Passion au cœur de la moisson

Passion au cœur de la moisson

Passion au cœur de la moisson

L’amour est dans le pré… et sur les bottes de paille

Le soleil déclinait doucement sur l’horizon, enveloppant la campagne d’une lumière dorée presque sensuelle. Les champs s'étiraient à perte de vue, ondulant sous la brise d’été, comme caressés par une main invisible. Il y avait dans l’air cette odeur chaude et poivrée de foin coupé, de terre nourricière, et un silence troublant, percé seulement par le cri des grillons et le souffle distant d’un tracteur en fin de journée.

Léa ajusta son chapeau de paille, chassant une mèche humide de sueur qui collait à sa tempe. Elle n’avait jamais imaginé passer un été ici, dans ce recoin reculé du sud-ouest, au milieu des bottes de foin, à aider pour la moisson. Encore moins à fantasmer autant sur les mains calleuses du maître des lieux.

Elle s’adossa au vieux pick-up, une bouteille d’eau contre ses lèvres, et le vit arriver au loin. Grand, solide, vêtu d’un débardeur légèrement sale, moulant ses épaules massives, Hugo avançait à pas lents, le regard visiblement fixé sur elle. Il avait ce calme animal, presque dominateur, qui la faisait frissonner malgré la chaleur étouffante. Entre eux, il n’y avait eu que des regards, quelques échanges brefs à propos des tâches agricoles… mais Léa sentait que quelque chose couvait, brûlant comme le soleil sur sa peau.

Elle se redressa légèrement, consciente que son short en jean s’était remonté le long de ses cuisses. Et elle vit clairement le regard d’Hugo y glisser, lentement, appuyé. Délibéré.

– Tu vas finir par fondre, dit-elle en souriant, la voix un peu rauque, tout en lui tendant la bouteille.

– Si c’est pas toi qui me fais fondre avant, répondit-il, en accrochant son regard au sien.

Elle sentit la tension se figer entre eux. Cette phrase, dite avec une voix grave et lente, coulait en elle comme du miel chaud. Il ne riait pas. Il la testait.

– T’es pas un gars très subtil, toi, murmura-t-elle, feignant l’amusement, mais déjà plus bas, entre ses jambes, sa culotte s’humidifiait sous l’effet de l’excitation lente.

– Non, répondit-il simplement. J’ai pas besoin de l’être avec toi.

Une rafale soudaine souleva quelques grains de poussières autour d’eux. Plus loin, une grange entrouverte laissait entrevoir l’ombre fraîche et accueillante d’un amas de bottes de paille. Léa mordilla sa lèvre, hésitant. Son regard dériva un instant vers les menottes rouillées accrochées à l’intérieur de la cabine du pick-up. Un vieux vestige, peut-être… ou une invitation déguisée.

– Tu sais à quoi je pense ? demanda-t-elle, les yeux plantés droit dans les siens.

Il s’approcha, à quelques centimètres à peine, si près qu’elle sentait son odeur : mélange de sueur musquée, d’herbe sèche et d’une virilité crue qui collait à sa peau comme une promesse.

– Dis-moi, Léa.

Elle baissa lentement les yeux, puis les releva, avec ce regard qu’elle savait déjà désirer.

– À tes mains. À ce que tu pourrais faire, avec.

Un silence, suspendu. Puis il posa doucement sa paume rugueuse sur son ventre plat, la poussant imperceptiblement contre la tôle chaude du pick-up. Sa voix se fit rauque, autoritaire.

– Je pourrais faire beaucoup. Surtout si tu oses me suivre jusque dans cette grange.

Elle rougit, hésita une seconde, puis tourna les talons. Sans un mot, elle s’élança vers la grange, marchant un peu vite, comme pour rattraper son propre battement de cœur. Derrière elle, elle entendit ses pas lourds dans l'herbe sèche. Il la suivait. La chasse avait commencé.

Une fois à l'intérieur, la fraîcheur la saisit. Les bottes de foin formaient un sanctuaire improvisé. Elle grimpa habilement sur l’une d’elles, jambes croisées, le dos légèrement cambré, offrant une vue calculée entre les plis de son short.

– Ferme la porte derrière toi, lança-t-elle, sans le regarder.

Le claquement sourd retentit une seconde plus tard. Ils étaient seuls. Seulement eux… et le silence chargé d’électricité sexuelle.

Il approcha sans un mot. Elle sentait sa présence, comme une vague de chaleur montée tout droit de la terre. Lentement, elle écarta les jambes, juste assez pour qu’il voie. Qu’il comprenne.

– Dis-moi ce que tu veux, murmura-t-il.

– Que tu continues d’agir comme un homme de la terre… brut, franc, sale. Que tu me forces à me salir avec toi.

Il ne répondit pas. Mais elle vit ses yeux s’assombrir, ses veines gonflées sur l’avant-bras, comme s’il s’apprêtait à saisir un outil... ou à la posséder. Et lorsqu’il sortit de sa poche arrière ce petit plug anal en silicone noir, brillant sous la lumière oblique, elle sut qu’il avait compris la règle du jeu.

– Tu fais la maligne, Léa ?

– Peut-être…

– On va voir jusqu’où tu peux aller.

Il grimpa alors lentement sur la botte, se plaçant derrière elle. Sa main saisit sa nuque, la maintenant avec une fermeté délicieuse. L’autre glissa sous le tissu râpé de son short, cherchant l’humidité qu’il soupçonnait déjà.

Et elle sut, à cet instant précis, que le plaisir aurait le goût de foin, de cuir et de poussière. Car ici, l’amour n’était pas dans les mots. Il était dans le pré… et sur les bottes de paille.

L’amour est dans le pré… et sur les bottes de paille

La grange sentait le foin chaud, l’ombre fraîche contrastait avec la chaleur encore accrochée à sa peau. Léa sentait son cœur battre contre ses côtes, comme un animal nerveux. Elle n’avait pas prévu ça. Pas aussi tôt. Pas aussi fort.

Hugo s’approcha, lentement, comme un prédateur sûr de sa proie. Son regard la déshabillait plus vite que ses mains calleuses n’oseraient encore le faire. Il la toisait de bas en haut, et elle adorait ça. Elle se redressa légèrement, cambrant les reins, offrant plus encore, sans dire un mot.

– Tu veux jouer à ça ? demanda-t-il, sa voix rauque, chargée d’un désir contenu.

– Je veux que tu me fasses oublier la ville, murmura-t-elle. Que tu me montres ce que c’est que de se faire prendre à la campagne.

Il ne se fit pas prier. Ses mains vinrent agripper ses cuisses, fermes et assurées, glissant sous le tissu effrangé de son short. Ses doigts trouvèrent déjà l’humidité chaude de sa culotte, et il grogna doucement contre sa peau.

– T’as déjà trempé cette petite culotte, hein ? Juste à l’idée de moi.

Elle hocha la tête, les paupières mi-closes, haletante.

– Tu vas me faire grimper au plafond, paysan.

Il tira doucement sur le tissu, le faisant glisser le long de ses jambes, révélant une lingerie fine, noire, presque déplacée dans ce décor rustique. Mais terriblement excitante.

– Quelle petite cochonne bien habillée pour la moisson…

Il effleura la dentelle du bout des doigts, puis y glissa un doigt ferme, explorant l’intimité de Léa avec une lenteur presque douloureuse. Elle se cambra, les mains accrochées à la botte de foin sur laquelle elle était perchée, gémissant doucement.

– Tu veux que je t’utilise, Léa ? Comme une vraie fille de ferme ?

– Oui…

Il tira alors une corde fine, enroulée autour de son poignet, et l’attacha délicatement autour des poignets de la jeune femme, la forçant à garder les bras levés, accrochés à une poutre basse. Léa laissa échapper un soupir tremblant.

– Une histoire BDSM dans une grange, hein ? Tu vas adorer ça.

Ses mains glissèrent avec autorité sur ses hanches, puis il la retourna brusquement, la poitrine contre la paille douce, les fesses offertes. Il écarta doucement ses jambes, découvrant l’éclat brillant de son sexe déjà prêt.

– Tu veux que je te prenne là, comme une salope des champs ?

– Oui… prends-moi, Hugo…

Il sortit alors de sa poche le petit plug anal qu’il avait gardé depuis leur dernière conversation. Léa le vit dans le reflet d’un miroir poussiéreux contre le mur. Un frisson d’anticipation la traversa.

– Tu sais ce que c’est, ça ?

– Mmmh… un sextoy ?

– Un plug anal, ma belle. Je vais te l’enfoncer doucement. Parce que tu le veux. Parce que tu bandes de l’intérieur rien qu’à l’idée.

Elle hocha la tête, mordant sa lèvre. Il déposa un peu de lubrifiant qu’il avait trouvé dans la boîte à gants du pick-up – vestige de soirées plus anciennes, sans doute – puis fit glisser le plug le long de la raie de ses fesses. Léa gémit, se tendit, offrit son corps à cette sensation nouvelle, délicieuse.

– Oh… Hugo…

Il le poussa doucement, centimètre par centimètre, surveillant sa respiration, son dos cambré, ses gémissements courts et troublés. Une fois le jouet en place, il caressa tendrement ses fesses, les frappant légèrement du plat de la main.

– Voilà. Maintenant tu es prête pour moi.

Il abaissa son propre jean, révélant un sexe dur, épais, palpitant. Sans attendre, il la pénétra d’un coup lent mais ferme, remplissant toute cette chaleur offerte. Léa cria, surprise par l’intensité, puis se laissa aller, totalement.

– Oui… putain, oui…

Il la prenait comme une bête, ses hanches claquant contre les siennes, le bruit de leur union se mêlant aux soupirs de la nature. Chaque coup de rein faisait vibrer le plug, chaque mouvement l’amenait un peu plus près de la folie.

– Tu veux jouir comme une salope de la grange ?

– Oui ! Prends-moi plus fort, Hugo !

Il accéléra, ses mains agrippant ses hanches, puis sa nuque. Il la dominait totalement. Léa était à lui, offerte, attachée, possédée.

– Tu savais que j’allais te baiser comme ça, hein ?

– Oui… depuis le premier jour où je t’ai vu…

Son orgasme monta, comme une vague brûlante. Il la pénétrait toujours, plus profondément, plus violemment, chaque coup résonnant dans son ventre, dans son sexe, dans son esprit. Et lorsque ses jambes tremblèrent, que son dos se tendit, elle explosa, le criant sans retenue, sans honte.

– HUGO… OH PUTAIN…

Il jouit à son tour, dans un râle guttural, son sexe se contractant en elle, la maintenant contre lui comme s’il voulait la marquer à jamais. Puis le silence retomba, seulement troublé par leurs souffles courts et le chant des grillons au dehors.

Il défit la corde, la libérant doucement, puis la serra contre son torse nu, encore chaud, encore vibrant.

– Tu fais la moisson demain ? demanda-t-il en riant doucement contre ses cheveux.

– Pas sûre que je puisse marcher, répondit-elle avec un sourire paresseux.

Mais au fond d’elle, elle savait : la nuit ne faisait que commencer. Et la grange, avec ses bottes de paille, allait devenir leur terrain de jeu favori.

Car ici, l’amour n’avait rien de sage. Il avait le goût du foin, du cuir, de la sueur. Et elle en redemandait déjà.

Ses mains tremblaient encore légèrement quand il la retourna à nouveau, cette fois pour l’avoir face à lui. Le plug en elle vibrait au rythme de ses contractions internes, chaque mouvement provoquant une onde de plaisir qui se répercutait jusqu’à sa gorge.

– Regarde-moi, Léa, murmura-t-il, sa voix rauque comme un grondement de tonnerre lointain.

Elle obéit, les yeux mi-clos, la bouche entrouverte, pantelante. Ses cuisses étaient écartées, offertes. Il écarta doucement les lèvres de son sexe, les doigts humides de leur désir mêlé. Elle gémit, un son rauque, presque animal.

– Tu veux jouir encore, ma salope de la campagne ?

– Oui… fais-moi jouir encore…

Il se pencha, sa langue glissa lentement sur son clitoris gonflé, cerclant la pulpe sensible avec une lenteur insoutenable. Léa se cambra, tirée entre le plaisir anal profond du plug et la douceur experte de sa langue.

Chaque coup de langue était précis, rythmé, ponctué de petites morsures, de souffles brûlants. Ses doigts s’enfoncèrent à nouveau en elle, la remplissant, la guidant vers l’explosion.

– Tu bandes de partout, Léa… Ton clito est dur comme une cerise mûre.

– Continue… ne t’arrête pas…

Il ajouta un doigt, puis deux. Le va-et-vient s’intensifia, accompagné de la vibration discrète du plug qui stimulait ses parois internes. Son corps entier s’arquait sous les vagues de plaisir.

– Tu veux que je te fasse venir comme une chienne en chaleur ?

– Oui… oui, Hugo, je t’en supplie…

Il ne répondit pas. Il s’appliqua, méthodique, précis, jusqu’à ce que ses jambes tremblent, que sa respiration se coupe, que son ventre se contracte brutalement. Et puis elle cria, la tête rejetée en arrière, les poignets toujours liés au-dessus de sa tête. Un cri long, libérateur, orgasmique.

Son corps tout entier se tendit, puis se relâcha dans un soupir infini. Il releva la tête, le menton brillant de son jus, et la regarda avec un sourire de prédateur repu.

– T’as joui comme une vraie cochonne de la grange, hein ?

Elle hocha la tête, incapable de parler, les yeux brillants de larmes et de plaisir mêlés.

Il la détacha lentement, la prenant dans ses bras, la portant jusqu’à un tas de paille plus moelleux. Là, il la coucha contre lui, sa main posée sur son ventre encore contracté par les spasmes de l’orgasme.

– T’as pas idée de ce que tu m’as fait, murmura-t-elle, le souffle court.

– C’est que le début, ma belle. J’ai des idées… et quelques jouets dans le pick-up.

Elle releva les yeux, curieuse.

– Des jouets ?

– Un paddle, un vibro, une paire de menottes en cuir… Et j’ai vu comment tu regardais ce miroir poussiéreux. La prochaine fois, je veux que tu te regardes jouir.

Elle frissonna, nichée contre sa poitrine rugueuse, le cœur encore battant.

– Tu crois qu’on pourra s’éclipser demain aussi ?

– Si tu continues à porter ce short minuscule et cette culotte noire… je te kidnappe dans la grange tous les soirs après la moisson.

Elle éclata d’un petit rire chaud, les doigts jouant sur la ligne de ses abdos encore tendus.

– Marché conclu, paysan.

Le silence retomba, doux, complice. Dehors, le soir s’installait. Mais ici, entre les bottes de foin et le parfum de sexe encore suspendu dans l’air, Léa savait qu’elle venait de découvrir une autre facette de sa sensualité. Une facette brute, libre, terrienne.

Et elle avait terriblement envie d’y retourner.


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