
Métro Passion Entre Stations
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Sexe dans le métro récit : excitation interdite entre deux stations
La rame glissait sans un bruit, éclairée par les néons blafards qui renvoyaient à chaque station vide un silence presque surnaturel. Il était plus de minuit passé, une heure où la ville se relâche, s’abandonne. Paris se vidait lentement de ses passants, avalés par les ascenseurs de leurs immeubles, les taxis encore tièdes ou les hôtels aux rideaux tirés. Dans ce wagon désert, j’étais seule. Ou presque.
Lui, il était monté à République, alors que je m’étais installée bien avant, à la station Gare de Lyon. Il avait cet air nonchalant, légèrement fatigué mais propre, soigné. Costume défait, cravate frôlant la ligne de sa mâchoire. Il me fit un signe de tête, poli, et alla s’asseoir à l’autre bout du wagon. Mais nos regards s’étaient accrochés. Un échange subtil, indicible. Une tension invisible tendait déjà le fil entre nous.
Le bruit régulier des roues sur les rails venait battre le tempo d’un désir sourd. J'avais d’abord tenté de me concentrer sur mon téléphone, sur ces messages en attente, mais mes doigts glissaient machinalement sur l’écran sans lire réellement. Je levai les yeux, encore. Il ne me quittait pas du regard. Ce n’était ni insistant ni prédateur. Plutôt… curieux. Dévorant. Et j’aimais cette manière qu’il avait de me détailler sans cacher son intérêt.
Dans ce wagon vide, le simple fait d’être regardée devenait obscène. Mais il ne bougeait pas. Il attendait. Je crois que ça m’a troublée plus que tout.
Je portais une jupe noire fendue, des collants très fins, presque invisibles, et un chemisier en mousseline blanche qui laissait deviner la forme de ma poitrine, serrée dans un soutien-gorge en dentelle ivoire. Rien de vulgaire, mais suffisamment suggestif pour qu’on imagine le reste. Surtout quand je décroisais lentement les jambes, effleurant l’intérieur de mes cuisses du bout des doigts, comme par accident. Et bien sûr, il observait.
Je le vis se redresser légèrement sur le siège, poser sa mallette à côté de lui, les coudes sur les genoux. Son regard s’était fait plus intense. La rame s’enfonçait dans un tunnel sombre, et pendant quelques secondes, une obscurité totale enveloppa le wagon. Quand les lumières revinrent, son visage était plus proche. Il s’était levé, sans bruit. Lentement. Il venait vers moi.
Mon cœur battait si fort que je le sentais cogner contre ma cage thoracique, comme s’il voulait s’échapper. Il s'arrêta à quelques pas de moi, sans dire un mot. Je sentais déjà la chaleur de son corps, le parfum discret de sa peau — une senteur boisée, enveloppante, presque animale.
– Tu es seule ? demanda-t-il enfin, sa voix grave adoucie par le ronronnement régulier du métro.
– Pas tout à fait, soufflai-je.
Son regard glissa le long de mes jambes croisées, et remonta lentement jusqu’à mes yeux. Je soutins son regard.
Une vibration de la rame fit cliqueter légèrement les barres métalliques. Mes cuisses se serrèrent par réflexe. L’espace était confiné, presque secret. La promiscuité devenait un terrain de jeu. Le métro, ce lieu anodin, froid, impersonnel, se transformait peu à peu en décor fantasmatique. Chaque virage du wagon en mouvement accentuait l’agitation intérieure.
– Tu fais souvent ça ? reprit-il, de sa voix basse, presque un murmure, comme un souffle contre ma joue.
– Quoi ? Répondre à des inconnus dans une rame vide ? Non.
Je lui souris sans détourner les yeux.
– Alors c’est la première fois ?
– Peut-être. Ou peut-être que j’attendais juste le bon inconnu.
Je longeai lentement la couture de ma jupe du bout de mes ongles, jusqu’au bord de ma cuisse. Il suivit mon geste, fasciné. Son torse se soulevait un peu plus vite, sa main gauche se crispait sur la barre verticale près de moi. Il se pencha doucement, frôlant presque mes lèvres de son souffle chaud.
– Tu sais que c’est interdit, murmura-t-il.
– Et c’est précisément ce qui me plaît.
Ses doigts vinrent se poser sur le métal glacé à côté de ma tête, m’enfermant dans une cage invisible entre son corps et la paroi du métro. Son parfum me troublait plus que je n’aurais voulu l’admettre, un mélange enivrant de musc et de désir contenu. Ses yeux cherchaient les miens. J’avais envie de lui dire que j’étais trempée rien qu’à l’idée de ce qu’il pourrait faire. Que j’avais envie de goûter à l’interdit. Que le moindre frôlement m’électrisait.
Mais aucun mot ne franchit mes lèvres.
Je me mordis doucement la lèvre inférieure. Il baissa les yeux vers ma bouche, puis les releva, comme pour demander une permission silencieuse. Je ne l’ai pas empêché.
Il s’est approché davantage. Nos visages se frôlaient, sans qu’il n'y ait encore eu de contact. Mon souffle était saccadé. Son doigt traçait la ligne de ma mâchoire avec une lenteur exquise, remontant vers ma tempe, mes cheveux. J’avais envie de m’agenouiller devant lui. Là, entre les deux sièges. De sentir la tension dans son corps quand je glisserais mes mains jusqu’à sa ceinture. Mais je voulais attendre encore un peu. Laisser le silence s’épaissir. Étirer le fil du plaisir au maximum.
Le métro s’arrêta brusquement à une station déserte. Portes closes. Aucun bruit. Personne. Juste nous et cette bulle de non-dit brûlant.
– Où descends-tu ? me demanda-t-il, ses lèvres presque contre mon oreille.
– Je ne sais pas, soufflai-je. Peut-être après toi. Peut-être jamais.
Ma main effleura son bras, sa chemise légèrement froissée, puis descendit jusqu’à sa taille. Il tressaillit. Son regard se fondit dans le mien avec une intensité nouvelle. C'était comme si tout autour de nous s’était arrêté. L’enfermement rendait chaque sens plus aiguisé. Et cette certitude qui montait en moi — qu’il me laisserait faire. Qu’il en avait autant envie que moi.
Le métro reprit sa course. Lentement. Insidieusement. Je sentais l’excitation pulser dans mes veines, un désir lent, soyeux, contenu encore. Chaque seconde devenait un prélude. Un souffle d’avant l’orage.
Et j’étais prête à m’agenouiller dans ce silence. À me glisser entre ses jambes. À rendre cette nuit inoubliable. Mais pas encore. Juste un peu plus d’attente…
Il était là, debout devant moi, campé sur ses jambes, les mains toujours de chaque côté de ma tête. Son regard me brûlait la peau, plus chaud que l’air épais du wagon. Je sentais son souffle, court, nerveux, saccadé. Le mien n’était pas mieux. Mon cœur battait dans mes tempes, dans mes cuisses, entre mes lèvres humides. Et pourtant, aucun de nous ne bougeait. Tout se jouait dans les yeux. Dans ce silence tendu par l’envie.
Je me redressai légèrement sur le siège, mon visage juste à hauteur de son torse. D’un geste lent, volontaire, j’effleurai sa ceinture du bout des doigts. Il tressaillit. Un tic nerveux agita sa mâchoire. Je remontai la main, lentement, jusqu’à son ventre, puis la laissai retomber. Juste pour le faire frémir. Pour qu’il comprenne que tout ne dépendait que de moi.
– Tu veux que je continue ?
Il acquiesça d’un hochement de tête à peine perceptible, les lèvres entrouvertes. Sa main se posa sur ma joue, chaude, rassurante, mais fébrile. J’y déposai un baiser furtif, presque chaste, avant de m’en éloigner. La rame vibrait, comme un écho de nos corps en tension.
Je passai mes mains derrière mes cuisses, glissant lentement vers mes genoux pour attraper la fente de ma jupe. Je l’écartai doucement, dévoilant mes cuisses nues, à peine couvertes par mes collants translucides. Je sentis son regard s’y plonger comme dans une eau profonde. Il suivait chacun de mes gestes, hypnotisé.
– Tu veux regarder ?
Il ne répondit pas. Mais il s’agenouilla doucement devant moi, posant une main sur le siège à côté de ma hanche, l’autre effleurant ma cuisse. Sa bouche frôla la peau nue à la naissance de mon bas-ventre, sans oser s’y attarder. Je frémis.
– Tu sais ce que tu fais ?
– Je sais ce que j’ai envie de faire.
Il se redressa légèrement, son bassin à hauteur de mon visage. Je glissai mes doigts jusqu’à sa ceinture, cette fois sans hésitation. Le cliquetis du métal résonna dans le wagon comme un signal. Je le regardais dans les yeux pendant que je défaisais le bouton de son pantalon, lentement, très lentement. Il se mordait la lèvre, tendu d’un désir à peine contenu.
Le tissu s’ouvrit, révélant un boxer sombre, tendu par son érection. La forme de son sexe battait sous le tissu, impatient, gonflé. Je caressai doucement la bosse, juste du bout des doigts, en remontant lentement vers le haut. Il poussa un soupir presque inaudible, un souffle arraché au fond de la gorge.
– Tu veux que je le sorte ?
– Oui.
Sa voix était rauque, chargée de tension. Je glissai mes doigts sous l’élastique et libérai son sexe, chaud, dur, palpitant. Il était magnifique. Je le pris doucement dans ma main, le caressant lentement, de la base jusqu’au gland, en cercles lents, avec toute la tendresse d’une première fois. Il ferma les yeux un instant, savourant chaque mouvement.
Je me penchai, m’approchant sans le toucher de mes lèvres. Juste pour sentir la chaleur, la pulsation. Je le narguais, volontairement. Il était là, tendu, vulnérable, offert. Et moi, j’avais le contrôle. J’adorais ça.
– Tu ne devrais pas me laisser faire ça ici, murmurai-je.
– Je sais… mais je m’en fous.
Je souris. Moi aussi. Je déposai un premier baiser sur le bas du ventre, juste au-dessus de la racine de son sexe. Puis un autre, plus bas. Ma langue effleura la peau sensible de ses bourses, avant de remonter lentement le long de sa verge. Je le tenais toujours, fermement, caressant en rythme.
Mais je ne l’avalai pas encore. Je voulais qu’il supplie, qu’il perde la tête. Je voulais qu’il se rappelle cette nuit dans le métro comme d’un rêve fiévreux. Un moment suspendu entre deux stations, entre deux mondes.
Il ouvrit les yeux, cherchant les miens. Je le regardais, le sexe tendu entre mes doigts, mes lèvres à peine à quelques millimètres du plaisir. Il tendit la main, glissant ses doigts dans mes cheveux, sans forcer. Juste pour sentir, pour s’ancrer dans le réel. Mon souffle chaud caressait son gland. Il était au bord. Et moi, je tenais encore le fil.
– Tu vas me rendre fou…
– C’est l’idée.
Je léchai lentement le sommet, juste un coup de langue, en cercle. Il gémit. Un son étouffé, frustré. Je recommençai, plus lentement cette fois, en descendant sur toute la longueur. Mes doigts jouaient sur la base, mes lèvres frôlaient à peine. Il se cambrait légèrement, incapable de rester immobile.
La rame ralentit, puis accéléra. Lumière vacillante. Silence de mort. Personne. Rien que lui, moi, et cette scène irréelle. Ce sexe dans le métro récit aurait pu être un fantasme, un rêve éveillé. Mais c’était bien réel. Et il n’y avait plus de retour possible.
Je sentis sa main se crisper légèrement dans mes cheveux, non pas pour me guider, mais pour s’ancrer. Comme s’il avait besoin de se raccrocher à quelque chose. Je pris son sexe entre mes lèvres, juste le bout. Doucement. Puis je le relâchai. Son souffle se coupa net.
– Tu veux que je continue ?
– Bordel, oui…
Je souris. Je n’en avais pas fini avec lui. Je voulais le faire attendre. Je voulais qu’il se souvienne de chaque seconde. Mes lèvres se refermèrent de nouveau sur lui, plus profondément cette fois. Ma langue jouait, tournoyait, pressait. Mon rythme s’accélérait, puis ralentissait, imprévisible. Il grognait. Ses hanches se tendaient, mais il ne bougeait pas. Il se laissait faire. Soumis à mon bon vouloir.
Je me reculai soudainement, essuyant le coin de ma lèvre d’un geste lent. Il haletait, les joues rouges, le front perlé. Son sexe luisait légèrement de ma salive, tendu, impatient.
– Tu veux jouir maintenant ?
– Je veux… que tu décides.
Je me levai lentement, le repoussant doucement sur le siège derrière lui. Il s’assit, le sexe toujours tendu, exposé. Je me tenais debout devant lui, dominant la scène. Je glissai une jambe de chaque côté de ses cuisses, sans m’asseoir. Juste assez près pour qu’il puisse sentir ma chaleur. Mon odeur. Mon sexe trempé sous la dentelle invisible de ma culotte.
– Tu me sens ?
Il hocha la tête, incapable de parler.
– Tu sauras que c’est moi à chaque fois que tu prendras ce métro. Chaque bruit, chaque vibration, chaque odeur te rappellera cette nuit.
Je jouai avec l’élastique de ma culotte, le faisant claquer contre ma peau. Puis je glissai deux doigts sous le tissu, les remontant lentement entre mes lèvres. Trempée. Glissante. Je les ressortis lentement et les portai à ses lèvres.
Il les prit dans sa bouche, les suçant doucement, les yeux dans les miens. Je frissonnai. Sa langue caressait mes doigts comme il aurait pu me caresser. Je repris son sexe dans ma main, le caressant lentement.
Mais je ne le pris pas encore en bouche.
Pas encore.
Le métro s’engouffrait dans un autre tunnel, les lumières vacillaient de nouveau. Une voix robotique annonça la prochaine station. Je me penchai vers lui, murmurai contre sa peau chaude :
– Tu crois qu’on a le temps, entre deux stations ?
Il sourit, haletant.
– On a toute la nuit, si tu veux.
Et moi, j’avais toute la longueur de son plaisir à savourer.
Je m’abaissai lentement, mes cuisses frôlant les siennes, et le poussai doucement contre le dossier du siège. Mon regard planté dans le sien, je guidai son sexe tendu jusqu’à l’entrée de mon corps, brûlante, trempée, impatiente. Il retint son souffle quand je me laissai glisser sur lui, centimètre par centimètre, dans une lenteur presque cruelle.
Il était large. Parfaitement dur. Et je le sentais pulser en moi à chaque mouvement. Mes hanches ondulaient lentement, comme bercées par le roulis de la rame. Je posai mes mains sur ses épaules, m’ancrant à lui alors que je m’enfonçais plus profondément, chaque va-et-vient plus intense que le précédent.
Ses mains agrippèrent mes hanches, ses doigts s’enfonçant dans ma peau fine à travers ma jupe remontée. Il grognait, les yeux mi-clos, perdu entre la douleur du plaisir et l’ivresse du moment. Le wagon vibrait sous nous, comme une caisse de résonance à notre frénésie silencieuse.
– Tu es si… serrée, souffla-t-il, haletant.
– Chut… sens-moi juste.
Je m’empalai plus fort, plus vite, le bruit humide de nos corps se mêlant au cliquetis métallique du métro. Mes seins balançaient sous mon chemisier entrouvert, et je sentais mon orgasme monter, lentement, par vagues, comme une marée impitoyable.
Il glissa une main entre mes cuisses, cherchant mon clitoris du bout des doigts. Je sursautai, surprise par ce contact précis, délicieux. Son doigt tournoya, pressa, joua. J’étouffai un gémissement contre son cou, agrippée à lui comme à une bouée.
– Continue… ne t’arrête pas, soufflai-je.
Il obéit. Et moi, je perdis pied. Mon ventre se contracta, mes jambes tremblèrent, mon sexe se serra violemment autour de lui. J’explosai en silence, secouée de spasmes, le souffle coupé, les yeux clos. Il jouit juste après, profondément en moi, dans un râle étouffé contre mon épaule, son corps tendu à l’extrême.
Le métro ralentissait. Une station approchait. Je restai là, quelques secondes encore, blottie contre lui, le cœur battant fort, mes muscles encore tremblants.
Je me redressai lentement, le regard trouble mais satisfait. Il me regardait, bouche entrouverte, comme s’il n’arrivait pas à croire ce qu’il venait de vivre.
– Tu vas me hanter, murmura-t-il.
Je souris, remettant ma jupe en place, essuyant un filet de plaisir sur ma cuisse du bout des doigts.
– C’est le but.
Il se rhabilla rapidement, regardant autour de lui, encore sonné. Je me penchai vers lui et déposai un baiser lent, profond, sur sa bouche. Un sceau. Une promesse.
– Tu veux me revoir ?
– Tous les soirs. Même entre deux stations.
Je ris doucement, récupérant mon sac. La voix synthétique annonçait "Station Bastille". Les portes s’ouvrirent dans un souffle discret. Personne ne monta. Personne ne descendit.
– Tu descends ? demanda-t-il.
Je secouai la tête, les yeux brillants.
– Non. Pas encore. Il reste quelques stations jusqu’au terminus. Et j’ai encore envie… de jouer.
Il sourit, les joues encore rouges, le souffle irrégulier.
– Bordel… t’es un fantasme incarné.
Je me rassis, croisant les jambes lentement, le fixant avec malice.
– Et toi, tu n’as encore rien vu.
Le métro reprit sa course, emportant avec lui notre secret brûlant, suspendu entre deux mondes, entre deux stations. Un sexe dans le métro récit qui ne s’arrêtera peut-être jamais.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr