné. Je gémissais doucement, le regard planté dans le sien. Puis j’ai pris le petit vibro, l’ai allumé. Un vrombissement discret a envahi la pièce.

Je l’ai posé contre son gland, doucement, le regardant se cambrer. Il a fermé les yeux. J’ai joué, lente, taquine. Puis j’ai glissé mes doigts contre mon entrejambe, lubrifiant l’extrémité du sextoy avant de le glisser en moi, lentement… très lentement.

– Tu veux me voir jouir ? demandai-je, haletante.

– Bordel… oui.

Je me suis redressée, ai retiré ma culotte d’un coup sec. Nue, offerte, je me suis empalée sur lui d’un seul mouvement. Il a gémi. Moi aussi. Mon sexe l’a accueilli comme une vague chaude et serrée. Je l’ai pris en moi avec une lenteur calculée, contrôlée, dominante.

– Tu es à moi, Lucas. Jusqu’à la dernière goutte.

Mes hanches ont commencé leur danse. Une oscillation précise, profonde, rythmée. Lui, attaché, ne pouvait que subir. Et il adorait ça. Ses muscles se tendaient, son regard brûlait. Je le montais avec autorité, jouant encore avec le vibro contre mon clitoris.

Un orgasme fulgurant a traversé mon ventre. J’ai crié, sentant la vague m’emporter. Lui, crispé sous moi, a joui dans un râle étouffé, son sexe vibrant en moi jusqu’à la dernière pulsation.

Je suis restée là, quelques secondes, haletante, tremblante, le regard plongé dans le sien. Puis j’ai souri.

– Et dire que j’ai encore toute une semaine de camping devant moi…

Je l’ai détaché doucement. Il m’a attirée contre lui, m’embrassant cette fois sans retenue. Sa langue était chaude, affamée. Et la mienne… déjà prête pour la prochaine leçon.

La suite, je la voulais dans sa cabine, avec plus de jouets, de jeux… et ma lingerie préférée. Celle en satin, avec les bas porte-jarretelles. Le camping n’avait pas fini de transpirer.

Je sentais encore son sexe palpitant en moi, profondément ancré, alors que je reprenais le contrôle de mes mouvements. Mes cuisses contractées, mes reins cambrés, je le chevauchais avec une lenteur calculée, presque cruelle. Chaque va-et-vient était une caresse brûlante, une provocation, un supplice délicieux pour lui… et pour moi.

Je me penchai légèrement, mes seins frôlant son torse humide, et murmurai contre sa bouche :

– Tu veux que je jouisse encore, Lucas ?

– Oui… je veux te sentir t’effondrer sur moi…

Je souris, féline, avant d’attraper le vibro du bout des doigts, encore chaud de mon plaisir précédent. Je le rallumai, l’effleurai contre mon clitoris, tout en continuant à onduler sur lui, plus vite maintenant, plus fort. Sa tête se renversa contre le dossier de la chaise, ses poignets toujours attachés, impuissants, mais terriblement excités.

– Regarde-moi, ordonnai-je d’une voix rauque.

Il obéit. Ses yeux plongèrent dans les miens, avides, soumis. Je vibrais entre ses cuisses, le plug anal que j’avais discrètement glissé en moi avant de venir ajoutait une pression délicieuse, me rendant folle de sensations.

Ma main libre s’était refermée sur sa gorge, juste assez fermement pour qu’il sente ma domination, mais pas assez pour lui faire peur. Il haletait sous moi, les muscles tendus, au bord de l’explosion.

– Tu es à moi, soufflai-je. Mon jouet, mon maître-nageur privé…

Je sentis mon orgasme monter comme une vague furieuse. Mon ventre se contracta, mes hanches se figèrent un instant… puis je gémis, fort, sans retenue, alors que la décharge m’éclatait de l’intérieur. Mon sexe se serra autour du sien, l’aspirant encore plus profondément.

Il ne résista pas. Dans un râle rauque, il jouit à son tour, sa chaleur se déversant en moi, son corps secoué de spasmes puissants. Je le sentis trembler sous mes mains, incapable de bouger, de fuir, seulement capable de m’offrir tout ce qu’il avait.

Le silence s’installa. Juste nos souffles saccadés, nos corps collés, ruisselants d’un mélange de sueur, de chlore… et de plaisir.


Je me redressai lentement, mes cuisses encore tremblantes. Je défis les menottes, caressant ses poignets marqués. Il me regardait avec ce mélange d’admiration et de désir brut que j’adorais provoquer chez un homme.

– Je crois que tu viens de battre tous mes records, souffla-t-il en souriant.

– C’est drôle… je n’ai même pas encore sorti les bas porte-jarretelles, répondis-je, espiègle.

Il rit doucement, puis m’attira contre lui, son torse encore chaud contre ma poitrine nue.

– Tu comptes revenir demain ?

– Demain… et tous les soirs de la semaine. J’ai encore quelques fantasmes à tester ici. Et toi, quelques règles à enfreindre.

Je l’embrassai tendrement, cette fois. Sans jeu. Juste une promesse. Une saveur douce sur sa langue salée. Puis je me levai, cherchai ma lingerie dans mon sac : le bustier en satin noir, la culotte assortie, les bas à jarretelles. Je les posai sur la chaise, lentement, sans rien dire.

– Tu sauras quoi faire de ça… pour notre prochain entraînement.

Je quittai la pièce sans me retourner, nue, fière, encore frémissante. Le soleil du soir chauffait ma peau. Et déjà, je pensais à demain… et à la manière dont je comptais faire de ce local technique… mon nouveau terrain de jeu BDSM personnel.


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