
Mystères du bus bondé
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Sous sa jupe dans le bus : histoire frotteurisme et tension interdite
Le bus 86 était bondé, comme chaque matin. Odeur de café encore tiède, souffle de clim imparfait, et les secousses régulières de la route qui liaient les corps malgré eux. Il était huit heures vingt-deux. Trop tôt pour avoir faim, mais suffisamment tard pour avoir envie.
Léna était montée à l’arrêt Croix-de-Chavaux, talons claquants, silhouette affûtée par un tailleur noir ajusté. La jupe crayon, légèrement fendue, épousait les courbes de ses hanches comme une promesse murmurée à mi-voix. Ses collants fins dessinaient une texture soyeuse, presque fragile. Elle s’était hissée à bord en forçant un peu l’épaule, sourire discret aux lèvres. Elle adorait ce moment, ce frôlement collectif qu’on fait semblant de ne pas remarquer.
Elle se tenait désormais au centre du bus, la main crispée autour d’une barre métallique, et son sac plaqué contre sa hanche. Le contact d’un corps derrière elle la fit frissonner. Elle ne tourna pas la tête. C’était trop tôt. Ou juste… assez tôt.
Elle sentait la présence masculine dans son dos. Une chaleur différente, dense. Pas du tout celle d’un simple voisin de transport. Non, celui-là restait, s'adaptait à chacun des mouvements du véhicule, et répondait presque instinctivement aux oscillations de son bassin. Léna ferma les yeux un instant, respirant doucement, écoutant son propre corps s’éveiller.
– Pardon, souffla-t-il à son oreille, alors que le bus freinait brutalement.
La voix était grave, feutrée, presque complice.
– Ce n’est rien, répondit-elle d’un ton neutre, sans oser le regarder.
Mais son ventre s'était contracté. Elle avait senti, pendant une seconde brève mais brûlante, que son bassin s’était collé au sien. Que quelque chose, dur, l’avait frôlée à travers les couches de tissu. Qu’il l’avait senti aussi. Il ne s'était pas excusé plus que ça. Et elle ne s’était pas reculée.
Les vibrations du moteur faisaient remonter dans ses cuisses un trouble lent et délicieux. Le tissu de sa jupe, coincé par la pression des passagers autour d’elle, était remonté légèrement sur ses cuisses. S’il le voulait, il pourrait glisser un doigt sous l'ourlet. Juste là. Sans que personne ne le voie. Sans que personne ne sache si c’était voulu ou subi.
Léna avait toujours été fascinée par ce genre de moments suspendus. Ces secondes de tension dans les espaces publics, entre deux respirations sociales. Elle aimait ces instants où l’on frôle la perte de contrôle, sans jamais vraiment sombrer. Ou alors juste assez. Juste ce qu’il faut pour trembler.
– Vous descendez où ? demanda-t-il soudain, sans hausser la voix.
– Terminus, répondit-elle du bout des lèvres. Et vous ?
– Moi aussi. Parfait.
Silence. Les mots flottaient entre eux, collants comme le cuir chaud d’un siège en été. Le bus reprit sa course, et Léna redressa légèrement le dos, tendant ses reins comme une offrande involontaire. Elle sentait toujours sa présence. Il n’avait pas bougé. Ou alors, juste assez pour… frotter.
Le mot la fit rougir intérieurement. Frotteurisme. Ce fantasme flou qu’elle avait toujours gardé entre deux pages d’un carnet intime. Une histoire dans un bus bondé, comme celle-ci. Où quelqu’un, un inconnu, lui ferait ressentir trop, trop vite, trop fort. Sans paroles. Sans autorisation verbale. Juste ce trouble profond, cette excitation nerveuse, sale et sublime à la fois.
Elle se mordit la lèvre en sentant, cette fois, un frôlement plus appuyé. Quelque chose d’infiniment lent, précis. Il ne voulait pas juste la heurter par accident. Il voulait qu’elle sente. Il voulait qu’elle sache qu’il savait. Et elle, elle ne disait rien. Elle laissait faire. Son cœur battait fort. Ses cuisses se pressaient instinctivement l’une contre l’autre, cherchant à retenir l’onde vibrante qui remontait jusqu'à son ventre.
Il se pencha encore légèrement. Le tissu de son pantalon glissa contre sa jupe, chaude de tension. Son souffle atteignit sa nuque, effleurant un petit duvet presque invisible. Elle ne broncha pas. Mais ses doigts se crispèrent un peu plus autour de la barre.
– Vous tremblez, murmura-t-il.
Sa voix était proche. Trop proche.
– Peut-être… le bus, tenta-t-elle, la voix rauque.
– Peut-être pas seulement le bus...
Elle aurait dû répondre quelque chose. Le remettre à sa place. Faire mine d’être choquée. Mais au lieu de ça, elle pencha imperceptiblement son bassin vers lui, comme une réponse silencieuse. Comme un feu vert qu’elle ne voulait pas formuler à haute voix, mais que chaque fibre de son corps criait déjà.
Le bus s'arrêta à une station. Une vague de passagers se déversa dehors. L’espace se vida un peu. Mais lui resta. Pire : il se rapprocha. Sa main frôla maintenant son bras. Elle n’était même plus sûre que ce soit un hasard. Le contact glissa jusqu’à son coude, puis descendit lentement vers sa hanche. Sa paume, chaude, osait déjà effleurer le tissu tiré de sa jupe, juste à la limite de ce qu’on pouvait prétendre innocemment.
Et s’il glissait la main dessous ? Ici, au milieu des autres ? Si son doigt effleurait la frontière satinée de la dentelle qu’elle portait ce matin ? S’il devinait qu’elle avait mis, justement, un string si fin que la ligne en devenait invisible sous le tissu ?
Elle respirait plus fort. Elle le sentait, lui aussi. Son souffle s’était ralenti, chargé. Il n’était plus dans la simulation. Il sentait son trouble. Il jouait avec. Il l’amplifiait. À chaque virage, sa cuisse pressait un peu plus la sienne. À chaque freinage, leurs bassins se retrouvaient emboîtés un peu plus naturellement. Comme un puzzle oublié capable de se reformer en un seul geste.
Elle allait dire quelque chose. N’importe quoi. Mais il parla avant elle.
– Tu veux qu’on continue comme ça… ou tu veux que je glisse ma main sous ta jupe ?
– Ici ? souffla-t-elle, gorge nouée.
– C’est toi qui choisis. Je fais ce que tu veux. Ce que tu aimes.
Elle ferma les yeux. Le bus vibrait. Elle aussi. Elle aurait pu se reculer. Elle aurait pu sortir à la prochaine. Mais ses doigts restaient agrippés à la barre verticale, son bassin offert, une goutte de chaleur perlant doucement entre ses cuisses damnées.
Le bus entrait dans un tunnel. Les lumières clignotèrent. Et tout sembla suspendu.
Le bus ralentissait à peine, mais Léna avait l’impression que tout se déroulait au ralenti. Chaque vibration devenait une onde, chaque geste un frisson. Il était toujours derrière elle, si près, si dense, qu’elle sentait la chaleur de son torse contre son dos… et bien plus bas, la pression affirmée de son bassin contre ses fesses, à travers la jupe qui collait maintenant à sa peau.
Un virage brusque les rapprocha encore. Sa main, toujours posée à la limite de l’acceptable, bougea à peine… mais ce fut suffisant. Un doigt effleura l’arrière de sa cuisse, juste à l’endroit où le tissu s’arrêtait.
Elle ne bougea pas. Ne dit rien. Mais son souffle se bloqua dans sa gorge.
– Tu es si silencieuse… chuchota-t-il, sa voix basse comme une caresse.
– Tu n’as pas besoin de mots, répondit-elle, le regard perdu dans la vitre.
Sa paume remonta doucement, lentement, comme si ce geste avait toujours été prévu. Le bus était moins bondé maintenant. Les gens regardaient ailleurs. Et eux... eux se séparaient du monde, enfermés dans cette bulle électrique, cette histoire de frotteurisme dans un bus, aussi réelle que leurs corps qui se cherchaient.
Ses doigts glissèrent sous l’ourlet de la jupe. Elle sentit la pulpe de sa main contre sa peau nue. Il découvrait qu’elle ne portait que ce minuscule string noir, une dentelle fine qui disparaissait entre ses fesses, laissant ses cuisses nues, offertes au toucher.
– Salopette, souffla-t-il dans son souffle.
Un sourire naquit au coin de ses lèvres.
– Peut-être. Tu veux voir jusqu’où je vais ?
Il ne répondit pas. Il recula à peine, juste assez pour retirer sa main, puis se cala de nouveau contre elle, cette fois avec plus d’intention. Elle sentit la forme ferme de son sexe, dressé, dur, contre sa fesse droite. Elle bougea imperceptiblement, frottant son bassin contre lui. Le tissu de sa jupe ne protégeait plus rien. Il n’y avait que la fine barrière de sa lingerie et de son désir brûlant.
Elle ferma les yeux, se laissa porter par la sensation. Chaque secousse du bus devenait prétexte à une friction. Une pression. Une montée.
Un arrêt de plus. Quelques passagers descendirent. Ils restaient debout, l’un contre l’autre, liés par ce jeu silencieux. Il descendit lentement la fermeture de son manteau. Elle sentit le mouvement derrière elle, puis un léger frottement. Il venait de libérer un peu de peau, elle n’aurait su dire où, mais elle le devinait. Il se préparait. Ou la préparait.
Sa main revint. Plus audacieuse. Cette fois, ses doigts glissèrent sous la dentelle, à même sa chair. Elle étouffa un gémissement en sentant le contact chaud contre sa vulve, déjà humide. Il la caressa lentement, sans hâter le mouvement, explorant, effleurant, comme s’il voulait mémoriser chaque pli, chaque frémissement.
– Tu es trempée, murmura-t-il.
– Et ce n’est que le début…
Il recula à peine, puis laissa son index glisser jusqu'à son clitoris, juste un frôlement, presque une menace. Elle se cambra malgré elle, ses reins se pressant contre son bassin. C’était indécent. Ils étaient dans un bus. En public. Mais plus rien n’existait que cette pression, cette chaleur, cette tension qui montait.
– Tu veux que je continue ?
– Oui.
– Même si quelqu’un regarde ?
– Qu’il regarde…
Elle n’en pouvait plus. Chaque vibration du bus devenait une caresse indirecte. Chaque secousse faisait danser son clitoris sous ses doigts. Il était précis, habile, attentif. Il connaissait son corps mieux qu’elle-même à cet instant.
Elle tourna doucement la tête. Leurs regards se croisèrent. Son regard à lui était sombre, brûlant. Elle y vit une faim, une tendresse cruelle, une certitude. Il savait jusqu’où il pouvait aller. Et elle… elle ne voulait plus de limites.
– Est-ce que tu veux que je te remplisse ? demanda-t-il froidement, presque sans émotion, mais avec une intensité qui la fit trembler.
– Pas ici. Pas encore. Mais je veux sentir que tu pourrais…
Il sourit. Puis, lentement, il glissa sa main hors de sa culotte, laissant derrière lui une traînée humide sur sa cuisse. Il leva les doigts, les porta à ses lèvres, en goûtant la moiteur avec gourmandise.
– Sucrée, souffla-t-il.
Elle se mordit la lèvre, prise entre l’envie de rire et de gémir. Elle avait chaud. Ses tétons étaient durs sous le chemisier. Elle sentait sa culotte collée à elle, trempée, tendue entre ses jambes. Elle voulait plus. Elle voulait tout. Mais elle voulait aussi que ça dure.
Il sortit quelque chose de sa poche. Elle sentit le tissu glisser contre sa main, puis il lui glissa discrètement un petit objet dans la paume. Elle baissa les yeux. Un plug anal vibrant, discret, en silicone noir.
– C’est pour ce soir, murmura-t-il. Ou pour tout à l’heure, dans les toilettes du terminus. Tu choisis.
Elle referma les doigts sur l’objet. Il était tiède. Chargé. Comme elle.
– Tu as du lubrifiant ?
– Toujours sur moi, princesse. Et des menottes en velours. Si tu veux vraiment jouer.
Elle rit doucement, un rire bas et rauque, qui vibra dans sa gorge comme un autre gémissement.
– Tu penses à tout, on dirait.
– Je pense surtout à toi. À ce que tu veux. À ce que tu n’oses pas encore demander.
Le bus s’approchait du terminus. Les gens se préparaient à descendre. Il se redressa légèrement, mais ne s’éloigna pas. Au contraire. Il se pencha et murmura dans son oreille :
– Quand on sera seuls, je vais remonter ta jupe jusqu’à la taille. Je vais l’attacher avec ta ceinture. Tu vas t’asseoir sur moi, lentement. Et tu vas me supplier de te prendre.
Elle frissonna. Son ventre se contracta. Elle serra les cuisses, sentant un filet chaud couler lentement entre elles.
– Et si je veux que tu me bouches plutôt ?
– Alors je te préparerai. Doucement. Avec mes doigts. Puis avec le plug. Et quand tu seras prête, je t’ouvrirai. Centimètre par centimètre, jusqu’à ce que tu cries mon nom.
Elle inspira lentement. Le bus s’arrêta. Les portes s’ouvrirent. Elle pivota sur ses talons, fit face à lui. Il était grand, calme, sûr de lui. Elle ne dit rien. Elle passa à côté de lui, glissant une main très légère sur son épaule.
– Suis-moi, dit-elle en descendant.
Il sourit. Et la suivit.
Le plug vibrait légèrement dans sa main fermée. La journée ne faisait que commencer.
Les portes du bus se refermèrent dans un souffle. Léna avançait d’un pas ferme, presque trop calme pour l’état de son corps. Lui la suivait, les yeux rivés sur le balancement de ses hanches. Le petit plug anal vibrait encore doucement dans sa paume, comme un secret brûlant.
Ils ne parlèrent pas. Pas encore. Le couloir menant aux toilettes du terminus était désert, impersonnel. Léna poussa la porte, entra sans se retourner. Il la suivit.
Dès que le verrou claqua, elle se retourna et l’embrassa. Un baiser court, pressé, sans tendresse mais chargé d’une urgence animale. Ses mains se posèrent sur ses hanches, la plaquèrent contre le mur carrelé. Elle leva une jambe autour de sa taille, l’autre planta son talon au sol, ancrée. Il écarta sa jupe, l’enroula à la taille comme promis, révélant la dentelle noire trempée, tendue entre ses fesses.
– Retourne-toi, ordonna-t-il.
Elle obéit sans un mot. Ses mains à elle s’appuyèrent contre le mur, cambrée, offerte. Il écarta la lingerie, lentement. Elle sentit le souffle chaud de sa bouche sur sa peau, puis la pointe de sa langue qui glissa le long de sa fente, jusqu’à son clitoris gonflé. Elle étouffa un cri.
– Tu goûtes encore meilleur ici, murmura-t-il, avant de replonger.
Ses doigts s’enfoncèrent doucement en elle, deux d’abord, puis trois. Elle se tendit, haletante, incapable de penser. Puis il s’arrêta, sortit un petit flacon de lubrifiant, en versa sur le plug.
– Tu vas le porter pour moi.
Elle hocha la tête. Il écarta ses fesses avec tendresse, plaça l’objet contre son anus déjà frémissant, et l’inséra lentement, centimètre après centimètre. Elle gémit, surprise par le plaisir dense qui l’envahit.
– Dis-moi quand tu le sens bien.
– Maintenant…
Il enclencha la vibration. Elle se tordit, un râle lui échappant des lèvres. Ses cuisses tremblaient. Il se redressa, ouvrit son pantalon. Son sexe jaillit, dur, prêt. Il la pénétra d’un seul coup de rein, profond, serré, brut.
Elle cria, une main plaquée sur sa bouche pour ne pas alerter. Il la tenait par la taille, la guidait, l’enfonçait sur lui à chaque poussée. Le plug vibrait en elle, amplifiant chaque mouvement. Elle n’était plus qu’un corps vibrant, tendu vers la jouissance.
– Tu viens pour moi ?
– Oui… oui, putain…
Elle explosa autour de lui, corps secoué, jambes tremblantes. Il la suivit dans un râle, se vidant en elle dans une dernière poussée profonde. Ils restèrent ainsi, collés, haletants, le monde suspendu autour d’eux.
Il se retira doucement, ôta le plug avec précaution, le rinça rapidement. Léna s’adossa au mur, poitrine nue, jupe encore roulée à la taille, regard brillant.
– Tu fais toujours ça aux inconnues dans les transports ?
– Seulement à celles qui tremblent quand je les frôle.
Elle rit, rauque, satisfaite. Il s’approcha, l’embrassa doucement cette fois.
– Ce soir, chez moi ?
– Avec les menottes, le paddle et le reste de ta mallette ?
– Et toi, avec tes talons et rien d’autre.
Elle remit son string, lissa sa jupe, attrapa son sac. Avant de sortir, elle se pencha vers son oreille :
– J’ai encore un arrêt à faire. Mais ce fantasme-là… je vais m’en souvenir longtemps.
Elle sortit, le laissant seul un instant. Il sourit, ajusta son pantalon, et récupéra le petit nettoyant sextoys dans sa trousse. Toujours prêt. Toujours propre. Toujours joueur.
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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr