
Sous la surface : Comment j'ai séduit le maître-nageur du camping
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Sous la surface : Comment j'ai séduit le maître-nageur du camping
Le vacarme des enfants dans la piscine disparaissait sous le chant sourd des cigales. Il était à peine seize heures mais l’air brûlait déjà ma peau, poisseuse de crème solaire et de désirs inavoués. Je déboutonnais lentement ma robe housse, révélant mon maillot une pièce noir, parfaitement moulé, une coupe rétro juste assez échancrée pour laisser deviner mes hanches — et ce que j'avais prévu en dessous.
C’était la quatrième fois que je venais au bord de cette piscine municipale depuis le début du séjour. Pas que j’avais particulièrement envie de nager. Non. Mon objectif était ailleurs. Il ajustait ses lunettes de soleil au coin du bassin, peau dorée par le soleil, torse nu, sifflet rouge pendu à son cou musclé. Lui, c’était Hugo. Le maître-nageur du camping.
Il avait ce regard de prédateur calme, sûr de lui, qui observait sans insistance mais ne manquait rien. J'avais remarqué qu'il m'avait vue. Chaque jour un peu plus longtemps. Chaque jour, un peu plus bas, ses yeux s’arrêtaient.
Je m’approchais du bord, plongeais avec lenteur. L'eau fraîche me saisit et je fis quelques longueurs, juste assez pour faire onduler mon corps devant lui. Il ne bougeait pas, mais il me regardait.
Quand je sortis de l’eau, je pris soin de remonter lentement l’échelle, cambrant les reins, laissant dégouliner les gouttes sur mes jambes brillantes. Je sentais son regard glisser sur mon dos, ma nuque, et s’attarder là où la courbe devenait plus marquée. Une coulée tiède d'envie s'épanouissait doucement entre mes cuisses.
J’attrapai ma serviette et m’installai à quelques mètres de sa chaise alta. Je jouais à faire semblant. Lisant un roman que je ne lisais pas. Croisant et décroisant les jambes. Mon maillot était à peine entrouvert à l’entrejambe — volontairement. En dessous, un petit plug anal en silicone rose pâle me rappelait ma position de soumise aguicheuse.
Je le portais depuis ce matin. J’adorais l’idée qu’il soit là, discret, glissé en moi comme un secret sale, tandis que je me promenais dans les allées du camping, que je saluais des familles sans qu’elles n’aient la moindre idée de ce qui m’échauffait. Ce genre d’accessoire fétichiste me faisaient me sentir puissante dans mon propre désir.
Hugo descendit enfin de son perchoir. Il marchait lentement, avec cette démarche souple des hommes qui savent qu’ils plaisent.
– Vous nagez bien, dit-il en s'essuyant les mains avec sa serviette bordée de bleu.
Je levai les yeux vers lui, mon regard plus audacieux que ma voix :
– Merci... Mais c’est plus agréable quand on se sent observée.
Son regard descendit sur ma poitrine, sans se presser, mais sans gêne non plus.
– Vous savez que le maillot est réglementaire ici ?
– Bien sûr... Mais j’ai toujours aimé flirter avec les limites.
Il s’installa à côté de moi, à moins d’un mètre. L’air vibrait. J'avais chaud. Partout.
– Et... les accessoires ? Ça aussi, c’est dans le règlement ? demanda-t-il à voix basse, les yeux rivés sur mes reins.
Je fronçai les sourcils. Il savait. Il avait vu. Ou deviné. Cette tension douce entre l’humiliation excitante et l’envie dévorante me fit frissonner.
– Peut-être que j’aime les règles, mais que j’adore encore plus les briser, soufflai-je.
Il se pencha vers moi. On était désormais dans notre bulle. Les cris d’enfants, les bruits ambiants, tout devenait flou. Il y avait juste son regard, et mon ventre noué de désir.
– Ce soir, à vingt-trois heures. Piscine fermée. Dernière porte à droite derrière le local technique.
Il se releva, me lança un dernier regard, puis repartit comme s’il ne s’était rien passé. Mais mon cœur tapait contre ma poitrine. J’étais déjà trempée. Et ce n’était pas à cause de la piscine.
Je mordillai ma lèvre. Le soleil descendait. Et moi, je n'avais qu'une seule pensée : quelle lingerie choisir pour ce rendez-vous interdit ?
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Vingt-trois heures tapantes. La lune dessinait des reflets laiteux sur l’eau calme de la piscine. J'avais enfilé une robe légère, fluide, sans rien dessous. Pas de culotte. Pas de soutien-gorge. Juste ma peau, douce, tendue, préparée. Et en moi… toujours ce plug anal rose, glissé profondément depuis l’après-midi. Son poids m’avait accompagnée toute la journée comme une promesse silencieuse.
Je poussai la petite porte métallique derrière le local technique. L'air y était plus frais, saturé de chlore et de tension. Il faisait sombre, une seule lumière au néon clignotait faiblement. Il était là. Appuyé contre le mur, torse nu, son short de maître-nageur encore mouillé, moulant ses cuisses puissantes et ce renflement que je ne pouvais ignorer.
– Tu es venue, dit-il simplement.
– Tu doutais ?
Son regard se posa sur ma robe, puis glissa vers mes jambes nues. Il s’approcha. Lentement. Je sentis son souffle avant même qu’il ne me touche.
– Tu portes quelque chose sous cette robe ?
Je pris sa main et la guidai entre mes cuisses. Il laissa échapper un soupir rauque en sentant la base du plug, discrètement nichée là, chaude et lisse.
– Petite effrontée…
– J’ai pensé que ça te plairait. Tu m’as donné rendez-vous, tu savais très bien ce que tu voulais.
Il me plaqua doucement contre le mur, une main sur ma gorge, l’autre caressant lentement mes fesses.
– Et toi ? Tu sais ce que tu veux ?
– Que tu me prennes comme une mauvaise fille qui n’a aucune tenue. Ici. Maintenant.
Il grogna doucement, puis fit glisser ma robe le long de mes hanches. Elle tomba en silence au sol, révélant mon corps nu, tendu, offert. Il resta un instant à me regarder, sa main effleurant lentement ma poitrine, mes hanches, la courbe de mes reins.
– Tu es magnifique. Et indécente. Exactement comme j’aime.
Ses doigts trouvèrent le petit bijou brillant du plug, le firent tourner lentement. Je frissonnai, contractant involontairement autour. Il sourit.
– Tu aimes ça, hein ? Être remplie. Être prête pour moi.
– Tellement.
Il m’embrassa alors, brutalement tendre, ses lèvres brûlantes, ses mains fermes. Je me perdis contre lui, frottant mes seins nus contre son torse, sentant son sexe dur contre mon ventre. Il me fit tourner, plaqua mes mains contre le mur carrelé, et murmura à mon oreille :
– Ne bouge pas.
Je l’entendis ouvrir son sac. Quelques secondes plus tard, je sentis le froid du métal sur mes poignets : des menottes en acier, solides, cliquetant doucement alors qu’il les fermait autour de mes poignets.
– Tu veux jouer à briser les règles ? On va bien s’amuser alors.
Il écarta mes jambes d’un coup de genou. Je haletai, offerte, vulnérable, et plus excitée que jamais. Ses doigts glissèrent entre mes cuisses, trouvant mon sexe déjà trempé.
– Trempée… depuis combien de temps tu fantasmes sur ça ?
– Depuis que je t’ai vu souffler dans ton sifflet pour faire sortir des enfants de l’eau. Tu me rends folle, Hugo.
Il fit glisser le plug hors de moi. Lentement. Très lentement. Je gémis, sentant chaque millimètre. Il le posa sur le rebord, puis glissa deux doigts en moi, sans prévenir. Je me cambrai, le mur froid contre ma peau brûlante.
– Tu es une petite cochonne, chuchota-t-il. Et tu vas jouir pour moi. Plusieurs fois.
Il s’agenouilla derrière moi, sa langue venant lécher lentement, avidement ma fente ouverte, puis ses lèvres embrassèrent mon intimité avec une précision de maître. Je criai, les mains tirées par les menottes, incapable de me retenir.
– Oui… Oh Hugo… continue…
Il s’arrêta juste avant que je ne bascule. Je gémis, frustrée, pantelante.
– Pas encore. Pas sans ma permission.
Je me tordis sous lui, l’implorant du regard, du corps. Il se releva, baissa son short, libérant enfin son sexe dur, épais, prêt pour moi. Il le frotta lentement contre mes lèvres intimes, puis le fit glisser entre mes fesses, là où le plug était quelques instants plus tôt.
– Tu veux que je te prenne ici ?
– Oui…
– Dis-le.
– Prends-moi dans mon cul, Hugo. Je suis à toi.
Il sourit, satisfait. Il attrapa un petit flacon de lubrifiant dans sa poche, en versa généreusement sur mon anus déjà dilaté. Puis il entra. Lentement. Profondément.
Je criai, mi-plaisir, mi-soumission. Le mur me soutenait, mes jambes tremblaient. Il me tenait par la taille, me pénétrant avec force, avec précision. Chaque coup de reins me faisait gémir plus fort.
– Tu es parfaite. Serrée. Chaude. Obéissante.
– Je suis ta salope, Hugo… continue…
Il accéléra le rythme, ses mains claquant parfois sur mes fesses, me faisant sursauter de plaisir. Mon orgasme monta, incontrôlable, immense. Je jouis en criant son nom, secouée de spasmes, les menottes me retenant contre le mur.
Il jouit peu après, dans un râle rauque, profond, se déversant en moi. Il resta un instant collé à moi, haletant. Puis il se retira doucement, m’embrassa dans le cou, et me libéra les poignets.
Je me retournai, épuisée, le regard brûlant.
– Et si on recommençait demain ?
Il sourit, caressa ma joue.
– J’ai tout un été pour te dresser, princesse.
```Ses mains fermes étaient toujours sur mes hanches, son sexe encore en moi, vibrant de la dernière décharge. Je haletais, tremblante, les joues brûlantes, les poignets rougis par les menottes qu’il venait de me retirer. L’air de la piscine semblait plus frais maintenant, contrastant avec la moiteur entre mes cuisses, et cette chaleur lancinante qui me battait encore dans le ventre.
Il se recula lentement, ses doigts glissant sur mes fesses, puis entre mes lèvres intimes, humides, gonflées de plaisir.
– Tu n’en as pas eu assez, murmura-t-il.
Je secouai la tête, incapable de parler. Mon corps vibrait encore, chaque nerf électrisé. Il me fit asseoir sur le banc carrelé, jambes écartées, peau nue contre la céramique fraîche. Puis il sortit un petit objet noir de son sac. Un vibromasseur anal télécommandé.
– On va prolonger un peu le plaisir, princesse.
Il glissa le sextoy en moi sans effort, mon anus encore détendu par sa pénétration précédente. Je sursautai, surprise par la sensation, et plus encore quand il enclencha la vibration. Une onde profonde me secoua de l’intérieur.
– Oh… Hugo…
Il se pencha, sa bouche chaude contre mon oreille.
– Tu vas rester là, jambes bien ouvertes. Et tu ne touches rien. Tu comprends ?
Je hochai la tête, à peine. Ma respiration était saccadée. Le plug vibrant pulsait doucement, me faisant fondre de l’intérieur.
Il s’agenouilla à nouveau, embrassa mes cuisses, ma peau salée, halée, tremblante. Sa langue retrouva ma fente, et cette fois, il ne s’arrêta pas. Il lécha, aspira, caressa, jusqu’à ce que je hurle — un cri rauque, incontrôlable, presque animal. Mon dos se cambra, mes muscles se crispèrent, et je jouis à nouveau, plus fort, plus profond, que jamais.
Je m’effondrai sur le banc, incapable de bouger, le corps vidé, mais encore vibrant du sextoy enfoui en moi. Il le retira doucement, embrassa mes lèvres, puis mon front.
– Tu es délicieuse quand tu perds le contrôle.
Je souris faiblement. J’étais lessivée. Mais comblée.
Le silence s’installa, doux, complice. Il s’assit à côté de moi, son bras autour de mes épaules. L’eau de la piscine clapotait doucement, et dehors, le chant des grillons reprenait.
– Tu en as d’autres, des idées comme ça ? soufflai-je, la voix rauque.
– Des dizaines. Et j’ai tout un été pour les tester sur toi.
Je gloussai, posant ma tête contre son torse nu. Sa peau sentait encore le chlore et le sexe. Je fermai les yeux, savourant cette fatigue moelleuse, ce sentiment d’abandon total.
– Demain, on essaye dans la douche des vestiaires ? proposai-je, malicieuse.
– Avec un paddle et un bâillon si tu continues à me provoquer comme ça.
Je souris, mordillant sa clavicule.
– Promis.
Il me serra contre lui. Et dans le silence chaud de cette nuit d’été, je sus que ce camping allait être bien plus qu’un simple lieu de vacances.
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