Nuit Troublante au Parc

Nuit Troublante au Parc

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Exhibitionnisme Histoire Érotique : J’ai joui dans un parc, la nuit

La nuit était tombée depuis longtemps, couvrant la ville d’un voile paisible et complice. Les lampadaires diffusant leur lumière pâle baignaient le parc d’une ambiance presque onirique, comme si l’espace entre les arbres et les allées s’était soudain chargé d’une énergie nouvelle. J’avais besoin d’air. De solitude. Mais surtout… de sentir mon corps respirer autrement. J’avais enfilé ma plus jolie nuisette en dentelle noire, glissée sous un long trench en cuir — rien d’autre. La caresse du tissu sur ma peau nue me rendait déjà fébrile.

À cette heure, le parc était désert. Ou je voulais y croire. Le silence se faisait dense, interrompu parfois par le bruissement de feuilles ou le lointain murmure d’une voiture en ville. Mon cœur battait fort. Pas de peur, non. D’excitation. L’idée m’obsédait depuis des semaines : me donner dans un lieu public, me sentir offerte, vulnérable, mais désirable. J'avais lu des histoires érotiques d’exhibitionnisme, des récits crus, sensuels, où les femmes prenaient ce qu’elles voulaient, sans se cacher, ou presque. J’en avais eu envie. Ce soir, je passais à l’acte.

Mes talons martelaient doucement l’allée gravillonnée. Chaque pas me rapprochait de ce petit recoin sous les arbres, près du banc en pierre. Un endroit reculé, parfait. Je portais sous mon manteau un plug anal en verre noir, que j’avais inséré juste avant de sortir. Il me rappelait à chaque mouvement que mon corps était déjà en éveil. Un secret vibrant entre mes plis. Une anticipation délicieuse au moindre frôlement. Une tension latente prête à déborder.

Arrivée à l’endroit que j’avais repéré, je m’assis doucement sur le banc, repliant mon trench autour de moi. Je laissai mes jambes légèrement entrouvertes. Le contact froid de la pierre contre ma chair nue me fit frissonner. Lentement, je passai une main sur mon cou, descendant jusqu’à ma poitrine sous la soie, caressant un sein, puis l’autre… Je fermai les yeux. Ma respiration devint plus courte. Je retenais un gémissement qui se formait déjà au creux de ma gorge.

Soudain, un craquement de gravier. Je sursautai. Une silhouette avançait lentement entre les arbres, visiblement attirée par ma présence. Mon cœur s’emballa. Un homme, seul.

Il s’approcha, s’arrêta à quelques mètres. Ni trop près, ni trop loin.

– Vous êtes perdue ? demanda-t-il d’une voix grave, posée. Mais pas indifférente.

– Non… répondis-je, en relevant les yeux vers lui. Je suis venue chercher quelque chose. Un peu de trouble, peut-être.

Il esquissa un sourire, ses yeux détaillaient mon visage, puis descendaient furtivement vers mes jambes croisées, devinant sans doute la nudité camouflée par le manteau.

– Vous savez que c’est dangereux, une femme seule ici, si tard ?

– C’est précisément ce que je cherche. Le risque. Le regard. Peut-être même… le désir d’un inconnu.

Son silence m’enivra. L’atmosphère s’épaississait, chargée de tension. Il s’avança d’un pas, mains dans les poches, sans brusquerie. Son regard, lui, pénétrait déjà la fine couche de dentelle que je portais. Je le sentais, je jouais avec, je m'offrais à son imaginaire.

Je me levai lentement, tout près de lui. Nos souffles se mêlèrent.

– Ouvre ton manteau, me dit-il doucement. Juste un peu…

J’obéis sans un mot. Une main tremblante défaisait les boutons un à un. Le vent nocturne s’infiltra contre ma peau nue, intensifiant chaque frisson. Mon corps luisait légèrement sous la lune, offert sans pudeur. Il siffla entre ses dents, admiratif. Je vis ses yeux se dilater.

– Tu es à tomber. Et terriblement indécente.

– Je sais, soufflai-je. C’est le but.

Il s’approcha encore, son torse contre ma poitrine à peine vêtue. Je sentais sa chaleur, son souffle, son envie. Mais il ne me touchait pas. Pas encore. Il attendait. Repoussait l’instant. Le plaisir était là, dans ce jeu de tensions, de regards, d’attentes. Lentement, il m’ordonna :

– Retourne-toi.

Mon ventre se noua. Je me retournai, mon manteau grand ouvert, exposant mon dos nu, mes hanches, la courbe arrondie de mes fesses tendues sous la lune.

– Tu portes quelque chose ?

– Oui. Un plug anal.

Il grogna de désir. J’entendis ses pas s’approcher derrière moi, une main passa furtivement le long de ma colonne, frôlant l’attache de mes reins.

– Tu aimes être prise ainsi… offerte... à la merci du regard des autres ?

– J’en ai besoin, murmurai-je. Ce frisson, ce trouble… je ne plus m’en passer.

Il ne répondit pas. Mais je sus qu’il comprenait. Il était comme moi. Un voyeur. Un joueur. Un amant du vice raffiné. La nuit devenait complice de notre théâtre interdit.

Le silence reprit, mais nos respirations, elles, trahissaient le feu sous la glace. Je sentais l’humidité poindre entre mes cuisses, mes muscles se contracter autour du plug, ma gorge serrée d’anticipation. S’il osait me toucher maintenant, je céderais sans retenue. Mais il tenait encore. Et moi, je dégustais ce supplice délicieux.

– Tu veux que je continue ? me demanda-t-il au creux de l’oreille.

– Jusqu’à ce que je n’en puisse plus, répondis-je.

Je me retournai face à lui, haletante. Mes seins dressés sous la dentelle, mes lèvres entrouvertes. Il tira lentement quelque chose de sa poche. Un petit vibromasseur noir. Discret, puissant.

– Mets-le toi-même. Laisse-moi te regarder.

Je saisis le sextoy en tremblant, les yeux dans les siens. Je savais qu’après ça, il n’y aurait plus de retour. Le parc deviendrait notre scène. La nuit, notre alliée. Et mon plaisir… un spectacle interdit.


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Mes doigts tremblaient légèrement alors que je faisais glisser le petit vibromasseur noir entre mes cuisses. Sa surface froide effleura mes lèvres humides, déjà gonflées par l’anticipation. Je le maintins un instant contre mon clitoris, encore éteint, juste pour sentir la pression. Il me regardait, debout devant moi, les bras croisés, les yeux fixés sur ma main qui hésitait encore.

– Allume-le, murmura-t-il.

Je tournai l’extrémité, un petit clic à peine audible, et la vibration se mit à pulser contre ma peau. Immédiatement, ma respiration se coupa. Une onde chaude me traversa, remontant depuis mon entrejambe jusqu’à ma nuque. Je fermai les yeux une seconde, savourant la première secousse, puis glissai l’objet contre les plis de mon sexe, le guidant lentement entre mes lèvres trempées.

– Laisse-moi voir tout, dit-il d’une voix rauque.

Je remontai légèrement ma nuisette, dévoilant la naissance de mon ventre, mes hanches nues, et l’éclat brillant de mon excitation. Le trench tombait en arrière, comme une cape. Je m'installai sur le banc, les jambes bien écartées, le bassin légèrement relevé, offerte à son regard. Le plug en verre noir m’oppressait doucement, ajoutant un poids délicieux à ma position déjà indécente.

Il s’approcha, lentement, et s’accroupit entre mes jambes.

– Tu es trempée. Tu brûles.

Je hochai la tête, incapable de parler. Le vibromasseur vibrait à son rythme le plus bas, mais c’était déjà trop. Il appuya doucement sa main sur mon genou, puis la fit glisser lentement jusqu’à ma cuisse. Il ne toucha pas mon sexe. Juste la peau autour. Il effleurait, dessinait, frôlait. Je sentais chaque millimètre de moi répondre à ses gestes.

– Tu aimes le regard ?

– Oui…

– Tu aimes qu’un inconnu te regarde prendre ton plaisir dans la nuit, comme ça ?

– J’en ai besoin.

– Et s’il y avait un autre homme là-bas, entre les arbres ? Quelqu’un qui observe en silence ? Tu t’enfuirais ?

– Non. Je continuerais. Je le laisserais me voir. Je jouirais pour lui aussi.

Il grogna, et ses doigts glissèrent enfin entre mes lèvres. Il ne retira pas le vibromasseur. Il le pressa un peu plus fort contre mon clitoris, en cercle, en pulsations, en caresses lentes. Je faillis hurler. Le plaisir montait trop vite. Trop fort.

– Pas maintenant, souffla-t-il. Tu n’as pas le droit de jouir encore.

Il retira l’objet d’un geste brusque et me regarda droit dans les yeux.

– Mets-toi à genoux sur le banc.

Je me retournai, le cœur battant, les jambes tremblantes. Mes genoux touchèrent la pierre froide, mes mains se posèrent devant moi pour garder l’équilibre. Je savais ce qu’il allait voir : mon sexe qui coulait, le plug noir parfaitement enfoncé, mes fesses offertes et tendues. Je n’étais plus une femme. J’étais un fantasme incarné.

Il resta silencieux un moment. Puis je sentis sa main glisser sur ma fesse gauche, la caresser, la palper. Il écarta doucement mes jambes, puis souffla contre moi. Un frisson me traversa.

– Tu es magnifique. Vulnérable. Et tellement indécente.

Ses doigts revinrent, plus précis, plus habiles. Il jouait avec le plug, le faisant bouger à peine d’un côté et de l’autre. Je gémis, incapable de me retenir. Mon sexe palpitait, vide, tendu, affamé.

– Tu veux que je te pénètre ?

– Oui…

– Tu veux que ce soit ici, dans ce parc, où n’importe qui pourrait passer ?

– Je veux que tu me prennes là, oui. Que tu me fasses sentir vivante.

Il se redressa, et je l’entendis ouvrir sa braguette. Le son du tissu, le souffle plus court. Mais toujours aucune pénétration. Il laissait le doute flotter. Il me laissait sur le fil.

– Toi, tu es faite pour être vue. Tu es une œuvre d’exhibitionnisme, une histoire érotique vivante. Une femme qui se donne à la nuit.

Je me cambrai un peu plus, le dos creusé, les reins tendus. Ma peau luisait à la lueur des réverbères. Je n’avais plus honte. J’étais purement désir, pur abandon.

– Tu veux jouir, dit-il, mais je ne te le permettrai que quand tu supplieras.

Je haletai, le sang battant à mes tempes. Chaque seconde était une agonie délicieuse. Le vibromasseur revint entre mes jambes, glissant doucement, cette fois en intensité moyenne. Il le coinça entre mes lèvres, le maintenant en place avec sa main. Ses doigts, eux, se mirent à jouer avec le bord du plug, le faisant tourner lentement, m’ouvrant un peu plus.

– Regarde là-bas, me dit-il. Tu les vois, les ombres ?

Je levai les yeux. Entre les arbres, deux silhouettes. Imprécises. Immobiles.

– Tu crois qu’ils nous observent ?

– Peut-être…

– Ça t’excite, hein ?

– Oui… tellement.

– Alors donne-leur quelque chose à voir.

Je me redressai à peine, mes bras tremblant sous l’effort. Puis je commençai à bouger mes hanches, lentement, lascivement, comme si je dansais pour eux. Le vibromasseur vibrait toujours, mes muscles se contractaient autour du plug à chaque mouvement. Je devenais folle. Ma peau brûlait. Mon sexe coulait. J’étais à la limite.

– Supplie, dit-il.

– Je t’en prie… laisse-moi jouir…

– Non. Pas encore. Tu n’as pas assez donné.

Il fit claquer sa main contre ma fesse droite. Le bruit résonna dans le silence du parc. Je sursautai, mais le feu dans mon ventre devint incandescent. Il recommença. Une claque. Puis une autre. Mes fesses vibraient, rougies, exposées. Je gémissais sans plus me soucier de qui pouvait entendre.

– Voilà, murmura-t-il. C’est ça que je veux voir. La femme qui oublie tout. Même la honte.

Il retira le vibromasseur, lentement, et me caressa du bout des doigts. Je tremblais, incapable de penser. Ma gorge sèche, mon corps en feu.

– Regarde-les encore.

Les silhouettes étaient toujours là. Toujours immobiles. Peut-être des voyeurs. Peut-être des esprits de la nuit. Mais ce n’était plus important.

Je n’étais plus qu’une femme à genoux dans un parc, la nuit, offerte, exhibée, et délicieusement proche de l’explosion.

– Tu veux jouir ?

– Oui… je t’en supplie…

– Pas encore. Je veux que tu n’oublies jamais cette nuit. Alors je vais t’amener au bord. Encore. Et encore. Jusqu’à ce que tu m’implores avec chaque fibre de ton corps.

Je fermai les yeux, et souris. Le supplice ne faisait que commencer.

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Il enleva le plug anal avec une lenteur presque sadique, m’arrachant un gémissement rauque. Mon corps se cambra, tendu comme une corde prête à rompre. Il glissa deux doigts entre mes lèvres trempées, les enfonçant sans prévenir. Je haletai.

– Ton corps supplie, murmura-t-il. Mais je veux l’entendre aussi.

– Je t’en supplie... prends-moi… maintenant…

Je sentis son sexe dur me frôler, puis s’enfoncer d’un coup sec. Un cri m’échappa, étouffé par la nuit. Il me tenait par les hanches, me pilonnant avec une précision cruelle, chaque va-et-vient faisant claquer ma peau contre la sienne. Je n’étais plus qu’une marionnette offerte, une créature guidée par le rythme de ses coups.

Son bassin frappait le mien, son souffle court et rauque dans mon dos. Mes seins ballottaient sous la dentelle, mon front s’écrasait contre le banc. Il m’envahissait, profondément, puissamment, et je me perdais dans cette sensation de possession brute.

– Tu les regardes encore ?

Je levai les yeux. Les ombres étaient toujours là. Deux silhouettes immobiles. Témoins silencieux de ma débauche.

– Tu leur offres ta jouissance ?

– Oui…

Il accéléra, me frappant avec une intensité presque sauvage. Mon corps tout entier vibrait, entre ses doigts, son sexe, et l’excitation de l’interdit. Je n’étais plus qu’un nœud de nerfs, de peau, d’envie. Je sentis l’orgasme monter, irrépressible, comme une vague noire prête à m’engloutir.

– Tu es prête ?

– Oui… je vais… je vais…

Il appuya ses doigts contre mon clitoris, en cercles rapides et précis. Je hurlai, incapable de me contenir. Mon corps se tendit, mes cuisses tremblèrent, mes muscles se crispèrent autour de lui. L’orgasme me traversa comme une décharge, puissant, incontrôlable, brûlant. Je me vidai en spasmes, en cris, en larmes de plaisir.

Il continua à me pénétrer, plus lentement, me maintenant ouverte, offerte, jusqu’à ce que son souffle devienne rauque. D’un râle profond, il se libéra en moi, ses doigts serrant mes hanches, son corps collé au mien dans une ultime pulsation de désir partagé.

Nous restâmes ainsi quelques instants, haletants, noués, pris dans le silence complice de la nuit.

Ses doigts glissèrent le long de ma colonne, tendres, presque affectueux. Il se retira doucement, puis m’aida à me retourner. Je me laissai tomber contre lui, les jambes encore tremblantes, mon cœur battant comme un tambour.

– Tu étais sublime, dit-il à mon oreille.

– Tu as fait de moi une histoire, soufflai-je. Une que je n’oublierai jamais.

Il sourit, caressant mes cheveux humides.

– Et si je te disais que les deux silhouettes là-bas… c’était prévu ?

Je le fixai, un mélange de trouble et d’excitation dans le ventre.

– Tu plaisantes ?

– Peut-être. Peut-être pas.

Il se releva, réajustant son pantalon. Je restai assise sur le banc, nue sous la lune, la peau encore parcourue de frissons.

– On se reverra ? demandai-je, presque timide.

– Si tu portes encore ce plug noir… je saurai que tu es prête.

Et sans un mot de plus, il disparut entre les arbres, avalé par l’obscurité. Je restai là, seule, tremblante, mais étrangement comblée. Le vent frais caressa ma peau nue, et je souris, les cuisses encore moites de plaisir.

Cette nuit-là, j’ai joui dans un parc. Mais plus encore… j’ai découvert une part de moi que je ne pourrai plus jamais ignorer.


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– Jérémie M.
Auteur de récits érotiques sur Dessous-Femme.fr

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