
Fellation Inattendue au Cinéma
Share
Elle m’a sucé dans un cinéma désert – une histoire de fellation en lieu public
Il y avait quelque chose d’un peu irréel à marcher dans ce vieux cinéma art déco, presque oublié au cœur d’un quartier qui ne vivait plus que la nuit. Le néon bleu vif crépitait encore au-dessus du guichet désert, et à l’intérieur, un silence feutré couvrait les murs tapissés de velours poussiéreux. Un parfum mêlé de cuir ancien, de pop-corn rassis et de secrets collait à l’atmosphère.
Je l’attendais depuis cinq minutes, adossé à un mur, les mains dans les poches, feignant de consulter mon téléphone. Une séance à 22h15, un film en VO sous-titrée que personne ne viendrait voir un jeudi soir. C’était parfait. Prémédité, même. Le genre de plan qui demande de l’audace, ou juste beaucoup d’envie. Et elle, elle n’en manquait jamais.
Elle est arrivée dans un souffle d’air tiède, sa silhouette découpée par les lumières faibles du hall. Jupe crayon noire, collants semi-transparents, bottines à talons. Son manteau ouvert laissait deviner une chemise blanche à peine boutonnée. Son regard a accroché le mien immédiatement, ce petit sourire en coin dessinant déjà les contours de ce qui allait arriver.
— Tu étais là depuis longtemps ? murmura-t-elle en se glissant contre moi, son parfum floral mêlé à la chaleur de sa peau m’enveloppant instantanément.
— Juste assez pour t’imaginer dans différentes positions, soufflai-je avec un sourire.
Elle rit doucement, puis osa un regard vers le guichetier, un grand type maigre trop absorbé par son écran pour prêter attention à quoi que ce soit. L’endroit était presque vide. Deux autres couples au fond, un homme seul près de l’entrée. Rien qui ne pourrait déranger nos intentions.
Elle prit les billets, puis me tendit la main sans rien dire, m’entraînant jusqu’à la salle 4. Il faisait sombre, presque intime. Les sièges de velours rouge semblaient appartenir à un autre temps, un autre monde. Elle choisit le dernier rang, à l’écart, là où même les caméras de surveillance semblaient oublier.
Je m’assis à sa droite, sentant son genou frôler le mien dans un toucher volontairement lent. Pas un mot. Juste ce frisson électrique qui passait entre nous. L’écran s’illumina d’un blanc tremblotant. La bande-annonce d’un vieux film italien aux dialogues saccadés commença, mais aucun de nous n’y portait vraiment attention.
Elle croisa et décroisa les jambes lentement, une provocation délicate. Mon regard glissa sur la ligne de ses cuisses, sur cette frontière imperceptible entre le tissu de ses collants et la naissance de sa peau nue. Elle le savait. Et elle en jouait.
— T’es tendu, chuchota-t-elle à mon oreille, sa voix à peine audible dans le silence de la salle obscure.
— Tu crois ?
— Je le sens… ici, dit-elle en effleurant ma cuisse du dos de sa main, comme si de rien n’était.
Mon souffle se fit plus lourd. Son toucher n’avait rien d’innocent. C’était lent, précis, calculé. Une forme de torture douce. C’était elle tout entière : une tension permanente entre le contrôle et l’abandon. Dans son sac, je savais qu’elle avait glissé un petit plug en verre qu’on avait testé la semaine dernière. Juste pour le plaisir de savoir qu’il était là. Ce genre de détail intime qui transformait l’attente en excitation pure.
La lumière de l’écran dansait sur ses traits délicats pendant qu’elle s’approchait, son souffle frôlant ma joue.
— Tu veux que je te soulage, là, maintenant ? souffla-t-elle, sa main glissant un peu plus haut.
Ma réponse fut un frémissement. Mon bassin se tendit sous le tissu de mon jean, et je sentis sa bouche s’étirer en un sourire satisfait. Elle adorait faire monter le désir comme une marée lente, inexorable. Nous avions déjà expérimenté bien des choses : paddle dans un vieux garage, menottes dans des chambres d’hôtel anonymes, vibromasseur sous une robe fluide au restaurant. Mais ce soir, il y avait quelque chose de plus cru, de plus direct. Peut-être le fait d’être dans un lieu public. Le risque. L’interdit.
Elle ne bougeait plus, son visage si proche du mien que je pouvais sentir l’humidité de sa respiration. Sa main s’était calmée sur ma cuisse, comme si elle attendait une permission silencieuse. Je tournai lentement la tête vers elle.
— Vas-y, soufflai-je. Montre-moi jusqu'où tu peux aller.
Ses yeux brillèrent dans l’obscurité. Puis elle se pencha négligemment, comme si elle cherchait quelque chose dans son sac, et sa main effleura mon entrejambe avec plus de certitude. Mon sexe durcissait déjà sous la pression de son geste. Lentement, elle laissa ses doigts retracer la forme précise de mon désir à travers le tissu, jouant avec la fermeture de mon jean.
— Je vais te sucer. Ici. Maintenant. Et tu ne vas pas faire un seul bruit.
Je ne répondis rien, mais mon corps tout entier criait l’approbation. La salle était plongée dans une semi-obscurité rassurante. Les rares spectateurs, dispersés, étaient engloutis dans leurs propres histoires. Et elle, si proche, si sûre d’elle, orchestrant chaque mouvement avec une lenteur calculée, m’amenait déjà au bord.
Son souffle glissa sur ma ceinture, ses doigts agiles s’activèrent pour libérer ce qui gonflait déjà d’anticipation. Je sentis l’air tiède contre ma peau nue, l’éclat possible d’un regard dans notre direction. Et au moment même où ses lèvres frôlèrent enfin le sommet de ma queue, mon souffle se coupa dans ma gorge.
Mais elle s’arrêta. Juste là, suspendue, un sourire cruel au coin des lèvres. Sa langue effleura à peine la peau tendue de mon sexe, un baiser chaud, frustrant, puis elle releva les yeux vers moi.
— Tu crois pouvoir te retenir longtemps, hein ? murmura-t-elle.
Je savais que ça ne faisait que commencer. Et dans cette salle abandonnée où le film n’était plus qu’un murmure de fond, ma réalité venait de basculer dans quelque chose de brut, d’animal, d’exquisément prohibé.
Elle s’était redressée un instant, comme pour ajuster sa position, puis avait glissé sa main autour de ma queue encore enfermée dans mon boxer. Ses doigts chauds, précis, avaient commencé un lent va-et-vient à travers le tissu. Je sentais chaque pulsation, chaque frémissement, amplifiés par l’interdit qui nous enveloppait.
Elle tourna légèrement la tête et murmura, sa voix à peine audible sous le souffle du film :
— Tu sais que j’adore te faire ça quand tu ne peux pas réagir…
Je la regardai, fasciné par cette lumière bleutée qui dansait sur son visage. Elle déboutonna mon jean, puis glissa ses doigts à l’intérieur, libérant mon sexe durci. L’air frais de la salle me fit frissonner, mais sa paume chaude contre ma peau raviva instantanément la tension.
Elle le regardait, presque avec affection, comme si elle retrouvait un jouet familier. Puis, sans prévenir, elle se pencha et le prit entre ses lèvres.
Un soupir m’échappa, trop rapide, trop fort. Elle releva la tête aussitôt.
— Chut. Tu veux qu’on nous remarque ?
Je secouai la tête, incapable de parler. Mon souffle était court, mes doigts crispés contre l’accoudoir. Elle adorait ça. Ce pouvoir sur moi. Cette façon de me faire fondre sans jamais se presser.
Elle reprit, plus lentement cette fois, sa langue dessinant des cercles précis autour du gland. Chaque mouvement était mesuré, étudié. Pas une vraie fellation encore, non. Juste un prélude… une promesse. Une torture délicieuse.
Elle jouait avec ma peau, la goûtait, la suçotait du bout des lèvres. Mon regard se perdit vers l’écran, flou, inutile. Tout mon univers se concentrait entre ses lèvres.
Sa main libre s’était glissée entre ses propres cuisses. Je la vis se mordre la lèvre, et ses hanches bouger à peine. Elle se caressait. Là, devant moi. Dans cette salle de cinéma presque vide. Dans ce lieu public où chaque bruit, chaque mouvement pouvait trahir l’indécence de l’instant.
Je sentis son rythme s’accélérer. Sa bouche descendit plus profondément autour de moi. Elle m’avalait lentement, gorge chaude, humide, accueillante. Mon bassin se tendit vers elle, en quête de plus.
Mais elle se recula à nouveau, me laissant sur le fil.
— Tu veux que je continue ?
Je hochai la tête, haletant. Mes doigts glissèrent dans ses cheveux, juste pour sentir leur texture, leur chaleur, leur présence.
— Alors tu restes silencieux. Promis ? souffla-t-elle, ses yeux plantés dans les miens.
— Promis…
Elle sourit, et cette fois, elle s’agenouilla entre les rangées de sièges, se dissimulant davantage. Son corps se lova contre mes jambes, et sa bouche revint s’emparer de moi avec plus d’assurance.
Je sentis sa langue danser le long de ma verge, ses lèvres l’enrober avec une douceur presque cruelle. Tout était lent, maîtrisé, presque cérémonieux. Ce n’était pas une histoire de rapidité. C’était une histoire de contrôle. De domination silencieuse. De fellation érotique dans un lieu public, savourée seconde après seconde.
Sa main gauche caressait mes testicules avec une tendresse presque amoureuse, tandis que sa droite s’occupait de son propre plaisir. Je la savais mouillée. Je le devinais à la façon dont ses hanches bougeaient, imperceptiblement. À la façon dont ses ongles s’enfonçaient doucement dans ma peau.
— Tu es si dur… susurra-t-elle, remontant un instant pour lécher le haut de ma queue, comme pour goûter ma tension.
Je fermai les yeux, cherchant à ne pas gémir. Chaque bruit pouvait trahir notre présence. Je n’avais plus conscience de rien, sauf d’elle. De sa bouche. De sa langue. De ce va-et-vient lent et précis qui me rendait fou.
Elle accéléra légèrement, juste assez pour m’approcher du bord. Puis ralentit brusquement. Encore. Et encore. Elle me gardait suspendu. Prisonnier de son rythme.
— Tu veux jouir, pas vrai ? demanda-t-elle, sa voix tremblante de désir.
— Je veux que tu continues…
Elle rit doucement, puis me regarda avec intensité.
— Peut-être… si tu me supplies un peu.
Je la fixai, à la fois frustré et fasciné. Elle était dans son élément. Dominatrice, joueuse, délicieusement perverse. Et moi, j’étais à sa merci.
— S’il te plaît, soufflai-je, presque à regret. Continue. Suce-moi encore.
Ses yeux brillèrent, et elle se remit à l’œuvre. Cette fois, sa bouche s’empara de moi plus profondément. Elle me prenait en entier, m’enveloppant de chaleur, de désir, de maîtrise.
Je sentais chaque battement de mon cœur pulser contre sa langue. Chaque coup de reins réprimé. Chaque soupir étouffé. Elle suçait lentement, mais avec une intensité presque brutale. Comme si elle voulait me faire perdre la tête sans jamais me laisser franchir la ligne.
Ses doigts glissèrent sous mes fesses, m’encourageant à basculer légèrement le bassin. Je sentis quelque chose de froid effleurer l’entrée de mon intimité. Une pression légère. Fugace. Un plug anal, peut-être. Je n’eus pas le temps de vérifier. Sa bouche m’engloutissait à nouveau.
Le contraste entre le chaud de sa gorge et le froid de cette caresse interdite me fit frissonner. Je n’avais jamais été aussi tendu, aussi proche.
— Tu veux que je te le mette ? murmura-t-elle, ses doigts caressant à nouveau l’entrée de mon intimité.
— Pas maintenant… continue juste…
Elle obéit, mais je sentis qu’elle retenait quelque chose. Une envie. Un plan.
Elle suçait avec plus de fougue, maintenant. Sa salive rendait chaque mouvement plus glissant, plus intense. Ma queue brillait dans l’obscurité, offerte, tendue, prête à exploser. Mais elle savait exactement quand s’arrêter. Quand s’arrêter juste avant le moment fatidique.
Et elle le fit. À nouveau.
Elle se redressa, me regardant avec ce sourire à la fois cruel et complice.
— Pas tout de suite, mon amour. Tu crois que je vais te laisser jouir aussi vite ? Pas ici. Pas encore.
Je grognai de frustration, le souffle court, la peau brûlante.
— Tu joues avec le feu…
— Et toi, tu adores ça, non ? répondit-elle en renfonçant doucement ma queue dans mon boxer, me laissant dur, gonflé, frustré à en devenir fou.
Elle réajusta sa jupe avec élégance, s’assit à nouveau à ma droite, croisa les jambes lentement. Puis elle glissa sa main dans la mienne.
— Le film vient à peine de commencer, chuchota-t-elle. Et moi, je ne fais que t’échauffer.
Son regard me transperça. Le jeu ne faisait que commencer. Et je savais, au fond, que j’étais déjà condamné à lui obéir. À la suivre dans cette histoire érotique sans retour. Une histoire de fellation dans un lieu public. Une histoire dangereusement excitante.
Sa bouche était revenue sur moi, plus affamée, plus profonde. Plus rien ne freinait son rythme, ni la peur d’être vue, ni l’interdit. Elle se servait de moi comme d’un secret qu’on savoure dans l’ombre, sa langue me traçant des frissons jusqu’au creux du ventre.
Mes doigts étaient ancrés dans ses cheveux, non pas pour la guider, mais pour m’ancrer à quelque chose pendant que je chavirais. Son souffle chaud, ses gémissements étouffés contre ma peau… tout vibrait autour de nous. Le film n’était plus qu’un prétexte, un murmure lointain. Le vrai spectacle, c’était elle, entre mes cuisses, gorge offerte à mon plaisir.
Elle accéléra. Sa salive coulait le long de ma queue, la rendant luisante, délicieuse, presque irréelle dans l’obscurité. Sa main ne cessait de me caresser à la base, remontant parfois pour masser mes testicules, les rouler avec une tendresse indécente. L’autre main, elle, s’était glissée sous sa jupe, ses doigts disparaissant sous ses collants. Je l’entendais se toucher, humides, frénétiques.
— Tu sens comme je suis trempée ? susurra-t-elle en se redressant un instant, ses doigts brillants de son propre désir. Tu me rends folle…
Et sans attendre, elle se remit à l’ouvrage, plus profonde, plus rapide, prenant toute ma longueur dans sa bouche chaude. Je sentais sa gorge vibrer, son souffle court, sa langue qui tourbillonnait autour de moi comme si elle voulait me posséder jusqu’à la dernière goutte.
Je me mordis la lèvre pour ne pas gémir. Mon bassin se contractait, mes jambes tremblaient. J’étais au bord, suspendu. Et elle le savait.
— Viens pour moi. Maintenant, murmura-t-elle, les yeux plantés dans les miens.
Elle m’aspira à nouveau, entière, profonde. Une dernière succion, humide, parfaite… et je craquai. Mon corps se tendit, se cambra dans un spasme silencieux. Je jouis dans sa gorge, pulsation après pulsation, en retenant chaque soupir, chaque râle. Elle m’avalait sans broncher, comme un pacte secret passé dans l’obscurité.
Elle resta là quelques secondes, immobile, ma queue encore nichée entre ses lèvres, avant de se redresser lentement. Un filet de salive reliait encore nos peaux. Elle l’essuya du bout de son doigt, puis le porta à sa bouche avec ce sourire insolent que je connaissais trop bien.
— Tu goûtes toujours aussi bon, souffla-t-elle.
Je restai là, pantelant, vidé, encore tremblant. Elle remonta sa culotte, ajusta sa jupe, puis s’assit à nouveau, comme si rien ne s’était passé. Le film continuait. Des dialogues italiens flottaient dans l’air.
Elle se pencha vers moi, son souffle chaud contre mon oreille.
— On a encore vingt minutes avant la fin… Et je suis loin d’avoir joui, moi.
Je tournai les yeux vers elle. Elle avait glissé sa main sous mon manteau, caressant mon torse, lente, possessive.
— Tu veux que je te rende la pareille après, dans les toilettes ? Ou tu préfères attendre chez moi… avec les menottes ?
Je souris, incapable de répondre. Tout ce que je savais, c’est que je la suivrais encore. Encore et encore.
Elle m’embrassa furtivement, puis se cala contre moi, sa main toujours posée sur ma cuisse, possessive. Le silence de la salle reprit ses droits, mais en moi, tout vibrait encore.
Cette histoire de fellation dans un lieu public érotique resterait gravée. Et je savais déjà qu’elle avait d’autres fantasmes à explorer. D’autres lieux, d’autres jeux. Elle me l’avait promis.
👉 Plug Anal, Accessoires BDSM, Sextoys Homme, Lubrifiants
– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr